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  • Un monument à Hitler élevé dans un ghetto de Varsovie

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    Une statue d'Adolf Hitler, qui prie, est exposée dans le centre de Varsovie au Château Ujazdowski, l'ancien ghetto juif.

    L'œuvre de l'artiste italien Maurizio Cattelan suscite des sentiments contradictoires: certains la considèrent offensante, d'autres—provocante.

    La statue de Hitler priant est visible de dos à travers une petite fenêtre dans une porte en bois. Il semble qu'un garçon innocent prie. Les organisateurs estiment que la statue doit faire réfléchir l'auditoire sur la nature du mal.

    « Tout criminel était une fois un enfant doux, innocent et sans défense », indique l'inscription, qui accompagne la sculpture.

    La Voix de la Russie - 29.12.12

  • Clichy-sous-Bois: comment les "Restos du coeur" se font balader par une voilée intégrale

    Lire l'article: http://ripostelaique.com/clichy-sous-bois-comment-les-restos-du-coeur-se-font-balader-par-une-voilee-integrale.html

    29/12/12

  • Pomponne (Seine-et-Marne) : un policier blessé tire sur un cambrioleur

    On croisait plus de policiers que de badauds, hier soir, dans la coquette rue des Chênes, à Pomponne. Car quelques heures plus tôt, ce « quartier calme et bourgeois », selon l’expression du maire Roland Harlé (SE), a été le théâtre d’un cambriolage qui a mal tourné, au duquel un policier et l’un des auteurs suspectés du ont été blessés.

     

     

    Il est 14 heures lorsqu’une « dame très âgée » appelle la police. Deux hommes d’une trentaine d’années sont en train de s’introduire dans son pavillon, situé dans un joli parc arboré. Quelques minutes plus tard, un équipage de la brigade anticriminalité (BAC) de Lagny-sur-Marne arrive devant les hautes grilles de l’immense maison. « Ils ont aperçu deux hommes qui prenaient la fuite dans deux sens différents, raconte Chantal Baccanini, directrice départementale de la sécurité publique (DDSP). Chacun des deux s’est lancé à leur poursuite. »

    L’un des deux suspects est rapidement interpellé. Le second se dirige dans une zone boisée du quartier, mais se voyant rattrapé par le policier, il se retourne vers lui. La lutte s’engage et le policier est très profondément mordu à l’avant-bras. Les deux hommes tombent à terre et le cambrioleur présumé ramasse un rondin de bois. Il frappe le policier à la tête, lui brisant l’arcade sourcilière et l’atteignant sur le sommet du crâne. Malgré une pluie de coups, le policier se saisit de son arme de service et tire. Deux fois. Il atteint son agresseur à la jambe. « Il a fait les sommations d’usage », assure Chantal Baccanini. « Des renforts sont ensuite arrivés et le suspect a été maîtrisé », précise de son côté le parquet de Meaux.

    Blessés, les deux hommes sont immédiatement placés en garde à vue et hospitalisés au centre hospitalier de Jossigny. Mais au vu de l’état de santé de l’agent de la BAC — sérieusement amoché mais toutefois pas grièvement blessé — sa garde à vue, d’usage dans ce genre de situation, a rapidement été levée.

    Dans la soirée, Chantal Baccanini s’est rendue à son chevet pour « le soutenir ». Pour Romain Vézine, secrétaire départemental du syndicat Alliance, la légitime défense ne fait pas de doute : « On laisse les investigations se poursuivre. Mais il est clair que le policier n’avait aucune autre possibilité de se soustraire aux coups portés que d’utiliser son arme de service. »

    Du côté de Roland Harlé, on déplore que « ce cambriolage ait mal tourné ». Mais l’édile explique qu’il y a « déjà eu deux cambriolages cette semaine ». « C’est malheureux mais cette fin d’année est très marquée par ce phénomène, poursuit-il. Ce n’est sans doute pas propre à notre commune mais il faut croire que les pavillons bourgeois de nos quartiers attisent les convoitises… On n’attire pas les mouches avec du vinaigre! »

    La police judiciaire et l’IGPN (l’inspection générale de la police nationale) ont été saisies de l’enquête. Le parquet précise par ailleurs que, vu son état de choc, le policier pourrait ne pas être entendu dès aujourd’hui.

    Le Parisien - 29/12/12

     

                                                        

     

  • Le leader d’une association LGBT britannique condamné en 2009 pour pédophilie

     

    Son nom est James Rennie. S’il avait été prêtre catholique, le monde entier se souviendrait encore des actes abjects auxquels il se prêtait avant d’être arrêté par la police avec plusieurs dizaines d’autres membres de son réseau d’homosexuels pédophiles.

    Comme il s’agissait d’un militant pour la cause du « mariage » entre personnes du même sexe et du droit à l’adoption pour ces couples, cette information n’a été publiée en France que sur quelques blogs, comme par exemple ici sur Riposte Catholique. Avant son arrestation, James Rennie, 38 ans, était le directeur de l’association LGBT Youth Scotland. En tant que tel, par ses contacts avec les parlementaires écossais et avec l’ancien Premier ministre Tony Blair, mais aussi en sa qualité de conseiller du gouvernement écossais pour les questions homosexuelles en rapport avec les enfants, il a eu une influence sur l’évolution du droit anglais et écossais vers l’autorisation de l’adoption pour les couples de personnes du même sexe.

    En 2009 James Rennie et ses complices ont été arrêtés puis condamnés pour faits de pédophilie aggravée, entre autres sur le nourrisson que James Rennie gardait régulièrement pour des gens qui se considéraient comme ses amis depuis quinze ans. Ceux-ci ont appris la chose lorsque la police, dans le cadre de son enquête, leur a fait visionner une vidéo que James Rennie avait fait circuler auprès des autres membres de son réseau, une vidéo où on le voyait violer le petit garçon en plusieurs occasions, pendant plusieurs années, le premier viol s’étant produit alors que le garçon n’était encore qu’un bébé de 3 mois…

    L’enquête de la police a été lancée sur dénonciation d’un réparateur informatique à qui un des membres du réseau d’homosexuels pédophiles avait confié son ordinateur sur lequel se trouvaient des photos compromettantes.

    Au moment de son arrestation, James Rennie avait un partenaire fixe mais se servait d’Internet pour d’autres rencontres entre gays. Il se servait aussi d’Internet pour des rencontres entre pédophiles, y compris celle de Neil Strachan, un autre homosexuel pédophile de 41 ans qui avait été condamné à 3 ans de prison en 1997 pour des actes sexuels sur un garçon entre 5 et 7 ans.

    Neil Strachan avait eu des séances de sexe avec le petit garçon confié à la garde de James Rennie alors que ce garçon avait entre 1 et 3 ans. Neil Strachan a aussi été accusé d’avoir essayé de sodomiser un enfant de 18 mois en 2005 dans son appartement d’Édimbourg.

    La liste des crimes de James Rennie et des dizaines d’autres membres du réseau, et notamment de ses sept complices condamnés en même temps que lui en octobre 2009, dépasse de loin, par leur caractère, tout ce qui a pu être révélé jusqu’ici sur les prêtes catholiques pédophiles (qui sont le plus souvent, vous l’aurez sans doute remarqué même si ce n’est jamais dit, à la fois prêtres et homosexuels puisque dans la majorité des cas les victimes des prêtres pédophiles sont des enfants ou des adolescents de sexe masculin).

    C’était il y a trois ans, mais contrairement aux affaires concernant des membres du clergé catholique, les médias français n’ont pas jugé bon d’en parler alors que l’affaire a fait la une de journaux britanniques connus, comme le Daily Mail qui a le premier révélé l’affaire (voir l’article en anglais ici: plusieurs photos de pédocriminels). Était-ce de l’autocensure ?

    Olivier Bault

    E&R

  • Un nouveau bobard du Figaro : pas de plan russo-américain sur la Syrie

     

    . « Il n’y a pas eu et il n’y a pas de tel plan, et il ne fait pas l’objet de discussions » a déclaréLa Russie a donc démenti tout accord secret avec les États-Unis sur un plan de transition politique en Syrie, prévoyant le départ de Bachar al-Assad en 2014 jeudi 27 décembre le porte parole du ministère russe des Affaires étrangères, Alexandre Loukachevitch.

    S’il le dit, c’est sans doute vrai, le « plan » en question représentant plutôt un rapprochement des Américains de la position russe sur la Syrie. Et d’ailleurs l’émissaire de l’ONU Lakhdar Brahimi, censé avoir présenté le dit plan à Bachar al-Assad, a à son tour nié son existence. Alors, le Figaro, et singulièrement son « expert » Georges Malbrunot, nous aurait menti ? Il est vrai que ce ne serait pas la première fois, M. Malbrunot étant autant un relai du Quai d’Orsay qu’un reporter et un journaliste.

    Le Figaro jappe, la caravane russe avance à son rythme

    Mais pourquoi alors ce – gros – mensonge ? On ne peut l’expliquer que par le souci – toujours vif en milieu atlantiste – de faire accroire que la position de l’administration Poutine vis-à-vis de la Syrie et de son gouvernement peut toujours « évoluer », trouver un accord « raisonnable » avec le camp américain, avec toujours le même but ultime, le départ de Bachar al-Assad.

    Car ce départ, on va se répéter mais tant pis, serait évidemment la fin de la Syrie souveraine, et l’effondrement de son État. Et pour atteindre cet objectif fondamental, et faire « évoluer » Moscou, le camp atlantiste aurait mis un peu d’eau dans son vin, consentant donc à laisser le président – sans pouvoir – à la direction symbolique du pays jusqu’en 2014.

    Mais le Figaro et d’autres croyaient-ils infléchir ou amadouer Poutine avec cet effet d’annonce ? Évidemment, Russes et Américains restent en contact sur la Syrie, et ce sont ces discussion discrètes qui permettent à tous les Malbrunot toutes les extrapolations, diversions, manipulations. Mais pour quel résultat final ? Peut-être juste entretenir quelques jours de plus le doute, la « rumeur » de l’isolement syrien et de l’incertitude russe : ces messieurs de l’Occident atlantiste en sont là…

    Certes Moscou continue de faire pression sur Damas pour que la situation politique se débloque. Sergueï Lavrov a, ce vendredi, incité le gouvernement syrien à faire son « maximum » pour « concrétiser ses intentions de dialoguer avec l’opposition ». Et un peu avant, Lavrov avait exprimé ses doutes quant aux chances de l’ouverture d’un pareil dialogue, et sa crainte d’une spirale chaotique en Syrie.

    Mais dialoguer avec quelle opposition ? Des possibilités réelles existent avec le CCCND de Haytham Manaa, en contact permanent avec les Russes. Mais quid de l’opposition radicale à sponsor qatari, la « Coalition nationale » ? Le vice-ministre russe des Affaires étrangères, Mikhaïl Bogdanov, vient de lancer une invitation à son président, le cheikh islamiste Moaz al-Khatib, à participer enfin à des négociations visant à « faire cesser le bain de sang« , précisant que ces négociations pourraient se tenir soit à Moscou, soit à Genève, soit au Caire.

    Et il a aussi indiqué qu’une réunion entre Russes et Américains, avec la participation de Lakhdar Brahimi, se tiendrait le mois prochain. Jeudi, Lavrov recevait le n°2 de la diplomatie syrien Fayçal Moqdad. Aujourd’hui il rencontre son homologue égyptien Mohammed Amr. Et samedi Lavrov accueillera Lakhdar Brahimi, de retour d’une nouvelle mission infructueuse en Syrie, et qui ne peut qu’appeler, une nouvelle fois, à un règlement politique urgent.

    Brahimi admet la légitimité de Bachar et de la ligne diplomatique russe

    Que retenir ou comprendre de cet intense ballet diplomatique russo-centré ? D’abord que décidément, le centre de gravité diplomatique s’est déplacé de Washington à Moscou. Ce qui veut dire qu’après 22 mois de conflit, ce sont les thèses russes sur la Syrie qui s’imposent, et non celles du Golfe et d’Hillary Clinton, et que donc la pression diplomatique ne doit pas s’exercer que sur le seul gouvernement syrien, mais aussi sur son opposition politique et militaire.

    En témoigne encore la déclaration de Brahimi niant l’existence de tout plan américain : « Placer le départ d’un président élu en pierre angulaire de tout dialogue est une violation de tous les accords obtenus à Genève » a bien pris soin de dire l’émissaire international. Brahimi donc s’aligne totalement sur la position de Moscou, qui a obtenu à Genève, le 30 juin dernier, que le départ de Bachar ne soit plus la condition sine qua non à l’ouverture d’un dialogue politique en Syrie. « Accessoirement », l’envoyé des Nations-Unies en Syie reconnait la légitimité politique de Bachar al-Assad, On peut dire qu’à travers lui, l’ONU a fait du chemin !

    Il est non moins évident que l’administration russe aimerait arriver à un apaisement aussi rapide et significatif que possible en Syrie. S’il y a malgré tout rapprochement entre Moscou et Washington – où John Kerry a remplacé la détestable Hillary C. – c’est sur la nécessité de marginaliser au maximum les bandes djihadistes. Et sur ce point, la pression diplomatique doit, à l’évidence d’abord, s’exercer sur Cheikh al-Khatib et sa coalition d’exilés Frères musulmans et pro-occidentaux, qui jusqu’à présent refusent de désavouer le Front al-Nosra et autres héritiers de Ben Laden en Syrie.

    La contradiction – majeure – est donc dans le camp d’en face, et l’on peut penser que Moscou cherche à obtenir des Américains un geste fort anti-terroriste, ou au moins une déclaration ferme. Nous ne sommes pas dans le secret des demi-dieux diplomatiques, mais si jamais une solution politique, un dialogue ont la moindre chance de voir le jour en Syrie, cela passe par la mise au ban, en attendant leur destruction, des factions combattantes salafistes. Et on a de bonnes raisons de penser que tout le monde, « de l’Atlantique à l’Oural », est d’accord sur ce point là.

    Pour le reste, les Russes peuvent bien faire pression médiatiquement sur le gouvernement syrien pour qu’il lâche on ne sait quel lest, ils ne peuvent obtenir de lui qu’il baisse la garde face à ceux qui répètent tous les jours qu’ils veulent le détruire. Et les Russes ne peuvent se permettre que ce gouvernement soit renversé. Alors beaucoup de bruits et de mouvements pour rien à Moscou ? Pas tout à fait, dans la mesure où les Russes veulent conserver la direction des opérations diplomatiques sur ce dossier – c’est déjà une victoire pour Poutine/Lavrov d’en avoir dépossédé les Occidentaux – et où leur but est certainement la marginalisation des opposants extrémistes, militaires ou politiques.

    Moscou joue serré, mais joue plutôt bien depuis des mois. Pendant ce temps, la Syrie combat, et réduit chaque jour les capacités de nuisance des anarcho-islamistes. Sa résistance a décrédibilisé dans une large mesure l’opposition radicale, dans le même temps où elle démontrait que l’insurrection était incapable de gagner sur le terrain. Et nous pensons que Poutine et Lavrov ont bien intégré ces données fondamentales.

    E&R

  • Le silence sur la Syrie

     

    Par Jean Salvan, général de corps d’armée (2S)

    Depuis quelques jours, notre gouvernement n’ose plus pérorer au sujet de la Syrie. Peut-être a-t-il enfin compris ce qui se tramait là-bas. Car l’activisme des Etats-Unis et du Qatar au Proche-Orient finissent par ouvrir les yeux. Oui, il y a bien un complot, comme il y a en a eu en Irak pour contrôler un pays riche en pétrole, et simultanément faire plaisir à l’Arabie Saoudite et aux Sunnites, en cassant deux Etats relativement laïques et où les Chiites étaient nombreux ou majoritaires.

    La Russie détient en Europe des positions majoritaires dans le marché du gaz. On va donc s’attaquer aux exportations russes en ouvrant un gazoduc entre le Qatar, pays producteur, et des terminaux à Adana (Turquie), Tripoli (Liban), Haïfa (Israël), Lattaquié (Syrie). Ce gazoduc éviterait donc des pays « mal sentant de la foi », comme l’Iran et l’Irak. Mais surtout, son centre de répartition se trouverait à Homs en Syrie, d’où partiraient les embranchements vers les ports où chargeraient les méthaniers. Bien entendu, Bachar el-Assad n’était pas d’accord et il fallait l’éliminer. Le bloc sunnite a donc fourni aux opposants instructeurs, conseillers, armes et argent, via la Turquie.

    Les dictatures théocratiques qatari et saoudienne ont trouvé sur place et en Europe les idiots utiles pour laisser croire qu’en Syrie on se battait pour la démocratie et non pour le gaz.

    Comme je le répète depuis plus de vingt ans, il y a de nombreuses ressemblances entre les Soviétiques et les islamistes. En particulier, les Occidentaux et surtout les Européens sont toujours prêts à leur vendre la corde pour être pendu…

    Source

  • Florian Philippot sur I>TELE - 28.12.12