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  • Vidéo de Noël de l’Aube dorée censurée par Youtube

     

     

    Grèce. Athènes. Le parti ultranationaliste l’Aube dorée a mis en ligne une vidéo nostalgique qui montre la ville d’Athènes autrefois et a souhaité un Joyeux Noël à tous les Grecs. La vidéo a été ensuite censurée par Youtube.

    Le parti a distribué en vue de la Noël de la nourriture et des habits aux Grecs dans le besoin. Cette distribution a été perturbée par des gauchistes. Des députés de l’Aube dorée utilisent une partie de l’argent de leur salaire afin de venir en aide à leurs compatriotes.

    source: Lionel Baland

    Lien vidéo: http://www.greektube.org/content/view/193958/2/

     

     
  • Afrique du Sud: pour Jacob Zuma, posséder un chien n'est pas dans la culture africaine

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    Acheter un chien, lui faire faire sa promenade et payer des soins vétérinaires, tout cela appartient à la culture blanche. C'est ce qu'a assuré Jacob Zuma lors d'un discours tenu dans sa province d'origine, le Kwazulu Natal. Selon la presse sud-africaine, il a aussi ajouté que la possession d'un animal de compagnie faisait partie d'une tendance inquiétante des noirs à vouloir imiter les blancs. Des remarques qui ont suscité une vague de protestation, notamment sur les réseaux sociaux.

    Pour désamorcer la polémique, la présidence a très vite envoyé un communiqué, affirmant que Jacob Zuma avait tenté de décoloniser la mentalité africaine. Pour le porte-parole du gouvernement, Mac Maharaj, il s'agissait de rappeler qu'il ne faut pas mettre l'amour pour les animaux au dessus de celui porté aux autres êtres humains. Selon lui, certains Sud-Africains n'hésitent pas à laisser leur chien s'asseoir à l'avant de leur véhicule et à demander à leurs employés de voyager à l'arrière de leur pick-up, sans être protégés même quand il pleut ou qu'il fait froid.

    Source : Rfi.fr

    Pressafrik - 28/12/12

  • Rama Yade parle de son bébé comme d'un mini-Obama

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    Par Ivan Valerio

    | 27/12/12 - 13:20

    D'un côté, le magazine Gala daté du 26 décembre. De l'autre, Paris-Match de la même semaine. Rama Yade bénéficie d'une double page dans chacune des deux publications.

     

    Mais le ton est différent d'un magazine à l'autre. Dans les deux cas, les journalistes lui parlent de son "nouveau bonheur à venir", à savoir sa grossesse.

     

    Dans Gala, elle souhaite qu'on "la laisse tranquille" :

    - Je ne ferai pas d'annonce !

    - Mais cela va finir par se voir !

    - On en reparlera à ce moment-là … On vit dans une période de dictature de la transparence, une période impudique.

    Mais dans Paris-Match, elle en dit beaucoup plus sur sa vie privée. Jusqu'à comparer son futur enfant avec le président des Etats-Unis :

    Quand elle réfléchit au couple qu’elle forme avec Joseph – elle, de droite, noire, musulmane, fille d’une professeure de lettres et de l’ancien secrétaire particulier de Léopold Sédar Senghor ; lui, de gauche, blanc, de confession juive, fils du chanteur et conteur yiddish Ben Zimet –, elle est fière et... impressionnée.'Ce bébé, il porte le monde en lui. Un mini-Obama.'

    L'ex-étoile montante du sarkozysme évoque sa première échographie, l'accouchement à venir, son désir de grossesse, sa relation avec son compagnon. Rama Yade se livre.

     

    Mais elle ne se voit pas abandonner la politique pour autant. Elle s'imagine déjà jouer un rôle central en 2017, pour la prochaine élection présidentielle :

    Je n'aurai alors que 41 ans.

    Sur l'état de la droite actuellement, elle déplore le succès de la ligne Buisson. "La génération Sarkozy avait commencé avec moi, elle a fini avec Patrick Buisson, quelle dégringolade !", lâche-t-elle. Attaquant directement le meneur de la Droite forte, Guillaume Peltier :

     "Mais comment lui (Nicolas Sarkozy, ndlr), l'enfant de sang-mêlé, a-t-il pu terminer son mandat avec, à son bras gauche, Patrick Buisson, et à son bras droit, Guillaume Peltier ? Ces gens-là ne pensent rien sur rien. Ce sont des marchands de tapis. Il vaut tellement mieux qu'eux ! "

    Le Lab

  • La réquisition, remède limité au mal-logement

    Par Marie Bartnik Mis à jour le 28/12/2012 à 15:57 | publié le 28/12/2012 à 15:13


    Crédits photo : Jean-Christophe MARMARA/Le Figaro
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    FOCUS - Selon la ministre du Logement, Cécile Duflot, les réquisitions prévues n'aboutiront finalement pas avant la fin de l'hiver. Le nombre d'hébergements potentiellement créés est faible.

    Pour lutter contre le fléau du mal-logement, le gouvernement est prêt à sortir l'artillerie lourde. La ministre du Logement, Cécile Duflot, avait annoncé début décembre qu'elle procèderait à des réquisitions «dans les jours qui viennent». A Paris, 44 bâtiments vacants ont été identifiés, et des lettres recommandées envoyées le 5 décembre aux propriétaires visés. Mais jeudi, au micro d'Europe 1, la ministre concèdait que la procédure, «longue et complexe», n'aboutirait finalement pas avant la fin de l'hiver. «Aucun responsable politique n'ouvre un bâtiment au pied-de-biche. Cela s'appelle un Etat de droit», a expliqué Cécile Duflot, en réponse aux revendications de l'association Droit au Logement (DAL). Lefigaro.fr fait le point sur cette procédure lourde, à ce jour peu utilisée.

    En vertu de quoi l'État peut-il réquisitionner un logement?

    L'arsenal juridique français prévoit deux procédures de réquisition. La première, issue d'une ordonnance de 1945, a été utilisée à de multiples reprises au lendemain de la guerre pour faire face à la pénurie de logements, puis pour loger des rapatriés d'Algérie. Elle a été utilisée pour la dernière fois en 1995, à l'initiative du gouvernement Juppé. Elle permet de loger des personnes identifiées par le maire. Les logements réquisitionnés peuvent aussi bien appartenir à une personne morale (une banque par exemple) qu'à un particulier, et doivent être vacants depuis au moins six mois.

    Mais «le gouvernement Jospin a voulu accroître l'efficacité des réquisitions, et fait voter une nouvelle loi sur le sujet en 1998», explique Gilles le Chatelier, avocat associé du cabinet Adamas. Principales modifications: les propriétaires particuliers ne sont plus concernés, et les logements ne sont plus attribués à un individu identifié mais à un gestionnaire - collectivité locale, organisme HLM... -. «L'ordonnance de 1945 était faite pour remédier à une situation d'urgence. La loi de 1998 rend la procédure plus pérenne et plus efficace», estime l'avocat.

    C'est à cette dernière loi que Cécile Duflot se réfère. Au grand dam de l'association Droit au Logement (DAL) qui juge la procédure issue de l'ordonnance de 1945 plus rapide et moins contraignante.

    Quelles sont les conditions requises?

    Le bâtiment visé doit avoir été inoccupé depuis 18 mois, et même 12 mois quand la loi Duflot aura été promulguée. Avant de procéder à la réquisition, le préfet - décisionnaire - doit s'assurer par un inventaire que l'appartement est bel est bien inoccupé. «Les agents chargés de l'inventaire ont accès à la consommation d'eau, de gaz, d'électricité du bâtiment, et peuvent exiger des renseignements auprès des services fiscaux», explique Yves Claisse, avocat en droit public chez Claisse & associés. C'est à ce type d'inventaire qu'ont procédé récemment les préfectures de Paris, Rhône-Alpes et Provence-Alpes-Côtes d'Azur. La décision de réquisition doit ensuite être notifiée au propriétaire, qui a deux mois pour y répondre. «S‘il est malin, il peut allonger ce délai en faisant valoir son intention de mettre fin à la vacance, ou en présentant un devis de travaux», précise l'avocat. Avec la loi Duflot, les travaux annoncés par le propriétaire peuvent être réalisés dans un délai de deux ans.

    • Un loyer fixé par décret

    Un décret paru ce vendredi au Journal officiel fixe le montant des loyers des logements réquisitionnés. Leur niveau est bien en-dessous des prix du marché: à Paris et dans ses communes limitrophes, le loyer est fixé à 5,96 euros le m2, soit 298 euros pour un appartement de 50 m2. Le loyer est fixé à 5,10 euros le m2 dans le reste de l'agglomération parisienne, et 4,25 euros ailleurs. Le propriétaire a droit à une indemnisation: mais au montant du loyer perçu, peuvent être déduits les sommes déboursées pour remettre le logement en l'état, ou encore des frais de gestion.

    La réquisition est-elle une procédure d'urgence?

    Cécile Duflot l'a reconnu au micro d'Europe 1: la réquisition est «une procédure longue». Outre le délai incompressible de deux mois après la notification au propriétaire, le gestionnaire doit souvent, une fois les bâtiments réquisitionnés, réaliser des travaux pour les rendre propres à l'habitation. S'il s'agit de créer des hébergements collectifs, il faudra par exemple installer des équipements sanitaires en conséquence, s'il s'agit de bureaux, les transformer... Puis sélectionner les futurs habitants. Autant d'étapes qui prennent du temps. «Les bâtiments réquisitionnés actuellement ne seront pas habitables cet hiver», estime Yves Claisse.

    Cette mesure est-elle efficace contre le mal-logement?

    Les associations qui luttent contre le mal-logement réclament pour la plupart une réquisition des logements vacants. C'est le cas des collectifs Droit au Logement (DAL) et Jeudi Noir, ou encore de la fondation Abbé Pierre. Ces associations mettent en évidence que des logements manquent alors que d'autres sont inoccupés. «Il faut faire feu de tout bois», justifie Patrick Doutreligne, directeur général de la Fondation Abbé Pierre. Pour l'association, qui prône avant tout des mesures plus structurelles, il s'agit d'un «outil qui peut contribuer, dans un temps limité, à lutter contre le mal-logement en offrant un nombre de logements limité. Quelques dizaines ou quelques centaines tout au plus. Mais ce n'est pas une politique du logement». Un avis partagé par Julien Damon, professeur à Sciences Po et auteur de «La Question SDF» aux Presses Universitaires de France. «C'est une mesure essentiellement symbolique», estime-t-il. De surcroît «rarement efficace», car les logements vacants ne sont pas forcément situés dans les zones où le logement manque, et la procédure coûte cher. «L'Etat doit avant tout mettre à disposition son patrimoine», juge Julien Damon.

    Le Figaro

  • Mariage gay: l'enseignement catholique s'empare du débat

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    INTERVIEW - Éric Delabarre, secrétaire général de l'enseignement catholique, a adressé une lettre à ses 8500 chefs d'établissements privés, expliquant son opposition au projet de loi sur le mariage gay.

    Éric Delabarre, le secrétaire général de l'Enseignement catholique invite les chefs d'établissement à s'emparer du débat «en conscience et avec clairvoyance» à travers «les initiatives» leur paraissant «localement les plus adaptés pour permettre à chacun l'exercice d'une liberté éclairée à l'égard des choix aujourd'hui envisagés par les pouvoirs publics.»

    Certains y voient un appel déguisé à participer à la manifestation contre le mariage gay, programmée le 13 janvier prochain à l'initiative de Frigide Barjot. Voire une prise en otage des 2 millions d'élèves de l'enseignement catholique et de leurs familles, ainsi que de quelque 210.000 personnels, enseignants et autres. Immanquablement, ce sujet qui touche aux établissements sous contrats, dont les rapports avec l'État sont définis dans la loi Debré de 1959, fait polémique

    LE FIGARO.- Pourquoi avoir a choisi de prendre position a sur le mariage homosexuel à travers ce courrier aux chefs d'établissements privés catholiques?

    Éric DELABARRE -Je suis étonné que cette lettre, adressée il y a 15 jours aux chefs d'établissement, et dont je n'avais reçu aucun écho, fasse autant de bruit aujourd'hui.

    Nous n'avons pas eu de demande ou de pression de qui que ce soit pour prendre position. Mais, dans la perspective de la présentation du projet de loi devant le Parlement fin janvier, il était nécessaire de dire, en tant qu'éducateur, notre point de vue, comme bien d'autres l'ont fait.

    On nous annonce quand même une «réforme de société et de civilisation», selon les mots du gouvernement. Il est donc nécessaire que l'ensemble des Français comprenne ce qui est en jeu.

    Par ailleurs, en interne, les chefs d'établissement nous ont fait part des difficultés auxquelles ils étaient confrontés face à des initiatives de parents, professeurs, associations ou élèves sur le sujet.

    Le débat doit avoir lieu. Il ne peut se réduire à des slogans et invectives telles que «le mariage pour tous est une fuite en avant» ou encore «l'opposition à ce mariage est un combat d'arrière garde».

    S'agit-il, comme certains le dénoncent, d'un appel déguisé à participer à la manifestation du 13 janvier prochain?

    Ces personnes nous prêtent des intentions qui se reflètent absolument pas les textes que nous avons diffusés.

    Je n'organise rien. Nous n'avons pas programmé de réunions d'information pour préparer telle ou telle initiative. Nous avons indiqué que les uns et les autres pouvaient prendre les initiatives appropriées, et ce, dans le respect absolu des personnes et des consciences.

    Que répondez-vous à ceux qui vous accuse de ne pas respecter de la liberté de conscience, inscrite dans la loi Debré?

    Je leur réponds qu'organiser le débat, ce n'est pas violer la liberté de conscience. Au nom de quoi pourrait-on nous interdire d'exprimer une opinion divergente ou dissidente? Le propre des écoles catholiques, c'est leur autonomie relative. C'est d'ailleurs ce qui fait leur force.

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  • Étudiante tuée : le chauffard mis en examen et incarcéré

     

    Par lefigaro.fr Mis à jour le 25/12/2012 à 11:33                    

    Le propriétaire de la voiture qui a percuté mortellement une jeune étudiante à Montpellier samedi a été mis en examen lundi. Il continue toutefois d'affirmer qu'il n'était pas au volant de son véhicule.

    L'homme soupçonné d'être le chauffard qui a percuté mortellement une jeune fille de 18 ans, samedi à Montpellier, a été mis en examen lundi. Une information judiciaire a été ouverte pour «homicide involontaire avec plusieurs circonstances aggravantes» (alcoolémie, vitesse excessive, délit de fuite et conduite sans permis), a précisé le procureur de la République de Montpellier, Brice Robin. L'homme, qui n'avait plus de point sur son permis depuis octobre 2010, a été écroué en fin d'après-midi, comme l'avait requis le parquet.

    Samedi matin, aux alentours de 5h45, une étudiante en pharmacie qui sortait de discothèque et qui regagnait la cité universitaire où elle logeait a été fauchée par une voiture roulant à au moins 100 km/h, en faisant du «rodéo» sur l'avenue, selon des témoins. La jeune femme a été violemment projetée à 7 mètres du lieu de l'impact. Admise dans le coma au CHU, elle est décédée une heure après son arrivée.

    Un alibi non confirmé par ses amis

    L'automobiliste avait pris la fuite, mais, grâce au système de vidéosurveillance, le véhicule avait été localisé 2 km plus loin, stationné au pied de l'immeuble où réside le suspect. Le pare-brise était «explosé» et l'avant sérieusement endommagé, selon une source policière.

    Interpellé dans la foulée, le propriétaire de la voiture, qui présentait un taux d'alcoolémie de 1 g/l, a répété qu'il n'était pas au volant de son véhicule, qu'il l'avait prêté à un tiers pour aller acheter des croissants dans une boulangerie et qu'il a refusé de dénoncer. Lors de sa garde à vue, ce chômeur de 33 ans a expliqué avoir passé la nuit à jouer au poker avec des amis et qu'ils jouaient encore à 5h45, samedi, quand l'étudiante a été fauchée. Toutefois, ses amis n'ont pas confirmé l'alibi de la partie de poker.

    Un détail laissait pourtant les policiers perplexes lundi: lors de son interpellation, neuf heures après le violent choc, le propriétaire du véhicule ne présentait aucune blessure, même minime - telle une coupure consécutive au bris du pare-brise -, et pas un morceau de verre n'a été récupéré dans ses vêtements, ni dans ses cheveux. Quant aux images des caméras de la vidéosurveillance, elles sont trop floues pour identifier formellement son conducteur.