Au cours d'un dialogue avec des internautes organisé par Google+, la télévision NBC News et le département d'État, John Kerry a dénoncé les "choix terribles qu'a faits le régime [du président syrien Bachar al-Assad] par sa volonté de tuer entre 70 000 et 100 000 personnes de son propre peuple, d'avoir recours à des gaz pour lesquels nous pensons avoir la preuve solide de leur utilisation".
Un pas supplémentaire
Ces propos du chef de la diplomatie américaine, tout juste rentré d'une tournée à Moscou et à Rome centrée sur la Syrie, marquent un pas supplémentaire dans les déclarations de l'exécutif américain sur le dossier des armes chimiques dans ce pays en guerre.
La Maison Blanche avait en effet jugé lundi "hautement probable que quelque utilisation d'armes chimiques que ce soit en Syrie (soit) le fait du régime" syrien et non des rebelles. Le président Barack Obama avait promis fin avril une réévaluation des "options" américaines sur la Syrie s'il est prouvé que Damas a utilisé des armes chimiques, mais a mis en garde dans l'intervalle contre des décisions prises sans avoir "tous les éléments" en main.
La Turquie est formelle
Pour le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, cela ne fait aucun doute : la Syrie a utilisé des armes chimiques et a "franchi depuis longtemps" la ligne rouge fixée par les États-Unis, a-t-il estimé vendredi sur NBC News. Son ministre des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, a déclaré le même jour, lors d'une visite à Amman (Jordanie), que des examens menés en Turquie sur des victimes de la guerre en Syrie indiquent que des armes chimiques ont été utilisées. D'autres tests seraient en cours pour le confirmer.
La question des armes chimiques ne cesse de faire l'objet de déclarations depuis plusieurs semaines. Le régime syrien et les rebelles s'accusent mutuellement d'en avoir fait usage. Le 5 mai, la magistrate Carla del Ponte, membre de la commission d'enquête de l'ONU sur les violations des droits de l'Homme en Syrie, a pointé du doigt les insurgés. Elle a aussitôt été désavouée par l'ONU, qui a indiqué ne pas détenir de preuve formelle.
France 24 - 10/05/13
Commentaires
Ce Kerry n’est qu’un jobard qui ne raconte que des bobards !
Les preuves , nul ne s'en inquiète .Il faut seulement un prétexte pour renforcer la concentration du Capital par la guerre .
Celà ne m'étonne pas de John Kohn ;o)
Comme tout ceci est limpide ! Laurent Louis a bien expliqué l'enjeu géopolitique. Il y a bien du monde décidé à dépecer la Syrie en utilisant les pires des mensonges (le coup des "armes de destruction massive de Busch !) :
- Israël en premier, qui cherche à étendre ses frontières jusqu'à l'Euphrate et s'approcher de l'Iran pour mieux le détruire
- la Turquie, qui cherche à retrouver le leadership qu'elle a longtemps eu dans cette contrée du Moyen-Orient,
- les USA, et accessoirement les nabots de l'UE, comme caniches du sionisme et bras armé de Jérusalem.
- les monarchies arabes sunnites financières de tous les fanatismes islamistes...
Kerry (dont les origines ne surprendront que les gogos) a déjà décidé la guerre à venir. On le sait depuis le début ! Ca se précise de jour en jour, et il faut préparer l'opinion mondiale.
NB : Les USA sont le seul pays au monde, qui depuis sa création n'a pas connu un seul jour de son existence sans guerre. Le prix Nobel Obama est représentatif de l'hypocrisie de la soi-disante "Communauté Internationale", véritable Empire du Mal.
On connait les "preuves" comme celles des photos de sites irakiens, le pire est maintenant a craindre pour la malheureuse Syrie et B. El Assad ...
ILS veulent la guerre, c'est-à-dire la destruction de la Syrie et aussi le jugement de Bachar. Le Grand Israël presse... Les temps sont arrivés...
Les fionistes ont donné le top en attaque éclair. La Syrie a saisi le piège et n'a pas répondu.
Il fallait alors qu'un tiers agisse pour ne pas que fion, pressé par le temps d'attaquer l'Iran ensuite , soit obligé (par une attaque délibérée, en traître, supplémentaire) de dévoiler à nouveau jeu, c'est à dire son entière et exclusive motivation de remanier le moyen orient pour son grand Fion.
Et ce tiers c'est l'Amérique : le plus puissant pays leur obéit . C'est clair.
Ce petit pays est immonde, et représente une menace pour la paix du Monde et la liberté de pays souverains.
Espérons que cela ne durera pas .... d'une manière ou d'une autre!
Ils vont attaquer. C'est une certitude.
Et derrière ce sera l'Iran.
C'est écrit.
Si la presse de tous les pays ne le prédit et ne le dénonce pas, c'est qu'elle est certainement tenue par ceux là mêmes.
Le complot prend belle consistance.
Kerry ne va pas nous refaire le coup de la fiole présentée par Colin Powell en 2003.
Plus c'est gros , plus cela passe ?
@ Dirk : OUI mille fois a ton analyse bien exhaustive. Mais c est ton NB concernant les USA qui glace le sang. Il faudrait l inscrire en entier et en lettres de feu sur le chiffon vert (dollar) a coté de "In God we trust" ! et partout dans les écoles dont la majorité des habitants sont encore persuadés du juste role messianique de leur grand pays, land of brave and freedom ! Atroce ... mais ils pourrissent de l intérieur, dans les familles et leur mode de vie, je les connais assez bien (moins que Nelly bien sur), ils sont maudits, (par les ames errantes de 10 millions d Indiens massacrés, hors de leurs rites funéraires tres complexes, ceux des Navahos en particulier ? n y a t il que les paiens pour y penser ?)
Il faut tout de meme compter 10 p. cent d exception qui se font parfois entendre.
@ Décée: "In Gold we trust" !!!
Kerry le propagateur aussi du mythe du réchauffement climatique et le cousin de Brice Lalonde. Cette engeance est dans tous les gouvernements.
"John Kerry a dénoncé les "choix terribles qu'a faits le régime [du président syrien Bachar al-Assad] par sa volonté de tuer entre 70 000 et 100 000 personnes de son propre peuple "
Ceux qui sont responsables des ces dizaines de milliers de morts sont ceux qui ont organisé cette "rebellion " qui s'analyse de plus en plus comme une alliance islamo-sioniste.
Les "djiadistes" aux côtés des israéliens ....l'islam au service des mêmes.
Kerry n,est nullement un jobard , mais obéis à la voix de ses maitres !!!
salutations.
Durant son enfance, John Kerry et ses parents passent souvent les vacances d'été dans la maison familiale de Saint-Briac-sur-Mer, « Les Essarts », où il fréquente longuement son cousin germain Brice Lalonde, homme politique français, fils de la sœur de Rosemary Forbes.
http://fr.wikipedia.org/wiki/John_Kerry