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Eviter « l’overdose », c’est (encore) possible . Par Bruno Gollnisch

 

FN l espoir

Les socialistes n’en ratent pas une : nouvel exemple du profond décalage entre les fantasmes de la caste au pouvoir et le peuple français, le PS a dénoncé en des termes très violents la Une du magazine libéral-conservateur Valeurs actuelles. Son directeur général, Yves de Kerdrel, affirmait il y a peu avoir été mis sur écoutes après avoir critiqué Manuel Valls, mais cette fois-ci l’attaque est venue du porte-parole du PS David Assouline. Sous le titre Roms l’overdose, l’hebdomadaire a consacré un dossier à la délinquance générée par cette immigration-là en provenance principalement de Roumanie, de Bulgarie et de Hongrie. Un sondage de l’institut Harris publié par ce dernier numéro de Valeurs actuelles, indique ainsi que plus de « 7 Français sur 10 se disent préoccupés par la présence de Roms en France » et notamment que « plus on est de droite (90 % à l’UMP, 95 % au FN), plus cette inquiétude, voire ce rejet, augmente », même si cette préoccupation est aussi très élevée au sein de l’électorat de gauche.

Décidément très en verve à l’approche de l’université d’été socialiste qui débute vendredi à La Rochelle, et chargé peut être de contrebalancer la posture droitière et sécuritaire d’un Manuel Valls qui passe mal dans les rangs du PS, David Assouline a de nouveau déballé sur twitter, comme son ami journaliste Claude Askolovitch, mais aussi dans un communiqué officiel, les formules grandiloquentes habituelles.

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Il a accusé ce magazine de véhiculer des « valeurs nauséabondes », stigmatisé une Une « indigne, anti-républicaine qui incite à la violence xénophobe contre une catégorie de la population», «la banalisation de ce type de campagnes et d’idées contre lesquelles le PS a décidé de lancer l’offensive. Halte à l’overdose xénophobe ! ».

Dans un entretien au quotidien gratuit 20 Minutes, Geoffroy Lejeune, rédacteur en chef adjoint du service politique de Valeurs actuelles, a eu beau jeu de rétorquer  que ce titre s’explique par les résultats du sondage Louis Harris cité plus haut qui indique «qu’une immense majorité des Français, même les électeurs de gauche, est excédée par les occupations illégales de terrains par les Roms et par la criminalité ».

Loin de stigmatiser les Roms se défend-il, ce dossier « (s’attaque) au gouvernement qui ne fait rien pour enrayer la criminalité ». « Nos sujets sont le reflet de ce que beaucoup pensent tout bas, mais n’osent pas écrire ».

Le Monde faisant état de cette polémique a cité le site du journal Metro qui pointe selon l’auteur de l’article ce qui serait un « raccourci » fâcheux du magazine ».

En effet est-il argumenté, « si 86 % des sondés se disent défavorables à l’installation de Roms à proximité de votre domicile dans un espace non prévu pour accueillir un campement de Roms, cette proportion tombe à 45 % quand il s’agit d’un emplacement prévu par la loi, soit une minorité. Peut-on, dans ce cas, vraiment parler d’’overdose ?, s’ interroge la journaliste. »

Eh bien oui on peut ! Car nous pouvons surtout conclure de cette réponse qu’elle est de la même veine que celle concernant plus globalement l’opinion de nos compatriotes au sujet des banlieues dans lesquelles les « de souche » sont ultra-minoritaires.

Les Français conçoivent que l’on puisse y vivre ou résider à proximité, mais quand ils en ont l’occasion et/ou les moyens, ils préfèrent déménager. Bref les joies du vivre-ensemble dans la société plurielle c’est chouette dans les séries télévisées, mais c’est bon pour les autres ! Et ce ne sont pas les apparatchiks socialistes qui nous diront le contraire eu égard aux quartiers très peu « métissés » dans lesquels ils habitent eux et leur famille…

Relevons que Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la République, député-maire de l’Essonne, a eu les mots justes quand il a accusé les socialistes d’être « coupés de la réalité que vivent de nombreux Français en zones rurales et périurbaines ». « Elu d’une ville de banlieue, je mesure chaque jour à quel point l’installation d’un campement de Roms entraîne des nuisances et des tensions auprès des citoyens ». « Par leur politique comme par leurs attaques », les socialistes « n’apportent que de la division et de la rancœur entre nos compatriotes ».

Si comme le notait Jean-Marie Le Pen « l’arbre rom ne doit pas cacher la forêt de l’immigration extra européenne », laquelle se poursuit à haut débit, le président d’honneur du FN avait lui aussi créé la polémique début juillet. Il avait ainsi rappelé qu’au nom de l’accord de libre- circulation prenant effet à partir du 1er janvier 2014, « les 12 millions de Roms qui sont situés en Roumanie, en Bulgarie et en Hongrie auront la possibilité de s’établir dans tous les pays d’Europe»,

Nous l’évoquions il y a peu, Intervenant dans l’hémicycle du Parlement européen, Bruno Gollnisch avait pointé les ravages occasionnés par le démantèlement des « frontières intérieures », « un formidable appel d’air pour l’immigration illégale », mais aussi et surtout la responsabilité de l’UMP aux affaires dans cette situation.

Dirigeants de « droite » qui « auraient dû savoir que les traités dont ils ont été partisans comme l’ensemble de la classe politique, traité de Maastricht, traité d’Amsterdam, traité de Nice, traité de Lisbonne (…) allaient ouvrir effectivement nos frontières à tous ceux qui souhaitaient s’y installer. » Un traité de Lisbonne que Nicolas Sarkozy, avec la complicité hypocrite de la gauche, s’était empressé de négocier et de faire avaliser dès janvier 2008 par le Parlement français.

« Et puis ajoutait-il, on parle de minorité opprimée, mais est-ce que vous pensez sérieusement, que si les Roms ne se sont pas intégrés depuis six siècles dans les pays d’Europe centrale ou orientale, où ils résident, c’est simplement parce que les Roumains, les Bulgares, les Hongrois, sont méchants, c’est parce les Slovaques, les Tchèques, les Slovènes, les Serbes les persécutent ?Votre angélisme en réalité est une autre forme de racisme, un racisme qui s’applique en fait aux populations indigènes, celles qui, comme dans mon pays, ne souhaitent pas que 12 millions de Roms viennent s’y installer et la seule solution, c’est de sortir de cette Europe-là ! »

Les élections européennes de 2014 offriront aux Français une nouvelle possibilité d’envoyer un signal fort de résistance aux folles politiques des partis du Système et de clamer haut et fort leur volonté d’échapper aux « overdoses » qui finissent en général par la mort des organismes concernés, individus, peuples ou nations.

Commentaires

  • à quand leur installation sur la planéte boboland ??
    salutations.

  • Pour l'instant les bobos, les socialopes et les pastèques n'ont pas encore morflé, attendons 2014 qu'ils se frotttent un peu plus à leur très chère diversité !

  • Ne nous faisons aucune illusion, tout ce désordre fait partie d'un plan récurent de plus en plus violent, on en trouve une description précise dans " La trahison des initiés " d'Alain Pascal (3ème édition, les deux premières sont parties comme des petits pains)

    pour infos :

    Surtout ne pas stigmatiser une certaine population , c'est antirépublicain et raciste comme dirait l'équipe qui nous gouverne !



    Les agriculteurs exaspérés et démunis face aux vols sur leurs exploitations

    LE MONDE | 21.08.2013 à 12h13 • Mis à jour le 21.08.2013 à 16h15 | Par Pascale Krémer


    > "Si cela se trouve, le temps de notre conversation, on m'a démonté un appareil..." Comme ce producteur de maïs de Gironde, les agriculteurs sont plutôt tendus, cet été, persuadés que les vols sur leurs exploitations n'ont jamais été aussi fréquents ni aussi importants. Onze tonnes de pêches ont disparu de deux fermes des Pyrénées-Orientales, six tonnes de blé dans le Vaucluse, six autres dans la Nièvre, durant la seule première quinzaine d'août.

    Ni la justice ni la gendarmerie ne disposent de statistiques nationales sur ces larcins agricoles. Mais dans les représentations locales de la FNSEA, le principal syndicat agricole, un même constat revient : depuis quatre ou cinq ans, ces vols prennent de l'ampleur, surtout en périphérie des grandes agglomérations. Les gendarmeries sont mobilisées, les procureurs interpellés, les préfets tiennent réunion... Sans grand effet, semble-t-il. Il y a toujours eu du maraudage dans les campagnes "mais là, c'est puissance dix, témoigne Joël Hospital, président régional (Champagne-Ardenne) de la FNSEA. En juin, nous avons demandé un renforcement des rondes, mais la gendarmerie manque d'effectifs".

    Ses 105 hectares de cultures variées ont été visités quatre fois en deux mois. Il y a quelques jours, les 350 litres du réservoir de son tracteur ont été siphonnés. "On ne peut plus laisser d'engin en plein champ le soir sinon, au matin, il n'y a plus de gasoil." Qui se vole aussi dans les citernes alimentant les pompes d'irrigation. L'agriculteur a bien tenté de placer des blocs de béton de 300 kg sur sa citerne. "Mais les voleurs viennent avec des barres à mine, et se mettent à quatre ou cinq pour pousser." Parfois, plutôt que de siphonner, c'est un coup de pioche dans le réservoir du camion. 450 euros de réparation pour 150 euros de gasoil...

    Fer et cuivre sont prisés, eux aussi. Des champs disparaissent les câbles électriques en cuivre des travées d'irrigation, les piquets en fer des clôtures ou des vignes, les asperseurs, des morceaux de serre, tout le petit outillage qui a le malheur de traîner. Sans compter les tracteurs, ou leurs batteries, les plants de vignes, les animaux d'élevage, parfois dépecés sur place pour leur viande, les fruits et légumes dont des champs entiers sont pillés le temps d'une nuit. Les camions, les caisses, la main-d'oeuvre pour cueillir, tout est prévu.

    TOUT CELA COÛTE

    "Une gangrène", résume Hervé Peloffi, éleveur en Ariège et président de la FNSEA Midi-Pyrénées, qui explique combien ces vols incessants usent ses confrères. "On vient saccager un travail déjà pénible et peu rémunérateur. Les gens deviennent fous !" A mener une vie sur le qui-vive, "où chaque matin on se demande ce que l'on va trouver", raconte Serge Vialette, céréalier dans l'Aude. Où la charge de travail augmente sans cesse – enterrer les câblages, ramener le tracteur à la ferme ou le cacher loin des routes, faire chaque soir le tour des parcelles isolées, des systèmes d'irrigation... Où l'on se claquemure, creuse des fossés, s'entoure de chiens, s'équipe de portails électriques, de systèmes anti-pompage à codes pour les cuves, de caméras de vidéosurveillance analogiques à infrarouge, vraies ou fausses, de systèmes anti-démarrage et de géolocalisation des tracteurs.

    Mais on ne peut clôturer et filmer tous les champs, savent-ils. Et tout cela coûte. Joël Hospital calcule : "A 80 centimes le litre de gasoil, ce sont rapidement 5 000 à 10 000 euros de perte." Les assurances ne couvrent pas tout (notamment pas les vols en plein champ). On ne les prévient pas forcément, non plus, pour des questions de franchises, ou par crainte qu'elles ne finissent un jour pas refuser d'assurer. De même qu'on ne porte pas toujours plainte. A quoi bon ? Ces délits sont jugés mineurs par la justice. "En un mot, c'est "Débrouillez vous !", pense Yves Aris, producteurs de fruits dans les Pyrénées-Orientales. Je vous défie de trouver une seule condamnation pour vol de produits agricoles ! Les procureurs classent sans suite ou demandent des peines avec sursis. La gendarmerie ne peut pas patrouiller partout."

    Incompréhension. Sentiment d'injustice. Discours sur l'impunité offerte aux malfrats. Sur ces réseaux de revente auxquels les forces de l'ordre ne s'attaquent pas assez : les ferrailleurs et leurs succursales en Espagne, ceux qui pratiquent la vente directe, et auxquels on ne demande pas de prouver leur qualité d'agriculteur... Du coup, des rondes de surveillance nocturne s'organisent dont on ne parle pas trop aux journalistes.

    "DE PLUS EN PLUS D'ALARMES SUR LES APPAREILS D'IRRIGATION"

    En revanche, on les avertit bien qu'"un jour, ça finira mal". Parce que les gens n'en peuvent plus, selon Hervé Peloffi : "Récemment un groupe d'agriculteurs qui "tournaient" a pris sur le fait deux Roumains en train de voler des câbles. Ils les ont pourchassés. C'est très dangereux, ils auraient pu avoir des armes et leur régler leur compte."

    Chacun a son histoire d'agriculteur qui a tiré en l'air, ou sur un camion, ou qui a bien failli le faire, et se souvient de ce trufficulteur de la Drôme qui, fin 2010, a abattu un voleur à coups de fusil à pompe. Jean-Louis Dubourg, cultivateur de maïs en Gironde, raconte, placide : "Il y a de plus en plus d'alarmes sur les appareils d'irrigation. Quand elles se déclenchent en pleine nuit, les gars n'y vont pas avec un bâton." L'ambiance a bien changé dans les campagnes, jadis réputées accueillantes. Quelque chose s'est cassé, regrette Hervé Peloffi. "Le Front national grimpe, chez ces bosseurs qui ne supportent plus le laxisme." La République, croient-ils, les a abandonnés à leur sort.

  • Merci à turigol pour toutes ces informations.
    Malheureusement Gollnisch ne peut dire crûment la vérité : nos gouvernants, le Président comme les ministres sont nos pires ennemis : ils ont juré de faire disparaître les Français de souche pour les remplacer par les immigrés arabes et africains. Et leur bourrage de crâne est tel que le Français moyen n’ose pas voir cette vérité en face et continue de voter pour eux.

  • On n'ose pas préciser que nos"Romanos" sont issus des parias de l'Inde et qu'aucune politique n'arrivera à les changer .
    Les communistes d'Europe de l'Est s'y essayèrent .
    Résultat : l'échec complet .
    C'est bien le genre de population dont personne ne veut .

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