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21 gendarmes pour surveiller la résidence secondaire de Jean-Marc Ayrault

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La résidence secondaire du Premier ministre, à Sarzeau, dans la presqu’île de Rhuys, est gardée 24h/24 par 21 gendarmes. Un hélicoptère complète le dispositif lors de ses séjours.

 

Bâtie en 2000 à Sarzeau, un village bucolique tout en granit du Morbihan, la maison de vacances de l’ancien maire de Nantes est de taille raisonnable, avec petit jardin et une belle vue sur une vallée.

Cependant, impossible d’en approcher : deux voitures de la Gendarmerie barrent l’entrée de la rue. Selon le décompte du voisinage, 21 gendarmes se relaient jour et nuit pour surveiller la résidence de Jean-Marc Ayrault.

“Il y en a vingt et un en tout ! Ils se relaient par groupe de trois toutes les trois heures. Les autres patientent dans un hôtel-restaurant du Tour-du-Parc, une commune voisine.”

"Les gendarmes sont là sept jours sur sept et vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Ça doit nous coûter de l’argent, tout ça”, indique l’un des habitants du coin.

Et lorsque l’ancien maire de Nantes est de retour, toute la presqu’île est au courant :

“Un hélicoptère est là en permanence. Soit il tourne au-dessus, soit il attend avec pilote et copilote dans le champ en bas de la maison. Ça va encore : à son arrivée à Matignon, l’hélicoptère tournait pratiquement toute la journée au-dessus de la presqu’île.”

Logés dans un hôtel-restaurant 3 étoiles, La Croix du Sud, les gendarmes se reposent dans un cadre confortable, régalés aux frais de la République mais sans excès :

“Ils sont logés dans une partie de l’hôtel réservée aux séminaires et prennent le menu du jour”, précise le personnel.

Lors des relèves, ce ne sont pas moins de 42 gendarmes, soit deux équipes, qui sont à table et en ces temps de disette, une telle débauche de moyens pour une maison pratiquement vide tout au long de l’année peut surprendre.

“Tout est légal et habituel. Vous savez, du temps de Fillon et de ses prédécesseurs, c’était la même chose…”, assure-t-on du côté de la Gendarmerie.

Sources : lyoncapitale.fr / Le JDS

 

Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre,
Est sujet à ses lois ;
Et la garde qui veille aux barrières du Louvre
N'en défend point nos rois.

Malherbe  (Stances à M. Du Périer)

 

 

Commentaires

  • Il en manque un pour pouvoir dire "22, v'là les flics!"
    Plus sérieusement, ces salopards de bobos vivent tous à la campagne, ou alors, bien protégés dans des immeubles de standing, bien loin du peuple qui commence à leur faire peur et des quartiers "sensibles" !
    Je rêve d'une grande jacquerie qui foutrait à la porte des villages tous ces intrus, et d'un régime qui les obligerait à vivre au coeur des banlieues allogènes pourries qu'ils ont mises en place !

  • Lui, il se protège bien ; pas comme les Français moyens qui sont voués à toutes sortes d’agressions, toutes les unes plus violentes que les autres !

  • On n'est jamais si bien servi que par soi-même, tous les truands vous le diront..

  • @ abad: il a vraiment peur! Il me dégoûte!

  • Et il insulte de tous les mots ceux qui demandent une justice moins laxiste et l'arrêt de toute immigration en raison du niveau d'insécurité qui règne en France.
    Cynisme, corruption, incompétence, les attributs du parfait apparatchik.

  • Dirk ,en cas de grande jacquerie , les bobos ont sûrement les moyens de se mettre à l,abri , avec aussi leurs avoirs , ce qui n,est pas le cas du bon peuple , qui subit toutes sortes d,horreurs , l,histoire l,a bien démontré à maintes reprises. . .!!!
    salutations.

  • La toute première mesure que le FN devra prendre à la minute ou il arrivera au pouvoir, c'est d'interdire à ces gens de pouvoir quitter le territoire national.
    La seconde, c'est de les mettre aux arrêts pour haute trahison.

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