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On nous demande, aujourd’hui, en effet, d’éponger les résultats catastrophiques de la guerre d’agression qui a été commise, au nom de l’OTAN, dans cette région. Mais la résolution qui nous est proposée est parfaitement contradictoire.
Dans son article 3, par exemple, on encourage, en réalité, le démembrement de la Serbie puisqu’on demande, comme l’a fait Mme Miranda, que les cinq États de l’Union qui n’ont pas encore reconnu le Kosovo le fassent. En revanche, dans son article 7, on se prononce absolument en faveur de l’intégrité du Kosovo. Autrement dit, un certain nombre d’orateurs, comme Mme Miranda, se prononcent pour l’autodétermination des Albanais mais refusent les mêmes droits aux Serbes. Il faudra expliquer au nom de quels principes moraux.
En réalité, chacun sait très bien ce qui va se passer. Si cet accord d’association entre en vigueur, nous aurons encore à faire face à la criminalité organisée, à la corruption, à la persécution des minorités, aux failles de l’État de droit que l’organisme EULEX n’a pas réussi à combler.
Je pense que, dans la crise actuelle, nous avons réellement beaucoup mieux à faire que cela. Nous avons beaucoup mieux à faire que cela et, en particulier, nous avons à éviter chez nous les résultats de la jurisprudence Kosovo.
Je me bats personnellement pour qu’un jour Marseille ne devienne pas Mitrovica.
La fille de Graham E. Fuller, Samantha A. Fuller, a épousé Ruslan Tsarnaev, oncle des « suspects » de l’attentat de Boston, Tamerlan et Dzhokhar Tsarnaev.
Graham E. Fuller est ancien chef de poste de la CIA en Afghanistan, ancien « agent traitant » de Fethullah Gulen aux USA, ancien analyste de la RAND, et ancien collaborateur du Monde diplomatique. Il est aujourd’hui professeur adjoint à l’Université Simon Fraser de Vancouver (Canada).
Samantha A. Fuller travaillait au milieu des années 90 pour Price Waterhouse à Bichkek (Kirghizistan) sur des projets de privatisation. Elle a épousé Ruslan Tsarnaev dont elle a divorcé en 1999.
Ruslan Tsarnaev (photo) est le frère d’Ansor Tsarnaev, père des « suspects ». Il a travaillé pour l’USAID (qui servait alors de couverture pour la CIA), puis comme cadre pour plusieurs sociétés du Groupe Halliburton. Il vit aujourd’hui à Montgomery Village, MD, et décrit ses neveux comme des « perdants ».
Graham E. Fuller a qualifié d’« absurde » toute tentative de lier son ex-gendre à l’acte de ses neveux.
Deux semaines après l’attentat de Boston (15 avril, 14h49), les autorités US ont désigné les frères Tamerlan et Dzhokhar Tsarnaev comme responsables. Elles affirment avoir tué l’ainé et arrêté son frère et complice. Le jeune homme, âgé de 19 ans, serait hospitalisé, mais ses blessures lui interdiraient de s’exprimer autrement que par des hochements de tête. Peu importe, il aurait reconnu les faits
Cependant, on ignore tout des conditions dans lesquelles Tamerlan a été tué, ni de celles de l’arrestation de Dzhokhar. Ils auraient cédé au « syndrome Oswald » et se seraient distingués en tuant, sans raisons ni témoins, un officier de police de leur université. Puis, ils auraient pris en otage une Mercedes avec son chauffeur anonyme et l’auraient obligé à retirer 800 dollars à un guichet automatique. Cet homme a témoigné à la police qu’ils avaient revendiqué devant lui être les auteurs des attentats.
À ce jour, la presse n’a pas rencontré le suspect, ni auditionné le témoin. Elle se contente de relayer les dires des parents et amis des suspects qui s’étonnent tous de les voir impliqués dans cette affaire.
Quoi qu’il en soit, la juge Marianne B. Bowler a inculpé Dzhokhar pour « usage d’armes de destruction massive », à savoir des cocottes-minute bourrées de clous. C’est la première fois que la notion « d’arme de destruction massive » est appliquée à un outil ménager courant.
De son côté, le leader démocrate de la Commission du renseignement, Dutch Ruppersberger, a affirmé, à l’issue d’une réunion à huis clos avec des responsables de trois services de renseignement, que les Tsarnaev avaient utilisé une télécommande de jouet pour actionner leurs deux bombes. Il y a vu la confirmation de ce que les suspects avaient appris à fabriquer leurs engins en lisant Inspire, la revue en ligne signée par « Al-Qaida dans la péninsule arabique ». Pourtant, si le numéro 1 de la revue (daté « été 2010 ») indique en détail la fabrication d’une bombe avec une cocotte-minute, à aucun moment, il n’indique comment utiliser une télécommande de jouet pour actionner un explosif installé dans une cocotte fermée.
Tout ce vacarme tourne autour d’une seule conclusion : les frères Tsanaev étaient Tchétchènes, ce qui promeut la Russie au centre des débats. Le président Vladimir Poutine a discrètement éliminé les questions à ce sujet, lors de la longue séance de réponse au peuple qu’il a conduite jeudi dernier. Des jihadistes tchétchènes, il y en a en Syrie qui viennent de prendre en otage deux évêques orthodoxes. Et il risque d’y en avoir à Sotchi, lors des Jeux Olympiques. La Russie a tout intérêt à renforcer la coopération antiterroriste avec les États-Unis, surtout si elle compte réellement déployer des troupes de l’Organisation du Traité de sécurité collective (OTSC) en Syrie.
Pendant ce temps, les internautes se divisent entre ceux qui s’alignent sur le FBI et ceux qui le contestent. Deux grandes objections circulent sur la Toile.
« Jeff Bauman » est-il Nick Vogt ?
La première accuse les services de sécurité d’avoir mis en scène des personnages chargés d’histoires et d’émotions. Des images extraites d’une vidéo montrent deux individus en train de trafiquer le corps de Jeff Bauman, qui aurait perdu ses deux jambes. Il s’agirait en fait d’un lieutenant de l’US Army ayant perdu ses jambes à Kandahar, en novembre 2011, Nick Vogt. On ne peut qu’être étonné par le fait que « Jeff Bauman » porte toujours sa tête haute et ne semble pas souffrir d’une hémorragie alors qu’on le transporte sur une chaise roulante, sans que ses cuisses aient été fortement ligaturées. La chose est d’autant plus significative que c’est le témoignage de « Jeff Bauman » qui a permis d’identifier les suspects (conférence de presse du 18 avril, 17h20).
Des mercenaires de Craft International sur le lieu de l’explosion.
La seconde porte sur la présence d’une équipe de sécurité, probablement de l’armée privée Craft International, qui semble porter les mêmes sacs à dos que celui montré par le FBI comme ayant contenu une des cocottes-minute.
Mais le plus étonnant est ailleurs. Un exercice anti-bombes a été mené au Marathon de Boston, deux heures avant le drame, au lieu exact où les vraies bombes ont explosé. Pourtant, lorsque un journaliste a posé une question à ce sujet lors de la conférence de presse du FBI, l’agent spécial Richard Deslauriers a refusé de lui répondre et a cherché une autre question.
Izvestia : « Tamerlan Tsarnaev recruté par une Fondation géorgienne. L’un des responsables de l’attentat terroriste de Boston, a étudié au séminaire organisé par les Etats-uniens avec les services spéciaux géorgiens »
Enfin, selon les Izvestia (24 avril), Tamerlan Tsarnaev a participé en Géorgie à un séminaire du Fonds pour le Caucase, une association paravent de la Jamestown Foundation, créée par la CIA. Il y a suivi un entraînement pour « augmenter l’instabilité en Russie » [1]. Dans une note de protestation, le Fonds du Caucase dément et évoque un homonyme [2].
Il est trop tôt pour conclure sur ce qui s’est réellement passé à Boston. Une chose cependant est sûre : le FBI ment.
L'armée de l'air israélienne a effectué trois raids dans la nuit de samedi à dimanche sur la bande de Gaza visant notamment la branche armée du Jihad islamique, une formation radicale palestinienne, sans faire de blessé, ont indiqué des témoins palestiniens. Deux des raids ont eu lieu à Khan Younes (sud) contre des positions des Brigades al-Qods, tandis que la troisième attaque s'est produite près de Rafah, non loin de la frontière égyptienne, a-t-on précisé de mêmes sources.
Le porte-parole de l'armée israélienne a confirmé ces raids lancés "en reponse à un tir de roquette" samedi sur le sud d'Israël qui n'avait fait ni victime ni dégât. Ces attaques ont visé des entrepôts d'armes et une installation pour l'entraînement du mouvement Hamas, qui contrôle l'enclave palestinienne.
Les autorités israéliennes ont également fermé dimanche jusqu'à nouvel ordre le terminal de Kerem Shalom, utilisé pour le transfert de marchandises vers la bande de Gaza, à la suite d'un tir de roquette, a annoncé le ministère de la Défense. Les dernières attaques aériennes israéliennes dans la bande de Gaza remontaient au début du mois. Il s'agissait des premières depuis la trêve conclue fin novembre avec le Hamas, au terme d'une semaine d'hostilités meurtrières. Le 19 avril deux roquettes tirées de la bande de Gaza s'étaient abattues sur le sud d'Israël sans faire de victime.
Le président israélien Shimon Pérès doit s'entretenir lundi 29 avril 2013 avec le pape François au Vatican et avec son homologue italien, selon un communiqué de la présidence israélienne.
"Le président de l'État d'Israël va se rendre lundi 29 avril au Vatican à l'invitation du souverain pontife et s'entretiendra également avec le président et le Premier ministre italien", indique la présidence, ajoutant que Shimon Pérès "se rendra également dans la ville d'Assise, symbole de paix en Italie, et recevra une médaille pour sa contribution au dialogue et à la cause de la paix".
Extrait de l’émission Apostrophe sous-titré et mis en ligne par le site d’information wPolityce.pl, sous le titre « Daniel Cohn-Bendit – un pédophile au Parlement européen ? »
Le 24 avril, le député européen d’extrême-gauche devait participer à un débat sur l’Europe à l’Institut de Politologie de l’université de Wroclaw, en Pologne. Face à la vague de protestations que cela a soulevé, et craignant sans doute d’y être conspué, « Dany le Rouge » a préféré annuler sa participation. Les protestataires reprochaient aux organisateurs d’avoir invité un activiste d’extrême-gauche qui a reconnu dans son autobiographie Le Grand Bazar publiée en 1975 avoir eu des attouchements pédophiles avec des enfants de 5 ans d’une école maternelle de Francfort sur le Main où il travaillait. Des aveux réitérés dans l’émission Apostrophes du 23 avril 1982.
Une partie de la presse polonaise a cité l’extrait de l’autobiographie de Daniel Cohn-Bendit où celui-ci déclare que, à plusieurs reprises, des enfants de l’école maternelle lui ont ouvert la braguette et ont commencé à le caresser et que lui-même les caressait en retour.
Le site conservateur wPolityce.pl a même mis en ligne un extrait de la fameuse émission après l’avoir sous-titré en polonais. Daniel Cohn-Bendit y déclare : « Vous savez, la sexualité d’un gosse, c’est absolument fantastique. [...] J’ai travaillé avec des gosses qui avaient entre 4 et 6 ans. Vous savez, quand une petite fille de cinq ans – cinq ans et demi commence à vous déshabiller, c’est fantastique. C’est fantastique, parce que c’est un jeu absolument érotico-maniaque… »
Ceci accompagné des ricanements stupides de ses interlocuteurs.
Le metteur en scène polonais Grzegorz Braun, auteur de films documentaires et fervent anticommuniste, a même informé le parquet polonais des déclarations pédophiles de notre Dany franco-allemand car même si celui-ci revenait sur ses aveux, le simple fait de vanter publiquement la pédophilie est un délit en Pologne. Théoriquement, une enquête pourrait donc être ouverte en Pologne sur le possible passé pédophile de Daniel Cohn-Bendit.
Un instituteur de maternelle et de CP, âgé de 48 ans, soupçonné d'avoir violé plusieurs élèves, à Planaise (Savoie), a été mis en examen et écroué. Le professeur des écoles, qui a avoué les faits, aurait abusé depuis le début de l'année de plusieurs enfants dans l'enceinte de l'école de la commune rurale, proche de Chambéry. Le nombre de victimes n'est pas encore indiqué par l'enquête policière.
A la suite du dépôt de plainte des parents d'une fillette agressée, une enquête pour "viol sur mineur par personne ayant autorité" a été ouverte par un juge d'instruction de Chambéry et a conduit à une réunion avec les parents. C'est au cours de cette réunion organisée par l'inspection d'académie lundi que d'autres parents se sont manifestés avant de déposer plainte pour les mêmes faits. L'instituteur, "très apprécié", exerçait depuis trois ans dans cette école.
J’ai vu des gens expulsés d’un jardin public car ils n’avaient pas le droit de porter un certain tee-shirt...mais ce n’était pas en Chine.
J’ai vu une personne à vélo se faire confisquer son drapeau par les CRS.
J’ai vu des policiers arrêter des mères de famille qui se rassemblaient…. mais ce n’était pas en Russie.
J’ai vu des jeunes en garde à vue parce qu’ils étaient silencieux…mais ce n’était pas au Tibet.
J’ai vu une jeune fille traînée par les cheveux et en perdre une ballerine…mais ce n’était pas en Ukraine.
J’ai vu cette même ballerine exhibée par un député devant une assemblée goguenarde.
J’ai vu la force publique gazer des personnes âgées …mais ce n’était pas en Syrie.
J’ai vu une génération de bobos interdire en Mai 2013 ce qu’ils avaient défendu âprement et plus violemment en Mai 68.
J’ai vu des femmes dépoitraillées attaquer une cathédrale et se faire relaxer.
J’ai vu des hommes dépoitraillés créer un embouteillage et se faire arrêter.
J’ai vu les représentants des religions vilipendés…mais ce n’était pas en Irak.
J’ai vu des centaines de milliers de personnes se rassembler et hurler leur mécontentement…mais ce n’était pas en Iran.
J’ai vu des services de renseignements confisquer et retoucher les images probantes de ces rassemblements pacifiques…mais ce n’était pas à Cuba.
J’ai vu un débat tronqué et un vote précipité pour satisfaire rapidement une petite minorité.
J’ai vu des journalistes achetés pour négliger de telles informations.
J’ai vu des journalistes censurés pour diffuser de telles informations.
J’ai vu des ministres se cacher tellement ils étaient hués.
J’ai vu des policiers chargés de faire dégénérer les manifestations.
J’ai vu une ministre de la Justice soucieuse d’ « arracher » les enfants à l’emprise de leurs parents…mais ce n’était pas en Corée du Nord.
J’ai vu un ministre de l’Intérieur truquer des chiffres trop gênants pour la bien-pensance d’un gouvernement…mais ce n’était pas en Biélorussie
J’ai vu un Président s’immiscer dans un débat sur l’euthanasie de deux éléphantes.
J’ai vu un Président rester sourd aux cris de son peuple et claquemuré dans son palais quand on lui parle des générations d’enfants à venir.
Ce pays où tous ces événements déconcertants se passent en ce moment, c’est la France, pays des droits de l’homme, terre d’asile des opprimés, nation enviée par les persécutés.