Tsahal a détruit la seule centrale électrique... par olivier-frisky
Le ciel de Gaza a rougeoyé ce mardi matin après qu’un obus de char israélien a touché la réserve de carburant de l’unique centrale électrique de l’enclave palestinienne.
Une épaisse colonne de fumée noire s‘élevait de l’usine, qui fournissait les deux tiers du territoire en électricité.
“Je voudrais dire au monde que c‘était une centrale humanitaire, qui servait le peuple, donc son existence était au service des gens, de la vie, des hôpitaux, au service de la vie simple et normale des gens de Gaza “ a déclaré Mohammed al-Sharif, le directeur de la centrale.
Le complexe avait déjà été touché la semaine dernière et n’offrait de l‘électricité aux Gazaouis que quelques heures par jour.
La nuit dernière, vingt maisons ont été détruites et deux mosquées ont été sévèrement endommagées.
“Cela fait sept ans qu’on vit dans une alternance de trêves et d’hostilités. Cela ne nous a conduits nulle part, qu’Israël fasse la paix ou qu’ils ne fassent rien “ estime Shaban Hassan, un Gazaoui.
Tsahal a également frappé plusieurs bâtiments officiels la nuit dernière tout comme les sièges de la télévision et de la radio du Hamas. Celle-ci a d’ailleurs cessé d‘émettre.
euronews
Commentaires
L'ampérage criminel va en augmentant, il est certainement planifié et toute la bande des comédiens politiques fait des effets de voix ou de manches pour convaincre les peuples que la cause est mauvaise ou bonne, juste ou injuste, jusqu'au moment où la comédie annoncée par Pike, arrivera à la troisième partie, prévue depuis plus d'un siècle.
"Comediante, tragediante " ( Pie VII à Bonaparte)
Pendant un certain temps ils vont s'éclairer à la bougie mais la France débloque 11 Millions d'Euros pour les "reconstructions" donc, jusqu'à la prochaine fois, notre argent servira à quelque chose puis, de nouveau, "Tsahal" fera une nouvelle "opération"...Il faut bien faire "marcher le commerce" ! Si ce n'était pas au prix de tant de deuil et de misère, de tant de sang et de souffrance, on pourrait prequ'en rire comme d'une blague (l'histoire des pantalons) de Jacques ATTALI !