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Belgique: une école de Borgerhout éconduit trois jeunes par crainte du virus Ebola

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Bientôt des classes vides en Europe ?

 

08/10/2014 à 10:22

Source: De Morgen

Selon une information rapportée par les quotidiens De Morgen et Het Nieuwsblad, l'institut Maris Stella-Sint-Agnes de Borgerhout a refusé l'accès à l'école à trois élèves libériens pendant trois semaines de peur qu'ils souffrent d'Ebola.

 

 

 

Photo prétexte © iStock

 

Les trois jeunes arrivés du Libéria fin septembre et âgés de douze à dix-sept ans souhaitaient s'inscrire à un cours de néerlandais pour nouveaux venus. Cependant, la direction a demandé à leur père de les garder trois semaines à la maison avant de venir assister aux cours.

Entre-temps, l'école a annulé la période de quarantaine et fait examiner les élèves par l'Institut tropical. "Et le médecin nous a dit que le risque qu'ils aient été contaminés est pratiquement inexistant. Il n'y a pas de raison de paniquer. On n'est contagieux uniquement quand on présente les symptômes de la maladie et ces enfants n'avaient pas de fièvre. Ils semblent en parfaite santé" a confié le directeur de l'école Dimitri Meurrens au Morgen.

Malgré cette information rassurante, un professeur de l'école concernée a adressé une lettre ouverte au bourgmestre d'Anvers Bart De Wever (N-VA) et aux ministres de l'Enseignement et de la Santé publique. "Pourquoi personne en Belgique ne prend-il ses responsabilités ? Il s'agit non seulement de la sécurité des enseignants, mais également des jeunes eux-mêmes et de leurs condisciples" écrit Quinten Noppen.

Le cabinet de Bart De Wever lui a répondu qu'il n'y a aucune règle qui permet aux écoles d'exclure des élèves pendant 21 jours et que s'ils ne présentent pas de symptômes, c'est qu'ils ne sont pas contagieux. Le SPF de la Santé Publique se veut également rassurant : "Notre avis est de laisser les élèves à l'école. S'il y en a un qui tombe malade, il faut qu'il ou elle se rende chez le médecin. Tous les médecins recevront prochainement une procédure leur expliquant comment gérer les patients saisis de fièvre et venus des pays touchés par le virus".

LE VIF.be

Commentaires

  • Voilà où nous conduit le politiquement correct : on écarte toute mesure de prophylaxie de peur de « stigmatiser » les clandestins qui débarquent chez nous au mépris de tout règlement et de toutes nos lois ; et tant pis s’ils répandent leurs maladies et font mourir nos enfants : l’important est d’être tolérant et citoyens : Nous sommes aux mains de gouvernements criminels qui n’hésitent pas à mettre nos vies en danger au profit de nos envahisseurs !
    Dans aucun pays, aucun régime dictatorial , même les plus féroces n’ont jamais osé faire cela !

  • On croit rever! Je n'enverrais surement pas mes enfants a l'ecole dans ces conditions.. S'il faut 21 jours d'incubation, pourquoi prendre des risques d'une aussi grave maladie?

  • Ils préfèrent mettre en danger la vie de millions de personnes pour ne pas freiner une seconde le processus de substitution de population.
    Jamais dans l' histoire de l' Occident , du monde tout court en fait, il n' a existé de tels dirigeants corrompus et criminels.

  • et en Italie , les autorités devraient s,inquiéter avec toute la populace qui débarque à tour de bras , il suffit de quelques uns ou unes et là c,est le pompon général . . .!!
    l,anti-pape préconisera peut-être à ses ouailles de prier pour faire reculer cette " nouvelle malédiction diabolique " . .!!
    salutations.

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