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  • Procès Soral-Haziza : les images d’ERTV


    Procès Soral-Haziza : les images d’ERTV par ERTV

     

  • Pour Mourad Benchellali, retirer la nationalité aux djihadistes “renforce leur sentiment de rejet”

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    18/10/2014 – PARIS (NOVOpress)
    Les médias semblent avoir trouvé un bon spécimen pour tenter de démontrer que le basculement dans l’islamisme n’est pas une fatalité et qu’il est donc possible de rêver du vivre ensemble malgré l’ampleur du phénomène djihadiste en France.

    Mourad Benchellali, ancien rabatteur pour la mouvance islamiste et ex-prisonnier de Guatanamo, était donc l’invité de Jean-Jacques Bourdin, le 17 octobre 2014.

    Mourad Benchellali se veut rassurant : “Je m’identifie aux jeunes qui veulent partir faire le djihad en Syrie mais je tente de faire mon possible, en racontant mon histoire, pour les en dissuader. Quand bien même vous avez été radicalisé, il y a toujours la possibilité de sortir de ça, de se réinsérer, de reconstruire sa vie et de passer à autre chose”.

    Mais, d’après lui, la France ne devrait pas autant stigmatiser les musulmans (sic) :

    Retirer la nationalité à des jeunes qui ne se sentent pas Français renforce leur sentiment de rejet. En France, la seule méthode utilisée, c’est la répression policière. On manque d’humain. La radicalisation vient d’un sentiment d’injustice que la prison ne fait qu’alimenter.

    Que faut-il donc faire ? Les féliciter de partir pour faire le djihad et leur demander de revenir sagement en France après avoir perpétré un certain nombre d’atrocités ?

  • Plug anal de la place Vendôme: l'artiste renonce à le regonfler...

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    http://www.liberation.fr/culture/2014/10/18/le-plug-anal-gonflable-de-la-place-vendome-saccage-dans-la-nuit_1124593

    Lire les réactions de rage de Fleur Pellerin et d'Anne Hidalgo !

  • Hong Chantan, ouvrière textile au Cambodge, 12 heures par jour, 6 jours sur 7, sans congés...

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    Des ouvrières du textile lors d'une pause déjeuner, dans la banlieue de Phnom Penh, en 2013. (Photo Reuters)

     

    Christian LOSSON 16 octobre 2014 à 10:09 (Mis à jour : 17 octobre 2014 à 00:05)

     

    TÉMOIGNAGE

    Alors que le collectif Ethique sur l'étiquette lance une campagne pour un salaire vital, récit d'une syndicaliste qui raconte, de l'intérieur, des conditions de travail inhumaines.

     

    #Soldées : pour tenter d’enrayer les salaires de misère pratiqués par l’industrie de l’habillement dans les pays de production, le collectif Ethique sur l’étiquette (membre de l’alliance Clean Clothes Campaign lance aujourd’hui une campagne pour exiger des multinationales de l’habillement l’adoption de pratiques permettant le versement d’un salaire vital aux ouvrier(e)s de la confection le long de leurs chaînes de sous-traitance. L’alliance a envoyé un questionnaire à 50 multinationales pour mesurer leur engagement en faveur du versement d’un salaire vital. Aucune de celles qui ont répondu ne s’est engagée de manière significative sur ce sujet.

    Ethique sur l’étiquette veut relayer le combat des 60 millions de travailleurs, très majoritairement des femmes, qui ne gagnent pas de quoi vivre décemment et sont employés dans des conditions indignes. Il entend aussi interpeller les multinationales et sensibiliser les consommateurs sur l’origine des vêtements qu’ils achètent parfois à prix cassés, mais au détriment de vies brisées. Libération a longuement rencontré l’une de ses ouvrières textiles que défend Ethique sur l’étiquette. Elle s’appelle Hong Chantan. Voici son édifiant récit.

    «Je m’appelle Hong Chantan. J’ai 35 ans. Je travaille dans différentes usines de textile au Cambodge depuis l’âge de 20 ans. Je viens d’un village à 195 kilomètres de Phnom Penh, d’une famille de paysans, huit enfants. On a cultivé du riz jusqu’à la mort de mon père. Il a fallu trouver une solution, un travail. Je n’avais pas d’autres possibilités que de partir rejoindre une de ces sweatshops. Je suis restée deux mois dans une première usine, trois mois dans la deuxième, six ans dans la troisième, et j’ai bossé dans la dernière pendant sept ans, avant qu’elle ne brûle… J’ai commencé au début en étant payée 30 dollars par mois [environ 23 euros, ndlr] en moyenne. On peut être salariée mensuellement ou payée à la pièce. Dans le premier cas, vous avez un patron sur le dos en permanence, qui vous intimide, vous menace, vous demande d’aller plus vite, vous interdit de vous lever ou de parler avec d’autres ouvrières. Dans le second cas, vous êtes votre propre patron, vous vous mettez en permanence la pression pour produire plus vite dans des conditions épouvantables.

    «Sur votre contrat, il est écrit que l’on doit travailler huit heures par jour, quarante-huit heures par semaine, selon les standards de l’Organisation internationale du travail. Mais aucun travailleur ou travailleuse de sweatshop ne fait cela ! Notre quotidien, c’est plutôt douze heures par jour, six jours voire six jours et demi sur sept, même les jours fériés. Et bien évidemment, sans aucun congé payé. Je n’ai pas de vie, pas de mari. J’habite dans un petit studio de 12 mètres carrés à vingt minutes à pied de l’usine avec toute ma famille qui m’a rejointe. On le loue 50 dollars par mois. Cinq de mes sœurs se tuent aussi à la tâche à l’usine. Je me lève tous les jours à 5 heures pour me préparer à manger. Je finis à 20 heures, je passe au marché, on mange et on se couche à 22 heures, terrassées par la fatigue.»

    100 dollars

    «Depuis que le salaire minimum dans le textile est passé à 100 dollars par mois en 2013, je gagne avec les heures sup, 140 dollars par mois. Impossible pourtant de manger correctement, d’avoir des enfants et encore moins d’épargner. Le midi, on a une pause d’une heure. Les ouvrières "riches" peuvent parfois s’acheter un en-cas à moins d’un dollar. Nous, on se contente d’un sachet de riz à moitié avarié dans lequel on trouve parfois des vers… Voilà pourquoi on milite pour être au moins payée 177 dollars par mois. Pour vivre un peu plus décemment. Pour certains réseaux, comme l’Asia Floor Wage Alliance, on devrait au moins toucher 283 dollars pour le minimum vital. Voilà pourquoi on s’est battus et pourquoi on a été autant réprimés en 2014 : quatre morts, trois disparus, 39 blessés…»

    «Je couds depuis 2007 des pantalons dans l’usine Chang Sheng, qui produit pour le groupe Inditex (Zara). Il n’y a aucune sécurité, aucune hygiène, on est comme des poulets élevés en batterie. Quand on veut aller aux toilettes, on est mal vu. Les contremaîtres, tous chinois, nous insultent, ils nous disent : "On vous paie pas pour aller pisser." On ne peut s’absenter plus de cinq minutes. On n’a pas le droit de parler. Au bout de trois fois, on nous suspend pour une journée de travail. Ils nous traitent d’incultes, de paysannes, d’ignorantes. Ils nous disent que si on n’est pas content(e)s, d’autres attendent à la porte pour être embauché(e)s. Le confinement est total. Les fenêtres sont voilées pour éviter qu’on nous voie ou qu’on fasse passer de la marchandise. On se touche quasiment entre nous. Impossible de circuler : les allées sont bourrées d’habits cousus ou à faire. La chaleur est accablante, la ventilation défaillante. L’odeur d’égouts, de toilettes, reflue en permanence. La cadence est infernale. Et, pour ceux qui travaillent notamment sur les jeans, les solvants, les pesticides et autres produits chimiques provoquent des malaises, des maladies. En 2011, plus de 2 400 ouvrier(e)s se sont évanoui(e)s d’épuisement au Cambodge.»

    "Nos droits violés"

    «Quand on tombe malade, on doit obligatoirement passer par un médecin lié à l’usine. Qui se contente souvent de dire qu’on manque de sucre. Les filles souffrent souvent d’hémorroïdes, des bronches, d’infections diverses, de cancers. Les arrêts maladie n’existent pas. Le suicide n’est pas reconnu comme une maladie professionnelle. Beaucoup d’entre nous craquent avec la détérioration des conditions de travail. De toute façon, quand ils savent qu’on est malade, ils nous licencient d’entrée. Quand je tombe malade, j’emprunte donc de l’argent que je rembourse plus tard avec des intérêts. Il y a bien trois syndicats dans mon usine, mais un seul vraiment indépendant, un seul qui tentait de défendre les salariés. Malgré les pressions, les intimidations, les menaces de morts, surtout lorsque l’on est une femme… Au Cambodge, les femmes doivent obéir. Doivent être dociles. C’est pour cela que l’énorme majorité des 600 000 salariés dans le textile sont des femmes.»

    «Malgré cela, je ne me résigne pas. Nos droits sont tellement violés que j’ai décidé de devenir responsable syndicale. Même si les droits syndicaux sont constamment violés, on veut se battre, avoir le droit de faire grève. La dernière fois qu’on a voulu en faire une, en juillet, l’usine a brûlé dans la nuit. Depuis, on attend de retrouver du travail. Je suis arrivée hier à Paris. C’est la première fois que je sors de mon pays. Ce serait bien qu’un jour, celles et ceux qui achètent des habits dans des grandes enseignes se rendent compte des conditions dans lesquels ils sont fabriqués…»

    Christian LOSSON
     
    Libération
  • Ebola « peut être projeté jusqu’à un à deux mètres de distance, lors de toux ou d’éternuements »

     

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    Interrogée par Les Echos, Elisabeth Bouvet, spécialiste des maladies infectieuses et tropicales de l’hôpital référent Bichat à Paris, rappelle qu’Ebola « peut être projeté jusqu’à un à deux mètres de distance, sous forme de minuscules gouttelettes de salive lors de toux ou d’éternuements » :

    Effectivement, le virus d’Ebola, présent dans les liquides biologiques du patient, sang, salive, larmes, sueur, urine, selles, vomissements, ne peut pas être transmis par la simple respiration, en flottant dans l’air, comme l’est celui de la tuberculose. On parle là de transmission aéroportée, d’agents pathogènes inférieurs à un micron environ, ce qui est donc exclu pour le virus d’Ebola. En revanche, il peut être projeté jusqu’à un à deux mètres de distance, sous forme de minuscules gouttelettes de salive lors de toux ou d’éternuements. A condition d’atterrir sur une muqueuse, par exemple le coin de l’œil ou les narines, puisqu’il ne peut pas pénétrer une peau saine. On parle là de transmission « gouttelettes ». Les proches des patients peuvent aussi être infectés après contact avec la sueur d’un malade en phase terminale en cas de lésion cutanée, et surtout par contamination muqueuse indirecte (contact de la muqueuse nasale ou oculaire avec les mains).

    Vous pouvez donc être infecté si un malade éternue dans le métro à côté de vous ?
    En théorie, oui. Cela dit, au début de la période de contagiosité, la charge virale est faible et le virus est seulement présent dans le sang. Quand le virus apparaît dans la salive, le malade n’est plus en état de prendre le métro, il est alité.

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  • Eric Zemmour : la publication du rapport d’étape du Synode « est un coup de couteau dans le dos » de la Manif pour Tous, « l’Eglise est en train elle-même d’alimenter la déchristianisation »

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/18-10-2014/eric-zemmour-la-publication-dun-texte-provisoire-du-synode-est-un-coup-de-couteau-dans-le-dos-de-la-manif-pour-tous-leglise-est-en-train-elle-meme-salimenter-la-dechristianisation#.VEKXzXkcSM8

    + 5 VIDEOS

  • Que cache le grand sourire d'Omar Sy ?

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    Un article à lire absolument:

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Que-cache-le-grand-sourire-d-Omar-Sy-28542.html

    + VIDEO: interview de Delphine COULIN

     

    Samba, Intouchables : l’« ouverture aux autres » pour les goyim

     

     

    Trois ans après le succès d’Intouchables, Éric Toledano et Olivier Nakache remettent le couvert avec Samba. Des films destinés à vendre, sous prétexte de comédie socialo-sentimentale, l’immigration et le métissage au bon peuple de France. Le tout, bien sûr, avec le renfort d’un matraquage télévisuel et radiophonique auquel personne ne peut échapper. Pourtant, dans les coulisses de la production et de la réalisation, se cache un monde de l’entre-soi, où le métissage est évidemment proscrit.