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  • L’Insee publie ses chiffres de l’immigration

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    02/12/2014 – PARIS (NOVOpress via le Bulletin de réinformation)
    L’Insee publiait vendredi son enquête chiffrée de l’immigration en France. Les résultats sont sans appel : entre 2004 et 2012, 200.000 immigrés sont arrivés chaque année en moyenne, soit environ l’équivalent de la population de la ville de Rennes. Au total, entre 2004 et 2012, c’est donc 1,6 million d’immigrés qui sont arrivés en France soit deux fois l’équivalent de la population de la ville de Marseille, deuxième ville la plus peuplée de France !

    46 % du reste de l’immigration est intra‑européenne. L’Afrique représente 30 % des flux migratoires qui arrivent en France.

    Cependant, l’enquête de l’Insee ne prend pas en compte les estimations de l’immigration illégale, ni les personnes qui résident en France pendant moins de douze mois. Une enquête, donc, qui ne traduit pas toutes les réalités de l’immigration. En France aujourd’hui, on estime que les chiffres de l’immigration illégale sont quasiment identiques à ceux de l’immigration légale.

    Crédit photo : Sir James via Wikipédia (cc).

  • Guerre d'Algérie - Des Algériens vont pouvoir toucher des pensions d'invalité françaises

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    02/12/2014 – TOULOUSE (NOVOpress via le Bulletin de réinformation)
    Un arrêt rendu mercredi dernier par la cour d’appel de Toulouse vient préciser une loi du 31 juillet 1963 prévoyant une pension d’invalidité pour les victimes civiles de violences ou d’attentats pendant la guerre d’Algérie.

    Jusqu’à présent, pour bénéficier de cette pension, il fallait être français au moment de la promulgation de la loi, en 1963. Pour la cour d’appel de Toulouse, il ne fait aucun doute qu’un Algérien blessé pendant la guerre d’Algérie et devenu français, en 2008, doit également bénéficier de cette pension et conclut : « La différence de situation instaurée par cette loi entre des victimes civiles de nationalité française ou algérienne ne justifie pas une différence de traitement au regard de l’objet des pensions ».

    Cet arrêt crée un précédent et l’on peut se demander combien d’Algériens victimes d’attentats commis par d’autres Algériens vont pouvoir réclamer une compensation française...

    Crédit photos : Saber68 via Wikipédia (cc).

  • Entretiens sur la remigration. Philippe Vardon : « La politique laxiste constitue un appel d’air » (Présent 8243)

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    Photo : Philippe Vardon aux Assises de la remigration du 15 novembre 2014. © Bloc identitaire.

    02/12/2014 – NICE (NOVOpress)
    Diplômé en sciences politiques, marié et père de deux enfants, Philippe Vardon est un responsable politique devenu incontournable pour ceux qui refusent « le suicide français ».

    — Le terme de remigration a été lancé il y a moins d’un an. Désormais repris (en France, en Italie mais aussi aux Etats-Unis) par de nombreux cadres du camp patriotique, il en train de s’imposer. Quel bilan d’étape faites-vous ?

    Entretiens sur la remigration. Philippe Vardon : « La politique laxiste constitue un appel d’air »— En réalité, le terme a été utilisé – en France, car il s’agit d’un terme courant dans d’autres pays (des programmes de remigration existent même en Finlande ou en Hollande) et dans le monde anglo-saxon – pour la première fois par le spécialiste de l’immigration Jean-Paul Gourévitch, dans un livre de 2007. Les identitaires l’ont introduit dans le champ politique depuis 2011, mais vous avez raison : les derniers mois ont démontré une véritable explosion de l’utilisation du vocable. Un exemple frappant à travers le réseau social internet Twitter : sur celui-ci, en mai, « remigration » n’avait encore été utilisé qu’à sept reprises, pour ce mois de novembre nous sommes déjà à 3 000 ! La sémantique étant aussi une traduction du champ politique, on peut considérer que cette recrudescence de l’utilisation du mot « remigration » correspond à la montée de l’idée, de la nécessité même, du projet.

     

    — Vous déclarez que la remigration est, face aux problèmes actuels, la solution la plus humaine. Pourquoi ? Toute société multi-culturelle et multi-ethnique est-elle condamnée à l’explosion ?

    — Oui. Il ne s’agit pas d’une prédiction, mais simplement de l’observation de l’histoire, ancienne comme récente. Les sociétés multiculturelles deviennent multiconflictuelles, les sociétés multiraciales deviennent multiracistes. L’homogénéité et la cohésion sont des facteurs de paix, une trop grande hétérogénéité est un facteur de troubles.

    Etant entendu que l’assimilation massive – qui n’est pas l’assimilation individuelle de quelques individus – ne saurait être la réponse à l’immigration massive et que nous sommes déjà entrés dans une phase de conflictualité importante (à travers le développement de territoires échappant à nos lois, où s’épousent criminalité et communautarisme, un patriotisme étranger s’affichant sans vergogne comme lors des matchs de football de l’Algérie, et la poussée islamiste), il faut alors envisager des solutions politiques pour empêcher que le pays ne sombre dans le chaos. La remigration, c’est-à-dire le retour dans leur patrie (la terre de leurs pères) de nombreux immigrés et descendants d’immigrés présents sur notre sol, de manière pacifique et concertée, s’imposera sans doute dans les années à venir comme une solution non seulement crédible et réaliste, mais nécessaire.

    — Nicolas Bay a – dans nos colonnes – assumé le concept de remigration. Marine Le Pen a encore récemment rappelé la nécessité de l’ « inversion des flux migratoires ». Au-delà des différences sémantiques, pensez-vous que ces thématiques sont encore solidement portées par les cadres du FN ?

    — Vous le rappelez avec justesse : des personnalités de premier plan telles que Nicolas Bay, Louis Aliot, Aymeric Chauprade, ou encore Marie-Christine Arnautu, ont récemment insisté sur la nécessité d’une « inversion des flux migratoires », terme un peu barbare recouvrant peu ou prou la notion de remigration. Marine Le Pen elle-même en a parlé dans une conférence de presse. Il s’agit d’une position ancienne du FN et l’on peut trouver logique que, face à la situation explosive que nous connaissons – l’immigration légale (200 000 entrées par an) venant maintenant se doubler d’une immigration clandestine très importante –, les cadres du parti s’y réfèrent à nouveau. J’ajouterai que tout projet de remigration doit débuter par un arrêt de l’immigration, et cela le Front national est aujourd’hui le seul parti à le proposer clairement dans son programme politique.

    — L’Australie a lancé un programme très dur contre l’arrivée par mer de clandestins. Pouvez-vous nous en dire plus ? Quels sont les résultats obtenus ?

    — Là où avec les opérations « Mare Nostrum » et « Triton », l’Union européenne aide et accueille les bateaux de clandestins, avec son opération « Frontières souveraines », l’Australie les refoule, avec un slogan très clair : « Vous ne ferez pas de l’Australie votre pays ! » La politique laxiste européenne constitue un appel d’air, entraînant de plus en plus de clandestins à tenter la périlleuse traversée de la Méditerranée, alors qu’au contraire la politique de fermeté australienne (aucun clandestin n’est plus « régularisé ») est éminemment dissuasive. Le résultat est sans appel : alors que 3 000 clandestins sont tragiquement décédés en Méditerranée en 2014, dans le même temps il n’y a eu aucun clandestin mort en mer en essayant de rejoindre l’Australie (contre plusieurs centaines les années précédentes, avant la mise en place de cette politique).

    — Ce que certains nomment – peut-être maladroitement – la zemmourisation des esprits, à savoir la diffusion croissante des opinions identitaires, est incontestable, les sondages les plus récents le prouvent. Faire que cette opinion se meuve en action est plus délicat. A la grande interrogation de Lénine « Que faire ? », que répondez- vous ?

    — Je crois qu’Eric Zemmour, tout comme le mouvement identitaire, ne « contaminent » pas les esprits – même si nous contribuons à la diffusion de messages, de concepts et d’idées – mais expriment surtout le réveil populaire en cours. Et c’est bien ce qui effraie nos adversaires réciproques, qui sont souvent les mêmes d’ailleurs… Mais que faire, donc ? Tout ! Aucun champ de bataille (social, culturel, associatif, idéologique, et politique bien sûr) ne devant être déserté, nous devons agir, chacun à notre échelle et là où nous pouvons être utiles, pour que la France reste française et que l’Europe reste européenne. A travers nos campagnes, propositions et travaux sur la remigration, nous tentons d’élaborer aujourd’hui les outils politiques pour ceux qui auront à gouverner demain. Car je suis pour ma part persuadé qu’après les tentations suicidaires décrites par Zemmour, c’est le réveil français que nous sommes en train de vivre.

    Propos recueillis par Pierre Saint-Servant

  • Les députés français votent la reconnaissance de la Palestine comme Etat

    02/12/2014 – PARIS (via France 24)
    L’Assemblée nationale a adopté par 339 voix contre 151, une résolution du groupe socialiste invitant le gouvernement à reconnaître l’Etat palestinien.

    68 députés n’ont pas pris part au vote et 16 se sont abstenus, dont Gilbert Collard et Marion Maréchal-Le Pen. La quasi-totalité des socialistes, les écologistes, le Front de gauche, une partie des radicaux de gauche et quelques UMP et UDI ont voté pour le texte, tandis que la grande majorité de l’UMP et de l’UDI a voté contre.

  • Interventions des chefs de partis alliés en Europe au Congrès du FN à Lyon

    Regarder en mode plein écran pour lire les traductions des discours

    Interventions des chefs de partis alliés en Europe (samedi 29 novembre 2014)
    – Geert Wilders, député et président du Parti de la Liberté PVV des Pays-Bas
    – Andreï Issayev, vice-président de la Douma de la Fédération de Russie et membre du parti Russie Unie
    – Heinz-Christian Strache, député et président du FPÖ autrichien
    – Matteo Salvini, député européen et président de la Ligue du Nord
    – Philip Claeys, vice-président du Vlaams Belang, Flandres
    – Krasimir Karakachanov, député et président du VMRO de Bulgarie
    – Jiří Janeček, ancien député et président du parti OK STRANA de la République tchèque

  • STATS NOVEMBRE 2014

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  • Chine: l'explosion d'une fosse septique fait quinze blessés

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/video-chine-l-explosion-d-une-fosse-septique-fait-15-blesses-24-11-2014-4318285.php

    + VIDEO

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    NdB: Les Romains avaient déjà des égouts...

     

     

  • Le Grand Jean-Marie

  • Israël et la bombe nucléaire

     

    Israël est le seul pays doté de l’arme atomique au Moyen-Orient et il entend bien le rester. D’où la vigueur de la campagne menée par l’Etat juif contre tout accord entre la communauté internationale et l’Iran, qui n’aboutirait pas à un démantèlement total du programme nucléaire militaire de la République islamique. «Les trois principales menaces contre Israël ? L’Iran, l’Iran et l’Iran» confiait, il y a peu, un diplomate israélien à l’Opinion. Faute d’accord, lundi à Vienne, les négociations vont se poursuivre jusqu’en juin 2015, période durant laquelle la pression d’Israël ne se relâchera vraisemblablement pas, en particulier à Washington.

    Sur la question nucléaire, Israël se trouve dans une situation très particulière : le pays ne reconnaît pas officiellement être une puissance nucléaire, ce qu’il est pourtant depuis 1967, et maintient un silence total sur ces affaires, la presse locale étant soumise à une censure militaire. En la matière, la doctrine israélienne se résume au mot «ambiguïté», «amimout» en hébreu. Cela consiste à ne jamais commenter ce que d’autres sources pourraient dire ou écrire sur le sujet. Cette attitude est partagée par les responsables américains, depuis un accord de 1969 entre les deux pays. La France observe également une grande discrétion sur cette question.

     

    Cette doctrine de l’ambiguïté volontaire fait toutefois l’objet de débats discrets au sein de l’establishment israélien, où certains plaident pour une stratégie de dissuasion nucléaire pleinement assumée, en particulier face à l’Iran. Au mois de mai, un texte recommandant qu’Israël lève le voile sur son arsenal a fait l’effet d’une petite bombe dans le silence scrupuleusement entretenu sur le sujet. Publié par un think tank proche du pouvoir, le Begin Sadat Center for Strategic Studies (Besa) de l’Université Bar-Ilan de Tel-Aviv, il n’a pu être rendu public qu’avec l’accord tacite d’une partie des dirigeants israéliens, d’autant que ses deux auteurs ne sont pas des seconds couteaux. L’un est le professeur israélo-américain Louis René Beres, qui a présidé le «Projet Daniel», un groupe d’experts chargé de conseiller le Premier ministre sur le nucléaire. L’autre est le général John Chain, ancien patron du Strategic Air Command américain.

    En droit international, Israël se trouve dans une situation paradoxale. Le Traité de non-prolifération nucléaire (TNP) de 1968 opère une discrimination légale entre les Etats «dotés» de l’arme nucléaire (Etats-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni et France) et les Etats «non-dotés», qui s’engagent à ne pas acquérir l’arme atomique, en échange d’une aide des premiers au développement du nucléaire civil. Or, Israël n’a jamais signé le TNP, tout comme l’Inde et le Pakistan. Ces trois pays ne sont donc pas tenus de respecter des textes qu’ils ne reconnaissent pas. Tous les trois ont pu développer leur arsenal nucléaire, mais seul Israël n’en reconnaît pas officiellement l’existence. Leur situation est juridiquement différente de celle de l’Iran ou de la Corée du Nord, qui ayant signé le TNP, sont mis en accusation pour avoir violé leurs propres engagements.

    Selon les estimations du Bulletin of Atomic Scientists, un groupe indépendant américain, l’arsenal israélien serait d’environ 80 têtes nucléaires, pas forcément toutes opérationnelles. A titre de comparaison, l’arsenal français est d’environ 250. Les premières armes nucléaires israéliennes ont été développées en coopération avec la France et l’ancien président Shimon Peres a joué un grand rôle dans cette affaire. Les premières bombes ont été assemblées au printemps 1967, juste avant la guerre des Six Jours. Pour délivrer son armement, Israël s’appuie sur des avions de fabrication américaine (F-16 et F-15) ainsi que sur des missiles sol-sol Jéricho. Des doutes sérieux persistent sur la capacité d’Israël de tirer des missiles de croisière Popeye dotés d’une arme nucléaire depuis des sous-marins. La livraison par l’Allemagne, en septembre, d’un quatrième sous-marin Dolphin modifié (baptisé Tanin dans la marine israélienne) pourrait toutefois permettre à l’Etat juif d’acquérir cette capacité dite de deuxième frappe, l’apanage des grandes puissances nucléaires capables de répondre à une première attaque nucléaire.

    D’autres signaux, comme l’établissement d’un téléphone rouge – une ligne de communication directe et cryptée – entre Israël et le Kremlin, annoncé en juin, montrent que des choses bougent. «C’est un vieux débat», assure le chercheur Pierre Razoux, auteur d’une note sur le sujet et de l’ouvrage «Tsahal. Nouvelle histoire de l’armée israélienne» (Perrin, 2008). «En plusieurs occasions (1967, 1973, 1991, 2006), le pouvoir israélien s’est interrogé sur le bénéfice, en termes de sanctuarisation de son territoire, qu’il retirerait à clarifier sa stratégie nucléaire en renonçant à sa posture d’ambiguïté, explique-t-il. A chaque fois, ce sont les pressions de l’administration américaine qui l’ont fait renoncer, Washington craignant qu’une telle annonce ne mette en difficulté sa politique à l’égard du monde arabe». Aujourd’hui, ajoute Pierre Razoux, «compte tenu du climat tendu avec Washington, les dirigeants israéliens pourraient considérer l’affirmation de leur statut nucléaire comme un pis-aller, des frappes contre les installations nucléaires iraniennes semblant chaque jour plus improbables». De son côté, Stéphane Delory, de l’Observatoire de la dissuasion à la Fondation pour la recherche stratégique, estime au contraire que «la doctrine d’ambiguïté demeure solidement ancrée». Il faudra donc se contenter de la fiction officielle selon laquelle Israël ne sera pas le premier Etat du Moyen-Orient à y introduire l’arme nucléaire.

    Source : Secret Défense

  • La Manip pour tous!

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    E&R

  • Douze raisons de ne jamais voter Sarkozy

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    Henry de Lesquen, président du Club de l’Horloge

    ♦« Adopté en 2007 par le Parlement à la demande du nouveau président de la République N. Sarkozy, c’est, écrite autrement, la constitution européenne repoussée par référendum en 2005 ».

    Les électeurs votent souvent sur des promesses. Mais peut-on passer sous silence les bilans ? Ce n’est pas l’avis d’Henry de Lesquen. Farouche contempteur de Nicolas Sarkozy, Henry de Lesquen relève ici douze points de faiblesse dans la direction des affaires d’Etat de l’ancien président de la République. Un texte polémique mais d’une précision chirurgicale.
    Polémia.


    1 Accélération de l’immigration

    200.000 immigrés légaux par an, sans compter les illégaux, alors que ce n’était « que » 150.000 par an avant 2002, du temps où le socialiste Jospin était premier ministre. Cela fait plus de deux millions en dix ans, de 2002 à 2012 (Sarkozy a été ministre de l’Intérieur de 2002 à 2007, à quelques mois près, président de la République de 2007 à 2012, et c’est lui qui, pendant ces dix années, a eu la haute main sur la politique de l’immigration).

    2 Forfaiture du Traité de Lisbonne

    Adopté en 2007 par le Parlement à la demande du nouveau président de la République N. Sarkozy, c’est, écrite autrement, la constitution européenne repoussée par référendum en 2005.

    3 Réintégration dans l’OTAN et soumission aux Etats-Unis

    Comment un souverainiste ou un gaulliste pourrait-il voter pour Sarkozy sans se renier ?

    4 Accroissement de 600 milliards d’euros de la dette publique

    De 1.200 milliards en 2007 la dette publique passe à 1.800 milliards en 2008. Soit 10.000 euros de plus par Français.

    5 Explosion des dépenses publiques, qui ont atteint 56% du PIB en 2012

    Comment un libéral pourrait-il voter Sarkozy sans se renier ?

    6 Institution du Conseil français du culte musulman

    Les socialistes en avaient rêvé, Sarkozy l’a fait.

    7 Droit de séjour perpétuel pour les délinquants et criminels étrangers

    Dès 2002, abolition de la prétendue « double peine » à l’initiative de Sarkozy, ministre de l’Intérieur.

    8 Financement sur fonds publics des associations antiracistes comme SOS-Racisme

    9 Introduction de la théorie du genre à l’école

    La théorie du genre est introduite à l’école en septembre 2011, par Luc Chatel, son ministre de l’Education nationale.

    10 Création du délit d’homophobie

    C’est la loi Sarkozy du 18 mars 2003 pour la sécurité intérieure (Sarkozy est alors ministre de l’Intérieur), suivie de la loi du 30 décembre 2004 portant création de la Haute Autorité de lutte contre les discriminations et pour l’égalité, la HALDE (Sarkozy est alors président de l’UMP, formation majoritaire à l’Assemblée nationale).

    11 Nomination du pédophile Frédéric Mitterrand comme ministre de la Culture

    12 Financement sur fonds d’Etat de spectacles sacrilèges et christianophobes et répression brutale des manifestants

    Notamment, en 2011, pièces de Romeo Castelluci, Sur le concept du visage du Fils de Dieu (Paris, Théâtre de la Ville) et de Rodrigo Garcia, Golgota Picnic (Paris, Théâtre du Rond-Point).

     Henry de Lesquen
    25/11/2014

    Correspondance Polémia – 27/11/2014

     

    A  lire attentivement ! C'est incroyable tout le mal que cet homme a fait à la France et aux Français. Dehors, Sarkozy !

  • Le nazi Aloïs Brunner serait mort en Syrie il y a quatre ans à l'âge de 98 ans

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    Le Parisien | 01 Déc. 2014, 17h07 | MAJ : 01 Déc. 2014, 23h05

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    Aloïs Brunner, le bras droit d'Adolf Eichmann (Photo non datée.)
    (DR.)

    En 2001, il avait été condamné à la perpétuité par contumace en France  pour  la déportation de 352 enfants du camp de Drancy (Seine-Saint-Denis) qu'il avait dirigé entre juin 1943 et août 1944.

    Sur le même sujet

    2001 : Aloïs Brunner jugé par contumace

    Aloïs Brunner, le bras droit d'Adolf Eichmann, qui a organisé logistique de la solution finale, est très probablement mort à Damas, la capitale syrienne. C'était il y a quatre ans, il était alors âgé de 98 ans. Efraim Zuroff, le directeur du Centre Simon-Wiesenthal, qui traque les nazis, vient de l'annoncer au quotidien britannique «Daily Express».

    «Nous avons reçu des informations d’un ancien agent des services secrets allemands, qui a servi au Moyen-Orient, et qui nous a dit que Brunner était mort et avait été enterré à Damas», explique Efraim Zuroff, jugeant cette source fiable.  Aloïs Brunner, né en 1912 en Autriche, est aussi impliqué dans la déportation de juifs d'Allemagne, d'Autriche, de Macédoine et de Slovaquie. Selon le centre Wiesenthal, il est responsable de la mort de 128 000 personnes.



    «Aucun remords»

    Après avoir vécu sous un faux nom à Essen (dans l'ouest de l'Allemagne), il s'est enfui en Syrie dans les années cinquante. Là, il a pris le nom de Georg Fischer à Damas. Il  a« ouvert un petit magasin où il vendait des produits occidentaux et de la choucroute faite maison à des clients, principalement européens», selon «le Spiegel». Il a donné des conseils en répression et torture au régime. Hafez al-Assad tout comme son fils ont toujours nié sa présence sur le sol syrien.

    En 1961 et 1980, les renseignements israéliens, le Mossad, lui avait envoyé des lettres piégées, La première lui a fait perdre un œil, la seconde l'a blessé à main gauche. En 1985, il a donné une interview au magazine «Bunte».  Il n'a montré aucun remords. Sa haine était telle que le journal a dû censurer des passages entiers de l'entretien.

    Au tournant du millénaire, Aloïs Brunner a de nouveau été repéré dans un hôtel de luxe à Damas, selon le «Spiegel». Depuis lors, plus aucun signe jusqu'à la révélation de sa mort.
    Le Parisien
  • C’était un 1er décembre : mort de Charles de Foucauld

     

    Le 1er décembre 1916, Charles de Foucauld était assassiné par des Senoussis et des Touareg ajjer dissidents, armés par les services secrets allemands.
    Ancien saint-cyrien, après une vie dissolue, il s’était converti.
    Passé par la Trappe, en quête d’un idéal de pauvreté, d’abnégation et de pénitence encore plus radical, il s’était fait ermite.
    Devenu prêtre, il s’était finalement installé en 1905 dans le désert du Hoggar.
    On doit à cet homme fascinant un dictionnaire touareg-français et la fondation des Fraternités des petits frères du Sacré-Coeur.

    Il a été béatifié en 2005, le Vatican moderniste ignorant probablement certaines de ses conceptions (charitables et de bon sens) :

    « Comme vous, je désire ardemment que la France reste aux Français, et que notre race reste pure.
    Pourtant je me réjouis de voir beaucoup de Kabyles travailler en France ; cela semble peu dangereux pour notre race, car la presque totalité des Kabyles, amoureux de leur pays, ne veulent que faire un pécule et regagner leurs montagnes. » (lettre à René Bazin du 29 juillet 1916.)

    Source Thibaut de Chassey

  • C'est les soldes chez Maurice !

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    E&R