Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • François Hollande: "L'Afrique, c'est notre avenir "

    Par le 07/02/2015 - FDS

    22h57

    François Hollande a modifié son emploi du temps, remplaçant son déjeuner prévu à l’Élysée avec des chefs d’État africains par une série d’entretiens à Bercy en marge du forum franco-africain, avant de s’envoler pour Moscou.

    « L’Afrique, c’est notre avenir » a lancé le Chef de l’État qui souhaite relancer les relations avec l’Afrique sur une base d’égalité… Une nouvelle relation incarnée dans la Fondation franco-africaine pour une croissance partagée.

  • Charlie Hebdo soutenu par l’extrême droite israélienne

     

    Le chef de la diplomatie israélienne et candidat aux législatives Avigdor Lieberman et ses partisans ont contourné jeudi une interdiction officielle en mettant à disposition du public à Tel Aviv le dernier numéro de Charlie Hebdo avec le prophète Mohamed en couverture, a constaté un correspondant de l’AFP.

    La commission électorale chargée de veiller à la régularité des élections avait interdit mercredi à M. Lieberman et à son parti de mettre à exécution le projet annoncé de distribuer le journal au nom de la liberté d’expression.

    La commission a dit que la distribution de cadeaux dans un lieu public était interdit aux partis pendant la campagne précédant élections du 17 mars.

    M. Lieberman et les militants de son parti Israel Beitenou (droite ultra-nationaliste laïque) ont contourné l’interdiction en ne distribuant pas à proprement parler le journal ; la bouche symboliquement bâillonnée, ses sympathisants ont installé un stand permettant aux passants de consulter le journal satirique sur le boulevard Rothschild, l’un des axes les plus fréquentés de Tel Aviv.

    Lire la suite de l’article sur la-croix.com

    E&R

  • Haute-Savoie : la « Libre Pensée » fait retirer une statue de la Sainte Vierge dans un jardin public

     

    vierge_publier

    Choquée par l’apparition, en 2011, d’une statue de la Vierge dans un parc municipal, la Fédération de la Libre Pensée de Haute Savoie (encore eux !) avait demandé au maire de Publier (Haute-Savoie), Gaston Lacroix, de la déplacer. Le tribunal administratif de Grenoble vient de lui donner raison, en décidant « d’annuler les décisions » de refus du maire.

    « Considérant que la statue de la Vierge portant l’inscription ‘Notre Dame du Léman veille sur tes enfants’ constitue un emblème religieux ; qu’il est constant que le terrain sur lequel elle a été édifiée est un parc public ; que (… ) la commune ne pouvait légalement autoriser l’installation de cette statue sur le domaine public communal », le tribunal administratif, au nom de la loi de 1905 sur la séparation de l’Église et de l’État, a décidé « d’annuler les décisions (…) par lesquelles le maire de Publier a refusé de déplacer la statue de Notre Dame du Léman en dehors du domaine public communal ».

    « Cette statue est un repère »

    Gaston Lacroix, le maire (divers gauche) de cette commune de 6 500 habitants, n’aurait « jamais pensé que l’affaire prendrait une telle ampleur »: « J’ai eu les services de l’État hier, raconte-t-il. Ils sont bien embêtés, car le jugement ne réclame pas le retrait de la statue. Alors que faire? ».

     

    Bien qu’elle ait été bénie le 15 août 2011 par le curé de la paroisse, le père Robert Colloud, cette Vierge de 1,5 mètre de haut, qui surplombe la commune, est pour lui « à connotation culturelle plutôt que cultuelle ».

    « De nos jours, la France ne sait plus où elle habite !, s’afflige l’édile. Regardez, les gamins, ils ne savent plus à quoi se raccrocher, ils partent faire le djihad ! On assiste à une perte de repères. Dans ce pays d’éducation judéo-chrétienne, cette statue, c’est un repère. Moi qui fais beaucoup de randonnées en montagne, je peux vous dire qu’il n’y a pas un sommet où on ne trouve pas une croix ou une Vierge…»

    Une défense pleine de bon sens de la part de monsieur le Maire… Difficile d’en dire autant du curé malheureusement ! Le père Robert Colloud ne veut pas être « mêlé à cette histoire » : « L’intention n’était pas mauvaise, elle était même bonne, affirme-t-il. Mais ce n’était peut-être pas le moment de faire des choses comme cela… Moi je suis pour la paix ». Qu’un curé puisse imaginer le retour de la paix en France sans l’intervention de la Sainte Vierge laisse assez sceptique…

    La laïcité montre son vrai visage anti-chrétien 

    Le maire insiste : « cela ne signifie pas, ‘tu t’arrêtes et tu fais une génuflexion’… C’est juste un repère. Au Conseil municipal, tout le monde m’a apporté son soutien. Même des musulmans m’ont dit que cela ne les dérangeait pas de passer devant »

    A la Fédération de la Libre-pensée, on ne l’entend pas de cette oreille. « Depuis quand un maire de la République utilise-t-il sa fonction pour indiquer aux citoyens les repères qu’ils doivent avoir ?, interroge José Goemans. Le maire agit en tant que missionnaire qui veut évangéliser sa commune. Aujourd’hui, s’il est républicain, il doit procéder à l’enlèvement de cette statue. Il donnerait l’exemple ; ce serait un beau repère pour les jeunes ! S’il ne le fait pas, la Libre Pensée s’adressera au préfet de la Haute-Savoie et mènera campagne ».

    Gaston Lacroix fera-t-il appel de ce jugement ? Le maire assure qu’il « travaille avec ses services techniques pour sortir de cette histoire par le haut ». La laïcité à la française renoue avec ses vieux démons révolutionnaires, à commencer par la haine anti-chrétienne.

     Source

  • La réalisatrice du film L’Apôtre au commissariat suite à la plainte d’une Française juive…

     

     

    Lu sur Aleteia.org :

    Cette histoire surréaliste commence par un simple détail. Lequel ?


    Cheyenne-Marie Carron :
    Durant vingt secondes de mon film, on voit, à l’arrière-plan d’une scène, le haut d’une maison. Rien ne permet d’identifier ce bâtiment, mais sa propriétaire m’a appelée au téléphone pour se plaindre de ce que je lui faisais courir le risque d’attentats terroristes. Elle hurlait, et m’a réclamé un dédommagement financier. J’ai répliqué en publiant cette histoire sur ma page Facebook : « A la scène de fin de mon film L’Apôtre, j’ai filmé les deux personnages principaux… et le bout d’une maison en arrière-plan. Il n’y avait pas de feuillages sur les arbres, car c’était l’hiver. La propriétaire de cette maison, Madame X, vient de m’appeler en me menaçant de m’envoyer son avocat, et elle me demande de l’argent…. »

    Et c’est ce post qui vous a valu votre convocation ?
    C.-M. C. :
    Oui, une semaine après le dépôt de plainte de cette dame, j’ai reçu une lettre m’enjoignant de me rendre au commissariat. Je suis extrêmement surprise de voir avec quelle rapidité les policiers ont répondu à cette demande. Je connais des exemples de plaintes déposées pour des cas bien plus graves qui finissent en simple « mains courantes ». Là, il s’agit d’une femme manifestement persuadée que, parce qu’elle est de confession juive, elle est la cible de toutes les persécutions. Les forces de police ne lui rendent certainement pas service en rentrant dans son jeu, en cautionnant sa paranoïa !

    Pensez-vous, dans le contexte actuel que le sujet de votre film explique en partie cette convocation express ?
    C.-M. C. : J’espère que non. C’est très injuste car ce film qui parle de réconciliation et d’amour, réalisé avec un budget minimum et des bénévoles, ne me vaut que des ennuis ! D’abord les interdictions pour « risque terroriste », maintenant ça… Il n’y a rien dans mon film qui soit fait pour blesser les croyants, quels qu’ils soient. Précisément, dans la scène incriminée, où l’on voit la maison de cette dame en arrière-plan, c’est une réconciliation que je mettais en scène. Les deux frères, le musulman et les chrétiens converti, prient ensemble… J’ai crié Alleluia quand elle a été filmée ! J’aurais aimé que cette dame soit fière de voir sa maison apparaître sur une scène comme celle-ci. Au lieu de ça, je me suis retrouvée à cause d’elle photographiée de face et de profil, comme les criminels, puis auditionnée pendant trois heures. Une consolation tout de même : les policiers m’ont dit qu’ils regarderaient mon film après l’audition.

    NDF

  • Saint-Rémy-de-Provence: vandalisme et profanation à la Collégiale

    http://www.christianophobie.fr/breves/saint-remy-de-provence-vandalisme-et-profanation-a-la-collegiale?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+Christianophobie+%28Observatoire+de+la+christianophobie%29#.VNZFnLl0yM8

    Voir les photos...

    Encore un "déséquilibré" ?

  • Sophie Montel (FN) vs Frédéric Barbier (PS) sur France 3 Franche-Comté

    http://www.frontnational.com/videos/sophie-montel-sur-france-3-franche-comte-3/

  • Le petit tram de Stuttgart

    Capture.PNG musee du cochon Stuttgart.PNG

    Le cochon-tram passe devant le Musée du cochon de Stuttgart!

  • Une lettre à Pôle emploi

    Madame, Monsieur

     


     Je me permets de contester modestement ma radiation de la liste des demandeurs d'emploi, j'ai refusé plusieurs emplois je le concède mais j'ai des excuses qui me semblent acceptables.
      La première offre ne correspondait pas à mon profil, la deuxième était rémunérée très au-deçà de ce que je suis en droit d'attendre, toujours en fonction de mon profil, venons en à cette troisième proposition, certes le salaire est conforme à mon attente, oui le poste correspond à mon profil, mais j'ai refusé et voici ce qui a motivé ce refus :
      - Longtemps j'ai travaillé à Limoges... puis j'ai été limogé
      - On m'a vanté la mobilité et étant de bonne volonté, j'ai donc retrouvé un emploi à Vire... et j'ai été viré
     - Un miracle s'est produit, j'ai travaillé à Lourdes.... malheureusement j'ai été lourdé.....

    Vous comprendrez aisément pourquoi je refuse cette place que vous me proposez à Castres.

     

  • Le lycée musulman Averroès accusé de dérives islamistes

    PHO29287f78-ae1d-11e4-a2a5-b11488a015f6-805x453.jpg

    Une classe du lycée Averroès à Lille

    Un enseignant de l'établissement modèle lillois Averroès, sous contrat avec l'État, dénonce une laïcité flouée, un antisémitisme ambiant et une proximité avec l'idéologie des Frères musulmans..

    Un pavé dans la «vitrine» Averroès? La démission de Soufiane Zitouni, 47 ans, professeur de philosophie au lycée Averroès, annoncée au grand public par le biais d'une tribune de l'intéressé dans le journal Libération du 6 février porte un coup à l'établissement lillois modèle.

    Car ce lycée, portant le nom du philosophe musulman andalou du XIIe siècle, est le symbole de la synthèse réussie entre Islam et la République laïque. Il est le premier établissement musulman privé à avoir passé, en 2008, un contrat avec l'État (au même titre que les établissements catholiques, juifs et laïques privés).

    «Une façade», selon Soufiane Zitouni, qui dénonce une laïcité flouée, un antisémitisme ambiant, une élève évoquant même «la race juive maudite par Allah», et une proximité avec l'idéologie des Frères musulmans. Il explique ainsi n'avoir pu trouver un seul livre d'Averroès dans le centre de documentation de l'établissement, quand on y trouve en revanche des ouvrages des frères Ramadan. «Les responsables de ce lycée jouent un double jeu avec notre République laïque: d'un côté montrer patte blanche dans les médias (…) et ainsi continuer à profiter des gros avantages de son contrat avec l'État, et d'un autre côté, diffuser de manière sournoise et pernicieuse une conception de l'islam qui n'est autre que l'islamisme, c'est-à-dire, un mélange malsain et dangereux de religion et de politique», assène-t-il.

    «Les responsables de ce lycée jouent un double jeu avec notre République laïque.»

    Soufiane Zitouni

    Le 15 janvier, au lendemain des attentats, l'enseignant avait publié une première tribune dans Libération. «Ce Prophète caricaturé, insulté, moqué, mais surtout ignoré, est aussi Charlie, expliquait-il. Pourquoi tant de musulmans manquent aussi cruellement d'humour, de recul, de sérénité?»

    Aucune remarque alors du côté de la direction du lycée, qui opte pour la libre expression. Mais certains parmi les professeurs et élèves y voient un «blasphème». Jusqu'à cet échange avec «une élève récidiviste, raconte Soufiane Zitouni. Elle a expliqué en substance que les gens de Charlie n'étaient pas si innocents et les frères Kouachi pas si fous». Propos qu'il rapporte à la direction. «Ils m'ont expliqué que certains sujets étaient sensibles et m'ont invité à mettre de l'eau dans mon thé à la menthe…» sourit-il.

    «Accusations sans fondement»

    «Nous sommes profondément choqués. Il s'agit d'accusations sans fondement. Du bavardage.»

    Makhlouf Mamèche, directeur adjoint du lycée

    Du côté d'Averroès, c'est l'indignation. D'une même voix, les enseignants sous le choc se disent «salis». La direction a tenu hier une conférence de presse et annoncé son intention de porter plainte pour diffamation contre l'enseignant démissionnaire. «Nous sommes profondément choqués. Il s'agit d'accusations sans fondement. Du bavardage», s'insurge Makhlouf Mamèche, directeur adjoint du lycée, en charge de l'enseignement privé à l'Union des organisations islamistes de France (UOIF). Ce dernier est par ailleurs président de la toute jeune Fédération nationale de l'enseignement musulman (Fnem), qui recense deux établissements sous contrat (Averroès et le groupe scolaire al-Kindi à Lyon) et une trentaine d'autres hors contrat (3 000 élèves au total). La Fnem a été créée en mars 2014, en partenariat avec l'UOIF, laquelle est présidée par Amar Lasfar, recteur de la mosquée de Lille-Sud. «L'enseignement musulman en France va prouver qu'il peut former dans l'espace public des citoyens éclairés et responsables, des femmes et des hommes qui ont réussi leurs vies sociales et professionnelles et, dans la sphère privée, de bons musulmans», expliquait à l'époque Makhlouf Mamèche. L'affaire Averroès ne risque-t-elle pas d'éclabousser la fédération? Dans le cadre de la grande mobilisation de l'école pour les valeurs de la République, celle-ci était reçue pour la première fois rue de Grenelle par Najat Vallaud-Belkacem, au lendemain des attentats. Pour l'heure, le rectorat a annoncé qu'il avait demandé, «en accord avec le directeur de l'établissement», la mise en place d'une «mission d'inspection afin de vérifier le respect des termes du contrat d'association signé avec l'État». Dans le cadre de ce contrat, conformément à la loi Debré, le lycée est déjà régulièrement visité. Il se doit de suivre les programmes scolaires, en échange de quoi les salaires des enseignants sont financés. Et son «caractère propre» - tout ce qui relève de la «vie scolaire» - respecté.

    C'est en dehors des cours qu'un des responsables du lycée, lors d'un discours de remise des diplômes 2014, aurait expliqué «en présence de mécènes du Qatar» qu'«un jour, il y aura aussi des filles voilées dans les écoles publiques françaises», raconte encore Soufiane Zitouni. L'enseignant d'origine algérienne, né à Roanne, a passé une vingtaine d'années dans des établissements catholiques sous contrat, avant de rejoindre Averroès en septembre dernier. En prélude à toute discussion, il explique qu'il se réclame du soufisme, ce courant mystique de l'islam qui met l'accent sur l'expérience intérieure. Il estime que les professeurs d'éthique ou de culture islamique du lycée enseignent un dogme.

    Par le biais d'une autre tribune publiée sur le site L'Obs Le plus, le 20 janvier», Sofiane Meziani, l'un de ces professeurs d'éthique, a répondu à Soufiane Zitouni. «Le prophète, contrairement aux justifications de mon collègue, n'aurait accordé aucun crédit, ni aucune attention à l'humour de «Charlie Hebdo. (…) Charlie cultive l'abject ; le prophète, lui célébrait le beau»

    En arrêt-maladie depuis 15 jours, le professeur de philosophie a écrit à Najat Vallaud-Belkacem le 30 janvier. Il espère une nouvelle affectation. Sereinement. «Les soufis ne craignent que Dieu».

    LE FIGARO