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Florian Philippot: "Manuel Valls dégrade l'image de la France"

Florian Philippot invité de Frédéric Rivière sur RFI Matin

Commentaires

  • Le " journaliste " qui revient sans cesse à la charge sur les quelques " dérapages" de quelques candidats.
    C'est insupportable , cette allusion quasi religieuse à l 'antiracisme.
    L' antiracisme, une divinité, aux contours indéterminés, pour empêcher toute réflexion politique .
    L' antiracisme, une notion ectoplasmique pour faire des humains des ectoplasmes.

  • Heureusement Philippot se défend très bien contre ces accusations mensongères de l’interrogateur qui sont de misérables calomnies. Et comme nous en a prévenus Beaumarchais : calomniez, calomniez il en restera toujours quelque chose : c’est ça la tactique électorale de l’UMPS, vu qu’ils n’ont plus aucun programme !

  • Ci-après un portrait de Manuel Vals écrit par un de mes amis journalistes suisses qui lui ne prend pas de gants avec ce triste personnage :

    Manuel Valls à l’Intérieur, il ne s’en sortait pas si mal, mais depuis Matignon, c’est la catastrophe. En guise de Premier ministre, les Français ont hérité d’un criseux. Un vociférateur. Une boule de nerfs qui perd son sang-froid à la moindre occasion.

    De lui, on ne voit plus qu’une lave en fusion, ébouillantée par le cours contraire des choses. Une main qui tremble. Les mots de la haine et de la morale. Des postures d’Inquisiteur. La noire prunelle du moraliste. Dire qu’on traverse la France, et qu’on se croirait dans la salle capitulaire d’un couvent espagnol, sous le signe de Saint Dominique.

    Car Manuel Valls ne fait plus de politique : il hurle sa morale.
    Prenez l’incident du Palais Bourbon, face à Marion Maréchal-Le Pen. Indépendamment des sympathies que chacun de nous puisse nourrir pour l’un ou pour l’autre, qu’avons-nous vu ? Une élue du peuple, parfaitement légitime au milieu de 577, lui pose une question. Certes, elle ne lui fait pas de cadeau, le prend à partie. En guise de réponse, le Premier ministre, qui n’est pas chez lui mais chez les députés, vocifère sa hargne. Il n’argumente plus, il crie. Crache son venin. Se drape dans l’ordre du Bien, satanise l’adversaire, lui nie toute autorité à se réclamer de « la République » ou de « la France ». Tout cela, lui qui n’est pas élu mais désigné, face à une personne qu'une majorité démocratique de la 3ème circonscription du Vaucluse a envoyée siéger à Paris.

  • Dommage que vous n'avez pas publié mon commentaire parlant du portrait de Valls par un journaliste suisse.
    C'est du vrai Baudelaire.
    Vous pouvez me répondre à mon adresse e-mail :

    a.bazule@yahoo.fr

    Merci d'avance.

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