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  • Syrie: Washington avoue qu'il n'y a que des terroristes dans la zone d'action russe

    International
    19:52 03.10.2015(mis à jour 20:41 03.10.2015) URL courte
    Syrie: frappes aériennes russes contre les positions de l'EI (29)
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    Selon l'État-major américain, "il n'y a personne, sauf les terroristes" dans la zone d'action de l'aviation russe en Syrie, a annoncé le chef adjoint de l'Etat-major général des forces armées russes Andreï Kartapolov.

     

    Le militaire a également ajouté que l'attaché militaire américain en Irak avait été l'un des premiers informés du début de frappes aériennes russes. Moscou a demandé de retirer du territoire des opérations militaires en Syrie tous les instructeurs, les conseillers et les employés payés par l'argent du contribuable américain, et d'arrêter les vols américains.

    Dans le même temps, ces derniers jours, plus de 450 combattants syriens et 250 citoyens recherchés par le gouvernement ont décidé de déposer les armes et à revenir à une vie paisible dans la province de Deraa (sud). D'après l'agence arabe syrienne d'informations  Sana, dans le cadre du programme national de réconciliation, les combattants s'étant rendus avaient sur eux des fusils d'assaut, des mitrailleuses et des fusils de précision.

     

    L'Armée de l'air russe a entamé mercredi 30 septembre une opération militaire contre l'EI en Syrie sur décision du président russe Vladimir Poutine et à la demande du président syrien Bachar el-Assad. Les frappes aériennes russes ciblent les sites militaires, les centres de communication, les transports, ainsi que les stocks d'armes, de munitions et de combustibles appartenant à l'EI. Les cibles sont déterminées sur la base des données fournies par les services de renseignement russes et syriens, notamment par la reconnaissance aérienne.



    Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151003/1018577790/syrie-russes-opposition-terroristes-us.html#ixzz3nXFipq2z

  • Afghanistan : 19 morts à hôpital de MSF après un raid de l'OTAN, «inexcusable» pour l'ONU

    http://www.leparisien.fr/international/afghanistan-un-hopital-pris-pour-cible-au-moins-3-morts-et-30-disparus-03-10-2015-5150653.php

    Cela pourrait être une très grave bavure de l'armée américaine.
    Selon MSF, cette frappe a coûté la vie à 19 personnes, 12 employés, et sept patients, parmi lesquels trois enfants

  • Éric Zemmour : “De Gaulle appartient à une génération qui n’avait pas peur d’employer le mot race”

     

     

    03/10/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    “C’est l’un des charmes de la vie politique française que de s’étriper autour des tombeaux : une citation de Napoléon, de Jaurès ou de Clemenceau, et le feu prend dans la savane !”, fait remarquer Éric Zemmour à propos de l’affaire Nadine Morano.

    “Comme on ne peut toucher au général de Gaulle, devenu depuis sa mort une icône, on s’en prend violemment à celle qui le cite”, poursuit le journaliste. Il explique que “de Gaulle appartient à une génération qui n’avait pas peur d’employer le mot race”, et que c’est parce qu’il ne partageait pas le “rêve assimilationniste et universaliste” que portaient les derniers partisans de l’Algérie française qu’il avait accordé l’indépendance à celle-ci.

    Éric Zemmour ajoute :

    Nathalie Kosciusko-Morizet croit sans doute que le général De Gaulle arborait la petite main jaune de SOS-Racisme

  • LE GRAND RENVERSEMENT

     

    LE GRAND RENVERSEMENT  - La Russie au secours de l'Occident !

    La Russie au secours de l'Occident !



    Michel Lhomme
    le 02/10/2015
    Ce fut la première à le faire et elle a ses raisons. C'est la chaîne télévisée israélienne qui avait annoncé la semaine dernière que la Russie venait de déclarer la guerre officiellement à l’État islamique, confirmant ce que nous savions déjà depuis fin août, à savoir que l'opération militaire en Syrie serait déclenchée fin septembre. Des navires de guerre, des avions de chasse et des hélicoptères de combat sont arrivés depuis en Syrie et le but est donc avec le gouvernement officiel de Damas de neutraliser définitivement et mettre hors d’état de nuire l’Etat islamique (EI) et les rebelles salafistes sur le territoire Syrien. En déclarant la guerre officiellement du point de vue juridique - car il y a toute une tradition du droit de la guerre qui touchera d'ailleurs le statut des « réfugiés européens » - Poutine a le mérite d’être clair, ce que jamais la coalition « internationale » occidentale à laquelle appartient la France depuis l'Irak n'a été puisque dans la stratégie du chaos des néoconservateurs, la guerre se veut perpétuelle et civile. N'oublions pas que l'aviation des Etats-Unis et de la France bombardent les positions de l'EI en Syrie depuis près d'un an sans l'aval du Conseil de sécurité de l'ONU, ni du gouvernement syrien.
     
    En ce moment, Vladimir Poutine se retrouve le seul finalement à avoir le courage d’aller se battre contre ceux qui détruisent Palmyre et qui décapitent les chrétiens, le seul à défendre en définitive les sacro-saints principes occidentaux. Pourquoi le fait-il ? C'est que comme il l'a avoué dans son discours de l'ONU, Poutine sait très bien qui a armé Daesh, de quoi ISIS est le nom et qui les entraînent. Ce sont nos démocraties.  

    Les opérations des drones de reconnaissance russes avaient débuté la semaine dernière et ces drones avaient pour mission de localiser les positions des terroristes de Daech, sur le sol syrien. Laurent Fabius prétend que les avions russes se trompent de cible ou opèrent à l'aveugle. C'est le début de la guerre de l'information en cours qui déjà amène la France à accuser faussement la Russie de toucher des civils. 

    Dans toute cette affaire, Israël fulmine et en particulier, elle ne décolère pas contre les Etats-Unis. Tel-Aviv ne peut plus compter que sur un pays, la France pour défendre mordicus ses intérêts et encore, on susurre ici et là que la position de Fabius ne sera pas tenable longtemps . En tout cas, il y a bien une nouvelle coalition au Proche-Orient qui contrecarre tous les plans du grand Israël, c'est une coalition à cinq, la bande des cinq, se plaint-on à Jérusalem : la Syrie, l'Irak, l'Iran, le Hezbollah Libanais et la grande Russie de Poutine. On aura relevé au passage que suite à son entrevue à Moscou avec le Président russe, la presse occidentale était passée du titre  « Poutine et Netanyahou n’ont pas réussi à se mettre d’accord sur la Syrie », au titre « Israël et la Russie d'accord pour éviter toute confrontation militaire en Syrie ». Question subsidiaire : que peut maintenant faire Israël dans le ciel syrien sans risquer une confrontation avec l’armée Russe ? Rien, elle ne peut rien faire même si l'on ne peut écarter dans les semaines qui viennent une intervention secrète du Mossad, une opération false flag d'envergure aux États-Unis ou en Europe pour obliger Obama à être plus ferme face à la Russie. Pour l'instant, effectivement, il n'est pas exclu que la Syrie et le Hezbollah n'ouvrent avec le soutien de l'Iran un deuxième front sur le plateau du Golan, un plateau occupé par l'état hébreu depuis la guerre des six jours de 1967. Ce serait vraiment le moment opportun. Dans sa dernière visite à Moscou, Netanyahou a en fait voulu s'assurer que ce deuxième front ne serait pas ouvert mais Poutine ne lui a pas répondu. La coalition des 4 + 1, soi la Syrie, l’Irak, l’Iran, le Hezbollah Libanais et la Russie contre Daesh a déjà été formée.
     
    Israël se retrouve ainsi victime de ses propres excès. Qui oserait écrire aujourd'hui que la lutte contre Daesh est criminelle ? Difficile en effet de condamner les bombardements de la Russie, à moins de vouloir préférer les conciliabules interminables avec les égorgeurs et les décapiteurs. Le quotidien libanais, Al-Akhbar, a fait état avec enthousiasme de la création de la coalition des 4+1, pour lutter contre le terrorisme, au Proche-Orient. L'Iran envisagerait même de tenir sous peu un exercice naval conjoint avec la Russie.
     
    Ainsi, la montée en puissance de la Russie sur le théâtre syrien est assumée au plus haut niveau de la Fédération de Russie. C'est une incontestable victoire diplomatique pour Poutine, un virage stratégique qui a visiblement pris de court les USA et ses alliés. Les Occidentaux se retrouvent devant un choix cornélien. Soit ils soutiennent la Russie dans son action militaire en Syrie et aident, de facto, le gouvernement syrien à gagner la guerre. Ce qui signifie une défaite complète au Proche-Orient avec, pour corollaire, un nouveau statut d’arbitre des relations régionales pour la Russie. Soit, ils entrent en guerre contre la Russie et révèlent de facto les manipulations opérées avec Daesh  reconnaissant qu'en réalité ils n’avaient depuis le début aucunement l’intention de neutraliser le djihadisme. 

    Et c’est là le tour de force de Vladimir Poutine : rompre l’isolement occidental, contraindre les USA à soutenir leurs efforts pour permettre à Bachar el Assad de gagner la guerre, et ainsi faire de la Russie une puissance incontournable au Proche-Orient, une grande puissance avec laquelle on devra compter. Poutine est presque un diplomate artiste, un vrai joueur, en tout cas un remarquable tacticien qui sait saisir les bonnes occasions et même les provoquer, car il bénéficie d’un atout maître : une vraie réflexion géopolitique et la centralité de décision qui lui permet d’éviter les tergiversations et d’avoir une vraie continuité d’action. C'est très précisément ce que n'a plus le camp occidental.

    Pour l'instant, l’aviation russe a mené  ses premiers bombardements en Syrie à la demande du président Bachar el-Asad, Vladimir Poutine assurant qu’il fallait prendre les “terroristes” de vitesse et les frapper avant qu’ils ne viennent « chez nous ». L’accélération de l’engagement de Moscou s’inscrit sur fond de bras de fer entre le président américain Barak Obama et son homologue russe sur le sort à réserver à Bachar el-Assad, « tyran » pour l’un et rempart contre les jihadistes du groupe Etat islamique (EI) pour l’autre. Mécontent, le secrétaire d’Etat américain John Kerry s’est plaint auprès de son homologue russe Sergueï Lavrov et a jugé ces bombardements contre-productifs. Washington a toutefois estimé que l’intervention russe ne changerait rien aux missions anti-EI de la coalition. Un peu plus tôt ce mercredi matin, dans le souci de respecter les valeurs occidentales du droit de la guerre, Vladimir Poutine a demandé et obtenu le feu vert du Sénat russe pour lancer des opérations militaires sur le territoire syrien. Celles-ci devraient se limiter pour l’heure à des frappes aériennes mais nous ne doutons pas un instant qu'elles seront suivies sous peu du déploiement des troupes d'élite russes sur le sol syrien.
     
    (merci à Dirk)
  • Pour information: Gaëlle Mann twitter

    Chers lecteurs et amis,

    Vous pouvez retrouver facilement les notes et vidéos de mon blog sur twitter  en tapant "Gaëlle Mann twitter"

  • Marion Maréchal-Le Pen à RT: «Il est grand temps de s’atteler avec les Russes contre Daesh»

    http://francais.rt.com/opinions/7661-marionmarechal-daesh-russie-france

    560d62c3c461886b208b45bd.jpg Marion en Russie.jpg

  • Nadine Morano confirme ses propos à Moscou : « La France est un pays de race blanche avec des noirs »

     

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    Nadine Morano a estimé, aujourd’hui, à Moscou que la France est « un pays de race blanche avec des noirs, comme le Congo est un pays de race noire avec des blancs », répétant ses propos polémiques qui pourraient lui coûter son investiture pour les régionales.

    Nadine Morano participe à Moscou à un forum parlementaire sur la sécurité internationale où sont également présents le député des Français de l’étranger Thierry Mariani et la député du Front national Marion Maréchal-Le Pen.

    Elle risque de se voir retirer son investiture Les Républicains en Meurthe-et-Moselle aux élections régionales après qu’elle a réitéré mercredi ses propos polémiques sur la France, « pays judéo-chrétien (…) de race blanche qui accueille des personnes étrangères ».

    Fondatrice du groupe parlementaire «Pour un nouveau dialogue avec la Russie» au Parlement européen, l’ancienne ministre déléguée a également salué les frappes russes en Syrie.

    « La première étape est de ramener la stabilité en Syrie pour que les populations déplacés puissent rentrer chez elles. On ne peut pas ramener cette stabilité sans avoir la Russie avec nous », a-t-elle déclaré, ne voyant pas d’autre « interlocuteur crédible en Syrie » que son président Bachar al-Assad.

    NDF

  • Viktor ORBAN à l'Elysée !

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