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  • EN DIRECT - Cazeneuve envisage la «dissolution des mosquées qui profèrent la haine»

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/11/15/01016-20151115LIVWWW00003-en-direct-attentats-de-paris-daech.php

    C'est trop tard! Il fallait écouter le Front National avant les attentats.

  • Villepin : « Faire croire que nous sommes en guerre est un piège »

     

    L’ancien Premier ministre remet Valls à sa place

    Pour l’ancien Premier ministre de Jacques Chirac, le discours martial largement popularisé par Manuel Valls, le PS et l’opposition est une erreur.

     

    C’est une voix discordante. Mais elle est bienvenue. Invité dimanche du Grand Jury RTL/Le Figaro/LCI, Dominique de Villepin a récusé l’idée « d’être en guerre  », une expression abondamment utilisée par Manuel Valls, le PS et l’opposition depuis les attentats de vendredi soir. Or pour l’ancien Premier ministre de Jacques Chirac, « nous sommes dans une période où les mots doivent avoir du sens ».

    « Une guerre ce sont deux États et deux armées qui se confrontent  », justifie Dominique de Villepin, ce qui n’est pas le cas des terroristes qui ont agi à Paris et au stade de France :

    « Le fait [que les terroristes aient] utilisé des kalachnikovs, des grenades, un certain nombre de munitions [ne] constitue pas une armée reconnue dans le cadre d’un État. En l’occurrence, nous avons des groupes fanatiques, un parti totalitaire. »

    La nature de « l’ennemi  » n’est pas le seul argument avancé par Dominique de Villepin pour refuser de se considérer en guerre. « Je ne veux pas faire le jeu de l’ennemi  », ajoute-t-il en mettant en garde contre les conséquences de cette idée. Un « piège  », selon lui :

    « Quelle est la conséquence de cette idée ? La première, c’est de déresponsabiliser les combattants terroristes qui se disent : ’Nous frappons, nous sommes des guerriers’. La seconde, c’est que nous légitimons qu’ils sont en guerre, qu’ils ont des objectifs de guerre et qu’ils veulent conquérir notre territoire, des positions. »

    Ce n’est pas « parce qu’une bande d’assassins fanatiques vous déclare la guerre que vous tombez dans le piège de la surenchère », argumente-t-il. Surtout quand ces assassins « veulent nous diviser et pousser notre pays à la guerre civile  ».

    Lire la suite de l’article sur politis.fr

     

    Des propos qui n’ont pas plu à Frédéric Haziza, qui a réagi avec un Tweet en fin de journée dans lequel il invoque « l’esprit de Munich » :

    "Faire croire que nous sommes en guerre est un piège " clame @Villepin applaudi par @Politis #EspritDeMunich http://www.politis.fr/Villepin-Fair...

     

     

  • Pontivy. Manifestation anti-immigration: la presse subventionnée invente une agression racisre

    http://www.breizh-info.com/34722/actualite-societale/presse-invente-agression-raciste/

    Voir la vidéo qui est excellente!

  • VIDEOS - Attentats de Paris: trois frères impliqués

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/en-direct-attentats-a-paris-au-moins-129-morts-un-francais-parmi-les-terroristes-15-11-2015-5278369.php

  • Conférence de presse du procureur François Molins au lendemain des attentats de Paris


    Attaques à Paris : le procureur de la... par lemondefr

     

    Samedi 14 novembre 2015, 19h10

    Conférence de presse du procureur de la République, François Molins, prononcée à 19h10 le 14 novembre 2015 

     

  • Les assassins sont parmi nous…

    Samedi, 14 Novembre 2015
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    Dominique Jamet
    Politique
     
     
    Lorsque les quatre tueurs ont fait irruption dans la salle de concert du Bataclan, un témoin, un survivant, rapporte qu’ils ont crié « Allahou akbar ! ». L’un d’entre eux a prononcé quelques phrases où il était question de la Syrie. Puis ils ont ouvert le feu. Ils ont tiré aveuglément sur la foule des spectateurs. Ils ont tiré dans le tas. Au nom de Dieu. De leur Dieu. Le Dieu du carnage.

    Ça devait arriver. On le savait. On ne savait ni où ni quand ni comment. On ne connaissait ni le lieu ni le jour ni l’heure, mais on le savait. C’est arrivé. Paris a connu sa nuit la plus sanglante, la plus meurtrière depuis la Deuxième Guerre mondiale. Une nuit de massacre, de sang et de mort.

    Les précautions prises, les mesures adoptées en vertu du plan Vigipirate, poussé à l’écarlate, n’ont servi de rien, et pas plus les malheureux soldats qui patrouillaient trois par trois au pied de la tour Eiffel ou dans les halls d’Orly et de Roissy que les vigiles qui priaient courtoisement les dames d’ouvrir leur sac à l’entrée des grands magasins. La veille encore, le ministre de l’Intérieur se félicitait de la vigilance qui avait permis à la police de déjouer un vague projet d’attentat contre la base navale de Toulon. Pendant ce temps, dans le secret le plus absolu, quelques dizaines de fanatiques armés jusqu’aux dents dont l’enquête nous dira s’ils étaient fichés comme « radicalisés », dangereux, déjà partis ou revenus de Syrie, mettaient la dernière touche à la préparation de leur raid sauvage.

    La France avait pris le parti, avec les moyens dont elle dispose, de participer aux opérations de bombardement menées depuis des mois dans le ciel de l’Irak et de la Syrie par l’étrange coalition qui poursuit dans le désordre et l’inefficacité des buts compliqués et des ennemis variables au Moyen-Orient. On annonçait à son de trompe au début de cette semaine le départ pour la région de notre unique porte-avions flanqué d’une frégate britannique et d’un bâtiment belge. Pouvions-nous imaginer que nos actions qui, pour limitées qu’elles soient, frappent à quatre heures d’avion de Paris les positions djihadistes et leurs alentours, resteraient indéfiniment sans réplique ? Pouvions-nous imaginer que Daech ou Al Qaida, qui disposent en Europe d’une cinquième colonne infiltrée dans la population n’exerceraient aucune représaille contre notre pays ? Ce n’est ni dans leur caractère ni dans leurs habitudes.

    Nous nous sommes impliqués dans un conflit qui ne connaît ni trêve ni frontières, où l’adversaire ne fait aucune distinction entre le front et l’arrière, entre militaires et civils, entre innocents et coupables. Nous nous retrouvons, hébétés, en première ligne. Nous avons vécu la nuit dernière, pour la première fois, une situation qui est depuis des années le quotidien de Bagdad, de Kaboul, de Beyrouth, de Damas ou de Mogadiscio dont nous suivons distraitement le martyre à travers les quelques lignes et les quelques secondes que veulent bien leur accorder nos médias dès lors que le nombre des victimes d’un attentat y dépasse les dizaines.

    La guerre que nous nous flattions de tenir à distance nous a rattrapés. Elle est sur nous, nous sentons son haleine brûlante sur nos villes, nos aéroports, nos gares, nos stades, nos théâtres, nos cinémas, nos cafés, nos restaurants, nos écoles, nos collèges, nos lycées, nos facultés, nos stades, nos métros, nos commissariats, nos avenues, nos rues. Les cibles sont partout, nous sommes tous des cibles et les assassins sont parmi nous, prêts à frapper où ils veulent, quand ils veulent. Il faut nous rendre à l’évidence : nous ne pouvons faire la guerre au loin et avoir la paix chez nous.

    Le gouvernement, dans l’urgence, a décrété l’état d’urgence. Il a décidé, face au terrorisme, de reprendre le contrôle de nos frontières que la grande invasion pacifique des migrants ne lui avait pas paru justifier. Face à la réalité de la menace terroriste, il a dans les faits, en cas de flagrant délit, rétabli la peine de mort rayée de notre droit, et il ne se trouvera personne, espérons-le, pour le lui reprocher. Peut-être va-t-il se décider à mettre hors d’état de nuire les quelques milliers d’individus repérés et fichés comme dangereux, peut-être va-t-il se décider à donner le coup de pied qui s’impose dans la fourmilière salafiste, à incarcérer ou à expulser les prêcheurs de haine, les propagandistes de la soumission, les adeptes de la violence et d’une manière plus générale tous ceux qui, vivant en France ou titulaires de papiers français, sont dans leur tête et se conduisent dans leurs actes comme de fidèles ressortissants du califat des Barbares. Peut-être comprendra-t-il enfin que les islamistes ne nous offrent le choix qu’entre la soumission et la guerre et que, tout compte fait, s’il faut faire la guerre, il vaut mieux, comme disait le vieux Louis XIV, la faire à nos ennemis qu’à nos enfants.

    Passé le moment de la stupeur, le temps du deuil et l’appel à l’unité nationale, que nos dirigeants prennent et assument leurs responsabilités, et qu’ils sachent qu’ils seront jugés aux actes.

    source

    Boulevard Voltaire :: lien

    VOXNR

  • La "boue populiste" !

     

    Face à l'indécence des réactions politiciennes à chaud, notamment d'une partie de l'extrême droite, le sénateur PS Luc Carvounas "condamne" avec "la plus grande fermeté ces propos". Pour ce proche de Manuel Valls, "le parti de Marine Le Pen cherche désespérément à diviser la France et les Français en tenant des propos ignobles". Il répond également aux "propos consternants" de Gilbert Collard qui a appelé à voter Marine Le Pen dans un élan de récupération. Il dit :



    Les propos consternants de Gilbert Collard qui emboîte le pas de ses comparses Louis Alliot et Nicolas Bay, tous proches collaborateurs de Marine Le Pen, sont à ce titre révélateurs de la boue populiste dans laquelle se vautre aujourd’hui le Front National.
    Le Lab europe1
  • Accident TGV en direct: le bilan monte à 10 morts

    1019520282.jpg tgv.jpg

    International
    URL courte
    917447750

    Une rame d'essai d'un TGV déraille près de Strasbourg: dix morts et sept blessés, selon la préfecture.

     
    19h10 Déraillement d'un TGV d'essai à Strasbourg: le plus grave accident de TGV depuis 1981
    18h35 Des hélicoptères ont commencé à évacuer les victimes, selon des témoins
    18h25 D'après France Bleu, Ségolène Royal et Guillaume Pepy sont attendus sur les lieux
    Une cellule de crise a été activée en préfecture du Bas-Rhin et un poste de commandement avancé installé près des lieux de l'accident. La ministre Ségolène Royal et le secrétaire d'Etat chargé des Transports Alain Vidalies vont se rendre sur place, accompagné du président de la SNCF Guillaume Pepy. Dans l'après-midi, des hélicoptères de la Sécurité civile survolaient les lieux.
     
    16h46 La préfecture a précisé que cette rame d'essai, qui, selon la SNCF, circulait avec des techniciens à bord, aurait "déraillé en raison d'une vitesse excessive". La piste terroriste n'est donc pas pour l'heure retenue et aucun lien n'est établi avec les attentats de Paris de vendredi soir.

    Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/international/20151114/1019519868/tgv-france-deraille-victimes-en-direct-morts-mis-a-jour.html#ixzz3rVoWM0Ap



  • Les collégiens polonais apprennent la physique en coulant des réfugiés syriens

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    6369204033

    En Pologne, un professeur de physique a donné à ses élèves un problème dans lequel il leur demandait de compter le nombre de réfugiés syriens à faire tomber dans l'eau à partir d'un radeau.

     

    Le problème proposé aux adolescents de 14 ans d'un collège de Białystok, ville la plus peuplée du nord-est de la Pologne, a provoqué un véritable scandale dans le contexte de la crise migratoire.

    Quatre réfugiés syriens tentent gagner la Grèce sur un radeau de un mètre par 2 mètres, haut de 20 centimètres, et 800kg/m2. Calculez le nombre de réfugiés que vous devrez faire tomber du radeau afin que celui-ci puisse se maintenir à la surface et atteindre sa destination, sachant que chaque migrant pèse en moyenne 60 kg.

    Telles étaient les conditions du problème proposé aux écoliers polonais dans le cadre de leur cours de physique.

    La mère d'une des élèves n'a pas pu retenir son indignation et a immédiatement publié sur Twitter la photographie du cahier de physique de sa fille.

     

    "Je pensais que l'école était un endroit où on apprenait la tolérance et la compréhension mutuelle. Je ne crois pas que je me trompe. Je propose de changer les conditions de ce problème: "Comment doit-on sanctionner un professeur de physique raciste  tout en préservant la réputation des autres enseignants?", a-t-elle commenté.

    Il convient de noter que, jusqu'à ce que ce scandale éclate, le professeur en question en était à sa troisième année d'enseignement et qu'étant donnée la créativité de sa pédagogie, sa candidature avait même été proposée pour le concours du meilleur enseignant de l'année.

    Pour le moment, on ignore si l'individu ingénieux sera ou non sanctionné. Cependant, les parents ont déjà réclamé qu'il soit tenu à distance de leurs enfants.



     http://fr.sputniknews.com/international/20151112/1019456651/refugies-pologne-ecole.html#ixzz3rVjDGT63