Marche arrière toute. Trois jours après les attentats du 13 novembre, François Hollande avait proposé devant le Congrès du Parlement la mise en place d’une mesure permettant de déchoir de la nationalité française un individu « condamné pour une atteinte aux intérêts fondamentaux de la Nation ou un acte de terrorisme, même s’il est né français ».
D’après plusieurs sources concordantes, l’exécutif hésiterait aujourd’hui à maintenir cette mesure dans le projet de réforme de la Constitution. Ce n’est « pas une idée de gauche », avait déjà regretté, le 4 décembre, Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire du PS, suivi par Martine Aubry et Anne Hidalgo.
VALEURS ACTUELLES
Commentaires
On s’en doutait : l’annonce de la déchéance de nationalité par le gouvernement était purement électoraliste pour les régionales. Maintenant celles-ci étant passées, ils l’abandonnent. Ainsi ils pourront dire que les terroristes sont français !
Les socialistes sont des gens qui vivent en permanence le pantalon baissé sur les chevilles. Il fallait s'attendre à cette reculade après les mensonges et l'indignation de circonstance !
Tout chez eux (et leurs frères siamois de l'UMP) est tromperie, fourberie, promesses non tenues, abandons de souveraineté, soumission femelle aux plus forts !