David Rothkopf
02/02/2016 – SOCIÉTÉ (NOVOpress)
Il en est qui le nient, crient au fantasme, traînent en justice ceux qui osent dire qu’il est en cours et que c’est le plus grand phénomène de l’histoire – je veux parler, bien sûr, du Grand Remplacement ou, de manière moins littéraire, du génocide en cours des peuples de souche européenne. Il en est qui s’en réjouissent ouvertement. Sous le titre « La fin d’une époque… pour les mâles blancs », David Rothkopf, rédacteur en chef du magazine américain Foreign Policy, y a récemment décrit en propres termes, avec précision et jubilation, tous les aspects du processus.
« Les hommes blancs, relève d’abord Rothkopf, ont eu un grand succès. De l’essor des Grecs à la naissance des grands empires occidentaux, ils ont contrôlé une grande partie du monde ou cherché à le faire. L’histoire est très largement le résultat des décisions prises par les hommes blancs qui étaient au pouvoir ». Heureusement, tout cela est en train de s’achever. Rothkopf énumère les facteurs de ce « grand tournant de l’histoire mondiale ». C’est, d’abord, l’essor « des grandes civilisations non-blanches », en Asie et en Afrique, tandis que « les sociétés qui avaient donné à l’homme blanc sa plus grande influence dans le monde – celles de l’Europe et des États-Unis – ont du mal à maintenir leur influence dans le monde ». Dans ces mêmes sociétés occidentales, les droits des femmes s’imposent, après « des millénaires de répression ». Surtout, « les flots de réfugiés et de migrants ont transformé la démographie des sociétés ».
« Il en résulte que le statu quo qui datait de plusieurs millénaires va connaître un bouleversement. Rien qu’en Europe, l’afflux des migrants et des réfugiés est déjà en train de produire des changements démographiques irréversibles – un grand mélange des cultures. Aux États-Unis, d’ici le milieu de ce siècle, l’ancienne population majoritaire sera une minorité. La majorité, selon les démographes, sera non-blanche. À cette date, l’Europe comprendra des masses de populations d’Afrique, du Moyen-Orient et d’Asie.
C’est-à-dire que, en 2050, ce seront les hommes blancs qui cocheront la case “autre” sur les formulaires de recensement ». Les peuples concernés, du reste, le sentent bien. Les hommes et les femmes politiques, en Amérique et en Europe, qui s’opposent à l’immigration de masse, doivent tout leur succès « à une reconnaissance culturelle croissante, quoiqu’inconsciente, que ce qui a été la classe ethnique la plus privilégiée du monde n’a plus longtemps à vivre ».
Rothkopf se fait lyrique pour célébrer « les merveilleux avantages » de ce qu’il appelle « la diversité » – « chaque vague de sang neuf et d’idées nouvelles ». « Certainement, conclut-il, nous ne devons pas, ne serait-ce qu’un seul instant, déplorer la fin de l’âge de l’homme blanc, car il y a du moins une lueur d’espérance qu’arrivera bientôt l’âge de “tous” » – de tous sans les Blancs.
Faut-il voir là une aberration individuelle de l’idéologie « progressiste », poussée jusqu’à ses plus folles conséquences ? Faut-il y reconnaître plutôt, selon la thèse, célèbre et très discutée aux États-Unis, de Kevin MacDonald, une stratégie de groupe parfaitement rationnelle, par rapport aux intérêts de ceux qui la conduisent ? Rothkopf, ancien secrétaire d’État au commerce de Bill Clinton, membre de quantité de think tanks, n’est pas un antifa boutonneux. Il s’agit bien, en tout cas, de notre sort à nous – de notre extermination, de notre disparition de la face de la terre.
Rothkopf, dans son exultation, n’a pu se retenir de nous jeter à la face le destin que le Système nous prépare.
Flavien Blanchon
Commentaires
ce cynique individu ne fait que confirmer le Plan, mais les naïfs et autres gogols n,y verront que facétieuse boutade . .!!
et avant que tous les blancs disparaissent de la surface de la terre , de l,eau coulera sous les ponts . .!!
salutations.
La vérité finit toujours par se révéler et ça va mieux en la disant. Merci à David Rothkopf pour sa franchise !
Cette jubilation signe son appartenance au peuple de la destruction,hier,aujourd'hui et demain et son analyse sa profonde inculture,il ne doit pas connaître Gobineau,ce sont vraiment des nuls,ils vont régner sur qui et quoi!
Il y a surtout trop de "têtes rouges " plus dangereuses que les plus dangereux serpents.
Les Blancs n ' ont pas été une " ethnie privilégiée ", sinon par leurs qualités intrinsèques.
Ils ne doivent leur réussite qu ' à leurs qualités, contrairement à certains dans lesquels Rothkopf peut se reconnaître.
Quant aux " sang neuf et aux idées nouvelles " apportées par les populations africaines et moyen orientales...cela ne mérite même pas une réponse, sauf que l ' on se demande pourquoi ces populations supérieures aux yeux de Rothkopf ont le besoin obsessionnel de s ' installer chez les Blancs
La disparition de la race blanche, ni même celui de son pouvoir sur ses terres, ne se produira pas, comme le souhaite ce salopard qui porte sur son visage les stigmates de la haine et de la dégénérescence.
Déjà il sera intéressant de voir la qualité de cohabitation entre les asiatiques et les populations africaines.
Cettte cohabitation sera très saignante car les asiatiques n ' auront pas la patience des blancs.
La partie est jouée et nous l'avons perdue .
Rien d'étonnant à cela : la conjonction de l'idéal des démocrasseux et du misérabilisme chrétien secrète un tel poison que nulle société n'y résiste .
Est-ce dire que le sort des plus nombreux , de l'humanité souffrante aille s'améliorer ?
Certainement pas .
Regardez des vidéos sur les rapports entre travailleurs africains et chinois
Ils sont impitoyables , les Célestes .
Nous , les Blancs , nous fûmes de bonnes poires .
additif:
La prolifération extravagantes des sous-développés n'est pas un problème bien difficile à résoudre ...