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  • Jean-Louis Harouel : « Sur le sol européen, l’islam a profité à plein des droits de l’homme » [interview]

    http://www.breizh-info.com/2016/05/31/44278/harouel-europe-islam-droits-de-l-homme-religion-catholicisme

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  • Le génome d’un Carthaginois révèle une origine européenne

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    01/06/2016 – CARTHAGE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Une équipe internationale de chercheurs a procédé au séquençage du génome mitochondrial complet d’un jeune homme de Carthage. Cette ville de l’actuelle Tunisie était une colonie phénicienne à l’époque, vers 500 ans avant Jésus-Christ.

    On savait déjà que ce Carthaginois était de race europoïde. C’est ce que révélait son squelette et plus particulièrement son crâne : il avait l’apparence d’un Européen de type méditerranéen et mesurait 1,70 m. Cette origine est confirmée par l’étude génétique, publiée par la revue Plos One. En effet, l’homme appartenait à un groupe génétique européen appelé U5b. Cet haplogroupe est hérité de la population de chasseurs-cueilleurs d’Europe de l’Ouest.

    Aujourd’hui, moins de 2% des Européens de l’Ouest portent cette marque génétique. On en trouve notamment trace dans l’Europe de l’Ouest, par exemple au Portugal. Cette proximité fait dire aux chercheurs que ce Carthaginois-là n’avait probablement pas d’origines proche-orientales, alors que les Phéniciens sont supposés être des Sémites. En revanche, par leurs multiples implantations en Méditerranée occidentale, les Phéniciens ont pu faciliter la venue d’Européens en Afrique du Nord.

    Ce génome constitue le témoignage génétique le plus ancien que l’on ait trouvé de la présence européenne dans une zone géographique qui était alors berbère. Cette présence remonte donc a minima au VIe siècle avant l’ère chrétienne. Les scientifiques espèrent désormais pouvoir séquencer l’ADN de Phéniciens de souche, pour en savoir plus sur l’origine de ce peuple.

     

     

  • Police : les effectifs promis par Hollande ne sont pas au rendez-vous

     

     

     

    INFO LE FIGARO - Le président s'y était engagé : son quinquennat devait être marqué par la création de 9000 postes de policiers et gendarmes. Un chiffre loin de la réalité, puisque, selon les calculs de la Cour des comptes, seuls 390 emplois ont été réalisés sur la période 2012-2015.

     
     

    «Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent.» La formule chère à l'ancien ministre de l'Intérieur Charles Pasqua s'appliquerait-elle désormais aux forces de l'ordre? À en croire les tout derniers rapports officiels, en tout cas, la création d'effectifs annoncée pour la sécurité depuis quatre ans ne correspond en rien à la réalité du solde d'emplois dans la police et la gendarmerie nationale. Bref, ce qui a été promis à ces deux grandes institutions est encore loin d'être réalisé.

    La gauche s'était engagée sur des milliers d'emplois supplémentaires. François Hollande lui-même, lors du congrès à Versailles, en novembre 2015, avait annoncé 5000 créations de poste qui viendraient, sous deux ans, s'ajouter aux quelque 4000 créations de postes revendiquées depuis 2013, pour un total de 9 000 policiers et gendarmes supplémentaires, à terme. Une vraie ambition.

    Seulement voilà: là où le gouvernement parle d'emplois inscrits dans les dépenses de l'État, les corps chargés du contrôle du budget lui rappellent cruellement qu'un emploi programmé n'est pas toujours un emploi exécuté.

    Tout est inscrit noir sur blanc dans deux documents clés tout frais. Le premier est le «Rapport annuel annexé au projet de loi de règlement du budget et d'approbation des comptes pour 2015», relatif donc à la sécurité, sorti le 25 mai dernier. Le second, publié le même jour, est la «Note d'analyse sur l'exécution budgétaire 2015» faite par la Cour des comptes. Un document extrêmement précis, sur lequel le président de cette institution, Didier Migaud, était même auditionné ce mercredi, devant la commission des lois de l'Assemblée nationale.

    On y apprend que depuis 2012, seulement 390 emplois supplémentaires ont été créés au total pour les missions police (+ 110 emplois) et gendarmerie (+ 280 emplois) du ministère de l'Intérieur. Loin des milliers de créations de poste annoncées dans les discours. Les emplois réalisés en 2012 étaient de 239.040, contre 239 430 en 2015.

    Non seulement les effectifs ont quasiment stagné, mais la Cour des comptes révèle que les plafonds d'emplois pour 2015, c'est-à-dire, les emplois inscrits au budget, qui étaient de 242.412, se sont soldés in fine par 2865 emplois de moins que prévu.

    Dans le détail, c'est 1390 emplois de moins que prévu pour la police et 1077  de moins qu'annoncé pour la gendarmerie. Cet écart entre la communication officielle et la réalité du terrain est d'autant plus embarrassant que le pouvoir actuel a fait de la politique de recrutement sa marque de fabrique, pour se distinguer de la précédente majorité, qui avait, pour sa part, décrété et assumé une politique de déflation des effectifs de sécurité au nom de la rigueur budgétaire.

    Les raisons de cette contre-performance sous Valls et Cazeneuve? Les départs à la retraite, très importants chaque année, seraient difficiles à compenser, assure le député Républicain d'Eure-et-Loir, Olivier Marleix, qui suit ce dossier à l'Assemblée. Le plus inquiétant est que plus les années passent, plus l'écart entre ce qui est annoncé et réalisé est important.

    Le député Marleix concède toutefois que depuis les attentats Beauvau semble s'être ressaisi. Cet élu avait eu droit aux railleries de Bernard Cazeneuve, le 5 novembre dernier, quand, à l'Assemblée, il l'avait interrogé sur ces écarts étranges dans les effectifs. Huit jours plus tard, les attaques de Paris rendaient ses critiques plus audibles. Sincère ou pas, le gouvernement n'a plus qu'une loi de finances pour tenir ses engagements. Le manque en effectifs se solde, pour l'heure, en milliers d'emplois.

  • Livre Libre - G. Collard/J. Trémolet de Villers : le procès de Jeanne d'Arc

     

    “Je ne sais pas sur quoi vous me voulez interroger. Par aventure, me pourriez-vous demander telles choses que je ne vous dirais point”. Telle est la première réponse de Jeanne d’Arc à son procès. Le ton est donné et remarquablement restitué par Jacques Trémolet de Villers, écrivain et brillant avocat qui, depuis 50 ans, se passionne pour les causes les plus difficiles. L’auteur présente tous les actes du procès de Rouen, vérifie toutes les sources et nous propose de suivre les audiences et de découvrir la subtile ligne de défense de la Sainte et héroïne de la Patrie. Le livre est magnifique.
    Et quand un grand avocat, Jacques Trémolet de Villers, rencontre un célèbre avocat, Gilbert Collard, cela offre un beau débat. 
     
    TV Libertés
  • Irak: premières Communions à Erbil

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    C’est une photo particulièrement émouvante que celle qui montre des enfants chrétiens s’apprêtant à recevoir leur première Communion dans un camp de réfugiés d’Erbil, capitale de la région autonome du Kurdistan irakien. Elle a été prise vendredi 27 mai dans le camp Aishty n° 2 qui rassemble 5 500 réfugiés chrétiens, dont 2 000 enfants, la plupart sont des habitants de Qaraqosh (Bakhdida en syriaque) qui ont fui la ville voici deux ans. Il y a deux autres camps de réfugiés chrétiens à Erbil, numérotés Aishty n° 1 et Aishty n° 3. Ce 27 mai dernier, Mgr Yohanna Petros Moshe, archevêque syro-catholique de Mossoul, a présidé la cérémonie de première Communion pour un premier groupe de 175 garçons et filles dans l’église provisoire qui ne peut recevoir plus de 800 fidèles. C’est pourquoi deux autres cérémonies se dérouleront les vendredis 3 et 10 juin car, en tout, ce sont 470 enfants qui font leur première Communion cette année.

     

    Source : Assyrian International News Agency, 28 mai

    Observatoire de la christianophobie

     

  • VIDEO - NVB veut justifier un enseignement précoce de l'arabe

    http://www.bvoltaire.fr/videos/najat-vallaud-bellacem-tente-de-justifier-lenseignement-precoce-de-larabe,259900?mc_cid=1644c6533f&mc_eid=0b0d8f3739

  • Réfugiés à Paris: qu'est-ce qu'un camp humanitaire "aux normes de l'ONU"?

    http://www.lexpress.fr/actualite/societe/refugies-a-paris-qu-est-ce-qu-un-camp-humanitaire-aux-normes-de-l-onu_1797663.html

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    Les Misérables !

     

     

  • Le Dalaï-Lama : « L’Allemagne ne peut devenir un pays arabe »

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    31/05/2016 – 14H30 Berlin (Breizh-info.com) –Le Dalaï-Lama va t-il subir les foudres de la bien-pensance européenne après ses propos contre l’immigration ?  «Quand nous regardons le visage de chaque réfugié, surtout ceux des enfants et des femmes, nous ressentons leur souffrance et un être humain qui a de meilleures conditions de vie a la responsabilité de les aider. Mais d’un autre côté, il y en a trop à présent» en Europe, a déclaré le chef spirituel des Tibétains au quotidien Frankfurter Allgemeine Zeitung avant de poursuivre : «L’Europe, l’Allemagne en particulier, ne peut devenir un pays arabe, l’Allemagne est l’Allemagne». Le chef spirituel des Tibétains, poussé à l’exil par les Chinois, reprend ainsi lui aussi la notion de Grand Remplacement qui menace, à court terme, l’Europe, si elle ne ferme pas ses frontières.

    «Il y en a tant que cela devient difficile sur le plan pratique. Et sur le plan moral, je trouve aussi que ces réfugiés ne devraient être accueillis que provisoirement. L’objectif devrait être qu’ils retournent (dans leur pays) et aident à reconstruire leur pays», a estimé le Dalaï Lama, qui était de passage à Berlin.

    La question des réfugiés et plus globalement de l’immigration en Europe est passée au second plan médiatique depuis le mouvement social contre la Loi Travail.

    Toutefois, les arrivées de « migrants » se poursuivent, y compris en provenance de pays qui ne sont pas en guerre . A Kerlaz petite commune du Finistère, 18 immigrés sont arrivés récemment, en provenance d’Irak, d’Iran (pays qui n’est pas en guerre) et d’Afghanistan, rejoignant ainsi six autres immigrés du Koweit (pays qui n’est pas en guerre) et du Soudan. A Saint-Malo, des mineurs isolés étrangers en provenance de plusieurs de ces pays posent des problèmes de sécurité aux locaux. A Lorient, une famille géorgienne, pourtant déboutée du droit d’asile, n’a toujours pas été expulsée vers son pays d’origine, un pays qui lui non plus n’est pas en guerre. La mobilisation d’associations de gauche et d’extrême-gauche vise à mettre une pression forte sur l’État, tout en tentant de toucher la population par le « viol psychologique » au nom de l’humanitarisme et des droits de l’homme.

    La sortie percutante du Dalaï-Lama – incarnation du bouddhisme et de la sagesse asiatique – contraste  avec les appels incessants à l’immigration et à l’accueil émanant en particulier de l’Église catholique et du Pape François .

    Crédit photo : DR
    [cc] Breizh-info.com, 2016 dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine

  • 30 mai 1431 : mort de Sainte Jeanne d’Arc ; son cœur resté intact miraculeusement, après le bûcher

     

    Jeanne d'Arc sur le bûcher, Jules-Eugène Lenepveu (1886-90)

    Ce jour est la fête religieuse de Sainte Jeanne d’Arc, morte un 30 mai.

    D’après les témoignages le cœur de la sainte fut l’objet d’un miracle : dans l’impossibilité de le consumer, le bourreau l’a jeté dans la Seine.

    Concernant sa mort et ce fait, voici la déposition de frère Isambard de la Pierre, dominicain ayant assisté aux événements :

    « A son dernier jour, Jeanne se confessa et communia. La sentence ecclésiastique fut ensuite prononcée. Ayant assisté à tout le dénouement du procès, j’ai bien et clairement vu qu’il n’y eut pas de sentence portée par le juge séculier. Celui-ci était à son siège, mais il ne formula pas de conclusion. L’attente avait été longue. A la fin du sermon, les gens du roi d’Angleterre emmenèrent Jeanne et la livrèrent au bourreau pour être brûlée. Le juge se borna à dire au bourreau, sans autre sentence : « Fais ton office ! »

    Frère Martin Ladvenu et moi suivîmes Jeanne et restâmes avec elle jusqu’aux derniers moments. Sa fin fut admirable tant elle montra grande contrition et belle repentance. Elle disait des paroles si émouvantes, dévotes et chrétiennes que la multitude des assistants pleurait à chaudes larmes. Le cardinal d’Angleterre et plusieurs autres Anglais ne purent se tenir de pleurer ; l’évêque de Beauvais, même lui, versa quelques pleurs.

     

    Comme j’étais près d’elle, la pauvre pucelle me supplia humblement d’aller à l’église prochaine et de lui apporter la croix pour la tenir élevée tout droit devant ses yeux jusqu’au pas de la mort, afin que la croix où Dieu pendit, fût, elle vivante, continuellement devant sa vue.

    C’était bien une vraie et bonne chrétienne. Au milieu des flammes, elle ne s’interrompit pas de confesser à haute voix le saint nom de Jésus, implorant et invoquant l’aide des saints du paradis. En même temps elle disait qu’elle n’était ni hérétique, ni schismatique comme le portait l’écriteau. Elle m’avait prié de descendre avec la croix, une fois le feu allumé, et de la lui faire voir toujours. Ainsi je fis.
    A sa fin, inclinant la tête et rendant l’esprit, Jeanne prononça encore avec force le nom de Jésus. Ainsi signifiait-elle qu’elle était fervente en la foi de Dieu, comme nous lisons que le firent saint Ignace d’Antioche et plusieurs autres martyrs. Les assistants pleuraient.

    Un soldat anglais qui la haïssait mortellement avait juré qu’il mettrait de sa propre main un fagot au bûcher de Jeanne. Il le fit. Mais à ce moment, qui était celui où Jeanne expirait, il l’entendit crier le nom de Jésus. Il demeura terrifié et comme foudroyé. Ses camarades l’emmenèrent dans une taverne près du Vieux-Marché pour le ragaillardir en le faisant boire. L’après-midi, le même Anglais confessa en ma présence à un frère prêcheur de son pays, qui me répéta ses paroles, qu’il avait gravement erré, qu’il se repentait bien de ce qu’il avait fait contre Jeanne, qu’il la réputait maintenant bonne et brave pucelle ; car au moment où elle rendait l’esprit dans les flammes il avait pensé voir sortir une colombe blanche volant du côté de la France.

    Le même jour, l’après-midi, peu de temps après l’exécution, le bourreau vint au couvent des frères prêcheurs trouver frère Martin Ladvenu et moi. Il était tout frappé et ému d’une merveilleuse repentance et angoissante contrition. Dans son désespoir il redoutait de ne jamais obtenir de Dieu indulgence et pardon pour ce qu’il avait fait à cette sainte femme : « Je crains fort d’être damné, nous disait-il, car j’ai brûlé une sainte ».

    Ce même bourreau disait et affirmait que nonobstant l’huile, le soufre et le charbon qu’il avait appliqués contre les entrailles et le coeur de Jeanne, il n’avait pu venir à bout de consumer et réduire en cendres ni les entrailles ni le coeur. Il en était très perplexe, comme d’un miracle évident. »

    Et cet extrait de la déposition de Jean Massieu, huissier :

    « Accompagnée de frère Martin, Jeanne fut conduite et liée, et jusqu’au dernier moment elle continua les louanges et lamentations dévotes envers Dieu, saint Michel, sainte Catherine et tous les saints.
    En mourant, elle cria à haute voix : Jésus !

    Je tiens de Jean Fleury, clerc et greffier du bailli, qu’au rapport du bourreau, le corps étant réduit en cendres, le coeur de Jeanne était resté intact et plein de sang.
    On donna ordre au bourreau de recueillir tout ce qui restait de Jeanne et de le jeter à la Seine, il le fit. »

    Source

  • Affaire Roman Polanski: la Pologne rouvre une procédure d’extradition vers les Etats-Unis

    http://www.20minutes.fr/people/1855727-20160531-affaire-roman-polanski-pologne-rouvre-procedure-extradition-vers-etats-unis

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    JUSTICE C’est ce que le ministre de la Justice, Zbigniew Ziobro, a annoncé ce mardi matin