A la demande du ministère des Affaires étrangères, Jean-François Carenco s’est exprimé devant une assemblée de diplomates étrangers. Il a livré une philosophie de la métropole.
Comment vendre le Grand Paris aux investisseurs étrangers ? En réunissant les ambassadeurs de leur pays d’origine dans les locaux chamarrés du Quai d’Orsay. Ce jeudi matin, dans le cadre du Club des entrepreneurs, le préfet de la région Ile-de-France, Jean-François Carenco, a entrepris d’expliquer à un aréopage d’une soixantaine de diplomates l’intérêt de la métropole parisienne pour les capitaux internationaux.
«Des communautarismes, on en trouve partout».
Mais ces propos à forte teneur économique sont intervenus à la fin d’une réflexion comme on n’en entend pas souvent dans la bouche de hauts fonctionnaires. Certes, il s’agissait de faire comprendre l’idée métropolitaine à un cercle de non-spécialistes. Mais quand même… «Je vais essayer de vous faire partager l’ambition de la métropole, a posé d’emblée Jean-François Carenco. La métropole, ce n’est pas une grande ville. C’est un territoire nécessairement rayonnant, métissé, ouvert. Création de valeur, lien social, émotion culturelle : c’est ça, le fondement de la métropole. » [...]
Commentaires
Territoire " ouvert ". Mais à quoi ?
Du blabla grand Orient pour mieux occulter la réalité que tout le monde voit: Paris est une ville délabrée, dont les infrastructures ne sont pas entretenues, sale, puante, dangereuse. La France est vraiment le successeur de l ' URSS.
Leur Grand Paris ouvert métissé, c'est l'or en barre pour eux!
anonyme : au moins la défunte URSS n,était pas ouverte au métissage à tous vents . .!!
salutations.
"...émotion culturelle..." : il faut lire pisse-Christ et tam-tam ;o)
On ne peut pas avoir d' "émotion culturelle" devant les cacas contemporains... ;o)
Quelle phraséologie de technocrate jacobin, pour lequel il n'y a plus de villes historiques, mais des "territoires" économiques et des "métropoles" métissées et métisseuses qu'il faut rentabiliser ! C'est ce qu'il appelle une "philosophie de la métropole"
"Le sens de la terre sera un jour supplanté par celui du terrain." Oswald SPENGLER
Allez faire un tour du côté de la place de la république salie, taguée, occupée par des utopistes, des sans papiers, des "migrants" divers et variés, des enfants mendiant, voyez tout autour les vitrines brisées des banques ou des agences immobilières ("Agence Couderc, près du Bd Richard Lenoir, paneaux de bois en guise de vitrine et l'écriteau "Chers clients, nos vitrines ayant été vandalisées, entrez dans nos bureaux pour voir nos offres de vente et location. La direction."), les affiches "police partout, justice nulle part", les détritus, la saleté, la misère, les établissements fermés pour cause de faillite ou autres. Le "grand Paris", le pauvre petit Paris décadent en fait dont les boites mêmes des bouquinistes sont taguées ! Parce-que plus aucune autorité n'est exercée avec force et détermination pour arrêter les salauds qui dégradent le bien public même en plein jour au vue de la police impuissante et probablement même sans volonté d'appliquer les lois peu sévères à leur encontre. Tout cela nous désespère, c'est la laideur, le laisser aller, les gens malades qui urinent ou défèquent en pleine rue voire dans le métro, le retour des poux dans les écoles, les soupes populaires avec cet incroyable gaspillage de baguettes de pain, ces bouteilles vides sur les bancs ou par terre en dépit des récipients à quelques mètres d'elles ! J'ai HONTE, ça pue, c'est môche, on n'est sûr de rien ni de personne, des établissements sur lesquels on comptait disparaissent successivement, c'est la "mal bouffe" et l'arnaque partout, ça, c'est Paris !
Il faudrait lui coller trois poin(t)gs dans la tronche ;o)