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  • Manifestation anti-loi Travail: "plus de 2.000" policiers mobilisés jeudi, indique le préfet de police

    Alors que des violences avaient émaillé la dernière mobilisation contre la loi Travail, le préfet de police de Paris a adressé mercredi un message très clair de fermeté à la veille de la manifestation – finalement autorisée – prévue ce jeudi dans la capitale: « Toute exaction donnera lieu à des interpellations immédiates », a-t-il prévenu, précisant que « les syndicats se sont engagés à renforcer leur service d’ordre ».

    Les participants « invités à ne pas prendre de sac à dos »

    Lors de ce point presse, le préfet de police Michel Cadot a détaillé le dispositif mis en place pour encadrer le cortège: plus de 2.000 fonctionnaires de police » – des forces mobiles (CRS) mais aussi autres services comme la brigade fluviale – seront mobilisés.

    Il sera interdit de se masquer et un « dispositif de filtrage » sera mis en place « en amont de la Place de la Bastille, pour éviter que ne soient introduits des projectiles ou masques », a-t-il précisé. D’autre part, « les participants sont invités à ne pas prendre de sac à dos ». 

    Comme lors d’occasions précédentes, des arrêtés d’interdiction de paraître aux abords de la manifestation ont été pris à l’égard d’une centaine de personnes, a-t-il ajouté, expliquant que la mesure concernait des personnes interpellées précédemment dans des manifestations, dont certaines seront convoquées ultérieurement par la justice.

    Station Bastille fermée, retrait des véhicules et des bateaux

    Des mesures seront également prises pour les riverains. « On sera amené à enlever les véhicules » en stationnement sur la zone de manifestation « et notamment boulevard Bourdon et boulevard Bastille ». De même, la préfecture de police assurera sur Twitter et sur son site internet une information continue « sur les conditions de circulation et les conséquences ». 

    Le préfet de police a également évoqué un retrait du port de l’arsenal des bateaux qui souhaiteraient s’éloigner, qui seront regroupés dans une zone proposée par Ports de Paris.

    Enfin, la station de métro Bastille sera entièrement fermée. Les manifestants devront emprunter d’autres stations. 

    BV

  • Philippe de Villiers : « La question identitaire est la question centrale »

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    18/06/2016 – FRANCE (NOVOpress) : « La question identitaire est la question centrale et toutes les autres sont secondaires. Un pays peut perdre sa souveraineté, mais il ne peut survivre en perdant son identité », assène Philippe de Villiers dans le numéro 2 du magazine France, où il succède, en couverture, à Marion Maréchal-Le Pen.

    L’entretien exclusif que Philippe de Villiers a accordé à France s’étale sur dix pages. Le fondateur du Puy du Fou y cite ce propos que lui avait tenu Alexandre Soljenitsyne en 1993 : « Un pays peut perdre sa souveraineté et c’est grave, mais le plus grave c’est s’il perd son identité. » Soljenitsyne avait ajouté : « Mais vous avez, à l’est de l’Europe, des pays qui ont perdu leur souveraineté (on se souvient de la souveraineté limitée de Brejnev) mais qui ont gardé leur identité. Ces pays s’en sortiront. » Mais la France ? Mais le reste de l’Europe ? Extraits de ce magnifique entretien avec Philippe de Villiers.

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    France : Vous diriez que la double menace dont vous parlez est historique pour la France, vitale peut-être même ?

    Philippe de Villiers : La menace est vitale, unique et inédite, oui. La France a connu des périodes extrêmement difficiles, parfois de guerre civile, souvent de guerres extérieures et elle a très souvent été occupée depuis la Révolution française. On a transformé le peuple français en chair à canon au nom d’une idéologie du genre humain avec laquelle la patrie devenait non pas la terre charnelle, mais un outil au service même de l’idéologie.

    Mais jamais une telle menace d’implosion et d’explosion à la fois n’a pesé sur la France. Nous n’avons jamais vu s’installer sur notre territoire, avec l’aide de la cinquième colonne de nos élites, une population appartenant à une autre civilisation incompatible avec la nôtre et avec un taux de fécondité différentiel qui laisse peu de doute sur l’issue démographique.

    La seule question importante pour les quelques années qui viennent, avant qu’il ne soit trop tard, c’est la question de l’identité française. La question identitaire est la question centrale et toutes les autres sont secondaires. Un pays peut perdre sa souveraineté, mais il ne peut survivre en perdant son identité. Un pays peut être accablé d’impôts, mais s’il garde son identité, il pourra se libérer.

    Car un pays qui perd son être, sa substance, la science exacte de son passé et de son patrimoine, qui perd sa langue, porte d’accès à ses chefs d’œuvre et vecteur de la compréhension de lui-même, ne peut survivre.

    Je ne dis pas ça pour paraître romantique, mais parce que l’Histoire nous l’enseigne. Nous connaissons des cas glorieux de nations, de grandes cités, et même de civilisations qui ont disparu. Il ne faut jamais oublier le mot de Paul Valéry : « Nous autres, civilisations, nous savons maintenant que nous sommes mortelles. » Les Amérindiens, les Spartiates, les Grecs, Athènes et Rome ont disparu.

    Philippe de Villiers

    France : Pour vous, il faudrait donc défendre l’identité avant la souveraineté ?

    Philippe de Villiers : La question identitaire est liée à la question de la souveraineté, mais elle prime sur cette dernière et je vais vous expliquer pourquoi. Un pays qui n’a plus le pouvoir ne peut plus se commander lui-même. Quand il est commandé par d’autres, il est une colonie. C’est notre cas, nous sommes une colonie des firmes a-nationales qui conduisent la politique américaine, puisque les commissaires de Bruxelles ne sont que des pantins.

    Les Polonais ont connu cette situation, les Hongrois aussi, mais ils n’ont pas perdu leur identité. Ils ont cultivé leurs souvenirs, leurs affections, leurs us et coutumes, leurs traditions, leurs équilibres, ils ont gardé leurs tissus.

    Dans le cas français, c’est au moment où nous perdons notre souveraineté que nous perdons également notre identité. Prenons un exemple : la ministre de l’Éradication Nationale, Najat Vallaud-Belkacem, fait bien son travail, elle détruit tout. C’est l’Attila de l’éducation, il ne repousse pas d’herbes derrière elle et c’est bien la mission qui est la sienne : détruire les humanités, la langue française et l’histoire de France et en finir avec la liberté de l’école.

    Alors la question est simple : combien de temps un pays peut-il vivre en tenant ses enfants dans l’ignorance de sa propre histoire ? Ou pire encore : combien de temps un pays peut-il survivre quand il donne à ses enfants une image ignominieuse de son propre passé ? Est-ce qu’un pays peut survivre lorsqu’il pratique ad nauseam la honte de lui même ?

    Nous sommes devenus un pays dans lequel on ne propose plus nos drames, nos larmes, nos gloires, nos fiertés. Nous prenons donc le risque que des jeunes qui habitent chez nous aillent chercher ailleurs d’autres drames, d’autres larmes, d’autres gloires et d’autres fiertés. Aujourd’hui, les héros qui sont mis à la dispositions de la jeunesse française sont doubles : les héros consuméristes sans âme de la Coca-colonisation ou alors les héros du djihad.

    Je me souviens avoir dit un jour à Pasqua : « Toi et moi voulons le retour à la souveraineté, très bien. Mais après, qu’est ce qu’on en fait de la souveraineté ? » Il nous faut bien sûr rétablir la souveraineté mais surtout retrouver notre identité, la préserver tant qu’il est encore temps.

  • Un arrêt de travail pour une IVG, ou la banalité du mal…

     

     

    Le Syndicat national des gynécologues et obstétriciens est devenu le porte-étendard de la « réaction » et du « sexisme » en France !

    Docteur en droit, journaliste et essayiste
     
     

    On savait que l’interruption volontaire de grossesse, en France, était devenue une méga-foire à la brocante où les vies de petits êtres en formation valaient bien moins que les désirs de s’en débarrasser au nom de mille motifs exposés sur les étals obscènes de cet hypermarché des droits-créances.

    On sait encore, horresco referens, que, depuis le 5 juin 2016, un simple décret élargit le champ de compétences des sages-femmes qui pourront, désormais, réaliser ces mêmes IVG par voie médicamenteuse (ou létale, c’est selon) et – comble de l’hypocrisie – vacciner l’entourage de la mère et du nouveau-né (pour vil prix du rachat d’une pseudo-mauvaise conscience ?).

    On saura, dorénavant, que le Syndicat national des gynécologues et obstétriciens de France (SYNGOF) est devenu, via les réseaux sociaux, notamment, le porte-étendard de la « réaction » et du « sexisme » en France. Pour avoir effectué un don massif à la fondation Jérôme-Lejeune ? Vous n’y êtes pas ! Alors, plus modestement, pour avoir porté ce décret en annulation devant le Conseil d’État ? Nenni ! Vous faites fausse route, derechef. Plus tristement banal, pour avoir contesté auxdites sages-femmes le pouvoir d’administrer un abortif ? Vous brûlez, mais ce n’est pas tout à fait ça.

    Bon, allez, on vous dit tout, par la voix d’une représentante de ce « SYNGOF » qui considère que les sages-femmes n’auraient pas les compétences pour délivrer un arrêt de travail de quatre jours ni le renouveler. Sur sa page Facebook, ce médecin se justifie :

    Soit il y a une complication et la patiente a dû être vue aux urgences gynécologiques pour hémorragie et l’arrêt de travail est prescrit pour complications ; soit tout se passe bien et on propose à la patiente de choisir le jour de l’expulsion un jour férié avec un adulte, si possible le compagnon ou une amie, ou de poser un jour de congé (cela lui évite de donner un arrêt de travail à son employeur et de craindre de devoir s’expliquer avec ses collègues). […] Si on considère que la femme est l’égale de l’homme au sein du travail et qu’elle puisse enfin être payée comme l’homme et avec égalité, il faut que les professionnels de santé évitent les arrêts de travail injustifiés à leurs patientes. »

    Hourvari médiatique. Ou peu s’en faut. Sans rire, avec la componction funèbre qui sied aux gardiens du temple de l’ordre moral progressiste, Slate (19 juin) commente avec emphase et sur le ton infantile du type « Oh la la ! Je vais le dire à la maîtresse ! » : « La docteure (sic) Élisabeth Paganelli a écrit quelques mots pleins (re-sic) de sexisme sur la page Facebook du Syndicat national des gynécologues et obstétriciens de France. […) Un discours plein de mépris pour les sages-femmes […] mais aussi envers les femmes dont l’IVG “se passe bien”. » La praticienne ainsi mise à l’index se voit même « félicitée » par un de ses bienveillants confrères pour être aussi « profondément réactionnaire ».

    Voilà où nous mène la banalité du mal. Alors que l’on s’attendrait à un minimum de compassion (sinon un silence gêné, à tout le moins) de la part du « SYNGOF », celui-ci s’offre le luxe indigne d’une polémique dérisoire sur le sexe des (faiseuses d’)anges. La communion unanimiste, uniforme, univoque sur l’avortement, ses causes et ses conséquences psycho-physiologiques et socio-anthropologiques (quelle est la valeur de la vie ?) inhibe toute réaction saine sur un sujet sculpté dans le granite d’un dogme d’État.

    Sans doute la République tressera-t-elle des couronnes de lauriers mortuaires à la féministe Benoîte Groult, qui vient de décéder à l’âge honorable de 96 ans, tandis que les plus faibles d’entre nous, perdus dans les limbes de l’oubli anonyme, attendront encore d’entrer au Panthéon d’une patrie si peu reconnaissante à leur égard.

    BV

  • Le Printemps des Patriotes

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    C’est au cœur de l’ancienne capitale impériale que le Mouvement européen des nations et libertés (MENL) s’était donné rendez-vous pour marquer le 1er anniversaire de sa création.

    Vienne, où un vent de liberté s’est levé il y a quelques jours à l’occasion d’une élection présidentielle historique. Election à l’issue de laquelle nos amis du FPO et son candidat Norbert Hofer ont incarné cet élan formidable de renouveau, cette soif insatiable des peuples européens à recouvrer le cours de leur destin et à reprendre leur avenir en main.

    Certes, la victoire électorale a échappé pour quelques voix douteuses au camp patriote, résultat qui fait d’ailleurs l’objet d’un recours, mais le succès idéologique n’en est pas moins là. En Autriche, tout comme chez nous, ceux qui rabâchent comme pour mieux se rassurer, de l’existence d’un plafond de verre, voient se rapprocher inéluctablement leur défaite.

    D’élections en élections, le basculement patriotique se précise, de scrutins en scrutins, l’espérance grandit.

    Il fallait être à Vienne durant ces trois jours pour percevoir ce changement, cet état d’esprit, cet enthousiasme propre aux peuples qui touchent du doigt cette liberté bientôt retrouvée.

    Nos amis du FPO et son dynamique président Heinz-Christian Strache ont porté cet élan pendant toute la campagne, l’extraordinaire accueil qui nous a été réservé, cet engouement patriotique qui a accompagné ces journées où se sont retrouvés les représentants des différents courants patriotiques élus au Parlement européen, ne laissent planer aucun doute : l’avenir appartient aux peuples, les Nations sont de retour.

    De Vienne à Paris, la liberté guide nos pas. Face à une caste européiste s’enfonçant chaque jour un peu plus dans un totalitarisme étouffant, jamais mot d’ordre n’avait résonné avec autant de ferveur : Patriotes de tous les pays, unissez-vous !

    Marine Le Pen

    Carnets d'espérances

  • Voter Clinton, c'est voter pour de stupides guerres éternelles !

    http://www.bvoltaire.fr/hildegardvonhessenamrhein/voter-clinton-cest-voter-pour-de-stupides-guerres-eternelles,263494?mc_cid=8c428171ac&mc_eid=0b0d8f3739

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  • Louis Aliot sur France 5

  • Toulouse : «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants» (Màj : Hassen condamné)

     

    0h59

    L’homme qui avait menacé des policiers de la brigade anticriminalité, mardi soir, place des Pradettes à Toulouse, est passé en comparution immédiate, jeudi dernier, devant le tribunal correctionnel, qui l’a condamné, pour menaces de mort, outrages et rébellion, à 30 mois de prison ferme.

    Le ministère public avait requis 24 mois de prison à l’encontre du prévenu, Hassen Koufa, 44 ans, dont le casier judiciaire comporte 32 condamnations.

    Les faits se sont déroulés 24 heures après l’attaque meurtrière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste se réclamant de l’organisation État islamique. C’est dans ce contexte très particulier et tendu que des fonctionnaires de la BAC ont été pris à partie alors qu’ils contrôlaient un groupe de jeunes gens. C’est à ce moment-là que l’homme est arrivé. «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants !» Interpellé et placé en garde à vue, cet homme avait d’abord refusé d’être entendu. [...]

    La Dépêche


    24 heures après l’attaque meurtière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste ayant prêté allégeance à l’organisation Etat islamique, un homme a menacé des policiers mardi soir place des Pradettes à Toulouse.

     

    Alors que des agents de la BAC, la brigade anti-criminalité de Toulouse, contrôlaient un individu qui consommait de l’alcool sur la voie publique, vers 22 heures 30 place des Pradettes, ce dernier s’est mis à les invectiver d’une manière pour le moins menaçante. Il a en effet affirmé qu’il allait « égorger » les policiers et « mettre une balle dans la tête de leurs femmes et de leurs enfants ».

    L’homme âgé de 44 ans, qui était sous l’emprise de l’alcool, a été interpellé et placé en garde à vue à Toulouse. Il devrait être déferré au parquet dans la journée.

    La Dépêche

  • Toulouse : «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants» (Màj : Hassen condamné)

     

    0h59

    L’homme qui avait menacé des policiers de la brigade anticriminalité, mardi soir, place des Pradettes à Toulouse, est passé en comparution immédiate, jeudi dernier, devant le tribunal correctionnel, qui l’a condamné, pour menaces de mort, outrages et rébellion, à 30 mois de prison ferme.

    Le ministère public avait requis 24 mois de prison à l’encontre du prévenu, Hassen Koufa, 44 ans, dont le casier judiciaire comporte 32 condamnations.

    Les faits se sont déroulés 24 heures après l’attaque meurtrière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste se réclamant de l’organisation État islamique. C’est dans ce contexte très particulier et tendu que des fonctionnaires de la BAC ont été pris à partie alors qu’ils contrôlaient un groupe de jeunes gens. C’est à ce moment-là que l’homme est arrivé. «Je vais vous égorger et vous mettre une balle dans la tête, vous et vos enfants !» Interpellé et placé en garde à vue, cet homme avait d’abord refusé d’être entendu. [...]

    La Dépêche


    24 heures après l’attaque meurtière de Magnanville, durant laquelle deux policiers ont été assassinés par un terroriste ayant prêté allégeance à l’organisation Etat islamique, un homme a menacé des policiers mardi soir place des Pradettes à Toulouse.

     

    Alors que des agents de la BAC, la brigade anti-criminalité de Toulouse, contrôlaient un individu qui consommait de l’alcool sur la voie publique, vers 22 heures 30 place des Pradettes, ce dernier s’est mis à les invectiver d’une manière pour le moins menaçante. Il a en effet affirmé qu’il allait « égorger » les policiers et « mettre une balle dans la tête de leurs femmes et de leurs enfants ».

    L’homme âgé de 44 ans, qui était sous l’emprise de l’alcool, a été interpellé et placé en garde à vue à Toulouse. Il devrait être déferré au parquet dans la journée.

    La Dépêche

  • Magnanville : le proche d’Abballa remis en liberté avait été déchu de sa nationalité française

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    22h21

    Cet homme de 41 ans avait été placé en garde à vue ce mardi à l’issue d’une série de six perquisitions menées aux Mureaux dans l’entourage de Larossi Abballa. Cette enquête, distincte du double meurtre de Magnanville, concernait de « possibles menaces sur des policiers ».

     

    [...] Ce suspect est présenté comme un « proche » du djihadiste qui a tué un couple de policiers le 13 juin à Magnanville. Comme le meurtrier de 25 ans, il a vécu aux Mureaux. Tous deux ont été condamnés par la justice pour avoir participé à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un acte de terrorisme, le premier en 2013 dans une filière pakistano-afghane, le second en 2007 pour des liens plus ou moins directs avec le groupe responsable des attentats de Casablanca en 2003. [...]

    Franco-marocain déchu de sa nationalité française [...] Le suspect – deux autres personnes perquisitionnées n’ont pas été interpellées- avait fait parler de lui ces derniers mois. Cette connaissance franco-marocaine de Larossi Abballa, avait en effet été déchu de sa nationalité française par un décret du 7 octobre 2015. Cette information de RMC a été confirmée à L’Express par des sources concordantes.

    L’Express

  • Usa : et si Trump avait été assassiné ?

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    Jean Bonnevey, journaliste ♦

    Un jeune britannique voulait le tuer à Las Vegas, il espère recommencer

    La démocratie aurait-elle été en danger, comme après l’assassinat de l’élue travailliste pro- immigration en Grande-Bretagne, si le candidat Trump aux Usa avait été tué ?

    On nous permettra d’en douter. Et pourtant le futur candidat républicain a bien été l objet d’une tentative d’assassinat qui sera, on en fait le pari, passé quasiment sous silence, contrairement au meurtre de Jo Cox. On sait comment raisonnent les médias. Dans le cas de Cox, c’est le discours de haine qui pousse au meurtre, son discours à elle n’y est bien sûr pour rien.

    Dans le cas de Trump, c’est son discours qui provoque la violence, le candidat tueur ayant donc d’énormes excuses.

    L’un sera jugé motivé politiquement et l’autre sans doute seulement déséquilibré…. Tournez manège.

    On reviendra donc sur cette tentative indiscutable d’assassinat qui n‘aurait pas relancé le débat sur les armes…. Michael Sandford l’a trouvé sur place.
    Il était déterminé à abattre le candidat à la présidentielle américaine. Michael Sandford est en ce moment détenu sans possibilité de libération sous caution car il est considéré comme dangereux et présentant un risque d’évasion, a indiqué, à l’Agence France-Presse, Nathalie Collins, porte-parole du bureau du procureur.

    La prochaine audience dans cette affaire aura lieu le 5 juillet. Si Michael Sandford est reconnu coupable d' »acte de violence sur un terrain privé » il risque plus de dix ans de prison et 250 000 dollars d’amende.

    « Sandford a révélé qu’il avait fait des plans pour venir à Las Vegas afin de tuer Donald Trump », précise la plainte du gouvernement américain, qui cite  un agent du Secret Service, le service de protection du président américain et d’autres personnalités, y compris les candidats à l’élection présidentielle.

    Le jeune homme a confié aux enquêteurs après son interpellation qu’il s’était rendu dans un stand de tir à Las Vegas pour apprendre à tirer avec une arme à feu, car il n’en avait jamais utilisé. L’accusé a reconnu qu’il n’aurait probablement pas pu tirer plus d’une ou deux balles et s’est dit convaincu qu’il aurait été tué par les forces de l’ordre pendant sa tentative, précise la plainte.

    Michael Sandford a également confié aux enquêteurs qu’il avait acheté un billet pour un autre rassemblement à Phoenix, en Arizona (sud-ouest), avec l’intention « d’essayer à nouveau de tuer (Donald) Trump » si son plan échouait à Las Vegas. Le jeune homme, qui vit aux États-Unis depuis un an et demi, a vécu dans le New Jersey (est) avant de venir en Californie (ouest). Il a affirmé aux enquêteurs que « s’il était remis dans la rue demain, il essaierait à nouveau ». Le jeune homme a précisé qu’il planifiait de tuer Trump « depuis un an ». Michael Sandford s’est approché d’un agent du Secret Service, Ameel Jacob, affirmant vouloir « demander un autographe à Trump », puis a « tenté de saisir son arme ». Le jeune homme a expliqué avoir choisi cet agent parce qu’il avait une arme en position déverrouillée.

    Pour quelqu’un qui ne connait rien aux armes, pas mal.

    Suivez dans les médias la couverture de cet événement entre silence et présentation biaisée et vous serez conforté de notre conviction : les médias désinforment pour formater l’opinion selon leur idéologie.

    METAMAG

  • L’ancien président tchèque s’exprime sur l’UE, l’immigration et George Soros


    Entretien avec Václav Klaus (sous-titres français) par LaPravdaCH

     

    "Monsieur Soros incarne le mal"

    Joseph Navratil et Alimuddin Usmani se sont entretenus pour LaPravda.ch avec Václav Klaus, Premier ministre (1992-1998) et président (2003-2013) de la République tchèque, au sujet de l’immigration, de George Soros, du groupe de Visegrád (V4) et du Brexit.

     

    Pour activer les sous-titres français, cliquer sur « CC » dans la barre de contrôle de la vidéo