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  • Italie : des clandestins en vacances aux thermes de Bormio payées par les contribuables

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    19h00

    Une journée aux thermes entre piscine et bains délassants. Un groupe d’immigrés s’est ainsi payé l’entrée aux thermes de Bormio avec l’argent des contribuables italiens.

     

    Un groupe de migrants venu d’Afrique sub-Saharienne s’est réjoui une matinée entre eau chaude et bains thermaux  dans les célèbres et prestigieuses thermes de Bormio. Depuis la publication des photos de ces migrants sur Facebook, la polémique enfle. Est-ce qu’ils étaient invités ou bien clients ? Renato Fuchs, président de Bormio Thermes a dû faire un communiqué même s’il ne comprend pas le pourquoi de cette polémique. (…)

  • Carla Bruni-Sarkozy : « J’aime les bâtards »

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    17h26

     

    « Je suis une bâtarde et j’aime bien les bâtards d’ailleurs. Mon mari aussi est un genre de sang-mêlé, il ne ressemble en rien à ces élites comme on dit, il ne fait pas partie de l’establishment et j’adore ça ! »

    Le Figaro Madame

    Merci à anargyre

     

  • Un obscur député radical-socialiste s’oppose au nouveau statut de Civitas, devenu un parti politique

     

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  • Un référendum pour le « Dexit » en Allemagne interdit à cause d’Hitler ?

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    Hitler ayant abusé des référendums durant les années 1930 à 1940, un référendum sur le plan national s’avère impossible en Allemagne.

    Alors que le vent de la fronde souffle sur l’Occident mondialisé - les Anglais ont montré le chemin - les Allemands, eux, semblent bien interdits de référendum à cause de… Hitler !

    C’est le Mirror britannique qui rappelle que, Hitler ayant abusé des référendums durant les années 1930 à 1940, et même s’il en existe de nombreux au niveau local, un référendum sur le plan national s’avère impossible en Allemagne, qui n’en a jamais organisé depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. La loi allemande ne les prévoit qu’en cas de changement de Constitution ou de territoire.

    Pourtant, le chef de l’AfD (Alternative für Deutschland) de Thuringe, Björn Höcke, a déjà avancé l’exigence d’un référendum sur le Dexit. Au Parlement de Brandebourg, au sein de la fraction d’Alexander Gauland de l’AfD, Franz Wiese, porte-parole pour les Affaires européennes, tire à vue : « L’AfD siégera l’année prochaine au Bundestag, le Dexit sera alors mis au programme. » Comment compte-t-il s’y prendre ?

    L’ancien patron de la Confédération des industries allemandes (BDI), Hans-Olaf Henkel, écrivait, peu de temps avant le Brexit, en se référant au général de Gaulle : « Si les Anglais votent pour le Brexit, nous, Allemands, devrons voter pour le Dexit. » Déclaration d’une voix autorisée qui pourrait devenir le pire des cauchemars de Merkel tout autant que le bonheur des peuples qui reprendraient leur liberté.

    En 2004, une majorité d’Allemands était désireuse de se prononcer sur l’Union européenne : cela aurait-il changé, 12 ans plus tard, avec une politique migratoire démente et tout ce que cela a entraîné depuis les taharrushas de la nuit de la Saint-Sylvestre ? Il semblerait que non, puisque l’AfD se sent à nouveau pousser des ailes. Elle représente environ 14 % des voix sur tout le territoire (malgré les crises internes d’ego), quand CDU-CSU comptent 30 % ensemble et 13 % pour le SPD. Die Linke représente 11 % et la désormais insignifiante FDP, qui jadis faisait et défaisait les rois, seulement 8 %.

    Du coup, l’AfD croit en ses chances ! Et pourtant, le système allemand pourrait bien devenir un copier/coller du système français, en mettant en œuvre un « Tout sauf l’AfD ! », comme le « Tout sauf le FN, pire que les tueurs islamiques ! ». Si jamais un référendum pouvait être organisé, il est fort à craindre que les coalitions se rassembleraient pour tâcher de battre l’AfD. Dans ce cas, il ne resterait plus qu’à lancer une véritable pétition européenne, honnête celle-ci, afin que les Allemands, malgré Hitler, puissent voter, 70 ans après, pour la première fois, pour le bien de l’Europe et se prononcer en toute liberté sur un Dexit !

    BV - 30 06 2016

  • VIDEO - L'île Lewis (Hébrides - Ecosse)

    Regardez en plein écran!

    (Merci à Dirk pour cette magnifique vidéo)

    C'est à l'île Lewis qu'est née Mary Anne Mac Leod, la mère de Donald Trump qui est donc à demi écossais.

     

  • Dantec ou la bonne parole

     

    Inventeur du « cyber-polar », l’écrivain Maurice G. Dantec  vient de mourir à l’âge de 57 ans, d’une crise cardiaque .

    Son œuvre (“La Sirène rouge”, “Les Racines du mal”) fit l’effet d’une bombe à ses débuts, puis évolua vers un certain mysticisme alors que ses sympathies pour les points de vue « dissidents » lui valurent l’hostilité médiatique.

    Voici de quoi il fut capable à la télévision.

    Ecoutez !

     

  • Brexit: le maire de Londres veut une "place" à la table des négociations

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    Alors que 51,9% des Britanniques ont voté en faveur d’une sortie de l’UE, 59,9% des Londoniens se sont prononcés pour un maintien dans le giron européen. Ce qui a fait dire au maire musulman de la capitale britannique, Sadiq Khan, lors d’une conférence économique, selon une retranscription de son discours publiée sur son site internet, que Londres doit disposer d' »une place entière à la table des négociations ».

    175.000 signatures pour l’indépendance de Londres!      

    « Rester dans le marché unique doit être la priorité numéro une, deux et trois de nos négociations avec l’UE », a déclaré le maire de Londres. « Je ne prends pas au sérieux la question d’une indépendance de Londres. Je n’envisage pas de dresser des postes frontières sur la M25 », l’autoroute qui contourne Londres, a-t-il dit par ailleurs, réagissant à des appels à l’indépendance de Londres. « Mais au nom de tous les Londoniens, j’exige plus d’autonomie pour la capitale dès maintenant », afin notamment de protéger l’économie de la ville, a-t-il ajouté. Lancée après l’annonce des résultats du référendum vendredi, une pétition en ligne exhortant Sadiq Khan à prononcer l’indépendance de Londres -pour pouvoir réintégrer l’Union européenne- a récolté quelque 175.000 signatures.

    BV

  • Un vin vieux de plus de 6 000 ans retrouvé en Grèce

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    29/06/16 à 12:14 - Mise à jour à 12:15

    Des chercheurs avaient découvertdes cruches anciennes en terre en 2010. L'examen de ces cruches a révélé la présence de traces d'un vin vieux de plus de 6 000 ans. Ce serait le plus ancien vin jamais découvert.

    © REUTERS

    C'est dans le nord de la Grèce, à Dikili Tash, un site archéologique situé près de la cité de Phillipes, que plusieurs cruches antiques avaient été découvertes, en 2010, enterrées dans la terre. Six ans plus tard, des scientifiques de l'Université Aristote de Thessalonique et de l'Ecole Normale Supérieure ont décidé de procéder à un examen chimique de ces cruches. Ils ont gratté la poudre d'argile présente au fond des jarres et l'ont analysée grâce à divers procédés.

    Ces examens se sont révélés positifs puisqu'ils ont démontré la présence de traces de vin préhistorique datant de 4 300 ans avant J.C. En outre, en explorant les environs, les archéologues avaient aussi découvert des restes de raisin écrasé, ce qui les avait amenés à déduire que les fermiers de l'époque savaient déjà produire du vin et du jus de raisin. Les résultats de cette découverte ont été publiés dans la revue Journal of Archaeological Science.

    Les procédés qui ont été mis en oeuvre diffèrent de ceux habituellement utilisés pour ce type d'analyse. En effet, les précédentes études se basaient sur la présence de traces chimiques de raisin dans les cruches, tandis que l'analyse réalisée par les scientifiques grecs a cherché à révéler des marqueurs appartenant au jus de raisin et résultant d'un processus de fermentation (acides pyruvique et succinique).

    Ces analyses permettront, selon les experts, de mieux comprendre l'histoire de la viticulture et de la consommation du vin dans les civilisations antiques.

    Par F. Ca.

  • Nigel Farage : « Maintenant, vous ne riez plus, n’est-ce pas ? »


    Farage: "Vous ne riez plus maintenant, n'est-ce pas?"

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    29/06/2016 – BRUXELLES (NOVOpress) : « N’est-il pas drôle, quand je suis venu ici il y a dix-sept ans en disant vouloir mener une campagne pour faire sortir le Royaume-Uni de l’UE, que vous avez tous ri de moi. Vous ne riez plus maintenant, n’est-ce pas ? », a lancé hier Nigel Farage, le patron d’Ukip et principal artisan du Brexit, devant les députés réunis en session extraordinaire au Parlement européen, à Bruxelles. « Je fais une prédiction ce matin », a-t-il poursuivi alors que s’élevait un brouhaha : « Le Royaume-Uni ne sera pas le dernier Etat membre à quitter l’Union européenne. »

     

  • Immigration : 10 principes de bon sens. Par Guillaume Faye

     

    29 juin 2016

    Le débat sur l’islam, la laïcité, l’intégration, l’assimilation, le ”communautarisme”, la ”déradicalisation” anti islamiste, etc. est déconnecté du réel et du bon sens, intellectualisé, donc hors sol, donc inutile. C’est une salade de postulats idéologiques et de vœux pieux. Alors que le cœur du problème est pratique, matériel, quantitatif : démographique mais aussi ethnique. Voici dix principes qui devraient être des évidences. 

    1) Ne pas combattre seulement les effets de l’immigration, mais surtout les causes

    Vouloir interdire les voiles dans les lieux publics, contrôler le financement et la hauteur du minaret des mosquées–champignons, refuser à l’école, à l’hôpital –et partout– les pratiques islamiques conquérantes, etc. – et tout cela par des lois et des règlements– c’est tout à fait nécessaire. Mais on a perdu d’avance si l’on ne comprend pas que c’est aussi tout à fait insuffisant. Ils combattent (mollement) les effets et jamais les causes. Ils échoueront s’ils ne traitent pas la source du problème. Cette dernière est à la fois purement quantitative et démographique, mais aussi ethnique : l’immigration extra–européenne à majorité musulmane en progression exponentielle et la fécondité nettement supérieure des immigrés. C’est à cette double cause qu’il faut s’en prendre. 

    2) Penser au long terme avant le court terme

    Mathématiquement, si rien n’est fait pour bloquer le déversement de l’immigration, si aucune ”remigration” (retour au pays) n’est accomplie, dans la seconde moitié du XXIe siècle la France ne sera plus un pays ethniquement ”européen” et l’islam y sera nettement majoritaire. La France sera un pays afro–arabe musulman (ainsi que plusieurs de ses voisins) en proie à des violences ethno-religieuses incessantes et à la paupérisation, avec exode massif des derniers Européens de souche. Guerre civile ethnique endémique probable. C’est la loi d’airain de la démographie (immigration et natalité). Dans ce cas, la France disparaîtrait purement et simplement, et même peut-être son nom. Mais cette perspective de moyen et de long terme est totalement ignorée par les oligarchies (les dirigeants actuels seront morts ou nonagénaires quand l’effondrement final surviendra) qui ne pensent et n’agissent qu’à très court terme. C’est le reflet d’une société de l’immédiateté, qui ne se projette pas dans l’avenir, qui oublie son passé et qui prend du Prozac ou fume des joints pour ne pas penser au présent.   

    3) Comprendre que des forces qui cherchent la destruction ethnique de l’Europe sont à l’œuvre.

    Elles infiltrent et noyautent l’État français et les autres, la technocratie européenne, les oligarchies médiatiques, partitocratiques (y compris au FN) et syndicales. Elles imposent l’idéologie immigrationniste et collaborent à l’islamisation. Fondamentalement antidémocratiques (”anti populistes” dans le jargon), animées par un sentiment nihiliste de haine de la culture, de l’histoire et de l’enracinement des nations européennes, alliées objectives de l’islam invasif, elles poussent les autorités politiques, de gauche ou de droite, à un ethnocide des Européens (voir autre article de ce blog). Tout est fait pour laisser entrer la marée migratoire et pour détruire les racines culturelles des identités européennes, notamment dans l’éducation publique et les médias.

    4) L’ethnopluralisme, comme le moteur à eau, n’a jamais fonctionné nulle part et ne marchera jamais.

    C’est une idée à enterrer dans le cimetière des utopies, comme le communisme. Il existe une incompatibilité de vie en commun (cohabitation territoriale) dans une même unité politique entre les populations ethniquement différentes ; surtout si certaines sont arabo-musulmanes ou africaines. Les exceptions ne concernent que des bulles artificielles composées d’élites. Même si cette évidence de l’impossibilité de l’ethnopluralisme (relevée par Aristote) est un tabou, un interdit idéologique, elle reste précisemment une évidence pour qui vit dans une zone de mixité ethnique. Elle n’est pas ressentie par les élites immigrationnistes et antiracistes tout simplement parce que ces gens–là, à l’inverse des ”petits Blancs”, ne vivent et ne sont jamais en contact avec leurs chers immigrés arabo-musulmans ou africains, qui restent pour eux des abstractions. C’est pourquoi ils déploient pour les autres – pas pour eux– le concept de ”vivre–ensemble”.

    5) Combattre le ”communautarisme” ? Trop tard.

    Le combat contre le ”communautarisme” (ce mot piégé qui sert à masquer le terme de ”colonisation ethnique”) ne sert à rien, pas plus que le combat contre l’islamisation et la radicalisation. C’est trop tard. Il était encore possible, au début des années 80 d’intégrer et d’assimiler dans la ”république” et la culture franco-européenne des immigrés extra-européens. C’est rigoureusement impossible dès lors qu’ils atteignent des pourcentages considérables, majoritaires dans certaines zones urbaines. Il est inutile d’essayer d’améliorer les choses, il faut renverser la table. C’est-à-dire bloquer les flux migratoires et les inverser.   

    6) Ne pas s’acharner à vouloir qu’ils soient ”nos compatriotes” puisqu’il ne le veulent pas.

    Il est rigoureusement impossible de faire une Nation unie avec une proportion croissante de populations arabo-musulmanes et africaines, même francophones. La candeur des intégrationnistes et assimilationnistes, du FN au PS, à vouloir que ces millions d’immigrés ou d’enfants d’immigrés soient ”nos compatriotes” n’a d’égal que le refus hostile d’un nombre toujours plus grand d’entre eux –surtout chez les jeunes– de se considérer comme Français – ou Belges, Allemands, etc. –, même s’il en ont la nationalité. Ils ne veulent pas s’intégrer ou s’assimiler. Comme dit le proverbe : « on ne fait pas boire un âne qui n’a pas soif ». De plus en plus de jeunes d’origine arabo-musulmane, africaine ou turque, partout en Europe, même avec des nationalités européennes de papier, se considèrent comme citoyens de leur pays d’origine et l’Europe –détestée– comme une terre de conquête. Ils ont un réflexe raciste. C’est leur problème.

    7) Vouloir créer un ”islam de France” est une ridicule utopie.

    L’islam n’est pas seulement incompatible avec la ”république”, il l’est avec tout ce qui n’est pas lui–même, religion ou culture. C’est un enracinement psychique profond, ethnique. De Gaulle l’avait vu, d’où son refus de l’Algérie française comme appendice de la France. L’idée d’un ”islam des Lumières” modéré et réformé est une impasse. Les musulmans franco–compatibles ou républicano–compatibles sont soit des minorités utopistes, soit des enjôleurs insincères. L’islam est intrinsèquement hostile à tout ce que représente la civilisation européenne. Les deux seules idéologies qui ont flirté avec l’islam sont totalitaires : jadis le nazisme et aujourd’hui le marxisme, avec l’ ”islamo–gauchisme”. Ce n’est pas un hasard.

    8) Contre le terrorisme islamique : désislamiser la France.

    Ce n’est pas seulement en espionnant et en essayant de démanteler les réseaux islamistes qu’on empêchera les attentats, ni en menant dans des prisons (écoles du crimes) de ridicules et inopérantes (voire contre–productives) opérations de ”déradicalisation”. C’est surtout en interdisant l’entrée dans le territoire (immigration zéro) de tout nouvel immigré musulman et en inversant les flux migratoires par des départs massifs. C’est malheureux à dire, mais le risque d’attentats terroristes dans un pays occidental est proportionnel à l’importance numérique de sa population musulmane.

    9) Admettre que l’emprise musulmane et arabo–africaine touche l’ensemble du territoire national.

    La cause de tous les problèmes est démographique et mathématique. Constat de Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat de police Synergie–officiers : « Aucun endroit n’est épargné, le phénomène de communautarisation et d’insularité de tout un tas de quartiers s’observe partout avec l’infiltration et l’invasion dans le tissu scolaire, associatif et sportif, c’est une lame de fond de société ». Il mentionne « le déni d’un certain nombre d’élus » qui « relève en réalité de l’acquiescement et de la connivence intellectuelle ». Il pense que « cet angélisme ou clientélisme cynique nous conduit à la catastrophe ». Rien à rajouter. Le problème est strictement démographique, rien de plus. Pour des raisons de correction idéologique et sémantique, on parle de « communautarisme », effroyable néologisme, alors qu’il s’agit tout simplement d’une invasion, de l’extérieur (immigration) et de l’intérieur (natalité).

    De son côté, l’écrivain algérien Boualem Sansal analyse : « l’ordre islamique tente de s’installer en France, c’est un fait patent ; en maints endroits, il est déjà installé ». (FigaroVox, entretien, 17/06/2016).

    10) Intégration et assimilation : mission impossible.

    L’intégration (c’est-à-dire l’adoption partielle des mœurs du pays d’accueil, dont la langue, mais en conservant une partie de ses us et coutumes d’origine) est possible si les immigrés ne dépassent pas 5% de la population d’accueil. Pour l’assimilation (c–à–d l’adoption totale de la culture d’accueil et l’abandon de la sienne) le pourcentage est encore plus bas. En dépit de tous les discours (du FN, de la droite et du centre), ni l’intégration ni l’assimilation ne sont plus possibles pour une raison mathématique : la proportion d’allochtones est trop forte. 

    Les masses d’enfants africains ou arabes d’origine ne pourront jamais, sauf exceptions évidemment, être assimilés ou réellement ”francisés” par l’école. La France universelle, supraculturelle, supraethnique est une impossibilité, le fruit d’une utopie intellectuelle abstraite construite aux temps où l’immigration massive n’existait pas.

    Conclusion : résoudre le problème global supposera un énorme choc

    Les problèmes de communautarisme croissants, de ”ghettoïsation”, de frictions et d’affrontements incessants avec les mœurs musulmanes en expansion qui dégradent la vie quotidienne des autochtones européens, de criminalité multiforme en hausse constante, d’effondrement du niveau d’une école publique multiethnique, (1) de terrorisme évidemment, ces équations ne seront jamais résolus par des mesures politiques intérieures d’aménagement, aussi dures soient-elles.

    Le référendum britannique en faveur du Brexit a été en réalité un vote de protestation – un peu désespéré– des classes populaires anglaises contre l’immigration. (2) Mais une Grande-Bretagne détachée de l’UE – si le référendum est respecté – limiterait-elle l’immigration ? Pas sûr…

    La solution générale viendra d’abord d’un rétablissement des frontières nationales et d’un arrêt total de toute immigration extra-européenne, y compris légale, de travail et de regroupement familial ; deuxièmement, elle proviendra d’une politique résolue d’expulsion de tous les clandestins et immigrés en situation irrégulière (3) et de ”remigration” pour ceux qui sont en situation régulière. Quant à ceux qui sont ”Français de papier” (ou de toute autre nationalité européenne) du fait du droit du sol – qui devra être impérativement supprimé– leur situation sera la plus difficile à résoudre mais elle devra l’être.

    Certes, ces solutions supposent un immense courage. Elles provoqueraient des chocs, des drames, des conflits qu’il faudrait affronter. Mais continuer à ne rien faire aboutirait à une situation pire encore. Car l’équation est simple : à partir du moment où une immigration-déversoir est autorisée (encouragée) par l’État depuis 40 ans, avec une reproduction deux à trois fois supérieure des populations immigrées à 90% musulmanes, et une fuite des jeunes élites, la France est morte dans 20 ans.     

    (1) Bien qu’officiellement, à gauche comme à droite ont nie farouchement (le politiquement correct) que cette multiethnicité soit une cause majeure de l’effondrement du niveau…. Ce qui n’empêche pas de mentionner la seconde cause, le ”pédagogisme” et le nivellement par le bas de l’égalitarisme de gauche.

    (2) Le prochain article, à paraître bientôt, concernera précisément le ”Brexit”, qui n’aura d’ailleurs pas forcément lieu, malgré un référendum qui, comme d’autres, risque de ne pas être respecté par l’oligarchie.

    (3) L’arrêt de toute allocation, aide médicale, scolarisation etc. pour tous les étrangers non communautaires (UE) suffirait déjà à décourager les arrivées et provoquerait de très nombreux départs. Bloquer la pompe aspirante, enclencher la pompe expirante.

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Le CFCM formera des imams en collaboration des conseillers juifs

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Le-Conseil-francais-du-culte-musulman-formera-des-imams-en-collaboration-avec-des-conseillers-juifs-40149.html

    vidéo

  • Turquie : 50 morts dans un attentat à l’aéroport d’Istanbul (Màj : L’État islamique suspecté)

    http://www.fdesouche.com/743839-turquie-10-morts-dans-un-double-attentat-suicide-laeroport-distanbul

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  • Cameron confirme officiellement: « Le Royaume-Uni va quitter l’Union européenne »

     

    • Par Jean-Jacques Mével, correspondant à Bruxelles
    • Mis à jour
    • Publié

     

    David Cameron a officiellement annoncé que « le Royaume Uni allait quitter l’Union européenne » à l’issue d’un bref sommet à Bruxelles avec les chefs d’Etat et de gouvernement des 27 autres pays.

    Le premier ministre démissionnaire a ainsi levé un dernier doute sur l’issue politique du référendum qui a vu la victoire du « non » à l’UE il y a cinq jours.
    En revanche, malgré l’impatience de ses partenaires, il a confirmé qu’il laissera à son successeur la responsabilité politique d’invoquer la « clause de retrait » au nom du Royaume-Uni.

    La succession au 10 Downing Street est pour le moment fixée au 9 septembre. « Nous n’avons pas besoin de beaucoup de temps, mais il nous faudra un peu de temps quand même », a-il-dit.

    Au sommet, les autres dirigeants européens ont « exprimé leur tristesse » de voir le Royaume-Uni quitter l’union après 43 ans, a précisé David Cameron. Mais il a décrit une discussion « calme et constructive ».

    L’UE et le Royaume-Uni devraient s’atteler à la « recherche de la relation la plus étroite » pour l’avenir.
     
    LE FIGARO
  • C'était un 28 juin...

    http://www.contre-info.com/cetait-un-28-juin-2#more-33275

    3 VIDEOS dont une des obsèques de Philippe Henriot à Paris

    A lire jusqu'à la fin