Florilège d’annonces aujourd’hui sur l’organisation de l’islam en France, avec un éventuel concordat croit savoir le Canard Enchainé, un ballon d’essai pour tester les réactions certainement.
Sur l’arrêt des financements étrangers, ce virage à 180° un mois après que le préfet (piloté par Beauvau) ait imposé une mosquée financée par l’Arabie Saoudite à Nice, n’est pas crédible. Les nombreux chantiers de mosquées financés par le Qatar ou l’Arabie ne s’arrêteront pas, surtout dans des circonscriptions où l’électorat musulman est indispensable à la gauche. D’autant que cela va à rebours de la position traditionnelle de la gauche (et de la droite), à savoir un simple contrôle de l’identité des donateurs via la Fondation des oeuvres de l’islam adossée à la Caisse des dépôts, mise en place par Dominique de Villepin en 2004. Aussi, Manuel Valls parle de mesure seulement « temporaire » et non de principe à adopter, comme le veut le Front National.
La proposition que «les imams soient formés en France et pas ailleurs», n’est pas forcément rassurante, car ce sont les Frères Musulmans de l’UOIF via leurs deux écoles d’imâms (Nièvre et Seine-Saint-Denis) qui forment le plus d’imâms dans l’hexagone. Et quant à l’école d’imâms de la Grande Mosquée de Paris, nous avons repéré dans son Guide de l’étudiant des références islamistes comme Youssef Al-Qaradawi, favorable au meurtre des apostats, juifs et homosexuels, ainsi que Abi Zayd Al Qayrawâni qui préconise la conversion, la soumission ou la mort pour les non musulmans (et aussi le meurtre des homosexuels) dans son Epître (Risâla) incontournable chez les malékites du Maghreb.
Aussi c’est très mal connaitre le monde musulman, où les prestigieuses universités Al-Azhar (Le Caire), Qarawiyine (Fez) , Abdelkader (Constantine) et de Médine font référence.
La plupart des imâms exerçant en France ont été formé dans ces universités islamiques étrangères, interdire qu’ils exercent susciterait une vigoureuse levée de boucliers chez les musulmans pratiquants, et serait l’assurance pour le PS de voir ses électeurs traditionnels partir chez Jean-Luc Mélenchon ou Alain Juppé, ce dernier étant proche de l’UOIF à Bordeaux.
L'Observatoire de l'islamisation
Ndb: De toute manière, nous ne voulons pas d'imans du tout sur le territoire français! Rappelons à ceux qui ne le sauraient pas que l'Islam n'a pas de clergé et qu'un imam n'est pas un prêtre consacré mais seulement un "guide spirituel", une sorte de conférencier.
Commentaires
Gaelle : toute la différence est là , le Système veut que l,islam remplace le christianisme sur le territoire , cela peut fonctionner pour un temps , vu la collaboration active d,un nombre important d,élus , etc . .!!
salutations.
Qu’est-ce que cela peut faire, la formation des Imams ? Cela n’a aucune importance ! Vous voyez un formateur d’Imams en train de leur expliquer qu’il n’est pas bien de décapiter les infidèles ? Il vaut peut-être mieux les fusiller ou les gazer ? (Hou là, qu’est-ce que j’ai dit ?).
Bon, le vrai problème est tout autre : c’est tout simplement le nombre d’immigrés en France : dans peu d’années ils seront majoritaires dans notre pays et les Français de souche n’auront plus leur mot à dire sur les affaires du pays, ils devront raser les murs et baisser les yeux ! On aura alors bonne mine avec les Padamalgame, les Cestpasçalislam et autres Fautpasstigmatiser, même pris en intraveineuses !
PS : comme vous le rappeler Gaëlle, les Imams ne sont pas l’équivalent des prêtres de l’église catholique, de même que les mosquées ne sont pas du tout l’équivalent des églises catholiques ! Mais justement nos dirigeants politiques manient l’amalgame exprès pour tromper le peuple qui n’a pas le temps de se renseigner ! C’est pour cela qu’ils dénoncent sans cesse l’amalgame pour camoufler le fait qu’ils sont les premiers à le pratiquer sans vergogne !
Nous ne voulons pas des imams, ni de Joe Dalton alias Vallss, ni de tout cet abominable gouvernement.
La France a grand besoin de se laver, elle est très sale et sent très mauvais.