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  • Jean-Louis Harouel (juriste) : «L’islam est un code de droit qui prétend remplacer le droit du pays d’accueil»

     

    21h20

    Pour Jean-Louis Harouel, professeur agrégé de droit à Paris, l’interdiction du burkini sur certaines plages est parfaitement conforme au droit. Pour lui, le port du vêtement islamique traduit une volonté politique d’imposer une culture et des modes de vie contraires à notre histoire et nos valeurs.

    Jean-Louis Harouel est l’auteur de «La grande falsification. L’art contemporain», «Le vrai génie du christianisme» et «Revenir à la nation» (Editions Jean-Cyrille Godefroy). Son dernier ouvrage Les droits de l’homme contre le peuple est paru aux éditions Desclée de Brouwer.

    Aujourd’hui, dans le contexte d’un affrontement de civilisations donnant lieu à un conflit armé ayant fait en un an des centaines de victimes sur le territoire national , il est logique que reviennent au premier plan les exigences de l’ordre public, et le juge des référés a d’ailleurs invoqué «le contexte de l’état d’urgence et des récents attentats» pour justifier sa décision en la fondant sur «un risque de troubles à l’ordre public».

    Est-ce un premier pas vers l’interdiction de tous les signes religieux dans l’espace public? N’est-ce pas une vision de la laïcité excessive ? Cette dernière sert-elle de cache-sexe à un combat plus spécifique contre l’islam politique ?

    L’islam est, par nature, politique. On ne saurait trop le rappeler: l’islam est un système total qui mêle le religieux, le politique, le juridique, la civilisation.

    L’islam est un code de droit qui prétend remplacer le droit du pays d’accueil. Si bien que toute concession faite à l’islam comme religion est un abandon consenti à l’islam comme système politico-juridique ainsi qu’à la civilisation islamique.

    Face à l’islam, la laïcité conçue comme neutralité ne suffit pas. Le cas de figure n’est pas le même qu’avec le catholicisme. Notre laïcité s’est certes construite contre l’Église, mais en accord avec les paroles fondatrices du christianisme: rendre à César et à Dieu ce qui leur revient respectivement.

    L’islam est au contraire l’anti-laïcité par excellence, si bien que notre État laïque devrait le combattre beaucoup plus durement qu’il n’a combattu le catholicisme.

    Ainsi que je le préconise dans mon récent livre "Les droits de l’homme contre le peuple", il faut pour l’islam un régime dérogatoire comme en Suisse où la construction de minarets est interdite alors qu’on peut bien sûr y construire des clochers.

    Il faut impérativement nommer l’ennemi. Or, en l’espèce, celui-ci est double : d’une part les djihadistes violents qui massacrent dans notre pays ; et d’autre part, les djihadistes «civilisationnels», qui œuvrent inlassablement à rendre toujours plus présents sur notre sol leur civilisation, leurs règles et leur mode de vie. [...]

    Il est clair qu’en Corse où la population est restée plus près de son sol, plus ancrée dans ses villages, elle se montre plus réactive face au processus de la conquête islamiste non dite mais bien réelle dont l’Europe occidentale est l’objet. Cependant, même dans l’Hexagone, de plus en plus de gens ont conscience du lien qui existe entre les carnages des terroristes islamistes et le folklore identitaire arabo-musulman qui est le terreau où se nourrit le djihadisme.

    Le Figaro

    Merci à Stormisbrewing

  • JOURNAL TV Libertés DU 16 AOÜT 2016

  • Derrière le burkini. Par Marine Le Pen -

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    Cet été le débat public français s’est transporté sur les plages. L’affaire du burkini, ce maillot de bain intégral propagé depuis quelques années par les islamistes de tous horizons, a libéré la parole dans un pays qui a largement besoin de s’exprimer après les horreurs qu’il a vécues en juillet, sur la promenade des Anglais puis dans une petite église normande.

    Bien sûr le burkini doit être proscrit des plages françaises, où il n’a strictement rien à faire. C’est une question de laïcité républicaine, d’ordre public, assurément ; mais bien au-delà, c’est de l’âme de la France dont il est question : la France n’enferme pas le corps de la femme, la France ne cache pas la moitié de sa population, sous le prétexte fallacieux et odieux que l’autre moitié craindrait la tentation. Les plages françaises sont celles de Bardot et Vadim, pas celles de lugubres belphégors. Les Françaises, les Français, et je le sais un très grand nombre de Françaises musulmanes qui rejettent de toutes leurs forces l’islamisme, attendent qu’on tienne bon sur cette question de principe et de cœur.

    Alors profitons du burkini pour aller au fond des choses. Le problème qui nous assaille ne trouvera pas de réponse réelle et définitive par des rustines, aussi justifiées soient ces rustines à un moment donné. Quelques maires UMP et PS interdisent le burkini dans leur commune, c’est bien. Mais ces maires là auront-ils la cohérence, et le courage, de reconnaître que c’est la politique d’immigration et de clientélisme communautaire de leurs partis respectifs qui les a conduits un jour à devoir prendre un tel arrêté ? Que représentent ces quelques arrêtés quand on sait que chaque année continuent d’affluer dans notre pays 200 000 étrangers, titre de séjour légal en main, auxquels viennent s’ajouter un nombre record de réfugiés et de clandestins logés dans des campements, des bidonvilles, dans nos villes et nos villages ? Cette politique est celle de François Hollande, mais elle était déjà celle de Nicolas Sarkozy avant lui.
    Aucune rustine non plus ne suffira face au tourbillon communautariste, et donc islamiste, dans lequel notre pays est pris. Une fois l’été passé, les plages et les burkinis oubliés, est-ce que tout recommencera comme hier et avant-hier ? Nouvelles revendications politico-religieuses dans les cantines, à l’hôpital, à l’école, dans l’entreprise, dans les services publics,…Toujours le même clientélisme d’élus locaux qui contournent sans vergogne la loi de 1905 sur la laïcité et financent des mosquées, parfois même salafistes, déguisées en centres culturels. Toujours les mêmes relations de soumission en haut lieu avec le Qatar et l’Arabie Saoudite.
    Tout laisse craindre que, oui, tout reprendra comme hier et avant-hier.

    A moins que les Français disent cette fois haut et fort : ça suffit.

    L’immigration de masse, ça suffit. Il suffit de voir la République, la France, plier systématiquement face aux communautarismes. Il suffit d’être culpabilisé quand on a l’audace, indispensable, vitale, de crier l’amour de son pays, de ses traditions, de son mode de vie, de sa liberté.

    Il suffit aussi de laisser le champ libre à certaines associations qui, derrière l’apparence de l’indépendance, ne sont que le faux nez d’un projet politique, l’islamisme le plus rétrograde. Qu’est devenue l’association marseillaise qui souhaitait privatiser un centre aquatique une journée entière au bénéfice des seules femmes charia-compatibles ? La préfecture a-t-elle enquêté sur la concordance entre l’objet social déposé en préfecture et l’activité réelle de cette association ? Sait-on d’où viennent ses financements ?
    De la même manière, pourquoi considérer le CCIF (« Collectif contre l’islamophobie en France ») tel qu’il se présente lui-même ? A-t-on enquêté sérieusement sur les accusations de liens avec l’islamisme dont se fait l’écho le Canard Enchaîné aujourd’hui même ? De quoi vit cette association qui se prétend indépendante : des mannes du milliardaire George Soros comme un fichier dévoilé le rappelle ? Est-elle d’une façon ou d’une autre liée à des puissances étrangères ?
    Puisque cette association multiplie les procès contre des élus de la République, envahit les plateaux de télévision, communique abondamment et prétend peser sur le débat public, cette enquête approfondie n’est pas seulement nécessaire, elle est indispensable. Juridiquement, quel est d’ailleurs son intérêt à agir dans l’affaire du burkini alors qu’elle multiplie les recours devant les tribunaux administratifs et le Conseil d’Etat ? En quoi y-a-t-il soupçon même d' »islamophobie » à vouloir interdire cette tenue ?
    Donner carte blanche, médiatique, politique, juridique, morale, à ces associations qui ont souvent plus d’avocats et d’heures d’antenne de télévision que d’adhérents effectifs, est une folie.
    Il y a suffisamment d’expériences étrangères pour que nous sachions comment s’infiltre l’idéologie islamiste dans une société : la dissimulation à travers des associations aux causes en apparence louables.

    Nous devrons être exigeants, beaucoup plus que la classe politique au pouvoir depuis des décennies ne l’a été. Il en va de la concorde civile, de nos valeurs, de notre liberté de femme, d’homme, et de l’égale dignité entre tous les Français.

    CARNETS D"ESPERANCES

  • Un tweet de Florian Philippot

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  • Chevènement accepte de présider la « Fondation pour les œuvres de l’islam de France »

     

    8h46

    Jean-Pierre Chevènement,77 ans, devrait accepter, malgré les critiques, de présider la Fondation pour les œuvres de l’islam de France censée oeuvrer à une meilleure intégration de l’islam dans la République. Tenant d’une « laïcité républicaine », il dévoile au Parisien ses projets et sa vision de « l’islam de France ».

    « C’est une bonne réponse à la poussée du terrorisme, conforme à l’intérêt des musulmans aussi bien qu’à l’intérêt de la France. »


    Vous êtes pressenti pour présider la Fondation pour les oeuvres de l’islam de France. Allez-vous accepter ?

    Dès le début de cette année, nous avons eu, Bernard Cazeneuve, son cabinet et moi-même, plusieurs réunions sur le sujet. Car, dès 1999, j’avais, comme ministre de l’Intérieur, lancé une grande consultation sur l’islam de France. [...] J’apprécie beaucoup Bernard Cazeneuve pour sa modération, sa détermination, sa parole toujours maîtrisée.

    Vous allez donc dire oui ?

    Il s’agit d’une tâche d’intérêt public car les 4,1 millions de musulmans que compte la France doivent pouvoir exercer leur culte mais dans le respect de la laïcité et des principes de la République. Cette mission est tellement d’intérêt public qu’aucun responsable ne peut s’y dérober. Je ne m’y déroberai donc pas sauf si ma nomination devait entraîner des problèmes insolubles qui me forceraient à me retirer. dis à un certain nombre d’hommes politiques de l’opposition : il en va de l’intérêt du pays que cette fondation, d’ailleurs mise en place en 2005 sous la présidence de Jacques Chirac, puisse enfin fonctionner. Comme le dit Omar Sy, nous portons tous le maillot bleu de l’équipe de France. [...]

    Quelle est votre position sur des problèmes concrets comme le port du voile à l’université, le burkini, les repas hallal dans les cantines…

    Légalement, les choses me paraissent assez claires et modifier la loi n’est pas une priorité. Le conseil que je donne dans cette période difficile — comme le recteur de la mosquée de Bordeaux — est celui de discrétion. Les musulmans, comme tous les citoyens français, doivent pouvoir pratiquer leur culte en toute liberté. Mais il faut aussi qu’ils comprennent que, dans l’espace public où se définit l’intérêt général, tous les citoyens doivent faire l’effort de recourir à la « raison naturelle ». Un principe que le prophète recommande quarante-quatre fois, selon l’islamologue Jacques Berque, dans le Coran.

    L’avenir des jeunes nés de l’immigration est en France et nulle part ailleurs. Il faut les empêcher de tomber dans l’impasse suicidaire dans laquelle les poussent Daech et les salafistes à la vue courte. Si nous aimons la France, il faut faire des Français de confession musulmane des Français qui, comme les autres, ont envie de travailler à l’essor de la France. Il y a un intérêt commun à ce que le bateau France tienne la mer, car, s’il devait couler, ce sont tous ses passagers qui couleraient avec lui.

    Le Parisien

    NdB: Les propos de Chevènement se situent HORS de la réalité véçue au quotidien par les citoyens français non-musulmans.

    A propos, la France compte au moins 6 millions de musulmans!

  • Val-d'Oise : suicide du directeur général des services d’Argenteuil

    http://mobile.francetvinfo.fr/france/qu-est-ce-quun-chasseur-de-couts_838565.html#xtref=acc_dir

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    >Île-de-France & Oise>Val-d'Oise|E.L.S.|16 août 2016, 23h58|0

    Harold Matysen, directeur général des services de la mairie d’Argenteuil est décédé ce mardi après-midi, après avoir mis fin à ses jours.

    Capture France 2
     
     
    E.L.S.
     
    Val-d'OiseArgenteuilHarold MatysenGeorges Mothron
     

    On l’appelait « Cost Killer », le chasseur de coûts. Harold Matysen, directeur général des services de la mairie d’Argenteuil est décédé ce mardi après-midi, après avoir mis fin à ses jours. Harold Matysen avait été recruté en juin 2014. Il était considéré comme l’homme capable de résorber la dette d’Argenteuil, l’une des villes les plus endettées de France. Il avait à sa tête plus de 2 400 agents et gérait un budget de 260 M€.

    Le maire (LR) de la commune, Georges Mothron, l’avait notamment choisi pour son expérience de dix-huit ans dans le cabinet d’audit privé Michel Klopfer. Harold Matysen avait également exercé le poste de directeur général adjoint des services à la mairie de Boulogne-Billancourt (92).

    Le Parisien

    NdB: Qu'avait-il découvert pour certains?

     

  • Ferveur à Marseille pour la procession du 15 Août

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    Sortie de la cathédrale La Major

    IMG_2268.JPG Statue Vierge.JPG

    Dans la foule, face au soleil

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    Un bébé lui est tendu par ses parents

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    Face à face sur le Vieux-Port avec Notre-Dame de la Garde

    (Photos EB le 15 août 2016)

  • Robert Ménard fait placarder sa ville d’affiches dénonçant la partialité du journal Midi libre

    Le quotidien est la cible du maire d’extrême droite de Béziers, qui a fait placarder des affiches attaquant ouvertement le journal.

     

    « Tous les jours, l’info en laisse ». Midi libre n’aurait pu rêver d’un meilleur slogan pour faire sa publicité. Seulement, cette campagne d’affichage sur laquelle on voit un chien tenant dans sa gueule un exemplaire du journal couplé au fameux slogan a été commandée par Robert Ménard et la mairie de Béziers. Les journalistes du quotidien régional ont donc décidé de répliquer, mardi 16 août, la Société des rédacteurs dénonçant une « quête irrationnelle de polémique » et une campagne d’affichage « haineuse » du maire d’extrême droite.

     

    Robert Ménard attaque Midi libre et son actionnaire majoritaire : Jean-Michel Baylet

    Si les affiches placardées par l’élu héraultais s’attaquent au journal, c’est en partie à cause de ses liens avec le ministre Jean-Michel Baylet. Ainsi, l’affiche s’interroge : « À qui appartient Midi libre ? », avant de répondre : « À J-M Baylet, ministre des Collectivités territoriales ». Le président du PRG est effectivement l’un des copropriétaires du groupe La Dépêche du Midi, qui possède le puissant quotidien régional du même nom et a racheté Midi libre. Plusieurs membres de sa famille figurent dans l’organigramme du groupe, dont son ancienne épouse, Marie-France Marchand-Baylet, qui a succédé comme PDG à Jean-Michel Baylet, devenu ministre en février.

    [...] 

    Capture.PNG Ménard affiche.PNG

     

    [...]

    Plusieurs responsables d’extrême droite s’en sont pris ces derniers mois à des journaux régionaux. À Fréjus, le maire FN David Rachline a dénoncé dans une lettre le « journalisme aux relents de totalitarisme » de Var Matin, et pendant la campagne des régionales, Marine Le Pen avait accusé La Voix du Nord, qui avait pris position contre elle, de « s’ériger en autorité morale et (de) lancer des fatwas ».

    Lire l’intégralité de l’article sur lepoint.fr

  • L’imam de Bordeaux appelle les catholiques à faire preuve de « discernement »!

    https://www.google.fr/?gfe_rd=cr&ei=Y5oZVeirFY398weDkIDQCA

    VIDEO

  • Hillary Clinton est-elle apte à gouverner ? La preuve que non, en images (rediff.)

    https://youtu.be/C-EnJjWWqrc

      

     

    Les Américains, même ceux de gauche, sont de plus en plus nombreux à se poser des questions sur l’état de santé mentale et physique de la candidate démocrate.

     NDF