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  • Sisco: « ces Maghrébins voulaient privatiser la plage »!

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    « Pour des raisons encore indéterminées, des Corses s’en sont pris à deux familles marocaines. » C’est ainsi que BFM TV présentait les violences survenues samedi aux abords des plages du village de Sisco, en Haute-Corse. Comme à l’accoutumée, les médias se sont emparés de l’affaire, donnant la parole aux associations subventionnées pour cracher leur haine de la France, notamment l’officine de lobbying islamiste appelée CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France), grassement financée par le milliardaire américain George Soros. Marwan Muhammad, son « directeur exécutif », a été invité sur tous les plateaux, dénonçant « l’islamophobie » des affreux fachos corses, lesquels devraient être considérés comme une « communauté » en France et sur leur île… Bref, les bobards médiatiques se sont succédés pour que les Français ne connaissent pas la vérité.

    Que s’est-il réellement passé à Sisco, samedi dernier ? Selon Nicolas Bessone, procureur de la République à Bastia, l’origine des incidents incombe « à l’évidence » à des « membres d’une famille maghrébine », ayant voulu, « dans une logique de caïdat, s’approprier la plage et la privatiser ». Le procureur est allé plus loin, expliquant que ces Maghrébins avaient « multiplié des incidents avec un certain nombre de personnes : jets de pierre à proximité d’autres personnes pour les intimider, tensions très fortes, insultes, menaces ». Parlons clairement : des islamo-racailles ont foutu la pagaille sur fond de revendications communautaires. Ils ont privatisé la plage comme ils entendent un jour privatiser le pays ; ou, plus précisément, le conquérir.

    Visage raffiné du conquérant, Marwan Muhammad utilise pourtant la même rhétorique que ses coreligionnaires violents qui ont sévi à Sisco : victimisation, lutte contre un arbitraire supposé… De la même façon, le Comité français du culte musulman a osé dire que le « burkini » (terme de novlangue pour désigner une burka de baignade) n’était pas un vêtement islamiste, témoignage d’un prosélytisme étranger incompatible avec nos mœurs. Peut-être parce que le Conseil français du culte musulman, créé par Nicolas Sarkozy, est aussi infiltré par les Frères musulmans que le Collectif contre l’islamophobie en France ?

    Les Corses ont été salis par tous les médias qui les ont dépeints en monstres alors qu’ils se sont contentés de protéger un village, et trois de ses jeunes habitants sauvagement agressés par des personnes plus âgées équipées d’armes blanches qui n’ont normalement pas leur place sur les plages. Des femmes voilées, accompagnées de proches – à l’évidence des voyous -, ont voulu s’approprier une crique, terrorisant les badauds et les touristes. Comment peut-on supporter cela ? La réaction villageoise n’a pas été inadaptée, contrairement à ce qu’affirme le procureur qui cherche à faire bonne mesure. Bien au contraire, elle était légitime, proportionnée et rafraîchissante.

    Si la France est un pays liberticide, où les musulmans ne se sentent pas à l’aise, ils sont toujours libres de quitter l’Hexagone pour rejoindre des contrées plus tolérantes, comme l’Arabie saoudite ou l’État islamique. Qu’ils sachent une chose : les Français veulent rester maîtres chez eux et ne toléreront pas longtemps ces provocations haineuses, sectaires et violentes.

    Gabriel Robin – Boulevard Voltaire

    Les deux habitants de Sisco, placés en garde à vue, ont été remis en liberté. Les trois protagonistes maghrébins de cette affaire seront jugée en comparution immédiate le jeudi 18 août 2016.(NDLR)

  • Terrorisme: l'inquiétnt retour des djihadiistes "français"

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    Alors que Daech recule dans ses fiefs, Paris cherche comment faire face au retour des Français partis combattre dans ses rangs.

    Jamais la lutte contre Daech n'aura autant mobilisé les dirigeants français. Depuis quelques mois, dans le secret de l'Elysée, les Conseils de défense et de sécurité se succèdent à un rythme soutenu. Ce mercredi matin encore, autour de François Hollande, les ministres de haut rang (Défense, Intérieur), les chefs militaires et les responsables des services de renseignement vont s'échanger les toutes dernières informations sur l'étendue de la menace et les opérations en cours. Mais, alors que le groupe Etat islamique recule depuis des mois en Syrie et en Irak, une question en particulier taraude les responsables politiques et sécuritaires : que faire des djihadistes français qui tenteront de revenir dans l'Hexagone lorsque Daech perdra tous ses territoires ? « C'est un sujet que nous essayons d'anticiper, admet le chef de l'Etat en privé. La coalition anti-EI se donne entre six mois et un an avant de remporter la bataille sur le terrain. Nous devons nous projeter dans l'après. » Le défi est de taille.

     

    Car, selon les derniers chiffres, la France reste le pays européen le plus touché par le phénomène djihadiste avec 680 adultes, français ou résidant en France, présents actuellement en Syrie et en Irak et 420 mineurs. Certains combattants opèrent dans la région de Mossoul. Mais la plupart des Français de l'EI se trouvent actuellement dans le nord de la Syrie, en particulier autour de Raqqa, la capitale du « califat » autoproclamé.

       

    «Des gens relevant de la psychiatrie»

     

    Bien sûr, les derniers attentats de Nice et de Saint-Etienne-du-Rouvray ont montré que des individus radicalisés pouvaient tuer sans avoir besoin de bouger de chez eux. Mais les autorités françaises craignent également une réédition de l'attaque du Bataclan et des terrasses parisiennes de novembre 2015 (130 morts) par des militants revenus du front.

     

    « Il ne faudra pas perdre de vue que, parmi les futurs vétérans, il y aura des terroristes très aguerris, mais aussi des gens relevant d'ores et déjà de la psychiatrie et dont nous ne savons pas ce qu'ils vont devenir », expliquait récemment Patrick Calvar, le directeur général de la sécurité intérieure, devant la commission de la Défense nationale de l'Assemblée.

     

    Après des années passées sur le terrain, certains djihadistes sont devenus de véritables machines à tuer. « Ils connaissent les filières pour se procurer des armes », ajoute une source militaire. D'autres sont devenus des experts en matière d'explosifs qu'ils peuvent parfois fabriquer en utilisant des produits de consommation courante (comme les engrais agricoles).

     

    Sans le crier sur les toits, Paris a demandé à tous ses alliés de la coalition de lui fournir des informations sur ses ressortissants présents en Irak et en Syrie afin de les recouper avec ses propres données. Des frappes aériennes ont déjà eu lieu pour « neutraliser » (c'est-à-dire tuer) des combattants français. Mais, au sommet de l'Etat, on reconnaît que cela ne suffira pas et qu'il faudra trouver des solutions plus globales pour contrôler le flux des retours.

     

    EN SAVOIR PLUS
    > Daech recule sur tous les fronts
    > Quel sort pour les enfants du djihad ?
    > Djihadistes français, terroristes aguerris

     

     Des mesures de détection étoffées... mais pas infaillibles

     

    La France ne pourra gérer seule le retour de « ses » djihadistes. Le renforcement de la sécurité passe par celui de l'espace de libre circulation Schengen. Le Parlement européen, d'abord réticent, a finalement accepté en avril l'idée d'un PNR (Passenger Name Record, ou fichier des noms de passagers). A terme, les données de réservation des compagnies aériennes seront accessibles aux policiers. Mais la plupart des djihadistes éviteront les vols réguliers. Certains tenteront de se mêler aux migrants, comme ce fut le cas à Leros (Grèce), à l'automne dernier, pour certains des kamikazes des attentats du 13 Novembre. Une équipe d'Europol doit justement se rendre en Grèce à la fin du mois pour tenter d'améliorer la détection.

     

    «Vrais faux» passeports

     

    L'efficacité du contrôle passe par la consultation systématique du fichier des passeports volés d'Interpol. Daech a en effet mis la main sur de nombreux documents, ce qui a permis à l'organisation d'établir de « vrais faux » papiers. Quant au SIS, le système d'information Schengen, la base de données des personnes recherchées au niveau européen, il affiche une puissance impressionnante avec 1,2 million de personnes recensées. « Mais l'une des limites du système actuel, c'est qu'il n'intègre pas les données biométriques (NDLR : telles que les empreintes) », selon Jean-Jacques Colombi, chef de la division des relations internationales à la police judiciaire entendu par la commission d'enquête sur les moyens de l'Etat face au terrorisme. De ce fait, une personne contrôlée sous une fausse identité ne peut pas être formellement identifiée aux frontières. Au total, 203 Français ou étrangers résidant en France seraient rentrés de la zone irako-syrienne.

     

    Ceux qui sont identifiés sont systématiquement placés en garde à vue et interrogés. 322 procédures judiciaires sont en cours, ce qui a conduit à 293 mises en examen, pour association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste. « Presque tous ceux qui rentrent sont incarcérés », souligne un magistrat spécialisé. En plus de ces poursuites judiciaires, la loi de juin 2016 permet au ministère de l'Intérieur d'assigner à résidence toute personne que l'on soupçonne d'avoir rejoint « un théâtre d'opérations de groupements terroristes ». Les spécialistes en sont conscients : la détection des « returnees » (« ceux qui reviennent ») sera longue et fastidieuse. Et son succès impossible à garantir à 100 %.

     

    Eric Pelletier (avec Timothée Boutry)

    LE  PARISIEN

  • Une université d’été pour les jeunes patriotes : derniers moments pour s’inscrire

     

     

    La formation est essentielle pour comprendre le monde qui nous entoure. Et il est difficile et périlleux de se la procurer soi-même.

    Or, le mouvement Renouveau français (une organisation politique sérieuse, avec d’excellentes idées) propose sa traditionnelle Université d’été (où règnent moralité et bonne ambiance), qui pourra légitimement intéresser certains de nos jeunes lecteurs (ou des lecteurs connaissant des jeunes) :

     

    « Le programme sera riche et des personnalités qualifiées interviendront (auteurs, conférenciers, etc., tels que Marion Sigaut, Thibaut de Chassey…).  »

    Une bonne occasion de franchir le cap du virtuel, de rencontrer d’autres jeunes partageant les mêmes aspirations, et de profiter d’une formation politique et historique de qualité !

    Détails en cliquant ici.

  • Interdiction du burkini : le maire LR de Cannes, soutenu par Manuel Valls, se déclare "lié à Israël"

     

    Stratégie de la tension : comme Valls, le maire anti-burkini de Cannes se déclare « lié à Israël ».

     

    38 euros d’amende : trois citoyennes vêtues d’un burkini ont été verbalisées ce week-end sur la plage de Cannes [1].

    Le 27 juillet, le maire LR David Lisnard fut le premier à prendre un arrêté pour interdire « une tenue de plage manifestant de manière ostentatoire une appartenance religieuse, alors que la France et les lieux de culte religieux sont actuellement la cible d’attaques terroristes ». [2].

    Précision sur ses connexions idéologiques qui sont passées sous silence par les médias traditionnels : Lisnard se définit étrangement comme un « patriote aimant la France et lié à Israël ».

    En octobre, Lisnard effectuait d’ailleurs une visite en Israël au cours de laquelle il rencontra des « spécialistes de la sécurité » dont l’un - Nitzan Uriel, criminel de guerre - fut sollicité pour protéger le Festival de Cannes [3].

    Le 15 mai, Lisnard accueillait chaleureusement Miri Regev, ministre de la Culture et membre du Likoud, pour monter les marches du Palais de Cannes avec elle et l’ambassadrice d’Israël. Ex-chargée de communication du criminel de guerre Ariel Sharon, Miri Regev avait comparé les immigrants soudanais à un « cancer dans notre corps ». [4].

    Le 18 mai, Lisnard inaugurait l’extension du Centre communautaire de Cannes en compagnie du président du Consistoire israélite et de Miri Regev [5].

    À noter : mardi 16 août, Manuel Valls, Premier ministre qui s’était antérieurement déclaré - comme l’avait révélé l’auteur de ces lignes - « lié à Israël et à la communauté juive », a exprimé son « soutien » envers les maires anti-burkini [6] ; [7].

  • La plus importante expérimentation de politique monétaire de l’histoire est en cours, selon Lord Rothschild

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    Le rapport financier de RIT Capital Partners, rédigé par son président Lord Jacob Rothschild, a présenté l’évolution actuelle du monde des banques centrales et de la haute finance dans le rapport semestriel de la société qu’il vient de publier. Selon lui, la plus importante expérimentation de l’histoire en matière de politique monétaire est en cours.
     
    Taux d’intérêt bas, voire négatifs, des rendements négatifs sur la dette publique et le « quantitative easing », la politique d’assouplissement monétaire mise en place par les banques centrales constituent une gigantesque expérience aux conséquences encore inconnues, a-t-il affirmé.
     

    Une expérimentation de politique monétaire aux effets inconnus et connus

     
    « Les six mois qui font l’objet de ce rapport ont vu les banques centrales poursuivre ce qui constitue à coup sûr la plus importante expérimentation en matière de politique monétaire de l’histoire du monde. Nous sommes donc dans des mers inconnues et il est impossible de prédire les conséquences non intentionnelles de taux d’intérêt très bas, et des 30 % de dettes publiques à rendement négatif, le tout associé à un assouplissement quantitatif à très grande échelle », indique Lord Rothschild.
     
    Le banquier a indiqué que cette politique a eu pour effet de provoquer une croissance rapide des bourses ; la valeur des actions américaines a été multipliée par trois depuis 2008, le début de la grande crise financière, avec une progression des investissements associée à une faible volatilité.
     
    Mais cette croissance de la richesse virtuelle n’a pas été accompagnée par des bénéfices similaires pour l’économie réelle : « La croissance demeure anémique, la demande est faible et une part importante du monde développe est en pleine déflation », commente Lord Rothschild.
     

    Lord Rothschild évoque les conséquences de la politique monétaire des banques centrales

     
    Bref, c’est le monde de la finance qui tire profit de ces politiques délibérément mises en place, dont les conséquences à long terme sont peut-être inconnues comme le prétend le milliardaire, mais dont on voit tout de même les effets.
     
    Lord Rothschild prévoit une détérioration de la situation géopolitique mondiale qui comporte de nombreux « risques » pour l’économie mondiale. Bien sûr, il note dans la colonne du passif le vote en faveur du Brexit, mais aussi l’élection présidentielle aux Etats-Unis, le ralentissement de la croissance chinoise et la progression du terrorisme global qu’il relie, sans surprise, au conflit au Proche-Orient, qui continue de s’étendre selon lui.
     
    Question : un mondialiste comme lui est-il satisfait de la tournure des événements dont on peut suivre les effets en temps réel et qui, selon ses propres termes, sont les résultats d’une expérimentation menée délibérément par la haute finance ?
     

    Anne Dolhein

    REINFORMATION TV

  • HUMOUR ?

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  • Corse: les deux habitants de Sisco remis en liberté

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  • Sisco : les Maghrébins ont passé leur journée à agresser tout le monde explique le procureur (MàJ)

     

    20h15

    17/08/2016

     

    L’origine des incidents entre « une famille maghrébine » et des habitants du village de Sisco dans le Cap Corse samedi, incombe « à l’évidence » à « des membres de la famille », a déclaré mercredi le procureur de la République de Bastia, Nicolas Bessone.

    « Ils ont voulu, dans un logique de caïdat, s’approprier la plage et la privatiser », a déclaré M. Bessone lors d’un point de presse, ajoutant: « ils ont multiplié (…) des incidents avec un certain nombre de personnes: jets de pierre (…), tensions très fortes, insultes, menaces ».


    « Globalement, la version avancée par les jeunes est corroborée », indiquait hier soir une source proche de l’enquête. Le soir des événements, à chaud, les jeunes gens avançaient tous la même version sans aucune divergence sur le déroulement chronologique des faits et faisant état de détails identiques.

    Le lendemain, dimanche, à l’occasion d’un rassemblement devant les grilles de la mairie de Bastia, cette même version était une nouvelle fois avancée par une jeune femme de dix-sept ans qui appartenait au groupe pris à partie. De jeunes gens. Selon un touriste rencontré à Sisco, témoin de la scène et entendu près de trois heures par les enquêteurs de la gendarmerie, signe de l’importance accordée à ses déclarations : « Ils [les familles d'origine maghrébine, ndlr] voulaient simplement privatiser la plage, ils n’ont pas accepté que des photos de l’endroit soient prises ». [...]

    Corse Matin

    D’après nos informations, plusieurs personnes d’origine maghrébine impliquées dans ces violences sont connues des services de police : « Quelques procédures ont été établies à l’encontre de ces individus. De la délinquance des banlieues, du droit commun », admet une source proche de l’enquête qui n’entend pas en dire davantage. [...]

    Corse Matin