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  • Napoléon Ier, Austerlitz, Napoléon III et la journée du 2 décembre

    Un jour chargé en histoire de France

    Sacre de Napoléon Ier, victoire d’Austerlitz, torpillage de la Deuxième République et investiture de Napoléon III ont tous eu lieu un 2 décembre...

    [...]

    En date du 2 décembre 1804, Napoléon Ier est sacré empereur des Français

    Immortalisé par le peintre Jacques-Louis David (1748-1825), le sacre de Napoléon a lieu le 2 décembre 1804 en la cathédrale Notre-Dame de Paris (île de la cité). Convié par le futur empereur des Français, le pape Pie VII (1742-1823) assiste à la cérémonie qu’il se contente de bénir. En effet, de manière à se distinguer des rites de l’Ancien Régime, le nouveau monarque tient à se poser lui-même la couronne sur la tête. Peu après, c’est également lui qui sacre Joséphine (1763-1814) impératrice.

     

    En date du 2 décembre 1805, Napoléon Ier remporte la bataille d’Austerlitz

    Le 2 décembre 1805, un an jour pour jour après son sacre, Napoléon remporte une grande bataille non loin du petit village d’Austerlitz. Confronté aux troupes des empereurs d’Autriche et de Russie (la bataille d’Austerlitz est également appelée la bataille des trois empereurs), il organise sa stratégie autour du plateau de Pratzen qu’il fait d’abord mine d’abandonner. Trop sûrs d’eux en raison de leur supériorité numérique, Russes et Autrichiens se ruent dans la brèche où le piège tendu ne tarde pas à se refermer. Quelques bonnes charges menées par la cavalerie de Joachim Murat finissent par avoir raison des deux armées en complète débandade. C’est alors qu’un soleil radieux illumine le ciel comme s’il voulait saluer tant le premier anniversaire du sacre que cette prestigieuse victoire française.

    Lire l’intégralité de l’article sur scribium.com

  • Donald Trump nomme le général James Mattis, dit "l'enragé", à la tête du Pentagone

    http://www.20minutes.fr/monde/1972915-20161202-donald-trump-choisi-general-mad-dog-mattis-defense

    648x415_general-retraite-james-mattis-5-mars-2013.jpg James Mattis.jpg

  • Theresa May : « Notre héritage chrétien est une chose dont nous pouvons être fiers »

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    « Notre héritage chrétien est une chose dont nous pouvons être fiers », a déclaré le Premier ministre britannique Theresa May, mercredi, en répondant à la Chambre des communes à la question d’une député de son propre parti sur les chrétiens qui, au Royaume-Uni, auraient peur, à l’approche de Noël, de parler en public de leur foi. 

    « Nous voulons tous garantir que les gens au travail se sentent libres de parler de leur foi et puissent évoquer librement Noël », a encore voulu rassurer le Premier ministre après que la député Fiona Bruce s’était référée à un rapport d’un groupe de réflexion conservateur, ResPublica, faisant état de discriminations à l’égard des chrétiens du Royaume-Uni.

    Ainsi, tout récemment, la Cour d’appel de Belfast a confirmé la condamnation d’un couple de pâtissiers chrétiens qui avaient refusé de préparer un gâteau portant le slogan « Soutien au mariage gay », et de plus en plus de municipalités et d’écoles choisissent de remplacer les fêtes de Noël par des « fêtes d’hiver » et de remplacer la symbolique chrétienne par des objets artistiques « neutres » ou les cantiques de Noël par de la musique pop.

    La place du christianisme

    Quelques jours avant son intervention aux Communes, dans une interview donnée dimanche au Sunday Times, Theresa May avait expliqué que sa qualité de chrétienne anglicane pratiquante avait une influence sur son action publique. Cela n’a pas été sans susciter quelques inquiétudes chez ceux, courants aussi de l’autre côté de la Manche, qui considèrent que l’athéisme a toute sa place dans la vie de tous les jours mais pas le christianisme, qui devrait être confiné au dimanche.

    Certes, on peut se demander si la foi chrétienne de Mme May était bien derrière son vote en faveur du « mariage » entre personnes du même sexe mais, en revanche, par rapport aux standards britanniques, on pourrait presque la qualifier de pro-vie, puisqu’elle a toujours voté en faveur de la réduction du délai légal pour les avortements de confort (aujourd’hui autorisés jusqu’à la 24e semaine de grossesse !) et aussi contre la légalisation du suicide assisté.

    Fille d’un prêtre anglican, Theresa May avait en réalité déjà affirmé en public sa foi chrétienne. « Le christianisme fait partie de moi. Cela fait partie de qui je suis et par conséquent de ma manière d’aborder les choses », avait-elle déclaré à la BBC en 2014, alors qu’elle était ministre de l’Intérieur dans le gouvernement de David Cameron. Espérons donc que l’attitude du Premier ministre britannique pourra encourager ses concitoyens chrétiens à sortir eux aussi du placard.

    Olivier Bault

    Article paru dans Présent daté du 3 décembre 2016

     NOVOpress

     

  • Dans l’Ohio, Donald Trump annonce la fin de l’interventionnisme américain à l’étranger

     

    18h01

    Lors d’un discours à Cincinnati (Ohio) retransmis à la télévision américaine, le président américain élu Donald Trump a assuré que les Etats-unis n’interviendraient plus dans des pays étrangers afin d’y changer les régimes politiques.

    «Nous sommes prêts à collaborer avec tout Etat qui souhaitera se joindre à nos opérations militaires pour détruire l’Etat islamique et tous les groupes terroristes islamistes radicaux», a martelé Donald Trump devant une foule en liesse.

    «Oui, nous allons détruire Daesh. Mais dans le même temps, nous allons poursuivre une nouvelle politique étrangère en prenant en compte nos erreurs commises dans le passé. Nous allons cesser de renverser les gouvernements d’Etats étrangers [...] Notre objectif est la stabilité, non le chaos. Le temps est venu de reconstruire notre pays», a-t-il ajouté.

    Après avoir assuré qu’il mettrait fin à l’interventionnisme de Washington à l’étranger, Donald Trump a précisé qu’il ne renoncerait pas à ses promesses de campagne, dont la construction d’un mur à la frontière mexicaine et les changements dans la loi sur le système de santé.

    Donald Trump s’est rendu à Cincinnati dans l’Ohio pour effectuer un discours devant ses partisans. Ce déplacement s’inscrit dans le cadre de sa tournée intitulée «Thank You» et qui consiste à parcourir le pays pour remercier les électeurs ayant voté pour lui.

    RT.com

    Merci à Stormisbrewing

  • États-Unis : Tom Price, opposant à l’avortement, nommé ministre de la Santé par Donald Trump

     

    Il a 62 ans, a travaillé pendant vingt ans dans le secteur privé comme chirurgien orthopédique, est opposé à l’avortement et dénonce farouchement la réforme de l’assurance maladie Obamacare (ou « Affordable Care Act ») ou le système public de couverture maladie Medicare. Tom Price a été nommé ce mardi ministre de la Santé par Donald Trump.

    Le président des Etats-Unis qui prendra ses fonctions en janvier a justifié son choix en assurant que Tom Price était « exceptionnellement qualifié pour mener à bien » l’engagement « d’abroger et de remplacer Obamacare afin de donner à tous les Américains une couverture santé abordable et accessible ». [...]

    Depuis plus de dix élections, ses votes reflètent d’ailleurs son opposition à la prise en charge de la contraception, son rejet de l’Obamacare ou sa position concernant « la protection du fœtus ». Ces votes tranchés qui sont souvent salués par une grande association américaine luttant contre l’IVG, « National Right to Life », qui lui accorde un sans-faute avec mention spéciale sur son site Internet.

    Lire l’intégralité de l’article sur 20minutes.fr

  • Démocrature : Les députés adoptent un « délit d’entrave numérique »

     

    La liberté d’expression se réduit comme peau de chagrin et tous les domaines qui devraient être libres de discussion car non consensuels sont touchés. On sait que la recherche historique est très encadrée, et que simplement poser des questions gênantes (sans même esquisser de réponse) peut suffire pour être condamné par la loi Gayssot. En matière d’identité, formuler une simple remarque ou exprimer un sentiment de gêne face à l’invasion que la France subit peut vous faire condamner pour « incitation à la haine ». C’est désormais la dénonciation argumentée sur internet de l’assassinat des enfants à naître qui risque de mener à la prison.

    En effet, les députés socialistes ont adopté une loi qui punira jusqu’à 2 ans de prison ferme et 30.000 € d’amende, quiconque, concernant l’avortement, n’aura pas relayé les bobards du planning familial, à savoir que tuer un bébé qu’une femme a dans son ventre est formidable (car le ventre de la femme lui appartient et elle est libre d’en faire ce qu’elle veut) et ne lui porte aucun cas de conscience. Qu’on en juge : Parmi les sites explicitement visés par cette loi, il y a celui-ci IVG.net, site dont on ne voit pas bien où il dit des mensonges ! La loi n’est pas encore en vigueur -elle doit également être adoptée par le sénat-, mais ne doutons pas qu’elle arrivera à être promulguée, d’autant que les députés de droite ont très mollement combattu ce nouvel affront à la liberté d’expression. En effet, parmi les députés seul le maire d’Orange, Jacques Bompard a opposé une vive résistance avec 53 amendements, d’autres s’y opposant plus mollement, tels M. Marechal Le Pen, J.F Poisson, et une poignée de députés « Les républicains ».

    On notera que F. Fillon a brillé par son absence, bien qu’il soit député ! En fait, tout semble indiqué que, même élu président, il ne fera rien pour abroger la loi. Et c’est bien l’objectif des socialistes : Faire passer le maximum de leurs lois mortifères car ils savent que, même s’ils perdent les futures élections, leurs lois continueront à rester en vigueur car les nouveaux élus n’auront pas le courage de s’y attaquer. A l’alternance suivante, les socialistes, reprenant le flambeau, iront de nouveau plus loin, et c’est comme ça que le pays va de mal en pis, l’élection de la droite permettant -au mieux et pas toujours- un moratoire des mauvaises lois, moratoire interrompu quand la gauche accède de nouveau aux affaires.

    Le seul moyen de s’en sortir serait de trouver un candidat qui abrogerait toutes ces lois (aussi bien les lois liberticides au niveau de la liberté d’expression que les lois sociétales telles la loi sur le mariage pour tous, la loi sur l’avortement etc, etc.) Mais force est de constater, hélas, qu’on n’en trouve pas, au moins parmi ceux qui ont des chances de l’emporter !

  • Le CSA « met en garde » RTL et France 5 pour des propos d’Eric Zemmour

     

    >Médias et People|Benoit Daragon|01 décembre 2016, 19h18 | MAJ : 01 décembre 2016, 19h22|20

    Le CSA « met en garde » RTL et France 5 pour des propos d’Eric Zemmour.

    Capture d'écran/YouTube
     
     
    Benoit Daragon
     
    Médias et PeopleEric ZemmourCSARTLFrance Télévisions
     

    Stop à l’« incitation à la haine ou à la violence » ! Le CSA se fâche à la suite des passages dans les médias d’Eric Zemmour début septembre lors de la promotion de son livre « Un quinquennat pour rien », qui compile ses chroniques matinales de RTL. Après avoir reçu plus de 8.000 plaintes, notamment après les propos tenus par l’éditorialiste dans « C à vous », les Sages dénoncent aujourd’hui un discours qui « exacerbe les antagonismes au sein de la société française » et « justifie des comportements discriminatoires ». En direct sur France 5, Eric Zemmour avait notamment déclaré : « Les soldats du djihad sont considérés par tous les musulmans(...) comme des bons musulmans, qui osent».

     

    VIDEO. Eric Zemmour dans «C à vous»

     

     

    Le CSA annonce ce soir avoir adressé une mise en garde à RTL et à France Télévisions. Les Sages estiment qu’Anne-Sophie Lapix et son équipe, le 6 septembre dernier, et qu’Yves Calvi dans sa matinale du lendemain n’ont pas assez vivement réagi aux propos de leur invité. La maîtrise de l’antenne a « été insuffisamment assurée au regard de la gravité des propos tenus » , écrit le Conseil. En revanche, il a dédouané Jean-Jacques Bourdin, qui recevait Zemmour dix jours plus tard, à qui il reconnaît avoir « montré une contradiction parfois vive ».

    Le Parisien

     

    NDB: Et la liberté d'expression ?