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  • Déplacemnt E.N.L. en République serbe de Bosnie

    Dominique Bilde, députée européenne et membre de la Délégation pour les relations avec la Bosnie-Herzégovine et le Kosovo s'est rendue avec Edouard Ferrand, chef de la délégation française ENL au PE, à Banya Luka, invités par le Président de la République Milorad Dodik, à l'occasion de la fête du 9 janvier célébrant les 25 ans de la création de la Republika Srpska

    Très belle vidéo!

  • GR - Toujours plus d’immigrés en France, et toujours moins d’expulsions !

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    17/01/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Ce sont les statistiques officielles sur l’immigration, rendues publiques hier, qui le disent, et Le Monde qui en livre le détail : l’an dernier, la France a « délivré 4,6 % de premiers titres de séjours de plus que l’année précédente » et les « sorties forcées du territoire » ont enregistré « une baisse de 16,3 % » : « La France a délivré 227 550 premiers titres de séjour en 2016, soit 4,6 % de plus qu’en 2015 », et ceux qui se présentent comme des réfugiés « en ont été les premiers bénéficiaires, puisque quelque 32 285 leur sont revenus, soit 41 % de plus que l’année d’avant. »

    Quant à ce qu’on appelle les « éloignements forcés », il « globalement plongé de 16,3 % » pour ne concerner que 12 961 personnes…

    Pïre encore : la Direction générale des étrangers de France (DGEF) « comptabilise plus de 2,3 millions de titres en cours de validité au 31 décembre, soit 20 % de plus qu’en 2010. Ce sont surtout les documents provisoires qui ont explosé (+ 26 % en six ans), pour atteindre quasiment 250 000 ».

    « Pourtant, ajoute Le Monde, les naturalisations, notamment par décret, continuent leur remontée engagée en 2012, avec le quinquennat Hollande. En 2016, 68 067 personnes en ont bénéficié (10,6 % de plus qu’en 2015) »…

  • VIDEO - Nicolas Sevillia: "Il est aujourd'hui interdit de parler de l'avortement, nous voulons lever ce tabou"


    Nicolas Sevillia : "Il est aujourd'hui interdit... par bvoltaire

  • Pour Manuel Valls, une alliance entre «Trump et Poutine, c'est la fin du monde»

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    L'interview accordée par Donald Trump au «Times» et au quotidien allemand «Bild» n'en finit pas de créer des ondes de choc. Le véritable changement d'époque qui se dessine semble prendre de court les tenants d'une réalité brusquement obsolète.

    Interrogé par Ruth Elkrief sur BFMTV, Manuel Valls s'est inquiété d'un rapprochement entre Donald Trump et Vladimir Poutine.

    «C'est un changement historique», s'est exclamé l'ex-Premier ministre. «Imaginez le monde entre l'Europe – l'ancienne Europe de l'Ouest – et les Etats-Unis. Une alliance entre Trump et Poutine, c'est la fin du monde», a-t-il déploré, avant d'ajouter que Donald Trump avait fait une «déclaration de guerre à l'Europe».

     

    Selon Manuel Valls, Donald Trump «propose tout simplement la dislocation de l'Europe, sur les sujets commerciaux, sur les questions migratoires». «C'est particulièrement grave», a-t-il jugé faisant à la mention faite par le prochain président américain d'un éventuel accord de libre-échange avec le Royaume-Uni. Donald Trump s'en est également pris lors d'une interview pour le Times et Bild, à la politique migratoire d'Angela Merkel, conformément à ses déclarations pendant la campagne électorale américaine.

    «Un populiste peut vouloir mettre en œuvre son programme»

    «Beaucoup pensaient que Donald Trump, après son élection, allait se calmer», constate Manuel Valls, avant de déplorer : «Mais on a oublié qu'un populiste peut vouloir mettre en œuvre son programme».

    Lors de l'interview, le président élu a déclaré qu'il ferait «confiance à Poutine», et affirmé son intention de réévaluer la pertinence des sanctions à l'encontre de la Russie. Une autre constante. «C'est du jamais vu», s'est insurgé Manuel Valls, «L'Amérique du Nord est l'alliée de l'Europe».

    RT

  • Macron, le Nord et la tête de nœud

     

    Les mineurs sont des alcooliques votant pour le FN, déclare Emmanuel Macron. Un signe non seulement de mépris sidérant, mais aussi de méconnaissance totale de la France. La démonstration par Jacques Sapir.

    Monsieur Emmanuel Macron, ancien ministre de l’Economie, se promenait dans le nord de la France. Il y fit, le vendredi 13 janvier cette déclaration dont la presse s’est faite l’écho : «l’alcoolisme et le tabagisme se sont peu à peu installés dans le bassin minier». Bien sûr, comme c’est facile. Ces ex-ouvriers, devenus chômeurs et leurs enfants, tous des alcooliques, et d’ailleurs ils votent pour le Front national. Le mépris de classe que révèle cette déclaration est sidérant, mais nullement étonnant. Emmanuel Macron fut à bonne école pendant plus de quatre ans, aux côtés – comme conseiller et comme ministre – de celui qui parlait des «sans dents», notre Président François Hollande. La violence de cette déclaration passe cependant les bornes. Non seulement par le mépris qu’elle exprime, mais aussi par la méconnaissance de la situation qu’elle révèle.

    Le Nord et l’alcool

    Oui, il y a bien un problème d’alcoolisme dans le Nord de la France, mais ni plus (ni moins) grave que celui que l’on connaît en Normandie, en Bretagne, ou dans la région Champagne-Ardenne. Regardons les statistiques de santé que ce soit celles fournies par l’INPES ou celles de l’enquête ESCAPAD.

    La seule qui mette le Nord en tête est celle des décès liés à des cirrhoses et autres maladies, que l’on considère liées à l’alcool.

    Mais, les cirrhoses ne sont pas un bon indicateur car elles sont aussi associées à d’autres pathologies qu’une simple dépendance à l’alcool. D’autres indicateurs existent, fournis par l’Enquête Baromètre Santé de l’INPES. Le premier est celui du pourcentage des ivresses alcooliques dans l’année, sur la population de 15 à 75 ans. Et là, surprise, le Nord apparaît largement sous la moyenne nationale.

    La proportion remonte largement au-dessus de la moyenne, mais pas en première place, pour les interpellations pour ivresse sur la voie publique, chiffre qui mesure, en fait, la (relative) tolérance des forces de l’ordre à ce type de désordre, mais aussi la pratique sociale de l’ivresse, dans et hors du domicile. En fait, on compte 22,5 interpellations pour 10 000 habitants, chiffre inférieur cependant à celui de la Réunion et de la région Champagne-Ardenne.

    Si l’on regarde maintenant les cas d’ivresses des mineurs (moins de 18 ans), la statistique des ivresses alcooliques répétées à 17 ans, pour 2014, telle que fournie par l’enquête ESCAPAD, met à nouveau le Nord sous la moyenne nationale.

    Il suinte de ce personnage un mépris envers les travailleurs et envers les victimes de notre société, un mépris de classe, qui n’est pas piqué des vers

    Il en va de même si l’on observe l’usage mensuel de l’alcool pour la tranche d’âge de 17 ans, toujours dans l’enquête ESCAPAD de 2014. La fréquence moyenne est de 12% en France, et elle n’est que de 10% dans le Nord contre 22% dans les pays de la Loire et 17% en Bretagne et en Basse-Normandie.

    Lire aussi
    Emmanuel Macron

    Le premier constat est donc que Monsieur Emmanuel Macron, ancien Ministre, et ci-devant candidat à la Présidence de la République, a bien raconté n’importe quoi. Il a maintenu ses propos et même attaqué sur Facebook avec une certaine violence ceux qui étaient légitimement scandalisés par ses propos. Ce faisant il ne fait qu’étaler ce qui est désormais évident pour tous ceux qui ont suivi cette triste affaire : il suinte de ce personnage un mépris envers les travailleurs et envers les victimes de notre société, un mépris de classe, qui n’est pas piqué des vers.

    Les causes de crise sanitaire dans le bassin minier

    Cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas un véritable problème de santé publique dans le bassin minier du Nord. Dans l’arrondissement de Lens, la surmortalité est de 67% supérieure à ce qu’elle est dans le reste de la France. Mais, ce problème n’est nullement la traduction de comportements spécifiques de la population, comportements qui par ailleurs trouveraient dans l’abandon dans laquelle elle fut laissée d’amples justifications. Ce problème résulte pour une large part par la pollution de l’air et de l’eau induites par des activités qui ont été pendant laissées sans contrôle (que l’on se souvienne des patrons-voyous de MetalEurop qui ont disparu sans laisser de traces après avoir largement pollué le site de leur usine, par les maladies professionnelles sur lesquelles on est devant une véritable absence de données.

    Monsieur Macron, votre prétendu «humanisme» dont vous faites étalage à l’étranger, en Allemagne en particulier, n’est qu’une immense et scandaleuse fraude

    Rappelons qu’en ce qui concerne le stress au travail, des pays comme la Suisse et la Suède avaient réalisé des enquêtes épidémiologiques générales, qui avaient montré que les maladies stress-induites avaient un coût pour la société dépassant les 3% du PIB. Rappelons qu’en France, et en dépit d’études pionnières réalisées à l’initiative de la CGT au début des années 1960, il n’y a jamais eu d’enquête équivalente. Que faisiez vous donc vous, oui vous, Monsieur Emmanuel Macron ainsi que votre collègue, Madame Marisol Touraine, quand vous étiez respectivement Ministre de l’Economie et Ministre de la Santé ?

    C’est qui devrait provoquer une immense colère contre vous et votre candidature à la Présidence de la République, citoyen Macron. De prétendre «stigmatiser» comme l’on dit aujourd’hui une population alors que vous n’avez rien fait pour permettre une juste mesure des causes de la crise sanitaire qu’elle vit. De prétendre résoudre ses problèmes par l’ubérisation du travail et de la société, alors que l’on sait pertinemment que ceci va encore renforcer le stress au travail, et engendrer par là de nouvelles pathologies.

    Monsieur Macron, votre prétendu «humanisme» dont vous faites étalage à l’étranger, en Allemagne en particulier, n’est qu’une immense et scandaleuse fraude. Vous vous moquez complètement de ce que vivent les gens, de ce qu’ils endurent. Mais nous, nous savons qu’à Noeux-les-Mines, là où vous avez fait votre déclaration, il y avait, en votre personne, une véritable tête de nœud !

    Source : russeurope.hypotheses.org

    par Jacques SAPIR

    RT

  • Les déclarations de Donald Trump irritent les Européens

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    Par Julien Licourt
    Mis à jour le 16/01/2017 à 22h23 | Publié le 16/01/2017 à 09h15

     John Kerry et de nombreux dirigeants européens ont vivement réagi, ce lundi, aux propos virulents du président américain élu contre l'Union européenne, l'Otan ou encore la politique migratoire d'Angela Merkel.

    Donald Trump ne réserve plus ses déclarations fracassantes à ses désormais célèbres tweets nocturnes. À quelques jours de sa prise de fonction, le président américain élu a multiplié les prises de positions atypiques dans une interview donnée au Times et à Bild , journaux respectivement britannique et allemand. L'homme à la mèche blonde n'a pas mâché ses mots, notamment sur l'Union européenne, pour laquelle il montre bien peu de considération. En réaction, le président François Hollande a martelé que l'UE n'avait «pas besoin de conseils extérieurs pour lui dire ce qu'elle a à faire». Résumé de ses principales prises de position, et des réponses des principaux intéressés.

    • Union européenne et «Brexit»

    «Quand vous jetez un coup d'œil à l'Europe, vous voyez en réalité l'Allemagne, estime Donald Trump. [L'UE] est en réalité un instrument au service de l'Allemagne. C'est pourquoi je pense que le Royaume-Uni a bien fait d'en sortir.» Pour Donald Trump, le «Brexit» est incontestablement un succès pour le Royaume-Uni. Il assure qu'il va «travailler dur» pour qu'un nouvel accord commercial soit conclu «très rapidement» entre Londres et Washington. Il répond aussi favorablement à la requête de la première ministre Theresa May: «Nous nous verrons dès que je serai entré à la Maison-Blanche.» L'annonce de cet accord a en tous cas déjà réjouit le ministre des Affaires étrangères britannique, Boris Johnson, qui a jugé que c'était «une bonne nouvelle [...] dans l'intérêt des deux parties».

    Dans l'ensemble, l'Union européenne est devenue un véhicule pour l'Allemagne. (...)Je pense qu'elle (Merkel) a commis une erreur absolument catastrophique, à savoir accepter tous ces illégaux. Et personne ne sait même d'où ils viennent...

    Donald Trump, dans «Bild»

    Le président élu est persuadé que la crise des réfugiés a été mal gérée et qu'elle est à l'origine du départ du Royaume-Uni de l'UE. «Les peuples, les pays veulent conserver leur identité. Le Royaume-Uni veut sa propre identité. Mais je crois que si on ne l'avait pas forcé à accepter tous ces réfugiés avec tous les problèmes qui vont avec… Je pense qu'il n'y aurait jamais eu de “Brexit” […] Je pense que d'autres pays vont quitter l'UE à leur tour.» L'Allemagne et sa chancelière, Angela Merkel, qui ont été en pointe dans l'accueil des réfugiés, qualifié par Trump «d'illégaux», ont commis «une erreur catastrophique». Il assure cependant avoir «un profond respect» pour Angela Merkel.

    «Je pense que nous, les Européens, avons notre destin dans nos propres mains. Je vais continuer de m'engager pour que les 27 États membres travaillent ensemble vers l'avenir(...) face aux défis du XXIe siècle», a riposté Angela Merkel lundi. «Personnellement, j'attends l'investiture du président américain. Ensuite, nous travaillerons évidemment avec lui à tous les niveaux», a souligné la chancelière allemande. De sources gouvernementales allemandes, on déclare que la chancelière Merkel cherche à fixer une date pour une rencontre avec Donald Trump au printemps. Elle a proposé de le rencontrer aux Etats-Unis en sa qualité de présidente du G20, précise-t-on.

    Le secrétaire d'État américain, John Kerry, a quant à lui dénoncé les «propos déplacés» du président élu sur l'Union européenne et la «courageuse» chancelière allemande. «Je pense très franchement qu'il était déplacé pour le président élu des États-Unis de s'immiscer dans les affaires d'autres pays de manière aussi directe», a-t-il déploré sur CNN. «Je pense qu'il faut être très prudent avant de dire qu'un des dirigeants les plus puissants d'Europe (...) a fait une erreur», a insisté le secrétaire d'Etat. «La meilleure réponse à l'interview du président américain, c'est l'unité des Européens», c'est de «faire bloc», a réagi de son côté le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Marc Ayrault. «Je pense que l'Union européenne va rester unie, je suis à 100% convaincue de cela», a encore déclaré Federica Mogherini, chef de la diplomatie de l'UE. L'ex-premier ministre, Manuel Valls, candidat à la primaire de la gauche, s'est emporté sur BFMTV en qualifiant de «provocation» et de «déclaration de guerre à l'Europe» les propos du président américain élu.

    • L'Otan

    L'UE n'est pas la seule institution internationale à être sévèrement jugée par Donald Trump. L'Otan, considérée comme «obsolète», n'a pas non-plus l'estime du président élu. Elle n'a pas su, selon lui, muter pour s'adapter à la menace actuelle, le terrorisme islamique. Autre problème, «les membres ne payent pas ce qu'ils doivent régler et nous sommes tout de même censés les protéger.» «Ils sont seulement cinq à payer correctement. Cinq sur vingt-deux ce n'est pas beaucoup. Je pense que c'est très injuste pour les État-Unis.» Peu d'États de l'Alliance atlantique atteignent le niveau de 2% de leur produit intérieur brut pour les dépenses militaires, l'objectif que s'est fixé l'Otan en 2014. Malgré cela, le président élu assure tout de même que «l'Otan est très importante» pour lui.

    De son côté, l'Alliance transatlantique a redit sa «confiance absolue» dans le maintien d'un «engagement fort» des Etats-Unis, au moment où certains pays européens - en particulier ceux situés sur le flanc est de l'Alliance - s'inquiètent de l'arrivée de Donald Trump à la Maison-Blanche, synonyme de possible détente avec Moscou. En sortant d'un rendez-vous avec le chef de l'Otan, Jens Stoltenberg, le ministre allemand des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, n'a pas caché l'«inquiétude» de l'Alliance atlantique. Parler d'une Otan «obsolète», a-t-il toutefois relevé, c'est «en contradiction avec ce que le (futur) ministre de la Défense américain a dit lors de son audition à Washington il y a seulement quelques jours».

    Le président français, François Hollande, a vivement réagi à ces propos: «Je vous l'affirme ici: l'Europe sera toujours prête à poursuivre la coopération transatlantique, mais elle se déterminera en fonction de ses intérêts et de ses valeurs. Elle n'a pas besoin de conseils extérieurs pour lui dire ce qu'elle à a faire», a déclaré le président, qui a également contredit le président élu américain en estimant que l'Alliance atlantique «ne sera obsolète que lorsque les menaces le seront devenues elles aussi». À Paris, le président a rappelé la responsabilité des dirigeants politiques à «se projeter dans le monde entier», et affirmé que l'Amérique de Donald Trump ne devait «pas avoir peur d'elle-même et du monde».

    James Mattis, ancien général des Marines choisi par Donald Trump pour diriger le Pentagone, a mis en garde contre la volonté du président russe Vladimir Poutine de «casser» l'Otan. Des déclarations de nature à rassurer la plupart des Européens attachés au maintien d'une position intransigeante vis-à-vis de Moscou, en plein conflit ukrainien.

    • Irak et Syrie

    Je viens de regarder quelque chose… ah, je n'ai pas le droit de vous montrer, c'est secret… mais je viens de regarder l'Afghanistan. Lorsqu'on observe les talibans, il y a plein de couleurs différentes. Et chaque année, il y en a plus, plus, plus. Et là on se dit : qu'est-ce qui se passe là-bas ?

    Donald Trump, dans «Bild»

    Donald Trump estime que l'invasion de l'Irak a été une erreur. C'est l'une «des pires décisions, peut-être la pire décision jamais prise dans l'histoire par notre pays. Cela a été comme jeter une pierre sur une ruche.» Concernant la Syrie, il critique l'attentisme de l'Administration Obama. «Nous avions la possibilité de faire quelque chose, une ligne rouge a été franchie et… rien ne s'est passé. Maintenant il est beaucoup trop tard.» Il a également condamné l'action de la Russie dans ce pays.

    • Russie

    Cette critique ne remet cependant pas en cause sa volonté d'améliorer les relations des États-Unis avec la Russie. Il le prouve une nouvelle fois en proposant de réduire les sanctions imposées à Moscou suite à son implication dans la crise ukrainienne et à son annexion de la Crimée. «Voyons si nous pouvons passer des accords qui peuvent nous être bénéfiques avec la Russie. Je pense, par exemple, que l'arsenal nucléaire pourrait être considérablement réduit. Les sanctions font très mal à la Russie. Je pense que quelque chose pourrait arriver dont beaucoup de monde pourrait tirer des bénéfices.»

    LE FIGARO

  • Investiture de Donald Trump: Washington se prépare

    http://premium.lefigaro.fr/international/2017/01/15/01003-20170115ARTFIG00093-investiture-de-donald-trump-washington-se-prepare.php