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  • JOURNAL TVL DU 16.01.17

  • Une bande armée saccage Juvisy-sur-Orge: les habitants sous le choc

    « Ils ont semé la terreur », « des scènes de guérilla urbaine ». Ce dimanche, les habitants du quartier du Plateau à Juvisy-sur-Orge employaient des phrases aussi fortes que le choc qu’ils ont ressenti en découvrant les dégâts dus au passage dans la soirée de samedi d’une bande d’une vingtaine ou d’une trentaine de « jeunes armés », notamment de sabres. Si aucun blessé n’est à déplorer, le bilan est lourd : une vingtaine de voitures ont été endommagées, vitres ou rétroviseurs brisés, et deux portes de halls d’immeuble ont été fracturées.

    Les vandales se sont également introduits dans un appartement qu’ils ont saccagé « par erreur » selon les premiers éléments de l’enquête, alors que le locataire s’y trouvait avec un bébé. Suite à cette soirée de violence, la police a interpellé sept mineurs originaires d’Athis-Mons dans la nuit. Ils auraient été relâchés à l’issue de leur garde à vue ce dimanche soir, avec une convocation devant un juge pour enfants.

    « Le Plateau est un quartier calme normalement »

    La majorité des violences s’est produite dans la rue des Écoles. Ce dimanche en fin de matinée, l’artère était encore jonchée de bris de verre. La majeure partie des voitures stationnées n’avaient plus de vitres mais des bâches collées pour combler les trous. « Samedi j’ai garé ma voiture à plusieurs pâtés de maison d’ici, bien m’en a pris, témoigne un habitant d’une vingtaine d’années. C’est hallucinant ce qui s’est passé ici. Même si depuis quelque temps, on a des petits phénomènes de squats de halls d’immeuble, le Plateau est un quartier calme normalement. »

       

    Peu de voitures ont échappé au passage de la bande armée dans le quartier du Plateau samedi soir. LP/C.CH.

     

    Robin Reda, le maire (LR) de Juvisy-sur-Orge, se montre également très surpris que le Plateau ait été le théâtre d’un tel scénario. « Nous rencontrons de gros problèmes de sécurité, mais plutôt dans le quartier de la gare, rappelle l’élu. J’ai appris avec sidération ces faits ce dimanche matin par des riverains. Dès lundi matin, la police municipale viendra faire du porte-à-porte pour rassurer les habitants. Il y a beaucoup de personnes âgées ici, elles sont terrorisées. » Pour les aider, le maire veut aussi organiser un groupe de paroles « pour permettre à tous d’être pris en charge psychologiquement ». L’édile doit également rencontrer Josiane Chevalier, la préfète de l’Essonne, ce lundi, « notamment pour parler de sécurité, précise Robin Reda. Le rendez-vous a été avancé en urgence après ces événements. »

     

    La rue des Ecoles est jonchée de bris de verres. LP/C. CH.

     

    Mais malgré ces mesures, les habitants sont sceptiques. « On a peur qu’ils reviennent, qu’ils recommencent et qu’ils commettent plus de dégâts, qu’ils s’en prennent à nous directement », tremble Sophie. Alexis, 20 ans, a pris de nouvelles résolutions : « je porterai tout le temps une matraque sur moi désormais », annonce-t-il. On est bien obligé de trouver des moyens pour se défendre. Il n’y a pas eu de blessés, mais la prochaine fois ? Ce sont des fous furieux, ils terrorisent un quartier, ils saccagent nos voitures. Au lieu de se reposer le week-end, on a dû déposer plainte, appeler nos assurances… C’est dégoûtant et révoltant. »

     

    C’est dans cet immeuble qu’une bande de jeunes a fait irruption dans un appartement occupé par un homme et son bébé. Ils ont tout saccagé alors qu'ils se seraient trompés d’adresse. LP/C.CH.

     

      leparisien.frCécile Chevallier @ChevallierCcile

     

  • Madoff s’accapare le marché du chocolat chaud en prison

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    Bernard Madoff, “L’escroc du siècle”, condamné en 2009 à 150 ans de prison pour avoir détourné 65 milliards de dollars, est une star dans sa prison, nous rapporte Le Parisien, à partir de l’enquête du site MarketWatch.

    Bernard Madoff, 78 ans, n’aurait rien perdu de ses talents de businessman au centre pénitentiaire de Butner, en Caroline du Nord. Il est même considéré comme un “héros” parmi les prisonniers.

    Monopole du chocolat chaud

    Il se serait accaparé le marché du chocolat chaud en rachetant tous les paquets de la marque Swiss Miss à l’intendant, et en les revendant plus cher dans la cour de prison.

    Ses remords, selon le journaliste Steve Fishman à la source de l’enquête, se porteraient davantage sur le fait d’avoir “détruit sa carrière” que sur le sort des victimes.

    Source : lefigaro.fr

    TVL

  • VIDEO - Politique et Eco n°118 avec Georges Clément président du Comité Trump France

    A écouter attentivement et jusqu'au bout: passionnant!

    TVL 16.01.17

  • Egypte: décapitée par sa famille après être devenue chrétienne !

    http://www.islam-et-verite.com/decapitee-famille-quitte-lislam-etre-devenue-chretienne/

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  • Le petit voleur

  • Forces américaines en Pologne : une démarche aux antipodes de l'isolationnisme proné par Trump

    https://francais.rt.com/opinions/32282-forces-americaines-pologne-demarche-antipodes-trump

  • Italie : Le migrant, « ami de la famille », viole et met enceinte une enfant de 12 ans

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    Migrants

    Posted by La Rédaction on 9th janvier 2017
    | 1178 views

     

    BREIZATAO – ETREBROADEL (09/01/2016) Dans la ville de Terni en Italie, une jeune fille de 12 ans est tombée enceinte après avoir été violée, la police a arrêté un migrant de 31 ans dont la famille s’était fait un « ami ».

    Perugia Today (source) :

    Selon l’inculpation, un étranger de 31 ans sans casier judiciaire,  résident dans la ville de Terni de longue date, a abusé sexuellement une amie de la famille de 12 ans, qui est tombée enceinte. L’homme a été arrêté par la police après un ordre du juge d’instruction Frederico Bona Galvez. Selon la police, il s’était rendu dans la maison de l’enfant et a eu l’opportunité d’être seul avec elle.

    L’article poursuit :

    L’homme de 31 ans a été identifié suite une longue et délicate enquête, notamment après avoir entendu des amis et la famille de la victime de 12 ans. L’investigation a débutée fin 2015 et coordonnée par le procureur Raffaele Iannella quand la fille, connue par le violeur présumé, s’est plainte d’abus à des membres de la famille.

    Et la partie la plus insoutenable de l’histoire :

    Les docteurs, après des analyses, ont découvert que la jeune fille était enceinte. La victime était enceinte au quatrième mois et n’a pas pu recevoir d’avortement, limité au troisième mois d’une grossesse. Le bébé est né plusieurs mois plus tard et a été confié aux services sociaux pour adoption.

    Il est probable que dans un tel cas de figure, la gauche immigrationniste défendrait l’interdiction de l’avortement, peu importe le contexte.

  • Ils préparent des émeutes pour faire dégénérer l'investiture de Trump

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    Ils préparent des émeutes pour faire dégénérer l’investiture de Trump

    Publié le 14 janvier 2017 - par - 81 commentaires - 5 071 vues

    Samedi prochain, le 21 janvier, Donald Trump sera à la Maison Blanche et son mandat commencera. La situation est-elle apaisée ? Sûrement pas, et le nombre d’obstacles théoriques ou potentiellement dangereux sur sa route vers le pouvoir demeure, nombreux et pernicieux.

    On sait que des manifestations massives sont prévues à Washington où le « peuple » d’Hollywood appelle à contrer le Président qu’il ne reconnaît pas. Des groupes comme le SDS (étudiants marxistes  qui se déclarent pour la « démocratie ») ou le BLM (Black Lives Matter) seront là et feront feu de tout bois avec toute la malignité dont ces « bons » autoproclamés sont capables.

    Il est aussi annoncé une « marche des femmes contre Trump », et l’on sait que Georges Soros finance en ce moment une foule d’actions de résistance dans tout le pays et à Washington en particulier, qui pourraient tourner à l’émeute. On notera  donc l’appel de Rosie O’Donnel (Actrice) pour l’instauration par Obama de la loi martiale afin de suspendre la prestation de serment du nouveau président.  Si des émeutes pouvaient offrir au président sortant le prétexte à accéder à cette demande, ne doutons pas qu’il en userait avec délectation.

    On a su aujourd’hui, et toujours dans l’optique de cette journée historique du 20 janvier, que le général de la Garde nationale de Washington DC sera suspendu le 20 janvier à 12 heures, c’est à dire au milieu de la cérémonie. A cet instant, les forces de la Garde nationale n’auront plus de commandant pour leur donner les ordres nécessaires en cas de troubles.  Tout le monde s’étonne d’une décision si extraordinaire en cette occasion extraordinaire. Mais qu’est-ce qui est encore « ordinaire » en ces journées cruciales pour l’Occident ?

    Enfin, plus maléfique, est la sortie d’une fausse nouvelle sur des frasques supposées de Donald Trump à Moscou en 2013 (époque où il était impensable de croire qu’il serait président des Etats-Unis quatre ans plus tard). Ces soirées épicées auraient été organisées par le FSB pour « tenir » le futur président.

    Mais cette cassette que la Russie nie avoir enregistrée et donc possédée, est attestée par un agent du MI6 qui ne l’a donc pas vue.

    Le but de cette manœuvre n’est plus d’empêcher l’élection de Donald Trump mais  de le faire passer pour un agent de la Russie et donc de pouvoir engager une procédure d’impeachment pour haute trahison. Le rapport aurait été communiqué au sénateur MacCain fin 2015, qui l’aurait confié au directeur du FBI pour enquête. Y a-t-il eu enquête sur les financements étrangers reçu par Hillary Clinton ? Y a-t-il encore une enquête sur ses courriels mettant en péril la sécurité des Etats-Unis ?

    « Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ! »

    Et ainsi, lors des audiences de confirmation des ministres de Trump, ne voit-on pas, dans la hargne des questionneurs, leur opposition à toute nouvelle politique étrangère du président élu ? Et ne voit-on pas que les reculs rhétoriques ou factuels d’un Tillerson ou d’un Jeff Sessions devant ce tribunal minent la liberté du futur président ?

    Comme si, on voulait tout à la fois délégitimer sa politique et l’empêcher de la mener, au risque pour Donald Trump d’avoir  à se heurter à son cabinet ou de décevoir ses partisans. Sa conférence de presse a pourtant mis en évidence la carrure du président, la fermeté de ses convictions, et la fidélité au programme annoncé.

    Nous attendons tous le 20 janvier, mais rien ne sera mis en œuvre dans la concorde et l’apaisement démocratique.

    Le danger rode, et l’avenir appartiendra à ceux qui oseront l’affrontement avec la monstrueuse politique issue de la seconde guerre mondiale, il y a 72 ans.

    Tiens, ne fut-ce pas le temps qu’il fallut à l’URSS pour s’effondrer ?

    Georges Clément

    Comité Trump France

    Le 13 janvier 2017

  • Jules César et la destruction du bois sacré de Marseille

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    Notre éducation en latin a été complètement ratée. Fastidieuse, quantitative, elle n’a servi qu’à de la sélection petite-bourgeoise : tu seras bon en maths et en latin, ou tu ne seras bon qu’en latin. On a été incapable, et pendant des générations (redécouvrez ce qu’en dit déjà notre Gustave le Bon dans sa Psychologie de l’éducation), de nous faire ressentir le charme et la profondeur des œuvres des grands génies de l’humanité. Mais c’est comme ça.

    C’est ainsi que je n’ai jamais pu discuter avec personne du chant VI de l’Enéide, des Fastes d’Ovide, de la Germanie de Tacite ou du songe de Scipion décrit par Cicéron. Mon ami Richer prof à la Sorbonne me dit d’ailleurs que les textes sont oubliés. On fait confiance à l’archéologie sous bonne garde informatique pour réécrire l’histoire.

    Grâce à une page de l’historien Venceslas Kruta j’ai redécouvert Lucain et sa Pharsale, Lucain rival et martyr de Néron. Comme chez Tolkien on y trouve un bois sacré, que va détruire César. Il est situé près de Massilia, ville alors phocéenne et prestigieuse pour sa résistance à César.

    Je laisse la parole à Lucain (Pharsale, chant III, vers 400-430 environ) :

    « Non loin de la ville était un bois sacré, dès longtemps inviolé, dont les branches entrelacées écartant les rayons du jour, enfermaient sous leur épaisse voûte un air ténébreux et de froides ombres. Ce lieu n’était point habité par les Pans rustiques ni par les Sylvains et les nymphes des bois. Mais il cachait un culte barbare et d’affreux sacrifices. Les autels, les arbres y dégouttaient de sang humain ; et, s’il faut ajouter foi à la superstitieuse antiquité, les oiseaux n’osaient s’arrêter sur ces branches ni les bêtes féroces y chercher un repaire ; la foudre qui jaillit des nuages évitait d’y tomber, les vents craignaient de l’effleurer. Aucun souffle n’agite leurs feuilles ; les arbres frémissent d’eux-mêmes.

    Lucain poursuit :

    « Des sources sombres versent une onde impure ; les mornes statues des dieux, ébauches grossières, sont faites de troncs informes ; la pâleur d’un bois vermoulu inspire l’épouvante. L’homme ne tremble pas ainsi devant les dieux qui lui sont familiers. Plus l’objet de son culte lui est inconnu, plus il est formidable. »

    On pense aux bois de Tolkien. Chez Dante aussi il y a des arbres qui saignent en enfer. Je les cite dans mon livre sur Tolkien :

    « Comme on aura compris, Dante arrive donc avec Virgile dans une forêt très obscure (nous sommes au chant XIII de l’Enfer). Dans un univers encore plus terrifiant, il dialogue avec des arbres, et il comprend le drame sanglant de ces troncs qui sont des âmes de suicidés punis :

    « Ainsi que le bois vert pétille au milieu des flammes, et verse avec effort sa sève qui sort en gémissant, de même le tronc souffrant versait par sa blessure son sang et ses plaintes. Immobile, et saisi d’une froide terreur, je laisse échapper le rameau sanglant… Quand une âme furieuse a rejeté sa dépouille sanglante, le juge des Enfers la précipite au septième gouffre : elle tombe dans la forêt, au hasard ; et telle qu’une semence que la terre a reçue, elle germe et croît sous une forme étrangère. Arbuste naissant, elle se couvre de rameaux et de feuilles que les harpies lui arrachent sans cesse, ouvrant ainsi à la douleur et aux cris des voies toujours nouvelles… Chacune traînera sa dépouille dans cette forêt lugubre, où les corps seront tous suspendus : chaque tronc aura son cadavre (chant XIII de l’Enfer)… »

    On repart sur Lucain (toujours chant III de la Pharsale, si importante pour mieux connaître la Gaule) :

    « Les antres de la forêt rendaient, disait-on, de longs mugissements ; les arbres déracinés et couchés par terre se relevaient d’eux-mêmes ; la forêt offrait, sans se consumer, l’image d’un vaste incendie ; et des dragons de leurs longs replis embrassaient les chênes. Les peuples n’en approchaient jamais. Ils ont fui devant les dieux. Quand Phébus est au milieu de sa course, ou que la nuit sombre enveloppe le ciel, le prêtre lui-même redoute ces approches et craint de surprendre le maître du lieu. »

    On a ainsi les dragons et l’Apollon hyperboréen.

    Mais survient César (lisez la Vie de Suétone pour rire un peu de lui). Il va agir comme le Saroumane de Tolkien, comme un agent du Mordor :

    « Ce fut cette forêt que César ordonna d’abattre, elle était voisine de son camp, et comme la guerre l’avait épargnée, elle restait seule, épaisse et touffue, au milieu des monts dépouillés. »

    Mais César persiste, et dans sa cruauté mathématique et inflexible :

    « à cet ordre, les plus courageux tremblent. La majesté du lieu les avait remplis d’un saint respect, et dès qu’ils frapperaient ces arbres sacrés, il leur semblait déjà voir les haches vengeresses retourner sur eux-mêmes. »

    César prend même le risque de défier les divinités et de se maudire pour détruire le bois sacré :

    « César voyant frémir les cohortes dont la terreur enchaînait les mains, ose le premier se saisir de la flache, la brandit, frappe, et l’enfonce dans un chêne qui touchait aux cieux. Alors leur montrant le fer plongé dans ce bois profané : « Si quelqu’un de vous, dit-il, regarde comme un crime d’abattre la forêt, m’en voilà chargé, c’est sur moi qu’il retombe. » Tous obéissent à l’instant, non que l’exemple les rassure, mais la crainte de César l’emporte sur celle des dieux. »

    Lucain oublie les sacrifices humains et redevient lyrique :

    « Aussitôt les ormes, les chênes noueux, l’arbre de Dodone, l’aune, ami des eaux, les cyprès, arbres réservés aux funérailles des patriciens ; virent pour la première fois tomber leur longue chevelure, et entre leurs cimes il se fit un passage à la clarté du jour. Toute la forêt tombe sur elle-même, mais en tombant elle se soutient et son épaisseur résiste à sa chute.
    à cette vue tous les peuples de la Gaule gémirent
    … le laboureur consterné vit dételer ses taureaux, et, obligé d’abandonner son champ, il pleura la perte de l’année. »

    Mais le destin malheureux de la forêt sacrée est de toute manière fait de destruction :

    « Les bois sacrés tombent, dit Lucain, et les forêts sont dépouillées de leur force… »

    (Procumbunt nemora et spoliantur robore silvae)

    Notre Ronsard s’en souviendra à sa gentille manière (Ecoute bûcheron…).

    On citera le magicien Tacite pour terminer :

    « Emprisonner les dieux dans des murailles, ou les représenter sous une forme humaine, semble aux Germains trop peu digne de la grandeur céleste. Ils consacrent des bois touffus, de sombres forêts ; et, sous les noms de divinités, leur respect adore dans ces mystérieuses solitudes ce que leurs yeux ne voient paslucos ac nemora consecrant, deorumque nominibus appellant secretum illud, quod sola reverentia vident... »).

    Bibliographie

    • Bonnal – Le salut par Tolkien, éditions Avatar, p. 96 (disponible ici)
    • Dante – Enfer, chant XIII
    • Kruta – Les Celtes, histoire et dictionnaire (Bouquins – Robert Laffont)
    • Lucain – La Pharsale, III (sur Remacle.org)
    • Suétone – Vie de César (sur Wikisource)
    • Tacite – Germanie, IX

    VOXNR - 16.01.17