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  • JOURNAL TVLibertés du 3O.01.17

  • Antiterrorisme: Trump préfère prévenir que guérir

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    Washington n’a plus les moyens de sa charité

    Auteur

    Roland Jaccard

    Roland Jaccard
    Psychologue, écrivain, journaliste, critique littéraire, essayiste et éditeur suisse.

    Publié le 30 janvier 2017

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    Afin de lutter contre le terrorisme, le nouveau président américain Donald Trump a interdit par décret l'entrée aux Etats-Unis des ressortissants d'un certain nombre de pays musulmans. Plutôt que l'indignation, c'est la raison d'Etat qui devrait prévaloir.
     

    Les islamistes ne tolèrent ni les athées, ni les juifs, ni les chrétiens. À titre individuel, il va de soi que chaque musulman mérite d’être respecté : après tout chacun d’entre nous a droit à ses croyances, voire à ses délires. Mais dès lors, qu’il n’y a pas réciprocité, il est normal, voire même plutôt sain, que des mesures de rétorsion soient prises. Il n’a échappé à personne, tout au moins je l’espère, que l’islam est peut-être une religion, mais aujourd’hui avant tout un instrument de conquête. Je ne nie pas non plus qu’il peut y avoir dans cet esprit de conquête, outre une violence plutôt jouissive, une forme d’idéal que chacun est libre de partager, mais aussi de combattre. C’est ce que fait Donald Trump en prenant des mesures qui permettent, pour un temps au moins, de ne pas laisser le champ libre à celles et ceux qui menacent la démocratie américaine. Les Européens, certainement beaucoup plus menacés, auraient tort de ne pas s’inspirer de ses méthodes, voire de celles des Chinois ou des Japonais.

    Trump envoie un signal clair

    Certes, on peut le déplorer,  mais il n’y a guère que deux possibilités dans l’existence : terroriser ou être terrorisé. Donald Trump a compris, tout comme Reagan avant lui et W. Bush, que les États-Unis ne sont forts que dans la mesure où ils sont haïs. Il va l’être. Il l’est déjà. Il n’aura ni prix Nobel de la Paix, ni ne figurera au Panthéon des grands hommes qui s’illustrèrent par leur amour de l’Humanité. L’avantage qu’il a sur tous ceux qui n’ont de cesse de baver sur sa vulgarité et sa brutalité, se décernant ainsi à bon marché des brevets de bonne conscience, c’est qu’il ne doit rien à personne. Et qu’il en sait sans doute un peu plus long sur l’humanité que ceux qui le critiquent. C’est un lonesome cow-boy qui fait le job, quoi qu’il doive lui en coûter. Et le job aujourd’hui consiste à dire stop à ces islamistes  qui, profitant et de leurs pétrodollars et de notre mauvaise conscience,  tentent d’imposer à un Occident tantôt sidéré, tantôt lâche, leur religion, leur forme de vie et leur pouvoir. Donald Trump a donné, contrairement à Obama, un signal clair : nous ne voulons pas de vous. Ce n’est sans doute ni très poli, ni très charitable, mais sommes-nous encore en mesure de l’être ? Et pourquoi se mettre au service de ceux qui ont juré notre perte ?  À force de compromis, l’Europe a perdu toutes ses défenses immunitaires et nous offre comme ultime spectacle ses convulsions d’agonisants. Donald Trump a choisi de dégainer. Pour les lâches que nous sommes, c’est intolérable.

    Causeur.fr

  • Xe/XVIIIe : dans le nord de Paris, les rats sont de sortie

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    >Île-de-France & Oise>Paris>Paris XVIII|Cécile Beaulieu|29 janvier 2017, 18h00 | MAJ : 29 janvier 2017, 18h58|17
    Dans le nord de Paris, les habitants se plaignent de la prolifération des rats, notamment dans les Xe et XVIIIe arrondissements. Action Barbès et DR
     
     
    Cécile Beaulieu
     
    Paris XVIIIratsHygiene
     

    Depuis quelques semaines, ils gambadent allègrement dans les rues, au milieu des déchets abandonnés, à la vue de tous : les rats, qui prolifèrent dans certains quartiers du nord de la capitale, notamment à la Goutte-d’Or (XVIIIe) et aux abords de la gare de l’Est (Xe), inquiètent et agacent tout autant. Contactées par les riverains excédés, les deux mairies d’arrondissement concernés ont affirmé que le nécessaire allait être prochainement fait avec les services de dératisation, comme cela a été déjà été le cas squares Alban-Satragne (Xe) et de Jessaint (XVIIIe).

     

    Mais dans les quartiers concernés, les habitants se sentent un peu abandonnés. Ou, du moins, loin d’être logés à la même enseigne que d’autres Parisiens. « La Ville a décidé de mettre en place un plan d’action de grande ampleur pour faire face à la présence de gaspards trop nombreux », souligne l’association Action Barbès, très active dans les IXe, Xe et XVIIIe arrondissements. « Mais ce plan, déplore-t-elle, se concentre sur quelques quartiers du centre de la capitale… Pourtant, nous ne sommes pas épargnés : le problème est particulièrement notable sur les friches à l’angle des rues Léon et Myrha, et au carrefour Affre-Myrha, qui doit accueillir des logements sociaux. »

       

    A la Goutte-d’Or, on pointe du doigt des commerces de bouche du secteur, qui n’hésitent pas à confondre friche et décharge. « La mairie est intervenue plusieurs fois auprès d’un restaurateur pour qu’il cesse ces pratiques, poursuit Action Barbès. En vain. » « Les détritus déposés quotidiennement attirent les rats par dizaines, s’alarme une riveraine de la rue Polonceau toute proche. On les voit régulièrement déambuler au milieu des ordures, s’y nourrir… Et comme un déchet en appelle un autre, certains viennent ajouter les leurs. » « On sait tous qu’il y a des rats en nombre dans Paris, tempère un passant, mais en jetant les déchets n’importe où, il est évident qu’on les attire. Il faudrait vraiment sévir avec les responsables de ces incivilités, et nettoyer plus souvent nos rues ». Même scénario aux abords de la gare de l’Est, où les rongeurs sont visibles sur les trottoirs, se mêlant aux groupes de pigeons avec lesquels ils se disputent la pitance, sous l’objectif des internautes qui diffusent photos et vidéos sur les réseaux sociaux… En attendant qu’une solution soit trouvée à la prolifération des rongeurs.

    Le Parisien

  • Les décrets de Trump contre l'islamisation vont changer le monde

    http://ripostelaique.com/les-decrets-de-trump-contre-lislamisation-et-lalena-vont-changer-le-monde.html

  • Joachim Gauck (président de l’Allemagne) : « Il n’y a nullement lieu de glorifier l’Europe. Elle n’a jamais connu d’âge d’or et n’en connaîtra jamais. »

    15h39

    La scène se passe, jeudi 26 janvier, sous les lambris du Quai d’Orsay. Le ministre allemand des affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, qui va devenir « le président Steinmeier » en succédant à Joachim Gauck à la tête de l’Etat en février, fait ses adieux à la diplomatie française.

    Officiellement, M. Steinmeier est là pour le lancement de la Nuit des idées, rafraîchissante initiative de la culture française pour beau temps. Ce qui devrait être un moment léger, purement formel, prend soudain un tour grave. En fait de Nuit des idées, M. Steinmeier a visiblement des idées noires. En allemand, il évoque les élections françaises à venir, souligne qu’elles seront déterminantes non seulement pour la France, mais aussi pour l’Allemagne – et pour l’Europe. Puis il passe au français pour implorer son auditoire : « S’il vous plaît, ne cédez pas aux sirènes du populisme. »

    Un peu plus tôt, à la Sorbonne, le président Gauck est lui aussi venu faire ses adieux. Il y prononce un discours émouvant ; il y est question d’amour, de littérature et puis d’Europe bien sûr, l’Europe dont il rappelle qu’elle a « engendré beaucoup d’horreurs ». « Il n’y a nullement lieu de glorifier l’Europe, poursuit-il. Elle n’a jamais connu d’âge d’or et n’en connaîtra jamais. Elle est uniquement le théâtre d’une incessante lutte pour l’humanité, la liberté et le droit, la justice et la démocratie. »

    () Le Monde

  • Comment séduire une Suédoise ? Un acteur lance des cours de drague pour mineurs migrants

     

    © Philippe Wojazer / Reuters
    Des migrants vont pouvoir apprendre à draguer des femmes locales, en Suède

    Alors que les agressions sexuelles sont en hausse à Orebro, en Suède, un professeur de théâtre a décidé d'enseigner les codes sociaux à des réfugiés, mais aussi de leur donner un coup de pouce pour devenir de meilleurs séducteurs.

    Mohammed Arvan, professeur d'art dramatique et acteur, a lancé des cours destinés à des migrants de 15 à 17 ans, en majorité afghans, de la ville d'Orebro en Suède, rapporte la chaîne télévisée nationale SVT.

    Le but ? Leur enseigner à séduire des femmes locales en organisant des mises en situation, qui reproduisent des scènes de séduction dans des bars ou des boîtes de nuit.

    «Au début, ils étaient complètement nuls pour draguer les filles. Ils s'approchaient juste puis demandaient leur numéro de téléphone. Ce qui, bien sûr, ne marchait pas», a expliqué le professeur à SVT, précisant que ses élèves avaient rapidement progressé.

    Mais ce n'est pas tout. Mohammed Arvan tente également d'inculquer aux adolescents certaines valeurs européennes basiques et les principaux code sociaux à adopter par rapport aux femmes, comme le fait qu'une fille portant une jupe n'a rien d'anormal.

    Pour ce faire, l'enseignant a mis en place des exercices reproduisant la gêne que peut ressentir une femme face à un comportement inapproprié dans les transports en commun.

    Ainsi, explique Mohammed Arvan, un garçon est chargé de jouer le rôle d'une fille assise dans un bus, qui se voit harcelée et tripotée par des hommes autour d'elle. Et les migrants auraient rapidement compris la leçon, puisqu'ils «ne restent pas assis très longtemps s'ils jouent la fille», rapporte la télévision suédoise.

    Selon le professeur, l'initiative serait un succès et aurait même reçu le soutien de plusieurs femmes qui lui auraient fait part de leur enthousiasme. «Elles disent qu'il faudrait aussi un cours comme celui-ci pour les hommes suédois, parce que beaucoup de Suédois auraient aussi apparemment besoin d'apprendre», explique-t-il.

     

    Et ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd puisque Mohammed Arvan compte bien mettre en place des cours similaires à destination des locaux, dès l'automne 2017. 

    Alors que deux migrants ont récemment été placés en garde à vue suite à un viol présumé diffusé sur Facebook en Suède, les agressions sexuelles ont connu une hausse de 70% en un an dans la ville d'Orebro, atteignant 165 cas en 2016 selon SVT, pour un peu moins de 110 000 habitants.

    Lire aussi : Agressions sexuelles en série lors de festivals musicaux en Suède : des migrants mis en cause