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  • Pénélope Fillon: pas de badge ni de boîte mail à l'Assemblée nationale

    Des enquêteurs étaient, ce mardi, à la mi-journée, dans l'enceinte de l'Assemblée nationale pour se faire remettre des documents dans l'enquête sur des soupçons d'emplois fictifs de Penelope Fillon. Nos révélations. 

    Permanence inexistante dans la Sarthe, son fief électoral, absence de badge d’accès et de messagerie électronique pour son épouse à l’Assemblée nationale... Au lendemain de l’audition de François Fillon par la police judiciaire, sa défense se trouve fragilisée.

     

    Depuis plusieurs jours, le Parquet national financier (PNF) négocie avec l’Assemblée nationale pour obtenir des documents, à commencer par les fiches de paie de l’épouse du candidat de droite à l’élection présidentielle. Ce mardi matin même, les enquêteurs de l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF) ont saisi des documents, notamment au sein des services administratifs.

     

      

    Selon nos informations, ces diverses investigations ont permis aux policiers et aux magistrats d’avoir la certitude que Penelope Fillon ne disposait ni de badge d’accès, ni de messagerie électronique spécifique, lorsqu’elle était assistante parlementaire de son mari et du suppléant de celui-ci, entre 1998 et 2007 ainsi qu'en 2012.

     

    «Pas un sujet», selon l'avocat de François Fillon

    L’avocat de l’ancien Premier ministre, Me Antonin Lévy, le confirme au Parisien, mais assure que ce point n’a pas été abordé lors de la longue audition du couple (plus de cinq heures) menée lundi à Versailles. «De nombreux assistants parlementaires venant de province ne disposent pas de badge. Penelope Fillon est loin d’être la seule dans ce cas. Quant à la messagerie électronique, elle n’en avait pas... tout simplement parce que la grande majorité des assistants parlementaires n’en ont pas. Ces deux points ne sont donc pas un sujet.»

     

    De fait, les collaborateurs utilisent souvent la messagerie électronique des députés. Selon des sources internes au palais Bourbon, «ceux qui travaillent à l'Assemblée disposent forcément d'un badge. En revanche, pour ceux qui sont en circonscription, il n'y a pas forcément de carte d'accès. Ils peuvent demander une carte d'invité le temps de leur passage au Palais Bourbon. Dans ce cas, on est enregistré. Enfin, il est possible de passer en compagnie du député.

     

    « Je ne connais pas un seul de mes collègues de circonscription qui n'a pas de badge. Dans l'absolu, c'est possible. Dans la pratique, c'est très peu répandu », précise Thierry Besnier, secrétaire général du Syndicat National des Collaborateurs Parlementaires (SNCP-FO).

     

    «Des éléments utiles à la manifestation de la vérité»

     

    Lors de l’audition d’hier, les questions des enquêteurs se sont surtout concentrées sur la permanence de François Fillon dans la Sarthe... qui n’existe pas. « [Cette] permanence se situait à leur domicile, et à votre avis, qui est au domicile de la Sarthe s’il n’y a pas de permanence ? Penelope Fillon !, a affirmé Antonin Lévy ce mardi matin sur RTL. Tout le monde connaît l’adresse de François Fillon dans la Sarthe.»

     

    L’enquête du PNF cherche à établir la nature du travail effectué par Penelope Fillon pour le compte de son mari, puis pour le suppléant de celui-ci, ainsi que la réalité des prestations pour «La Revue des deux mondes». Au sortir de son audition, le couple a estimé, dans un communiqué, avoir «apporté des éléments utiles à la manifestation de la vérité afin d’établir le travail réalisé par Mme Fillon».

    Le Parisien

     

  • Penelope aurait touché plus de 900 000 €, les enfants 84 000 €, Fillon crie à la «calomnie»

     

     >Elections>Election présidentielle|CSA|31 janvier 2017, 17h33 | MAJ : 31 janvier 2017, 20h25|117

     
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    CSA
     
    Election présidentielleprésidentielleFrançois FillonPenelope Fillon
     

    L'épouse de François Fillon, Penelope, soupçonnée d'emplois fictifs, a touché au total plus de 900.000 euros brut comme collaboratrice de son mari et de son suppléant ainsi qu'à la Revue des Deux Mondes assure ce mercredi le Canard Enchaîné.

    Après ses révélations de la semaine dernière, le Canard enchaîné récidive ce mercredi. Selon l'hebdomadaire, ce n’est pas 600 000 euros mais plus de 900 000 euros qu'aurait touchés la femme du candidat de la droite à la présidentielle, Penelope Fillon, en tant qu’assistante parlementaire et à la Revue des deux mondes. Ses deux enfants, que le candidat a reconnu avoir embauché «pour des missions précises» lorsqu’il était sénateur entre 2005 et 2007, auraient quant à eux touché 84 000 euros comme «assistants parlementaires».

     

       

    Le Canard chiffre désormais ainsi à 831.440 euros brut la somme perçue par Penelope Fillon comme assistante parlementaire de son mari ou de son suppléant Marc Joulaud. Non pas seulement de 1998 à 2002, comme écrit la semaine dernière par la même source, mais aussi de 1988 à 1990. La femme du candidat n'aurait donc pas bénéficié de cet emploi 8 mais 15 ans. Cette version vient contredire les dires de François Fillon, qui assurait jeudi dernier sur TF1 que sa femme avait travaillé bénévolement pendant des années avant d'être embauchée après le départ de son collaborateur parlementaire en 1997.

     

    Le Parisien

     

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    QUESTION DU JOUR. Soupçons d'emplois fictifs : êtes-vous convaincu par la défense de François Fillon ?

     

    VIDEO. Le passage de François Fillon sur TF1

     

    «Une opération de calomnie trés professionnelle»

    Ces nouvelles révélations interviennent quelques heures après la visite d'enquêteurs dans le bureau de François Fillon à l'Assemblée nationale. Le président du groupe LR à l'Assemblée, Christian Jacob, a évoqué une « perquisition ». En réponse à ses nouvelles révélations, François Fillon a dénoncé à Reuters, « une opération de calomnie très professionnelle, sans précédent sous la Ve République. » Le candidat s'est dit « serein et confiant dans l'attente de la clôture de l'enquête. »

     

    LIRE. Les assistants parlementaires, une affaire de famille

     

    Des révélations qui ne vont pas arranger la campagne de l’ancien premier ministre François Fillon. Après une semaine médiatique largement rythmée par les suspicions d’emploi fictif visant sa femme, le candidat a ébauché une défense fragile, basée dans un premier temps sur le caractère « misogyne » de l'hebdomadaire. L'ouverture, mercredi dernier, par le parquet national financier d'une enquête préliminaire l'a poussé à revenir plus en profondeur sur ces allégations. Sur le plateau du 20 heures de TF1 jeudi soir, puis lors de son grand meeting ce dimanche à La Villette (Paris) le candidat a assuré « n’avoir rien à cacher », niant la réalité des affirmations du Canard enchaîné. Toujours selon le palmipède, contrairement aux dires du député de Paris, l'élu n'aurait pas un mais « plus d'une quinzaine de comptes » au Crédit agricole de Sablé-sur-Sarthe

     

       

     

    Lors de son passage au 20 heures de TF1, l'ancien premier ministre avait lui-même fait des révélations concernant ses enfants : «Lorsque j'étais sénateur, il m'est arrivé de rémunérer pour des missions précises deux de mes enfants qui étaient avocats, en raison de leurs compétences. » Le Canard enchaîné révèle ce mercredi qu'ils auraient été rémunérés 84 000 euros en tant qu'«assistants parlementaires ». 57.084 euros bruts, d'octobre 2005 à décembre 2006 pour Marie Fillon, et 26.651 euros pour Charles Fillon de janvier jusqu'à juin 2007.

     

     

  • Donald Trump lance les préparatifs militaires pour « détruire l’État Islamique et son idéologie islamiste radicale »

     
    Posted by La Rédaction on 29th janvier 2017
    | 793 views
     

    BREIZATAO – ETREBROADEL (29/01/2017) Alors que la gauche occidentale, française en tête (voir ici), se lamente sur la politique de défense anti-islamiste entreprise par Donald Trump, le président américain ne perd pas une minute pour mettre en oeuvre son programme.

    Le chef de l’État Américain vient de signer un mémorandum portant sur la destruction de l’Etat Islamique. Le Président Trump donne « 30 jours » à l’état-major américain pour mettre au point un plan en ce sens.

     

    Une copie du mémorandum est parue sur le site officiel de la Maison Blanche (source) où le Président Trump détaille ses motivations :

    « L’Etat Islamique d’Irak et de Syrie, ou « EIIS », n’est pas la seule menace de la part du terrorisme musulman radical que doivent affronter les USA, mais elle est parmi les plus perverse et agressive. Il essaie de créer son propre état, que l’EI appelle un « califat ». Mais il ne peut y avoir aucun accommodement ou négociation avec lui. Pour cette raison, j’ordonne à mon administration de développer un plan complet pour vaincre l’EI.

    Il ajoute :

    L’État Islamique est engagé dans une campagne de persécution et d’extermination systématique dans les territoires qu’il pénètre ou contrôle. Si l’EI reste en place, la menace qu’il pose ne fera que croître. Nous savons qu’il a essayé de développer des capacités d’armement chimique.

    Le Président Trump affirme ainsi que « la politique des États-Unis est de défaire l’Etat Islamique ».

    Il déclare ainsi que « le développement d’un nouveau plan pour défaire l’EI commencera immédiatement », stipulant que « dans les 30 jours, une ébauche préliminaire du plan pour la défaite de l’EI sera soumis au Président par le Secrétaire à la Défense ».

    Le Président Trump stipule en outre que le plan devra intégrer « diplomatie publique, opérations d’information et cyber-stratégie pour isoler et délégitimer l’EI et son idéologie islamiste radicale ».

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  • VIDEO - Gilbert Collard: Trump doit-il prendre le risque de faire entrer des gens potentiellement dangereux?

    http://www.fdesouche.com/816693-gilbert-collard-trump-doit-il-prendre-le-risque-de-faire-rentrer-des-gens-potentiellement-dangereux

  • 57% des Américains favorables au décret anti-immigration de Donald Trump

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    20h15

    La majorité des Américains approuvent l’arrêt temporaire d’immigration des réfugiés et des visiteurs de 7 pays du Moyen-Orient et d’Afrique jusqu’à ce que le gouvernement puisse établir de nouvelles règles pour restreindre les conditions d’entrée aux Etats-Unis.

           

    Un sondage téléphonique national et un sondage en ligne de Rasmussen Reports révèlent que 57% des américains sont favorables à une interdiction temporaire des réfugiés provenant de Syrie, d’Irak, d’Iran, de Libye, de Somalie, du Soudan et du Yémen. Trente-trois pour cent (33%) sont opposés, tandis que 10% sont indécis.

    Sondage Rasmussen Reports

  • Arrêt de l'immigration musulmane: ce qu' a vraiment signé Trump

    http://ripostelaique.com/arret-de-limmigration-musulmane-ce-qua-vraiment-signe-trump.html

  • Primaire de la gauche : le repoussoir Hamon

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    Manuel Valls aura donc bu la coupe de la défaite jusqu’à la lie ! Entre les deux tours de la primaire, il avait appelé les sympathisants de gauche à voter davantage le 29 janvier, il croyait que c’était-là son salut, la réserve de voix qui lui eût permis de rattraper son retard. Las ! Il y a eu 20 % d’électeurs en plus, mais ils se sont mobilisés pour être sûrs que l’ancien Premier ministre soit bel et bien éliminé, Hamon l’a donc écrasé, 59 % contre 41 %, le score est sans appel. C’est la grande victime d’un week-end pourtant faste pour notre pays : l’équipe de France de handball est championne du monde, Miss France est devenue Miss Univers mais Manuel Valls, lui, a tout perdu.

    Ce n’est pas seulement l’ex-chef du gouvernement que les électeurs ont violemment rejeté, c’est François Hollande dont Valls n’était que la doublure, c’est donc aussi le bilan d’un quinquennat calamiteux. Les frondeurs qui, chaque jour, instruisaient le procès du pouvoir, minoritaires au Parlement, sont majoritaires dans l’électorat de gauche. Hamon était leur candidat, il est maintenant celui du PS.

    Pendant trois mois, on va donc voir le parti socialiste soutenir un homme qui n’a cessé de dénoncer la politique gouvernementale, que ce même PS défendait. Et que dire des ministres, censés, eux aussi, être solidaires de la politique sociale libérale qui est celle de François Hollande sans pouvoir, pour autant, désavouer le candidat de leur parti ? Myriam El Khomri, ministre du Travail, investie à Paris, va-t-elle soutenir le candidat du parti dont elle porte les couleurs et qui a inscrit à son programme l’abrogation de la loi… El Khomri ? La situation est ridicule ! Le responsable, c’est François Hollande qui, en reniant ses promesses, a laissé prospérer la dissidence au sein de son propre camp. Il s’en lave les mains, maintenant. Sa seule et amère consolation est de penser que c’est lui qui, dimanche soir, aurait pu être à la place du mort, en l’occurrence Manuel Valls.

    A quoi bon respecter la discipline d’un parti à l’agonie ? C’est pourquoi l’hémorragie au profit d’Emmanuel Macron s’accélère. Déjà, avant le scrutin, une cinquantaine de députés invoquait « un droit de retrait » en cas de victoire de Benoît Hamon. Ce droit-là, c’est celui dont les salariés se réclament pour cesser le travail en cas de danger. Le danger, pour ces élus, c’est de perdre leur siège s’ils se rangent sous la bannière utopique du candidat officiel. Ils migrent donc vers Emmanuel Macron. Depuis dimanche soir, les ralliements se multiplient, c’est le canot de sauvetage du Titanic socialiste. Au mieux, ceux qui resteront au PS seront les muets du sérail et ne lèveront pas le petit doigt pour aider le candidat dans sa campagne, à l’image du jeune pré-retraité Manuel Valls. Néanmoins, incapable de rassembler au sein de son propre parti, Benoît Hamon, en un appel dérisoire et surréaliste, invite l’écolo Yann Jadot à le rejoindre et Mélenchon de la France insoumise à se soumettre… François Fillon, dont la descente aux enfers continue, n’a plus qu’un seul motif de se réjouir, c’est de voir Benoît Hamon en champion du PS, il ne pouvait imaginer meilleur repoussoir.

    Guy Rouvrais

    Entretien paru dans Présent daté du 31 janvier 2017

  • Trump et Poutine s’entendent pour lutter contre le terrorisme islamiste

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    30/01/2017 – ÉTATS-UNIS (NOVOpress)
    La première conversation téléphonique entre Donald Trump et Vladimir Poutine semble annoncer un nouveau chapitre dans les relations russo-américaines. Et ce malgré une forte opposition de certains milieux à Washington.

    Selon Daniel McAdams du Ron Paul Institute :

    Bien que l’idée générale d’une implication des Etats-Unis en Syrie soulève beaucoup d’interrogations, l’intention de Donald Trump de coordonner la lutte contre le terrorisme avec la Russie signifie au moins que, apparemment, les Etats-Unis n’agiront pas contre la Russie.

    En tout cas, outre leur volonté de stabiliser et développer les relations bilatérales sur une base constructive, les deux chefs d’Etat ont convenu qu’il fallait donner la priorité à la lutte contre le terrorisme international et que cela passait donc par la mise en place d’une réelle coordination de leurs actions militaires respectives en Syrie.