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  • La Wallonie interdit l'abattage des animaux de boucherie sans étourdissement préalable

    http://www.laprovence.com/actu/en-direct/4453115/la-wallonie-interdit-labattage-des-animaux-sans-etourdissement-prealable.html

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    BRAVO LA WALLONIE!

  • Le nouveau gouvernement Macron-Philippe dévoilé!

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Collomb-Bayrou-Goulard-Hulot-Le-Drian-le-gouvernement-Macron-devoile-45747.html

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  • JOURNAL TVL DU 17 MAI 2017

  • Israël : les couacs s'enchaînent avant la visite de Trump

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    • Par Cyrille Louis
    • Mis à jour
    • Publié

    Israël a d'ores et déjà commencé à installer les drapeaux américains pour préparer la visite du président américain Donald Trump. Crédits photo : Ariel Schalit/AP

    Alors que les préparatifs entrent dans leur phase finale entre les États-Unis et l'État hébreu, plusieurs désaccords ont opposé ces derniers jours les deux pays sur l'organisation de ce déplacement inédit prévu les 22 et 23 mai.

    Correspondant à Jérusalem

    La visite de Donald Trump à Jérusalem, programmée à la veille des festivités qui marqueront le cinquantième anniversaire de la «réunification» de la ville, y est attendue comme le clou du spectacle. Mais une certaine nervosité s'est emparée des dirigeants israéliens alors que les préparatifs entrent dans leur phase finale. Les médias locaux affirment que plusieurs désaccords ont opposé ces derniers jours les responsables du protocole aux «précurseurs» venus de Washington pour organiser ce déplacement. Ceux-ci traduiraient le décalage entre les fortes attentes qu'a suscitées l'élection du nouveau président américain auprès de la droite israélienne et son souci, de plus en plus manifeste, d'adopter une approche équilibrée pour promouvoir un «deal ultime» entre les parties.

    Son conseiller pour la sécurité nationale, le général H.R. McMaster, a jeté un froid en indiquant vendredi que Donald Trump compte profiter de cette visite non seulement pour «réaffirmer le lien inébranlable de l'Amérique avec l'État juif», mais aussi pour exprimer «son désir de dignité et d'autodétermination pour les Palestiniens». Le président avait jusqu'à présent évité d'aller aussi loin. Lors de la visite de Benyamin Nétanyahou à Washington, le 15 février, il avait badiné: «Je peux vivre avec un ou deux États».

    La droite nationale religieuse avait cru déceler derrière ces mots un encouragement à ses projets d'annexer tout ou partie de la Cisjordanie. Mais le locataire de la Maison-Blanche a depuis lors réservé un accueil chaleureux au président Mahmoud Abbas, qui a profité de leur rencontre pour affirmer qu'il n'existe à ses yeux pas d'alternative à l'approche dite des deux États. Une source américaine citée mardi soir par les médias israéliens a par ailleurs laissé entendre que Donald Trump envisage de reporter le transfert, promis durant sa campagne, de l'ambassade américaine entre Tel Aviv à Jérusalem.

    Une quinzaine de minutes à Yad Vashem

    La définition du programme de la visite, qui s'étendra sur vingt-quatre heures à peine et intégrera une courte étape à Bethléem, a également donné des sueurs froides aux dirigeants israéliens. Rompant avec l'usage généralement accepté par les dirigeants en visite dans le pays, Donald Trump aurait fait savoir qu'il n'entendait pas consacrer plus d'une quinzaine de minutes à la visite du mémorial de Yad Vashem. Il lui a été répliqué qu'une visite aussi brève n'est pas envisageable. Les représentants des deux pays sont finalement tombés d'accord, lors d'une ultime réunion préparatoire organisée mardi, pour annoncer que le président y déposera une gerbe lundi 22 mai.

    Ils ont par ailleurs décidé d'annuler le discours que Donald Trump avait prévu de prononcer sur la forteresse de Massada en raison des fortes chaleurs qui y sont annoncées. Il s'exprimera en fait à Jérusalem, dans l'enceinte du musée d'Israël. Une dernière incertitude entourait enfin l'arrêt prévu au mur des Lamentations. Selon la deuxième chaîne de télévision israélienne, Donald Trump refuserait d'y être accompagné de Benyamin Nétanyahou et un incident aurait éclaté lundi à ce propos lorsqu'un membre de la délégation américaine a sommé les représentants du protocole israélien de quitter les lieux. Les États-Unis, aurait-il justifié, ne reconnaissent pas la souveraineté israélienne sur la Vieille ville Jérusalem-Est. La Maison-Blanche a tenté de calmer le jeu quelques heures plus tard en désavouant publiquement l'auteur de ces propos. Mais elle a tenu bon sur le fond.

    CRIF

  • La France, avant-garde du gouvernement mondial ?

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    Michel Lhomme, philosophe, politologue ♦

    Médiatiquement, le but est de faire durer le suspens, politiquement de créer l’état de grâce mais le suspens est faux et la soupe prend mal. En tout cas, c’est clair. Tout était déjà dans la boîte pour qui observe jour après jour la gouvernance mondiale.

    Le nom du nouveau premier ministre a été révélé: il s’agit d’Edouard Philippe. Normal, c’est un “Young Leader” promotion 2011 (Emmanuel Macron est de la promotion 2012). Il a en commun avec le nouveau Président de la République d’appartenir au Groupe Bilderberg, ou du moins d’y avoir fait un passage remarqué l’année dernière.

    Manuel Valls avait été nommé ministre de l’intérieur quatre ans après son passage au Bilderberg. Macron avait été nommé ministre de l’économie trois mois après sa venue à la réunion du club en 2014.  Edouard Philippe, lui, aura dû attendre un peu plus : un an pour être précis. Rappelons qu’en 2015, Philippe de Villiers disait que François Fillon lui aurait confié : «Le Bilderberg ? Que veux-tu? Ce sont eux qui nous gouvernent».

    Il y aura désormais un tandem de Bilderberg de choc aux manettes du gouvernement pour défendre ou sauver les intérêts puissants de ceux qui, en coulisse, tirent réellement les ficelles. Rappelons aussi que si François Fillon avait été président, c’est Henri de Castries, le Président du groupe lui-même qu’on nous promettait. Il resterait d’ailleurs à lui confier  carrément le poste de Ministre de l’Economie pour que tout soit parfait.

    Édouard Philippe est aussi un énarque, un politicien professionnel, un “retourneur” de veste traditionnel, un bon gestionnaire certes mais il représente comme l’a aussitôt fait remarquer Jean-Luc Mélenchon le « vieux monde », cette classe politicienne française que tous les Français semblent pourtant vouloir éconduire.

    Les seuls qui jubilent ce sont les journalistes  en extase devant ce qui leur arrive : couvrir l’innommable.

    METAMAG

  • "Le temps est venu d'assassiner Assad" déclare un ministre israélien

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    Yoav Galant

     

     

    © Sana Source: Reuters
    Bachar el-Assad
     
    Le ministre israélien du Logement Yoav Galant a appelé, ni plus ni moins, à tuer le président syrien Bachar el-Assad lors d'une conférence à Jérusalem, à la suite des allégations américaines sur de prétendus crimes de guerre perpétrés par Damas.

    Le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il n'a pas mâché ses mots. «A mon avis, nous sommes en train de franchir une ligne rouge. Et pour moi, le temps est venu d'assassiner Assad. C'est aussi simple que cela», a déclaré le 16 mai Yoav Galant, ministre du Logement du gouvernement de Benjamin Netanyahou.

     

    «La réalité de la situation en Syrie est qu'ils sont en train d'exécuter des gens, en menant des attaques chimiques contre eux, et maintenant, ils brûlent leurs cadavres, quelque chose que nous n'avons pas vu en 70 ans», a assuré le ministre en référence à l'Holocauste. 

    Et de poursuivre, toujours avec la même assurance : «Quiconque assassine un peuple et brûle les corps des victimes n’a pas sa place dans ce monde», avant d'accuser finalement le président Assad de perpétrer un «génocide» contre les Syriens. 

     

    Ces accusations font suite aux allégations américaines concernant l'existence présumée de fours crématoires visant à faire disparaître les corps d'individus exécutés arbitrairement par les forces loyalistes syriennes. Ces accusations ont cependant été balayées par Damas

    Lire aussi
    : «Assad doit partir !» : quand les détracteurs du président syrien quittent la politique un à un

     

     
  • La recomposition politique se joue aussi au Front National

    https://francais.rt.com/france/38450-recomposition-politique-se-joue-aussi-front-national