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  • Berlin : un réfugié gambien musulman échappe à la prison après avoir torturé atrocement sa belle-fille âgée de 5 ans

     

    23h57

    Un réfugié gambien vivant à Berlin a échappé à une peine d’emprisonnement, en dépit d’être reconnu coupable d’avoir torturé sa belle-fille de 5 ans dans des rituels religieux violents.

     

    Mamadou G, 37 ans, a admis avoir abusé de sa belle-fille dans un rituel religieux appelé « Juju » parce qu’il croyait qu’elle était un diable. L’individu la frappait avec des bâtons, des ceintures et ébouillantait ses mains avec de l’eau chaude, parmi d’autres punitions dégradantes.

    Il lui a dit que si elle «continuait à refuser à Allah, elle irait en enfer, où elle serait démembrée».

    Un pédiatre a témoigné que la petite fille avait des blessures partout sur son corps et qu’il était également évident que l'enfant était gravement traumatisée mentalement ». Le pédiatre a également déclaré à la cour comment la fille a été forcée de dormir dans une valise et n’a pas eu de jouets dans l’appartement dans lequel elle habitait.

    Au tribunal, le juge n’a pas donné à l’homme une peine de prison pour ces crimes, mais a choisi de donner à l’homme deux ans de probation. L’homme sera cependant renvoyé en prison pour une peine pour trafic de drogue, mais sera probablement libre l’année prochaine.

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  • Macron c'est aussi ça

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    On apprend que le garde des Sceaux, Nicole Belloubet, a proposé au Conseil supérieur de la magistrature la nomination de Françoise Martres, actuellement conseillère à la chambre sociale de la cour d'appel d’Agen, au poste de première vice-présidente de la cour d’appel de Bordeaux.

    Une superbe promotion, pour une femme doit passer en correctionnelle pour « injure publique ».

    Françoise Martres était présidente du syndicat de la magistrature quand a éclaté l’affaire du « mur des cons ». Elle n’a jamais désavoué cette immondice indigne de tout magistrat qui se respecte. Il convient de rappeler que sur ce mur de photos il n’y avait pas seulement les personnalités politiques honnies des gauchistes du syndicat, agrémentées d’injures, il y avait aussi, par exemple, le général Schmitt, père d’Anne-Lorraine assassinée en 2007, et Jean-Pierre Escarfil, père de Pascale tuée par Guy Georges en 1979.

    Le journaliste qui avait révélé l’existence du « mur des cons » fut sanctionné par sa rédaction (France 3) qu’il avait « salie » par ses révélations (sic) et son syndicat apporta son soutien… au syndicat de la magistrature. Mais il portera plainte contre Françoise Martres pour injures publiques, ainsi que 11 « cons ».

    Le juge d’instruction avait ordonné le renvoi de Françoise Martres devant le tribunal, mais bien entendu le parquet avait fait appel et l’affaire était arrivée jusqu’à la Cour de cassation… qui a confirmé la décision du juge d’instruction. En mars dernier, on a appris que Françoise Martres sera jugée en… décembre 2018…

    Reste à savoir si le Conseil supérieur de la magistrature va se rendre complice de cette ignominie, ou va oser s’opposer à la Belloubet, c’est-à-dire au tout-puissant Macron…

    Le blog d'Yves Daoudal

     

  • Il ne se laissera pas "baiser" par Bercy, déclare Pierre de Villiers, le chef d'état-major des armées

    https://francais.rt.com/france/40889-baiser-demission-chef-etat-major

  • La classe

    Capture.GIF Melania et Brigitte.GIF

  • Une députée LREM se réjouit des cocktails et du champagne qu'on lui sert depuis son élection

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    Le député Mireille Robert (LREM)
     

    Mireille Robert vient d'être élue à l'Assemblée. Elle qui était jusqu'ici institutrice découvre un univers nouveau. Ce qui la marque le plus ? Les cocktails «dans de beaux endroits». Seul point négatif : on n'y sert pas de blanquette de Limoux.

    L'écrasante victoire de La République en marche aux dernières élections législatives a permis à de nombreux novices de la politique de faire leur entrée au palais Bourbon. Nombreux sont ceux qui, parmi ces nouveaux députés, découvrent la vie de parlementaire... mais ce sont ses petits avantages qui semblent le plus impressionner certains, comme Mireille Robert, député de la 3e circonscription de l'Aude. Dans une vidéo publiée sur son compte Facebook et supprimée depuis, celle-ci partage l'émerveillement qu'a suscité chez elle la vie luxueuse de député.

    «Depuis que je suis députée et que je vais à l’Assemblée nationale, je suis allée à des cocktails et des cocktails et des cocktails, chez des ministres, des secrétaires d’Etat, dans de beaux endroits», déclare l'élue avec enthousiasme dans cette vidéo diffusée le 5 juillet déjà visionnée plus de 18 000 fois. Ancienne institutrice, Mireille Robert apprécie plus précisément «qu’on [lui] serve essentiellement du vin et du champagne» dans le cadre de ses nouvelles fonctions.

    La rigueur de l'emploi du temps, la difficulté du travail parlementaire ou la responsabilité de sa fonction sont-elles pesantes ? Mireille Robert ne le dit pas. Son principal regret est d'un tout autre ordre : «Je regrette évidemment qu’on nous serve pas de la blanquette.» La blanquette de Limoux, vin mousseux produit dans sa région, semble en effet absent des réceptions auxquelles l'élue s'est vue convier depuis le début de son mandat.

    Sur internet, la légèreté du propos de Mireille Robert a été perçue comme un signe de fatuité fort critiquable. L'ancien député Thierry Mariani a réagi de manière ironique sur Twitter.

    RT