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  • Eric Zemmour sur la PMA

    Excellent

  • La Corée du Nord menace de réduire «en cendres» les Etats-Unis et de «couler» le Japon

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    © KCNA Source: Reuters
    Kim Jung-un assiste à un exercice militaire
     

    Après les escalades diplomatiques successives entre les Etats-Unis et la Corée du Nord, Pyongang a annoncé son programme, particulièrement chargé : «couler» le Japon, réduire les Etats-Unis «en cendres» ou encore «balayer» la Corée du sud.

    Le 13 septembre, KCNA, l'agence de communication officielle de la Corée du Nord a rapporté des propos très virulents émanant d'un porte-parole du Comité coréen de l'Asie et du Pacifique pour la paix.

    Lyrisme guerrier

    Réagissant aux récentes sanctions décidées par le Conseil de sécurité des Nations unies, le Comité coréen pour la paix a accusé Washington d'avoir fomenté ces nouvelles sanctions et estimé que la punition appropriée serait de «battre à mort ce chien enragé, à coups de bâton».

    Très en verve, le porte-parole cité par KCNA a également promis aux Etats-Unis de les «annihiler», de les «réduire en cendres» et de les «plonger dans les ténèbres».

    Les alliés asiatiques du pays de Donald Trump ont également eu droit à leur scénario catastrophe : «Les quatre îles de l'archipel (japonais) doivent être coulées à l'aide d'une bombe nucléaire» a continué le porte-parole, estimant que l'existence du Japon n'était plus «nécessaire» à proximité de la Corée du Nord. Quant à la Corée du Sud, elle devrait simplement être «balayée par le feu», selon ce même porte-parole.

    «Inacceptable» pour le Japon

    Le Comité pour la paix de Pyongyang a proclamé que sa «patience [avait] des limites» et qu'il fallait à présent employer «toutes les capacités de représailles mises au point jusqu'ici».

     

    Corée du Sud : vastes manœuvres navales en réaction à l'essai nucléaire de  https://francais.rt.com/videos/42839-coree-sud-vastes-manoeuvres-navales 

    Des propos «extrêmement provocateurs et incendiaires» pour le secrétaire général du gouvernement japonais, qui «aggravent les tensions régionales de façon significative et sont absolument inacceptables». La Corée du Nord juge quant à elle que l'archipel «continue de valser sur l'air des sanctions américaines», malgré le missile tiré par Pyongyang qui l'a survolé le 28 août.

    La patience américaine vis-à-vis de  «n'est pas illimitée», prévient Nikki  à l'  
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    Le comité réagissait à la récente décision unanime du Conseil de sécurité des Nations unies qui a approuvé le 11 septembre de nouvelles sanctions contre Pyongyang consécutives à un sixième essai nucléaire de la Corée du Nord. Ces sanctions visent principalement le commerce à l'export de textile et à l'import de carburant.

    Donald Trump pas impressionné

    L'escalade verbale entre Washington et Pyongyang semblait déjà avoir atteint des sommets, quand Donald Trump avait promis le feu et la fureur à la Corée du Nord. Le 45e président des Etats-Unis avait également estimé que les sanctions décidées par le Conseil de sécurité des Nations unies n'étaient «rien comparé à ce qui [devrait] advenir à terme».

    Pourtant, il semblerait que, comme Washington, Pyongyang ait encore quelques flèches dans son carquois.

    Lire aussi : Trump ou Kim Jong-un, qui a dit quoi ? Le quiz spécial guerre nucléaire de RT France

  • Tatyana Festerling (Fortress Europe) : « Il faut d’urgence reconstruire le rideau de fer »

    https://youtu.be/obHjgWQ_Lvc vidéo

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    13/09/2017 – ALLEMAGNE (NOVOpress) : Tatjana Festerling a été la porte-parole de Pegida à Dresde, avant de se lancer en 2016 dans une tournée européenne avec le projet Fortress Europe (« Europe Forteresse »). Dans un entretien pour TV Libertés réalisé par Nicolas de Lamberterie, elle relate ses expériences sur la crise migratoire en Bulgarie avec les volontaires qui défendent la frontière, mais aussi à Calais ou en Sicile. Elle dresse un portrait au vitriol d’Angela Merkel, mais aussi d’une partie des Allemands qui acceptent les différents volets de sa politique. Elle en arrive même à la conclusion provocante de souhaiter le retour d’une forme de rideau de fer pour préserver l’Europe centrale et orientale et des dérives de l’Europe occidentale.

  • Une fillette de 11 ans agressée sexuellement à Ouistreham

    http://www.fdesouche.com/883837-fillette-de-11-ans-agressee-a-ouistreham-14-maire-ne-veut-plus-de-migrants-commune

    Ecoutez le maire dans la vidéo

  • TVL 13/09/17

  • Eric Zemmour à Emmanuel Todd : « L’enjeu majeur, c’est l’invasion de l’Europe par le Sud »

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    13/09/2017 – FRANCE (NOVOpress) : A l’occasion de la parution de l’ouvrage d’Emmanuel Todd, Où en sommes-nous ? (Seuil), Le Figaro a organisé un passionnant débat entre son auteur et Eric Zemmour, débat animé par Alexandre Devecchio et Eugénie Bastié. En voici quelques extraits, ceux qui portent sur l’islam et sur l’immigration.

    Todd Où en sommes-nous

    Eric ZEMMOUR. – Il y a quelque chose que je ne comprends pas dans votre raisonnement. Vous expliquez pendant 480 pages que l’économie est secondaire, et au sujet de l’islam vous vous cachez derrière le blocage économique qui dure depuis 20 ans.L’islam a toujours imposé ses modèles familiaux, l’islam est inassimilable. Vous ne pouvez pas dire qu’il va se fondre dans un fond français égalitaire.

    Emmanuel TODD. – Je dis aussi que l’économie a sa valeur. 20 ans de blocage économique et de taux de croissance zéro ont eu un impact sur les phénomènes d’assimilation. Une société bloquée ne peut pas assimiler. Il faut être réaliste et tenir compte de l’anthropologie et de l’économie. Même en Allemagne où l’économie tourne bien. La politique frénétique d’immigration de Merkel, si l’on tient compte de la disparité des systèmes familiaux (je ne parle pas ici de religion) est suicidaire. C’est une question de quantité et de rythme.

    Pour vous Emmanuel Todd, la question de l’identité est donc secondaire ?

    Emmanuel TODD. – Je pense qu’Éric est plus passionnément national que moi. Il a une vision mystique de la France, qu’il voit avec une mission dans le monde. Moi je suis juste content d’y vivre, je n’ai simplement pas envie d’être Allemand ! J’étais un anti-maastrichtien de la première heure, non parce que j’avais une idée sublime de la France, mais parce que je pensais que ça ne pouvait pas marcher sur le plan économique. Je ne suis pas parti en guerre en 1992 contre des cinglés qui pensent que la nation n’existe plus pour me retrouver avec d’autres cinglés qui pensent que la nation est tout.

    Eric ZEMMOUR. – Je ne suis pas un absolutiste de la nation. Je pense que l’enjeu majeur c’est l’explosion démographique du sud et l’invasion de l’Europe par le sud. Je pense que nous vivons un moment comparable à ce qui s’est passé au XIXe siècle avec une révolution démographique en Europe qui a conduit à la colonisation. Quand les armées françaises arrivent en Algérie en 1830, la population algérienne représente deux millions de personnes, pour 28 millions de Français. Le rapport démographique s’est inversé. C’est là, l’enjeu du siècle.

    Emmanuel TODD. – Je ressens exactement le contraire. Je crois que le problème majeur de la France c’est qu’elle a été mise en état de paralysie sociale par la construction européenne. La seule chose qui éventuellement pourrait la remettre d’aplomb, c’est la sortie de la monnaie unique. Mais pour cela, la précondition fondamentale c’est la solidarité des Français sur le territoire. Il faudrait une grande fête de la Fédération rassemblant toutes les provinces, les musulmans n’étant qu’une nouvelle province !

    Eric ZEMMOUR. – La République c’est l’assimilation, pas le communautarisme. Historiquement la fête de la Fédération c’est en 1790 : trois ans après c’était la Terreur. Ça finit toujours comme ça en France.

    Extrait du débat publié par Le Figaro