Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • L'Union européenne souhaite consacrer 500 millions d'euros à l'accueil de 50 000 migrants

    https://francais.rt.com/international/43867-commission-europeenne-souhaite-accueillir-50

    59cbbd6e488c7b57638b4567.jpg

    + photos et tweets

  • Journal TVL du 27 septembre 2017

  • Meurtre de Mayran : l'assassin d'Élodie Bonnefille serait irresponsable

    201602201324-full.jpg

    Justice ?

    image: https://static.ladepeche.fr/content/media/image/large/2017/09/26/20170926121252422-0.jpg

    La jeune fille a été tuée sur l’exploitation des frères Espinasse à Mayran./ Photo DDM archives
    La jeune fille a été tuée sur l’exploitation des frères Espinasse à Mayran./ Photo DDM archives

    image: http://www.ladepeche.fr/images/pictos/image-zoom.png

    En février 2016, Élodie Bonnefille, salariée de la chambre d’Agriculture de l’Aveyron, était tuée par un agriculteur à Mayran lors d’un contrôle de l’exploitation. Selon nos confrères de Centre Presse, ce dernier, Xavier Espinasse, aurait été déclaré irresponsable par quatre expertises psychiatriques. Ce jeudi, une audience civile à Montpellier devrait entériner l’état psychiatrique de l’assassin, entraînant son irresponsabilité pénale et empêchant son procès devant la cour d’assises.

     

    Les faits s’étaient déroulés le 17 février 2016. Venue dans la ferme des frères Espinasse pour procéder à un contrôle sanitaire des vaches, Élodie Bonnefille, 26 ans, technicienne de la chambre d’agriculture originaire de Rignac, était tuée très tôt le matin par l’un d’entre eux, Xavier, âgé de 46 ans.

    L’autopsie devait révéler que le décès avait été causé par « une combinaison de strangulation et de noyade », en l’occurrence dans un étang situé à 150 mètres de la stabulation. L’enquête mettait en évidence un « délire interprétatif paranoïaque » de la part de l’éleveur, qui faisait état de « motifs irrationnels » pour justifier son geste. Le parquet de Montpellier avait retenu des éléments de préméditation contre lui constituant un assassinat.

    La famille de la jeune fille se dit consternée par les conclusions de ces expertises.


    En savoir plus sur http://www.ladepeche.fr/article/2017/09/26/2653168-meurtre-de-mayran-l-assassin-d-elodie-bonnefille-serait-irresponsable.html#mVuUhV85JGKFS6B3.99

  • Alexander Gauland est fier des soldats allemands

    "Nous avons le droit d'être fiers des performances des soldats allemands", a déclaré pendant la campagne des législatives Alexander Gauland, le co-leader du parti d'extrême droite allemand, l'AfD (Alternative pour l'Allemagne). Pour tenter d'expliquer ses propos, il a fait le rapprochement avec les Français "fiers" de Napoléon et les Anglais de Churchill. Des déclarations accueillies par des applaudissements de la part de ses supporters.

     par NouvelObs Montage

    b2c33a014d5098f7eddd1492dda57f7a.jpg

    Soldat allemand sur la Front de l'Est

  • Jeune fille au pair tuée à Londres : le couple de suspects ne reconnaît pas le meurtre

     

    >MAJ : 26 septembre 2017, 19h23|1

    Sophie Lionnet, 21 ans, faisait «toujours passer les autres avant elle», selon une de ses amies qui attendaient beaucoup de l'audition des suspects.

    (capture écran Facebook.)
     
     
    A.R., Louise Colcombet
     
    Faits diversSophie Lionnetfille au pairLondres
     

    Les deux Français inculpés à Londres du meurtre présumé de leur jeune fille au pair, une Française de 21 ans dont le corps calciné, ont comparu ce mardi devant les juges.

    C'est la déception pour tous les proches de Sophie Lionnet, qui attendaient des explications de cette première confrontation. Ce mardi à Londres, le couple franco-algérien inculpés du meurtre présumé de la jeune Française au pair qu'ils employaient, dont le corps calciné a été découvert mercredi dans leur jardin, a comparu devant le tribunal de l'Old Bailey. Mais ni l'un ni l'autre n'a reconnu le meurtre, ni même donné des informations permettant de comprendre ce qui est arrivé à la jeune femme de 21 ans.

     

    «J'ai rien fait»

     

    Interrogés via vidéoconférence depuis les établissements pénitentiaires où ils sont détenus, les deux suspects ont seulement confirmé leur identité. Sabrina Kouider, 34 ans, est apparue en larmes, tentant de réprimer ses sanglots, depuis la prison pour femmes de Bronzefield (sud-ouest de Londres). «J'ai rien fait», a-t-elle crié en français, interrompant le procureur, avant d'ajouter «Je n'ai jamais tué». Interrogé depuis la prison de Wandsworth (sud-ouest de Londres), Ouissem Medouni, 40 ans, n'a, lui, montré aucune émotion. Ils ont tous deux été maintenus en détention à l'issue de cette première audience. Leur procès devrait s'ouvrir le 12 décembre.

     

     Elle devait rentrer en France

     

    La police avait été alertée mercredi par des voisins, intrigués par une épaisse fumée en provenance de la propriété où le corps a été retrouvé. Si les autorités n'ont pas confirmé l'identité de la jeune femme, originaire de Troyes, Le Parisien a enquêté auprès de ses amis. Selon eux, Sophie était d'abord apparue rayonnante, à travers ses publications sur Facebook, au moment de la prise de poste chez ce couple aisé. Elle semblait emballée par cette patronne «styliste» et «maquilleuse» qui la sortait dans le grand monde, lui avait offert une robe de soirée, un shooting photo, et lui avait même fait rencontrer Johnny Depp...

     

    LIRE AUSSI
    >«Elle nous faisait croire que tout allait bien», racontent ses amis

     

    Puis les choses s'étaient envenimés mais la jeune femme semblait toujours trouver des excuses à ses patrons, qui ne lui accordaient qu'un salaire de 56 euros par mois, qu'elle n'a finalement jamais touché. Sa famille a par ailleurs des raisons de croire qu'elle restait cloîtrée et que le couple l'empêchait de rentrer en France. Elle avait fini par acheter un billet retour, grâce à l'aide de sa famille. Elle aurait dû rentrer lundi dernier.

     

    Le meurtre présumé a provoqué une vive émotion parmi les jeunes au pair travaillant au Royaume-Uni, et plus largement au sein d'une partie de la communauté française. Sur Facebook, une page a été ouverte en hommage à Sophie Lionnet, recueillant les témoignages émus d'anciens proches de la victime. Cette affaire met en lumière les difficultés parfois rencontrées par ces femmes, souvent très jeunes et sans expérience, qui travaillent et habitent dans des familles à l'étranger, a souligné Victoria, à l'origine de la page Facebook, qui préfère taire son nom de famille.

     

      leparisien.fr
     
  • Londres : Sophie Lionnet était traitée comme une esclave par le couple franco-algérien suspecté de l’avoir tuée

    FGH.jpg

     

    12h59

    Quelques jours après l’arrestation d’un couple suspecté d’avoir tué Sophie Lionnet, Française qu’il employait à Londres, des amis de la jeune femme dénoncent l’exploitation dont elle était victime.

     

    Quatre jours après l’inculpation pour meurtre du couple chez qui elle travaillait, les proches de Sophie commencent à réaliser l’ampleur du calvaire vécu par la jeune Française de 21 ans, loin de l’image idéalisée que celle-ci cherchait à tout prix à projeter de son expérience à Londres – son «rêve», nous confie une amie.

    Ses bourreaux présumés, Ouissem Medouni, 40 ans, et Sabrina Kouider, 34 ans, comparaissent ce mardi devant un juge londonien. Le couple franco-algérien qui l’employait comme jeune fille au pair depuis dix-huit mois est suspecté de l’avoir tuée, puis d’avoir brûlé son cadavre mercredi dernier dans son jardin de Wimbledon, banlieue cossue de la capitale anglaise.

    C’est là, derrière les murs d’une demeure estimée à plus d’un million d’euros, que Sophie Lionnet restait cloîtrée, s’occupant de deux enfants âgés de 3 et 6 ans, préparant les repas, faisant le ménage… pour un salaire de 56 euros par mois. Une somme dérisoire qui ne lui aurait en outre jamais été versée.

    (…) Sophie était-elle maltraitée physiquement ? C’est ce que suggère une photo retrouvée par ses amies, téléchargée en octobre 2016 sur Facebook mais jamais partagée. On y distingue des traces de griffures sur le cou de la jeune femme, qui avait fini par acheter un billet retour, grâce à l’aide de sa famille. Elle aurait dû rentrer lundi dernier. Bouleversée par le destin tragique de son amie, «victime d’exploitation» puis de «barbarie», Léana enrage. «Comment peut-on faire une telle chose ? Elle voulait juste rentrer chez elle…»

    Le Parisien

    Merci à patriote

  • Rapports sexuels avec une fillette de 11 ans : il est jugé pour «atteinte sexuelle» mais pas pour «viol»

     

    Justice ?


    La balance de la justice./Photo d'illustration
     

    Un homme de 28 ans est jugé ce mardi 26 septembre devant le tribunal correctionnel de Pontoise pour avoir eu deux rapports sexuels avec une fillette de 11 ans. Mais le parquet a choisi de le poursuivre pour «atteinte sexuelle» et non pour «viol», considérant que l’enfant était consentante malgré son jeune âge.

     
     

    C’est Médiapart qui révèle l’audience de cette affaire sordide, dont les faits remontent à avril 2017, dans le Val d’Oise. Marie* rentre du collège, et croise cet homme sur chemin, qui l’a déjà abordée à deux reprises quelques jours auparavant. Il s’adresse à elle et parvient à la rassurer, et la fillette accepte de le suivre. «Elle a compris à cet instant que le piège s’était refermé sur elle, qu’on avait endormi sa conscience. Mais elle était tétanisée, elle n’osait pas bouger, de peur qu’il la brutalise. Elle a pensé que c’était trop tard, qu’elle n’avait pas le droit de manifester, que cela ne servirait à rien, et elle a donc choisi d’être comme une automate, sans émotion, sans réaction», raconte sa mère à Médiapart. C’est là que l’homme l’a fait venir jusqu’à son immeuble, puis dans son appartement. A l’intérieur, il lui demande de lui faire une fellation, et la pénètre par la suite.

    Les enquêteurs considèrent que la jeune fille était consentante

    La fillette a immédiatement appelé sa mère en quittant l’appartement, choquée et apeurée. Si la famille porte plainte pour viol, les enquêteurs considèrent que ces rapports sexuels étaient consentis, et le parquet de Pontoise estime que ces faits ne correspondent pas à un viol. Car pour qu’il y ait viol, il doit être démontré que la victime a subi une contrainte, une menace, une violence, ou une surprise. Le parquet a donc décidé de poursuivre l’homme pour «atteinte sexuelle sur mineur de 15 ans».

    Cinq ans de prison au lieu de vingt ans

    L’homme n’étant pas poursuivi pour viol, il n’encourt pas la même peine. L’atteinte sexuelle sur un mineur de 15 ans est punie de cinq ans d’emprisonnement et de 75.000 euros d’amende, tandis que le viol sur mineur est puni de vingt ans de prison (10 ans pour des attouchements) et 150.000 euros d’amende.

    Si la famille conteste cette qualification, la loi française ne fixe pas d’âge de discernement, ce sont aux juridictions de dire si le mineur était consentant ou non. Pourtant, d’autres pays voisins ont adopté une «présomption irréfragable d’absence de consentement du mineur victime d’actes sexuels» : 12 ans en Espagne et aux Etats-Unis, 14 ans en Allemagne, en Belgique et en Autriche, et 16 ans en Angleterre et en Suisse. Le tribunal devrait rendre son verdict en fin d’après-midi.

    (*) Le prénom a été modifié