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Louis ALIOT invité de BOURDIN 11.10.17
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Voiture de police brûlée: des peines allant jusqu'à 7 ans de prison prononcées
Le tribunal correctionnel de Paris a prononcé aujourd'hui des peines allant jusqu'à sept ans de prison ferme contre sept personnes impliquées dans l'attaque et l'incendie d'une voiture de police en mai 2016 à Paris, sous les protestations de leurs partisans rassemblés devant la salle.
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S'il a relaxé deux jeunes hommes qui étaient poursuivis pour participation à un attroupement violent, le tribunal a condamné le militant "antifasciste" Antonin Bernanos, prévenu le plus scruté de cette affaire retentissante, à cinq ans de prison dont trois ferme pour "violences aggravées". L'étudiant de 23 ans n'a toutefois pas été incarcéré immédiatement.
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La justice française a, par ailleurs, prononcé une peine de sept ans de prison ferme contre le militant "antifasciste" suisse Joachim Landwehr, en fuite, auquel il est reproché d'avoir lancé une fusée de détresse à l'intérieur de la voiture de police.
Le Figaro
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L’apostrophe de Minute à Danièle Obono : « Mais qu’on la fasse taire, bordel ! » Partager sur Facebook Tweeter
11/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Ulcéré par les saillies indécentes et idiotes de Danièle Obomo, l’hebdomadaire Minute n’y va pas par quatre chemin en titrant cette semaine sur une photo de « l’afri-féministe » de Mélenchon : « Mais qu’on la fasse taire, bordel ! », ce dernier mot étant accompagné, en petits caractères, de cette précision malicieuse : « ©Macron ». Extraits de l’un des articles consacrés, dans ce numéro, à la porte-parole de la France insoumise.
On peut, comme Jacques Prévert, dire « tu » à tous ceux qu’on aime. A « Minute », on tutoierait plutôt ceux qu’on n’aime pas, mais alors pas du tout. Parce que « ta gueule ! », ça résonne un peu mieux que « je vous demande de vous arrêter ». Danièle Obono, député de Paris et porte-parole nationale de la France insoumise, les enfile, les collectionne, les arbore, fière d’elle, fière de son « afro-féminisme » agrémenté d’« islamo-gauchisme », en boucle sur les télés. Alors oui, ferme-la, plutôt que de débiter connerie sur connerie.
Oui, c’est con de refuser de dire « Vive la France », surtout quand on est un élu, surtout qu’on a été gentiment accueilli et tout aussi gentiment naturalisé français, et qu’on se retrouve député parce que dans ce pays raciste qu’est la France, on peut être gabonais et tout de même député français.
Oui, c’est con, très con, ce parallèle « entre toutes les religions » qui toutes auraient « une idéologie discriminante », la preuve par les djihadistes et par… la Manif pour tous ! Lis ci-contre, ça t’instruira, toi qu’on aurait presque envie de plaindre d’avoir été élevée dans un milieu si religieux puisque, à t’en croire, ton papa croyait (il était protestant, le bougre !), ta maman croyait (elle était catholique), une de tes sœurs avait un papa (un autre, c’est compliqué chez vous) qui croyait aussi, mais lui en Allah, et « tout ce petit monde était aussi animiste » as-tu confié à « Libération ».
Oui, c’est con de dire qu’un chauffeur de bus qui ne veut pas prendre le volant après une femme est un « sexiste pas forcément radicalisé ». Mais non, Obono, ce n’est pas un sexiste. Un sexiste, c’est juste les femmes son problème. Ton chauffeur de bus, son problème, c’est tout ce qui n’est pas islamiste. Tu comprends la différence ou il faut te le dire en anglais ?
Oui, en anglais, parce que ton idéologie, ce n’est pas la France, et, comme dirait Manuel Valls, ce n’est pas la république non plus. Ton idéologie, c’est l’Amérique, et pas celle des cow-boys, celle de la guerre des races, celle des dingos du KKK et des tarés de la Nation of Islam. Et ne me dis pas, Obono, que tu ne vois pas ce que je veux dire. Ton blog, « camaradobono », devrait être sous-titré. La moitié des articles est en anglais. Et que je te cite Malcom X, tu sais le gars sympa qui voulait qu’on bute des Blancs, et que je te cause des Black machin, et que je discute pour savoir si les femmes africaines peuvent être représentées par une femme à la peau noire claire,
Non mais tu crois vraiment que tu as été élue pour ça ? Au passage, je te remercie. Si, il faut. Tu as éliminé au premier tour un sacré sectaire, Ian Brossat du parti communiste. Tu étais sa suppléante à l’élection précédente et là, tu lui as piqué la vedette. Un petit remplacement en quelque sorte… Bien joué, Obono !
Tu es fière d’être noire ? Pas de problème. Manquerait plus que tu en aies honte. Mais là, c’est de l’obsession. Tu t’es fait tatouer une carte d’Afrique sur la peau. Après tout, pourquoi pas. A l’origine, tu es gabonaise. Tu n’es française que depuis 2011. Les racines, c’est important, je comprends. Mais là, tu es en France. Tu as été élue par des Français et donc pas que des Africains même s’il y en a de plus en plus qui votent, comme cela n’a pas dû t’échapper, et certainement pas des Américains.
Tu dis que tu n’as jamais adhéré aux Indigènes de la République. Tu sais, ceux qui veulent lutter contre une « Europe impériale blanche » (ah les mythos !). Pourquoi l’aurais-tu fait ? Tu ne serais jamais devenue député. Comme ça, tu dépasses ton papa qui n’a jamais réussi à faire mieux que 0,5 % à l’élection présidentielle gabonaise en 1998. Comme quoi, la France « blanche et impérialiste », elle vote plus Obono que le Gabon.
A propos de ton papa, il a été un cadre important de la banque Paribas-Gabon. Un point commun entre toi et la plupart des gauchistes blancs. Tu es une fifille à papa de la bonne bourgeoisie. Quand il t’a envoyée en France faire tes études à Montpellier – c’était paschezles curés au moins ? –, tu n’as pas eu besoin d’entrer clandestinement. Tu es peut-être venue avec Air Gabon où maman travaillait.
Tout ça pour dire quoi ? Que tu n’es pas une fille de la banlieue mais bien un pur produit de la mondialisation qui réussit. Tu fantasmes sur Malcolm X, mais la société qui t’a produit politiquement, c’est Arnold et Willy.
Tu vois, Obono, pour nous le problème, ce n’est pas que tu sois noire, que tu sois une femme, que tu sois cultivée comme un champ de patates pour disette intellectuelle. Le problème est que, au fond, ce que tu dis est bête, que c’est une insulte à la classe ouvrière que Jean-Luc, ton patron, prétend défendre.
Quand tu dis […]
Extrait d’un article de Philippe Martin à lire en intégralité
dans Minute n° 2842 daté du 11 octobre 2017 -
Accepter la Terreur Islamique comme une Nouvelle Normalité ?
par Nonie Darwish
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« L'utilisation de la terreur tirée de cette doctrine [Targhib wal tarhib, « appâter et terroriser »] est une obligation légitimée par la charia ». — Salman Al Awda, cheikh musulman, prédicateur de l'émission « La Charia et la vie » sur Al Jazeera.
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Le tarhib ou « action de terroriser » préconise des châtiments exemplaires contre ceux qui ne se plient pas aux exigences de l'islam. C'est pourquoi des pays comme l'Arabie saoudite et l'Iran, ou des entités comme l'Etat islamique (Isis), font de chaque décapitation, flagellation ou amputation une cérémonie publique.
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Dans les territoires conquis, le djihad islamique a toujours misé sur le fait que les populations finissent par céder, abandonner et accepter le terrorisme comme un élément de leur cadre de vie, comme une catastrophe naturelle, comme un tremblement de terre ou une inondation.
Après les attentats terroristes, les médias occidentaux et nombre de politiciens répètent que nous devons accepter les attaques terroristes comme une « nouvelle normalité ».
Pour les citoyens occidentaux, cette phrase est dangereuse.
La doctrine islamique du djihad, de la conquête et de la dawah (propagande islamique, prosélytisme) repose sur la tromperie et la terreur. Targhib wal tarhib est une doctrine islamique qui signifie « appâter (leurrer) et terroriser » et qui se présente comme un outil pour la da'wah, soit la conquête des nations et la soumission de leurs populations à la charia islamique. Le but est de manipuler les parties instinctives du cerveau en exerçant des pressions contraires qui alternent sans transition plaisir et douleur - récompense, puis châtiment – afin d'aboutir à un lavage de cerveau qui amène au respect de l'islam.
Les musulmans ordinaires ignorent généralement tout de cette doctrine, mais plusieurs livres islamiques ont théorisé le sujet. Des prédicateurs en vue tels que Salman Al Awda en ont même développé les grands thèmes sur Al Jazeera TV. A l'occasion d'une émission appelée « La Sharia et la vie », Al Awda a ainsi recommandé l'utilisation d'extrêmes « pour amplifier successivement... la récompense et la punition, le moral et le physique... ». « L'usage de la terreur au moyen de cette doctrine », a-t-il expliqué, « est une obligation légitimée par la charia ».
Les Occidentaux croient que les djihadistes pratiquent la terreur sur les seuls non-musulmans, et c'est généralement le cas. Mais la terreur est aussi le moyen de faire régner l'ordre au sein de l'islam. En vertu de la loi islamique, les djihadistes qui se soustraient au djihad doivent être tués. La terreur maintient les djihadistes sur la voie du djihad, et contraint les autres à la charia.
Un manuel de recrutement en ligne de djihadistes contient cette description :
« Le Dawa individuel se produit en suscitant chez les recrues des réponses émotionnelles (ainsi que par la construction d'une relation personnelle). L'approche d'Abu 'Amr illustre un concept de recrutement appelé al-targhib wa'l-tarhib ; soit la technique de la carotte et du bâton pour exalter les mérites de l'action d'un côté, tout en rendant effrayant le coût de l'inaction. Le concept a été introduit dans le Coran et fait l'objet de savantes discussions entre docteurs de la foi islamique pour définir la meilleure façon d'amener les gens à l'islam. Plusieurs livres ont été publié sous le même titre al-targhib wa'l-tarhib. Abu 'Amr préconise ainsi que les recruteurs appliquent le concept tout au long du processus de recrutement, mais il estime que les mérites de l'action doivent être mis en valeur au début du recrutement ; les menaces quant à un éventuel relâchement ne devant apparaître que plus tard ».
Ainsi, les recruteurs de djihadistes placent d'abord l'« appât » et font miroiter les « bonnes choses », - la gloire future, la suprématie et l'accomplissement de désirs lubriques, comme les vierges au Paradis -. C'est ensuite qu'ils actionneront les leviers de la « terreur » et de la honte contre toute recrue qui renâclerait au djihad.
Le tarhib ou « action de terroriser » préconise aussi des châtiments exemplaires contre ceux qui ne se plient pas aux exigences de l'islam. C'est ainsi que des pays comme l'Arabie saoudite et l'Iran, et des entités type l'Etat islamique (ISIS) ont fait des décapitations, des flagellations et des amputations un spectacle public. Des pays comme l'Egypte, la Jordanie et la Turquie sont plus discrets, mais ils tolèrent et soutiennent les meurtres d'honneur, l'assassinat des apostats, les châtiments corporels contre les femmes et les enfants, ainsi que la torture et le meurtre dans leurs prisons. La doctrine de targhib et de tarhib est vivante et bien vivante, non seulement dans les théocraties islamiques, mais aussi dans les pays musulmans dits « modérés ».
Depuis sa création et jusqu'à aujourd'hui, l'Islam a utilisé l'alternance « plaisir - douleur » et les châtiments publics cruels et spectaculaires comme techniques de lavage de cerveau. Alors que la Bible – et la tradition judéo-chrétienne occidentale – se veut en harmonie avec la nature humaine, et flatte les bons sentiments, l'Islam lui fait le contraire : il manipule les instincts de préservation et de survie, pour laver le cerveau de la population et l'amener à la plus servile obéissance.
Quand je vivais en Egypte, j'ignorais tout – à l'instar de la majorité des musulmans - de cette doctrine islamique fondamentale. Mais elle a impacté ma vie – car elle imprègne tous les aspects de la culture islamique : la prédication islamique, les relations familiales islamiques, le fonctionnement des gouvernements islamiques et toutes les relations d'autorité en terre d'islam en général.
La doctrine islamique basée sur « le leurre et la terreur » a engendré une culture des extrêmes toxiques : la méfiance et la peur, la fierté et la honte, la permission de mentir (« taqiyya ») et le refus d'endosser la responsabilité de ses actes.
Ayant vécu la plus grande partie de ma vie sous un régime islamique, je suis au regret de dire que ceux que l'Ouest nomme « musulmans modérés » ne sont que des citoyens qui ont appris à vivre sous la terreur et pour qui la terreur est une habitude de vie. Pendant des siècles, beaucoup ont excusé la terreur, condamné les victimes de la terreur, sont restés muets ou équivoques et se sont même compromis avec les terroristes pour survivre. La culture islamique ou je vivais regardait ailleurs quand les femmes étaient battues. Quand les filles étaient assassinées au nom de l'honneur, la question était « qu'est-ce qu'elle a fait ? », et non « comment cela est-il possible ? » Lorsque les chrétiens ont été tués et persécutés par des musulmans, nombreux ont été ceux qui ont imputé aux chrétiens la raison de leur propre persécution. La réponse islamique normale à la terreur est devenue : « ce ne sont pas mes affaires ».
Aujourd'hui, la doctrine islamique de Targhib wal Tarhib, s'est déplacée à l'Ouest. L'humanisme occidental, le respect des droits de l'homme, la solidarité avec le prochain ainsi que les valeurs de liberté et de paix doivent être remplacées par d'autres « valeurs » comme la servitude, la terreur, la tyrannie et la peur.
Dans les territoires conquis, le djihad islamique a toujours misé sur le fait que les populations finiront par céder, abandonner et accepter le terrorisme comme un élément de leur cadre de vie, tout comme ils acceptent une catastrophe naturelle, un tremblement de terre ou une inondation.
Il n'a pas fallu longtemps pour que la doctrine islamique du Targhib wal Tarhib agisse sur la psyché des dirigeants et des médias occidentaux, qui expliquent aujourd'hui qu'il faut vivre avec le terrorisme et s'y habituer comme à une « nouvelle normalité ». L'islam compte transformer la palnète en musulmans « modérés » qui auront pris l'habitude de regarder ailleurs quand la terreur frappe la personne située juste à côté de vous.
GATESTONE Institute
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Tunisie: un Franco-Algérien en prison pour "attentat à la pudeur"