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  • OMAR SY RÉPOND À ERIC ZEMMOUR ET LE TRAITE DE «CRIMINEL»

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    Par , 12 octobre 2017 | 20h47

    L'acteur ne veut plus que le polémiste soit invité par les médias.

     

    «Je n'ai pas envie de réagir en fait.» Pourtant, Omar Sy a fini par répondre à Eric Zemmour. Interrogé jeudi sur Europe 1 sur le «guignol» dont l'avait qualifié le polémiste mardi dans C à vous, l'acteur s'en est pris à l'éditorialiste de RTL, estimant qu'il ne devrait pas avoir droit de cité dans les médias.


    «Dans l'extrait qu'ils ont montré dans C à vous, volontairement, je ne cite pas Éric Zemmour, car je n'ai pas envie de lui donner d'intérêt. Son système, c'est qu'il fait de la provoc’ pour la provoc’ et il dit des choses pour qu'après, justement, on reparle de lui, estime l'acteur, dont le prochain film "Knock" sort mercredi.

     
      

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    «Et là, Daphné (Bürki, animatrice de l'émission), sans le vouloir, vous êtes rentrée dans son système : on repasse son extrait, on reparle de lui et comme ça il est présent dans les médias jour après jour, poursuit-il. Il ne faut plus qu'il soit invité car c'est un criminel. Il a été condamné pour incitation à la haine et ça, personne ne le dit.»

     

    «Pas envie d'être traîné dans la boue avec les cochons»

    L'éditorialiste a en effet été condamné à payer 5 000 euros d'amende en juin, pour avoir estimé que les djihadistes étaient considérés «par tous les musulmans comme des bons musulmans». Il avait déjà été condamné à 3 000 euros d'amende pour provocation à la haine pour des propos tenus en 2014.


    «Posez-vous la question la prochaine fois que vous faites un truc comme ça, vous lui faites un joli cadeau. Et Anne-Elisabeth Lemoine (l'animatrice de C à vous) en lui passant l'extrait qui date de deux ans, elle associe son nom au mien, c'est le pire qui puisse m'arriver, conclut-il. Je n'ai pas envie d'être traîné dans la boue avec les cochons.»

    La Parisienne
     
    Et la fameuse liberté d'expression ??? Ce n'est pas à sens unique.
  • Quai de Valmy : les incendiaires gauchistes s’en tirent bien, très très bien !

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    Chard Quai de ValmyPour avoir tenté d’assassiner un policier et sa collègue en incendiant leur véhicule, les casseurs du Quai de Valmy écopent de peines deux fois plus légères que les réquisitions du Parquet. Ces antifas ultra violents des beaux quartiers, représentés par Antonin Bernanos, ne vont vraisemblablement pas faire beaucoup plus de prison que leur préventive.

    Le jugement est tombé sous les protestations et les insultes de leurs partisans rassemblés devant la salle. Deux des prévenus, Angel Bernanos et Bryan Morio, accusés de « participation à un groupement en vue de la préparation de violences volontaires », ont été relaxés. Le second a été condamné à une amende de 1000 euros pour refus de prélèvement ADN ce qui est assez commode pour ne pas savoir s’il s’est rendu coupable de violences.

    Léandro Lopes, poursuivi pour la même raison, a écopé d’un an de prison avec sursis. Aucune interdiction de manifester n’a été retenue contre lui. 

    En état de récidive, puisqu’il avait été condamné en 2013 pour des « violences aggravées », le chef de file, Antonin Bernanos, petit-fils de l’écrivain, accusé d’avoir porté des coups au policier Kevin Philippy alors qu’il était encore dans la voiture, prend cinq ans de prison (dont deux avec sursis). 

    « Ce sont des faits d’une extrême gravité et il existe un risque de réitération au vu de votre absence de regrets »a déclaré le président.

    Au cours du procès, Antonin Bernanos a en effet formellement refusé de condamner moralement l’agression. Le policier blessé, Kevin Philippy, avait alors demandé au président de reprendre la parole : « J’ai failli mourir, j’espère qu’ils prennent conscience de la gravité de leurs actes. »

    Pour le ministère public, Antonin Bernanos, qui ne « se remet pas en cause », présente « clairement un risque de réitération ». [Il a été] condamné sans mandat de dépôt. Ce qui laisse planer un doute sur le fait qu’il fera bien ces années de prison. 

    Tout comme Thomas Richaud, condamné à deux ans de prison (dont un avec sursis), pour avoir mis des coups de pieds et de poing dans le véhicule. David Bault alias « Kara », transgenre américain, reconnu coupable d’avoir jeté un plot métallique sur le pare-brise avant de la voiture alors que les policiers se trouvaient encore à l’intérieur, est condamné à quatre ans de prison (dont 2 avec sursis). Ari Rustenholz, accusé d’avoir blessé les policiers, a pris 5 ans de prison (dont 4 ans et demi avec sursis).

    Au final, le principal accusé sur lequel pèse la plus lourde charge, celle d’avoir jeté le cocktail Molotov qui a entièrement brûlé la voiture de police, ne payera pas pour ses crimes. Il est en fuite et ne s’est pas présenté au procès. Condamné à 7 ans de prison, un mandat d’arrêt a été prononcé à son encontre.

    Et bien sûr toujours aucun démantèlement en vue de ces milices d’extrême gauche, ces groupuscules criminels qui ont perturbé les délibérations du tribunal, tentant d’intimider les magistrats, obligeant les audiences à être reportées. En plus de leurs faits d’armes habituels : saccages, violences, pillages, harcèlement et agressions des forces de l’ordre. 

    Caroline Parmentier

    Article et dessins de Chard parus dans Présent

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  • Harvey Weinstein organisait des parties fines au Festival de Cannes

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    Chaque année, Harvey Weinstein se montre à Cannes. / © Maxppp

    De nouveaux témoignages d'actrices accablent le producteur de cinéma américain Harvey Weinstein, déjà accusé par d'autres femmes de harcèlement, d'agression sexuelle ou de viol. Les organisateurs du Festival de Cannes réagissent aux annonces de soirées graveleuses organisées par le magnat.

    Par @annelehars

    Pour les les dirigeants du Festival de Cannes, les agressions sexuelles dont est accusé le producteur de cinéma américain Harvey Weinstein "relèvent d'un comportement impardonnable qui ne peut susciter qu'une condamnation nette et sans appel".
    C'est en ces termes qu'ils ont exprimé dans un communiqué leur avis sur l'affaire Weinstein.

    ► DIRECT Franceinfo -  Affaire Harvey Weinstein : de nouveaux témoignages accusent le producteur hollywoodien

     
    "C'est avec consternation que nous avons découvert les accusations de harcèlement et de violence sexuelle récemment portées contre Harvey Weinstein, professionnel du cinéma dont l'activité et la réussite sont connues de tous, qui lui valent de séjourner à Cannes depuis de nombreuses années et d'avoir de nombreux films sélectionnés au Festival International du Film dont il est une figure familière", écrivent Pierre Lescure et Thierry Frémaux, président et délégué général du plus prestigieux festival de cinéma du monde.


    Notre pensée va aux victimes, à celles qui ont eu le courage de témoigner et à toutes les autres. Puisse cette affaire contribuer à dénoncer une nouvelle fois des pratiques graves et inacceptables", concluent-ils. 


    Ce jeudi 12 octobre, le quotidien  Le Parisien révèle que le producteur organisait des soirées "partouzes et cocaïne" lors du Festival de Cannes. Il aurait même, selon nos confrères un surnom localement : The Pig (le porc).
    Harvey Weinstein, 65 ans, est accusé d'avoir harcelé sexuellement de jeunes actrices, mannequins et employées depuis les années 1990. 
     
    FR3