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À Bottrop (Rhénanie-du-Nord-Westphalie), une jeune femme a été agressée par sept hommes « parlant mal l’allemand » alors qu’elle faisait du jogging dans le parc de la ville.
Les coupables tous âgés d’à peu près 18 ans ont guetté la jeune femme, l’ont entourée et l’ont brutalement battue. La joggeuse devait se relever pour que les hommes puissent continuer à la battre
La joggeuse de 21 ans a remarqué les jeunes hommes trop tard parce qu’elle portait des écouteurs. Soudainement elle a été entourée par les agresseurs qui l’ont battue et lui ont donné des coups de pied jusqu’à ce qu’elle soit étendue sur le sol.
Les hommes lui ont alors demandé de se relever seulement pour continuer à la tabasser encore plus.
Les passants ont trouvé la jeune femme grièvement blessée et ont appelé la police.
NdB: Madame Merkel, vous n'avez jamais été agressée ni violée par des migrants. Vous venez d'une autre époque - eh bien retournez-y! Vous et vos comparses!
Le chef des douanes et de la protection des frontières a indiqué mardi que l’immigration illégale à travers la frontière sud-ouest atteindra son plus bas niveau depuis 45 ans lorsque les comptes finaux de 2017 seront publiés. Il a crédité le président Trump de ce succès.
Kevin K. McAleenan, le commissaire intérimaire qui a été titularisé à ce poste, a précisé que bien que les chiffres étaient bons, il souhaitait néanmoins voir une partie du plan « 70-point Immigration » (plan de lutte contre l’immigration) entrer en vigueur pour améliorer ces chiffres.
Le succès aux frontières cette année est d’autant plus surprenant que l’année fiscale 2017 avait terriblement commencé, avec un afflux massif de nouveaux immigrants illégaux qui avaient tenté de se faufiler dans le territoire américain durant les derniers mois de l’Administration Obama. Mais dès l’investiture de Trump, les chiffres ont considérablement chuté, en conséquence de ce que Mr. McAleenan qualifie de « message clair » envoyé par le nouveau président sur le durcissement des lois migratoires.
L'immigration clandestine aux États-Unis en passe d'atteindre en 2017 son plus bas niveau depuis 45 ans. <img class="Emoji Emoji--forText" title="Flag of United States" draggable="false" src="https://abs.twimg.com/emoji/v2/72x72/1f1fa-1f1f8.png" alt="
Droit d’asile à la carte, travailleurs détachés et perspective de nouveaux accords de libre-échange Mercredi dernier, notre groupe Europe des Nations et des Libertés a fait ajouter à l’ordre du jour de cette plénière du Parlement européen un débat sur « la lutte contre l'immigration illégale et le trafic d'êtres humains en Méditerranée » : l’occasion pour nous d’alerter sur un rapport qui, adopté jeudi 19 octobre en commission LIBE, vise à instaurer une sorte de droit d’asile à la carte. En effet, la Suédoise Cecilia Wikström veut donner aux demandeurs d’asile la possibilité de choisir parmi 4 pays pour déposer leur demande. Les candidats seraient alors accompagnés dans leurs démarches par des ONG et des agences de l’UE. Or on ne peut que s’inquiéter des résultats quand on sait à quel point ces officines sont tenues par des militants immigrationnistes, chez qui le débordant amour pour l’Autre traduit d’abord une profonde haine de soi ou des siens.
Le débat sur les conclusions de la réunion du Conseil européen des 19 et 20 octobre a quant à lui permis de revenir sur l’accord concernant la révision de la directive sur les travailleurs détachés : malgré les effets d’annonce, on ne voit aucune avancée significative puisque par exemple des secteurs clés comme le transport routier ne sont même pas concernés. Ce qu’il faudrait faire, c’est remettre en cause le paiement des cotisations sociales dans le pays d’origine. A l’heure actuelle, le salarié détaché coûte jusqu’à 2 fois moins cher qu’un travailleur local, ce qui crée un insupportable dumping social intra-européen.
On en revient toujours à ce problème fondamental qu’est le logiciel foncièrement libéral des bureaucrates de la Commission européenne. Or c’est à ces irresponsables que le Parlement européen a octroyé deux nouveaux mandats de négociations commerciales, avec l’Australie et la Nouvelle-Zélande, deux géants agricoles que les accords passés avec les pays du Pacifique ont transformés en plaques tournantes du commerce mondial le plus ouvert. Si les accords prévus aboutissent, nos éleveurs, et tout particulièrement nos producteurs de lait, risquent d’en être les premières victimes.
À compter de ce lundi, Madrid doit gérer les affaires de la région. Les dirigeants indépendantistes démis ont, énigmatiques, annoncé une «opposition démocratique».
À Madrid
Carles Puigdemont est-il président de la République catalane qui a été proclamée vendredi soir par le Parlement autonome? Ou est-il le président du gouvernement régional destitué, comme l'atteste le décret publié samedi matin au journal officiel espagnol? Aucun pays au monde n'ayant reconnu la déclaration d'indépendance, et la plupart des partenaires européens s'y étant explicitement opposés, la réalité du Boletín Oficial del Estado semble encore s'imposer à tous, si ce n'est aux sécessionnistes. Le principal intéressé, en tout cas, ne dit rien de sa condition. Ou si peu. Lors d'une allocution télévisée diffusée samedi à 14 h 30, Puigdemont s'est brièvement adressé à ses concitoyens. Résumant en trois minutes et trente secondes ce qu'il a appelé «une journée historique», l'ex-président, selon la loi en vigueur, s'est contenté de juger: «Les citoyens de notre pays savent parfaitement que dans une société démocratique, ce sont les Parlements qui choisissent et qui destituent les présidents.»
La mention la plus explicite à son titre n'est pas sortie de la bouche de Puigdemont, mais de l'image précédant son apparition à l'écran. TV3, la chaîne publique régionale qui transmettait le discours, a inscrit la description suivante: «Message du président de la Generalitat», le nom des institutions catalanes, une fonction dont il pouvait se prévaloir jusqu'à samedi matin. Cette définition a valu à TV3 les remontrances de Madrid.
«Pardonnez-moi, mais je n'ai pas compris le sens de la déclaration du président Puigdemont. Où est-on ?»
Pilar Rahola sur Twitter
Pour le reste, Puigdemont a appelé ses troupes à «une opposition démocratique» à l'application de l'article 155 de la Constitution, qui place la Catalogne sous la tutelle de Madrid dans l'attente de la tenue d'élections régionales, le 21 décembre prochain. Une expression que chaque indépendantiste est laissé libre d'interpréter à sa guise, alors que nul, à ce stade, ne connaît la stratégie à suivre, ne serait-ce qu'à partir de ce lundi. Une analyste politique très proche des dirigeants indépendantistes reconnaissait sur Twitter sa confusion. «Pardonnez-moi, mais je n'ai pas compris le sens de la déclaration du président Puigdemont. Où est-on?» écrivait Pilar Rahola avant d'effacer son message.
Les 200.000 fonctionnaires catalans doivent-ils, comme le leur demande l'Assemblée nationale catalane (ANC), l'une des deux grandes associations indépendantistes, «refuser d'obéir aux instructions données dans le cadre de l'article 155 et contraires au cadre juridique»? Les députés catalans peuvent-ils tenir leur Chambre pour dissoute comme l'indique le journal officiel ou participer au bureau de l'Assemblée convoqué par la présidente ce mardi? Ou faut-il encore suivre l'idée de Jordi Sánchez, le dirigeant de l'ANC, qui, de la prison de Soto del Real, réclame l'activation de l'Assemblée des élus de Catalogne, un groupe composé de 4 000 responsables publics sécessionnistes, essentiellement des conseillers municipaux, et censé pouvoir se substituer aux institutions catalanes vidées de leurs dirigeants? Quant au gros des troupes indépendantistes, doivent-elles aller protéger physiquement les institutions catalanes de l'intervention de Madrid et utiliser les techniques de «résistance pacifique» enseignées notamment par les comités de défense de la République qu'a montés la CUP (extrême gauche indépendantiste)?
Après les interrogations tactiques immédiates, il sera encore temps de répondre à une question stratégique : faut-il participer aux élections régionales, convoquées par Madrid le 21 décembre ?
À moins que Puigdemont ne choisisse une dernière option, qui semble pour l'heure improbable: le secrétaire d'État aux Migrations du gouvernement belge et membre du parti indépendantiste flamand N-VA, a jugé qu'un asile politique n'était «pas irréaliste». Le premier ministre belge a rectifié les propos du secrétaire d'État, mais le Parti populaire (PP, droite), la formation de Mariano Rajoy, a eu le temps de juger la proposition «inacceptable».
Après les interrogations tactiques immédiates, il sera encore temps de répondre à une question stratégique: faut-il participer aux élections régionales, convoquées par Madrid le 21 décembre? En choisissant de limiter sa mise sous tutelle au nombre de jours strictement nécessaire pour organiser le scrutin, Rajoy a tendu un piège aux indépendantistes, qui auront du mal à présenter son intervention comme autoritaire. S'ils participent au scrutin, ils enlèvent toute valeur à la proclamation de la République et ne s'assurent même pas de renouveler leur majorité. Un sondage publié ce dimanche parEl Mundo donnait indépendantistes et partisans de l'unité de l'Espagne au coude-à-coude. S'ils boycottent les élections, ils s'autoexcluent des seules institutions catalanes reconnues en dehors de leur monde.
Vendredi soir, le drapeau espagnol avait été enlevé du bâtiment de la délégation du gouvernement régional à Gérone, là où Puigdemont avait enregistré son message. Dimanche après-midi, il flottait encore sur le toit du Palau de la Generalitat, le siège du gouvernement catalan à Barcelone.