Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • JOURNAL TVL DU 03/01/18

  • MARE NOSTRUM

    Capture_d_e_cran_2018_01_01_a_16_12_40.jpg

    IMG_0305.JPG mer sable.JPG

    IMG_0303.JPG mer.JPG

    IMG_0311.JPG houle.JPG

    Marseille, matin du 1er janvier 2018 

    (Photos EB)

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Un ministre israélien encourage les manifestations en Iran, mais dément toute ingérence

    https://francais.rt.com/international/46952-iran-ministre-israelien-encourage-manifestations-dement-ingerence

    5a4a224609fac24c0c8b4567.jpg

  • Rohani demande à Macron de neutraliser un "groupe terroriste" iranien en France

    https://francais.rt.com/international/46979-president-iranien-rohani-demande-macron

    5a4bec4709fac2190b8b4567.jpg

  • Des milliers d'Ukrainiens défilent en hommage au collaborateur nazi Stepan Bandera (VIDEOS)

     

    5a4bdf90488c7b976d8b4568.jpg Ukraine.jpg

    © Valentyn Ogirenko / Reuters
    Des nationalistes ukrainiens commémorant Stepan Bandera
     

    Plus de 6 000 Ukrainiens ont participé à des marches le 1er janvier 2018 pour commémorer l'anniversaire de Stepan Bandera, un nationaliste ukrainien considéré comme un héros malgré ses méthodes violentes et son passé de collaborateur.

    A travers l'Ukraine, 57 événements commémorant la naissance du nationaliste ukrainien Stepan Bandera, connu pour avoir collaboré avec l'Allemagne nazie, ont eu lieu le 1er janvier 2018, selon les chiffres de la police ukrainienne.

    Le plus important a eu lieu à Kiev, où près d'un millier de personnes se sont rassemblées avec des torches en scandant des slogans comme «Bandera reviendra mettre de l'ordre» ou encore «Gloire à l'Ukraine, mort aux ennemis». 1 200 policiers et 730 militaires avaient été déployés pour assurer le bon déroulement de l'événement.

    Auteur: RT France

     

    D'autres rassemblements de moindre ampleur ont eu lieu dans d'autres villes, comme Lvov ou Odessa.

    Des partisans du parti d'extrême droite Svoboda, qui a participé au mouvement ayant abouti à la destitution du président Viktor Yanoukovitch en 2014, étaient présents avec des drapeaux de leur mouvement.

    Auteur: RT France

     

    Stepan Bandera est un personnage controversé de la Seconde Guerre mondiale qui dirigeait l’Organisation des nationalistes ukrainiens (OUN) et coopérait avec les troupes nazies. En 1941, il avait appelé les Ukrainiens à aider le IIIe Reich pour se battre contre le gouvernement soviétique et lutter contre l’Armée rouge dans l’Ouest de l’Ukraine. Il avait finalement été arrêté par ses alliés nazis et envoyé en camp de concentration. Libéré en 1944, Bandera essaya de miner la politique de l’Union soviétique depuis l'Allemagne avant d'être tué en 1959.

    En 2010, l’ancien président ukrainien Victor Iouchtchenko avait accordé le titre de «Héros de l’Ukraine» à Stepan Bandera à titre posthume. Cette décision avait été bloquée par la Cour administrative de Donetsk, ce que Iouchtchenko avait qualifié de «grave erreur».

    RT

  • Populisme : l’UE pourrait se désintégrer à cause de la crise des migrants

    929963.jpg

     

    20h10
     

    Pour le politologue bulgare Ivan Krastev, très influent en Europe de l’Est et dans les pays anglo-saxons, l’Union européenne risque bel et bien de se désintégrer à cause de la crise des migrants.

    Allemagne, Autriche, Catalogne… Le politologue bulgare Ivan Krastev, qui a publié cet automne « Le Destin de l’Europe », un petit livre aussi passionnant qu’inquiétant sur l’état de l’Europe depuis l’arrivée massive des réfugiés, revient sur les dernières crises qui ont secoué le Vieux continent. Interview.

    Brexit, crise politique en Allemagne, extrême droite au gouvernement en Autriche… Toutes ces turbulences que traversent les pays de l’Union européenne sont-elles liées à la crise des migrants ?

      

    Oui, car la crise des migrants a eu pour effet spectaculaire de refaçonner les mentalités et les politiques nationales dans les différents Etats membres de l’Union européenne, que ce soit dans les pays qui ont connu un réel afflux de migrants et de réfugiés, comme l’Allemagne et l’Autriche, ou dans des pays où le changement est pour beaucoup le résultat de l’imagination, comme en Europe centrale et de l’Est.

    L’une de ses conséquences les plus visibles, c’est une rébellion de l’électorat contre les élites méritocratiques. En Allemagne, en Autriche et dans de nombreux pays, on assiste à un glissement majeur des votes du centre-gauche, en plein effondrement, vers l’extrême droite. […]

    Le Nouvel Obs