Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Rennes (35) : Deux jeunes femmes tabassées par une bande de « jeunes » après s’être révoltées contre leurs insultes

 

12h39

Deux jeunes femmes ont été violemment tabassées, mercredi soir. La raison : l’une d’elle n’a pas supporté des insultes très dégradantes de la part d’un groupe de jeunes. Et a voulu le leur dire…

Capture_d_e_cran_2018_01_06_a_12_07_05.jpg

Mercredi, vers 20 h 30, près de la place de Monténégro, dans le quartier du Blosne. Deux jeunes femmes de 17 et 21ans s’apprêtent à rentrer chez elles, quand elles croisent un groupe d’une dizaine de jeunes qui squattent le lieu. « Sans aucune raison, elles se sont alors fait copieusement insulter »,résume un enquêteur du commissariat de police de Rennes. Des insultes très dégradantes et à connotation sexuelle. Insupportable.

La plus âgée des jeunes femmes n’admet pas de subir ça et décide de ne pas en rester là. Elle se dirige vers le groupe de jeunes, alors que son amie essaye de la convaincre de continuer à marcher et de les ignorer. « Un des hommes lui a alors dit qu’il était le chef dans ce quartier et qu’il pouvait faire d’elle ce qu’il voulait. » Il s’agit d’un mineur de 17ans, déjà connu des services de police pour de multiples délits, dont des vols, des outrages…

 
  

Le ton monte et, soudain, la jeune femme est frappée et jetée au sol. Les coups pleuvent sur elle, dont plusieurs au visage. Son amie tente de lui venir en aide et subit le même sort. Elle aussi se retrouve au sol et doit subir des coups. « L’un des agresseurs en a profité pour lui voler son sac et partir avec. »

« Ça ne m’étonne malheureusement pas, commente une jeune femme, croisée près de la station de métro du Blosne. Régulièrement, j’ai le droit à des insultes par des bandes de jeunes qui se croient tout permis. C’est très désagréable, mais je préfère ne pas répondre. On ne sait pas de quoi ils sont capables. »

Idem pour Julie, 19ans, qui vient d’emménager dans ce quartier. « Ce n’est pas par choix et si je pouvais aller habiter ailleurs… Il y a des endroits que j’évite, en fin de journée et le soir. Pas envie de subir des insultes. Il n’y a pas très longtemps, deux jeunes m’ont suivie jusqu’au métro. Je n’étais vraiment pas rassurée. »

Ouest-France

Merci à viducasse

Commentaires

  • Et ça continue encore et encore...
    Non, en fait , on est en plein dedans!
    J'ai lu une hypothèse interessante un jour:
    Quand les exactions auront atteint un point critique, alors, les français se révolteront
    Au train ou ça va, le seuil devrait bientôt être franchi!

  • Jean:je pense que nous sommes déjà dans un état critique , la révolte des Français , on l,a vu , Macron au pouvoir.
    salutations.

  • un pays qui laisse les femmes et les jeunes filles se faire insulter , frapper , voler , est un pays de sans c. . .!!
    mais la justice gauchiste leur trouvera des excuses .
    salutations.

Les commentaires sont fermés.