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  • MIEGE

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  • 41% des Américains ignorent ce qu’il s’est passé à Auschwitz

     

    Hugh Routledge/Shutters/SIPA

    Selon un sondage qu’a relayé le "New York Times" aujourd’hui, 41% des Américains ne connaîtraient pas le nom d’Auschwitz. Leur nombre augmente jusqu’à 66% chez les Millénials, que l’étude classe parmi les 18-34 ans.

    "Le problème n'est pas que les gens nient l'Holocauste, mais qu'il s'efface des mémoires ", a déclaré au "New York Times" Greg Schneider, vice-président exécutif de la Claims Conference, une organisation d’associations juives créée en 1951 et à l’origine de l’étude.

    L'enquête, menée par Schoen Consulting du 23 au 27 février, s’est basée sur 1.350 américains interrogés par téléphone ou en ligne. Parmi eux, 93% reconnaissent que tous les étudiants devraient apprendre l’Holocauste à l’école. 

  • VIDEO. France rurale : l’amer est dans le pré

     

    Certains territoires, qui voient disparaître bureaux de poste, maternités et classes de primaire, se sentent sacrifiés. "Complément d’enquête" sur ces campagnes françaises en colère...

     
     
     
     
     
     

    Des centaines de fermetures de classes, des routes nationales bientôt limitées à 80 km/h, des petites lignes de train en sursis, l’interdiction du glyphosate : la France rurale semble dans le viseur du gouvernement. Emmanuel Macron serait-il devenu le président des villes, comme lui reprochent certains de ses opposants ?

    C'est ce que pensent beaucoup d'habitants de la Nièvre, où "Complément d'enquête" s'est immergé. Dans la région de Clamecy, à 200 kilomètres de Paris, une trentaine de maires, lassés de crier dans le vide, ont carrément décidé de démissionner.

    Les "enfants des champs" sacrifiés ?

    Le département fait partie de ces territoires qui voient disparaître bureaux de poste, maternités et classes de primaire, et se sentent délaissés. "Ce qui est mal vécu, c'est la fermeture d'une classe à 15 élèves dans une école rurale et l'ouverture d'une classe à 12 à quelques dizaines de kilomètres, en éducation prioritaire", déclare la secrétaire nationale du SNUipp, un syndicat des enseignants du premier degré pourtant favorable au dédoublement des classes du Réseau d’éducation prioritaire. Les enfants des champs seraient-ils "sacrifiés" au profit des enfants des villes ?  

    Un reportage de Jean-Karl Lambert, diffusé dans "Complément d'enquête" le 12 avril 2018.