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  • JOURNAL TVL DU 24 MAI 2018

  • Une chirurgienne se filme faisant la maline et chantant du rap pendant une opération, le patient se réveille avec des lésions cérébrales «catastrophiques».

    http://www.fdesouche.com/1011003-une-chirurgienne-se-filme-faisant-la-maline-et-chantant-du-rap-pendant-une-operation-le-patient-se-reveille-avec-des-lesions-cerebrales-catastrophiques

    Regarder les deux vidéos: incroyable!

  • Allemagne: une marque de gourmandises au chocolat accu­sée de racisme envers Meghan Markle

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    19h47

    (…)la marque Super Dick­mann a présenté un dessin d’une de ses gour­man­dises enro­bées de choco­lat vêtue d’une robe de mariée, souriante, coif­fée d’une tiare, et a posté l’image sur Face­book le jour J. En légende : « Qu’est-ce que vous regar­dez ? Ne voudriez-vous pas être Meghan vous aussi aujourd’hui ? » Pour rappel, la mère de la duchesse de Sussex est Afro-Améri­caine.

    La publi­cité a rapi­de­ment été accu­sée de racisme sur les réseaux sociaux, explique le Daily Mail. Le tollé était tel que la firme alle­mande a été contrainte de se justi­fier. « Le monde de Super Dick­mann est coloré, prône la diver­sité et se situe bien loin des pensées racistes », a-t-on assuré. Une excuse peu rece­vable pour les inter­nautes. « Campagne pathé­tique, réponse pathé­tique. J’espère qu’il y aura des consé­quences finan­cières », a notam­ment vitu­péré l’un d’entre eux.

    Gala

  • Facebook s’associe au très globaliste Atlantic Council pour interférer dans les élections à travers le monde

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    18 mai 2018 15 h 30 min·


     
    Échaudé par les nombreux scandales et critiques dont il a été l’objet depuis plusieurs mois, Facebook a décidé de tout faire « protéger des élections libres et justes dans le monde » – on s’inquiète déjà.
    Et on peut puisqu’il compte s’allier avec le think tank spécialisé dans les relations internationales, l’Atlantic Council, qui compte quelques magnifiques personnalités mondialistes telles Henry Kissinger et Dina Powell, ancienne présidente de la Goldman Sachs Foundation…
     
    A Facebook, l’Atlantic Council fournirait « des informations en temps réel et des mises à jour sur les menaces émergentes et les campagnes de désinformation à travers le monde ». Autrement dit les « fake news », les informations non conformes à son corpus idéologique. Le réseau social pourra ainsi veiller de manière très localisée, à la désinformation et aux tentatives d’interférence étrangère.
     
    Quant à la propre influence potentielle du think thank sur le processus, Facebook n’a pas semblé s’en inquiéter.
     
    Pour ne citer qu’un exemple, dit Breitbart, l’Atlantic Council a considéré la récente victoire écrasante d’Orbán aux élections hongroises comme un « appel à l’action » des « démocraties occidentales » pour « protéger et défendre … les valeurs démocratiques ». Orbán pas conforme… Erdoğan en revanche conforme, qui a été récemment accueilli par le think thank, lors de son sommet international à Istanbul…
     
    Franchement, il est où le problème… il est où ? !

    Réinformation TV

  • Racisme anti-Blancs contre des Polonais en Grande-Bretagne et retours en Pologne

     

    racisme anti blancs contre Polonais retour Grande Bretagne
     
    L’heure des retours d’Angleterre ?, demandait le titre d’un article de l’hebdomadaire polonais Sieci à la fin du mois dernier. Avec un million d’immigrés polonais en Grande-Bretagne, dont quelque 800.000 dans la seule agglomération londonienne, la Pologne était passée ces dernières années en tête des pays de naissance des immigrés vivant outre-Manche, devant l’Inde. L’inversion des flux migratoires entre le Royaume-Uni et la Pologne va donc forcément avoir une influence sur le marché du travail britannique et polonais, le chômage étant au plus bas dans les deux pays. C’est d’autant plus vrai pour la Grande-Bretagne que le solde de l’immigration nette a désormais cessé d’être positif non seulement pour la Pologne mais aussi pour sept autres pays de l’ex-Europe de l’Est. L’hebdomadaire Sieci ne s’est pas tant intéressé à l’échelle du phénomène, difficile à déterminer, qu’aux motivations de ces Polonais qui décident de quitter la Grande-Bretagne pour revenir dans leur pays. Ce sont certaines de ces motivations, en particulier la peur du terrorisme et le racisme anti-Blanc, qui ont attiré l’attention de l’édition londonienne du site d’information conservateur américain Breitbart, car elles en disent long sur l’évolution du Royaume-Uni en particulier et de l’ouest du continent européen en général, de moins en moins attractifs pour les habitants d’Europe centrale et orientale.
     

    Le racisme anti-Blancs en Grande-Bretagne, raison du retour évoquée par des Polonais

     
    C’est ainsi que le père jésuite Mateusz Konopiński, aumônier depuis trois ans de la communauté polonaise de Londres, et Tomasz Kania, londonien depuis 2005 et co-créateur de la radio catholique polonaise Radio Londyn, reconnaissent que Londres n’est pas une ville sûre, notamment en raison du risque terroriste. Lorsqu’elle vivait  à Milton Keynes, ville de la province anglaise, la Polonaise Ewa Pastuła se sentait plus en sécurité que dans la capitale. Mais, explique-t-elle à l’hebdomadaire polonais, c’est seulement quand elle est rentrée au pays avec son mari et ses enfants qu’elle a compris ce que c’était que de se sentir vraiment en sécurité. En dehors de la question de la criminalité et du terrorisme, cette Polonaise se plaint de l’hostilité rencontrée chez une partie de la population anglaise à l’égard des Polonais, perçus comme responsables du manque de travail ou des queues trop longues chez le médecin, mais c’est au sein de la population noire de Grande-Bretagne que les immigrés blancs de l’ex-Europe de l’Est éveillerait selon ses observations les pires ressentiments. Et Breitbart de citer plusieurs attaques racistes récentes perpétrées contre des Polonais par des membres des minorités ethniques.
     
    Une autre motivation au retour donnée en exemple par le journaliste de Sieci qui a enquêté en Grande-Bretagne, c’est l’éducation des enfants et l’environnement scolaire. « Sur la trentaine d’enfants dans la classe, seuls quelques-uns avaient une maman et un papa », a raconté Mme Pastuła au journaliste polonais. Cette catholique polonaise et son mari s’inquiétaient de voir les enfants de leurs amis mener un mode de vie complètement laïcisé, en passant leur temps à chercher à satisfaire leurs moindres désirs, et c’est en définitive ce qui les a poussés à rentrer en Pologne où la dimension spirituelle reste très présente dans la vie de beaucoup de gens.
     

    En Pologne même, le solde de l’immigration est désormais positif

     
    Selon les statistiques du leader polonais des déménagements internationaux Clicktrans, 74 % des déménagements de Polonais entre la Pologne et la Grande-Bretagne étaient dans le sens du retour en 2017, contre 64 % en 2016, 56 % en 2015 et 49 % en 2014. Selon les données de l’office polonais de la statistique GUS, au moins 62.000 émigrés polonais, dont 15.000 mineurs, se sont réinstallés en Pologne en 2016 (les données pour 2017 ne sont pas encore disponibles), ce qui est le chiffre le plus important depuis que le GUS a commencé à étudier le phénomène des retours au pays en 2008.
     

    Olivier Bault

    Réinformation TV

  • Elle refuse de servir des femmes voilées : trois mois avec sursis requis contre la buraliste d'Albi

     

    Faits divers

    La buraliste et son avocat Me Cohen./ Photo DDM MPV
    La buraliste et son avocat Me Cohen./ Photo DDM MPV

    D’un côté Marie, 60 ans, cheveux violets, sweat rose et son comité de soutien. De l’autre, les quatre femmes voilées qui se sont portées parties civiles et leur comité de soutien, en grande partie voilé. Ambiance tendue, jusque chez les avocats, ce jeudi après-midi lors de l’audience du tribunal correctionnel d’Albi où la buraliste albigeoise a comparu pour discrimination fondée sur la religion et refus d’un bien ou d’un service dans un lieu accueillant du public. Le 3 octobre 2015, le 6 décembre 2016, le 18 décembre 2017 et le 13 avril 2018, dans son tabac-presse qui sert également de point-relais, elle n’a pas donné ou accepté de colis de la part des quatre plaignantes sous prétexte qu’avec leur voile elle ne pouvait les identifier par rapport à leur carte d’identité. La dernière plainte lui a même valu d’être placée en garde à vue et sous contrôle judiciaire. 

     

    Discrimination, hurlent les représentants des parties civiles, de la Licra et du Mrap. Juste une question de règlement intérieur et de sécurité rétorque la buraliste qui accuse 30 ans de métier et aucun problème majeur dans sa boutique de l’avenue colonel Teyssier.

    « Le problème s’est posé avec une religieuse qui a refusé de retirer son voile, explique-t-elle à la barre. Capuches, bérets, lunettes de soleil, casques de moto, la règle est la même pour tout le monde. J’ai toujours appliqué la loi, ça n’a rien à voir avec du racisme, on sert tout le monde à partir du moment où on peut voir leur visage. C’est vrai, j’ai toujours peur qu’il arrive quelque chose dans mon magasin ».

     
     

    « J’ai été humiliée »

    « Elles vous font peur ? lance Me Sefen Guez-Guez, du barreau de Nice qui vient de se chauffer avec Me Simon Cohen en défense. Nous sommes là pour redonner force à la loi. Il y a des règles qui interdisent la discrimination. Les faits sont constitués pour les quatre victimes mais il y a eu des antécédents en 2014 et 2015. Oui nous réclamons de l’argent à hauteur de l’humiliation subie ». 

    L’avocat demande 1 500 € pour le préjudice moral de chacune de ses clientes et 1 € pour le collectif contre l’islamophobie. Une des plaignantes, la dernière en date, Anaïs, le dit et le redit : « l’habit ne fait pas le moine, je ne fais pas peur et j’ai été humiliée ».

    « La discrimination doit être distinguée du racisme, ajoute Me Philippe Pressecq, pour la Licra et le Mrap. Personne n’est venu vous agresser, vous leur reprochez ce qu’elles sont. Vous avez peur de quoi ? » Il demande 2 000 € pour chacune des associations.

    Alain Berthomieu, le procureur, qui n’accepte pas que la buraliste établisse des règles spécifiques dans son établissement, se lance dans la pédagogie. Il rappelle brièvement qu'il est interdit de porter une tenue qui dissimule un visage dans un lieu public. Comme la burqa ou le niqab. Il explicite également la discrimination et ses critères.

    Les femmes en noir

    « Mais qu’est-ce qu’un visage ? Selon le Littré, le front, le nez, les yeux, la bouche. Pas les oreilles, les cheveux, le menton. Le couvre-chef ne dissimule pas le visage, il ne représente pas un danger. Mme Pinier créée sa propre loi dans le royaume de son commerce. Tout ça, ce sont des prétextes, ces quatre victimes ont la même religion, elle les a humiliées. Le fanatisme religieux se nourrit de ce genre de comportement ». Il requiert 3 mois de prison avec sursis et 3 000 € d’amende.

     

    Me Cohen a retrouvé partiellement son calme mais il ne mâche pas ses mots pour décrocher la relaxe de sa cliente zélée. « C’est vous qui pratiquez l’amalgame, vous au parquet, vous qui venez de Nice. Une seule de ces quatre personnes a-t-elle dit que c’est parce qu’elle était musulmane qu’on a refusé de la servir ? Non, c’est parce qu’elles étaient voilées. Les femmes en noir du Portugal, les catholiques avec leur foulard, les Andalouses, sont-elles musulmanes ? Non. Elle refuse de délivrer des colis aux personnes qui ne sont pas identifiables, les règles édictées dans son magasin n’ont rien de racistes ».

    Le tribunal s’est donné jusqu’au 28 juin pour rendre son délibéré en toute sérénité.

    La Dépêche du Midi - 24/05/18