Plusieurs de ces pins magnifiques, en bordure des calanques de Luminy, sont centenaires et abritent des milliers de cigales... A quoi servent les écologistes?
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Plusieurs de ces pins magnifiques, en bordure des calanques de Luminy, sont centenaires et abritent des milliers de cigales... A quoi servent les écologistes?
https://francais.rt.com/france/50929-banlieue-marine-pen-devoile-plan-males-blancs
Excellent !
Les dirigeants du parti belge ISLAM ont apparemment pour projet de faire de la Belgique un Etat islamique. Ils le nomment « démocratie islamiste » et espèrent atteindre leur objectif en 2030.
« Le programme est simple : remplacer les codes civil et pénal par la charia. » - Magazine Causeur.
« La capitale de l'Union européenne [Bruxelles] sera musulmane dans vingt ans ». - Le Figaro .
Le développé de l'acronyme du parti ISLAM signifie « Intégrité, Solidarité, Liberté, Authenticité, Moralité ». Les dirigeants du parti ISLAM veulent apparemment faire de la Belgique un Etat islamique. Ce projet de « démocratie islamiste » ils entendent le réaliser d'ici 2030.
Selon le magazine Causeur, « le programme est d'une simplicité déconcertante : remplacer les codes civil et pénal par la charia ». Créé à la veille du scrutin municipal de 2012, le parti ISLAM a immédiatement obtenu des résultats impressionnants. Pour ne pas dire alarmants.
Michaël Privot, expert de l'islam, et Sébastien Boussois, politologue, estiment que ce nouveau parti est à même de provoquer une « implosion du corps social ». Certains politiciens belges, tels que Richard Miller, préconisent d'ores et déjà l'interdiction du parti ISLAM.
L'hebdomadaire Le Point détaille les projets du parti ISLAM: « Prévenir le vice en interdisant les établissements de jeux (casinos, machines à sous et agences de paris) et la loterie ». Outre le port du voile à l'école et un accord sur les fêtes religieuses islamiques, le parti ISLAM réclame que toutes les écoles de Belgique mettent la viande halal aux menus des cantines scolaires. Redouane Ahrouch, membre du trio fondateur, a également proposé de séparer les hommes des femmes dans les transports en commun. Ahrouch appartenait dans les années 1990 au Centre Islamique Belge, un nid fondamentaliste qui a fourni de nombreux candidats au djihad en Afghanistan et en Irak.
Le parti ISLAM est conscient que la démographie est de son côté. Ahrouch a déclaré : « dans 12 ans, Bruxelles sera majoritairement composée de musulmans ». Aux prochaines élections belges, le parti ISLAM présentera des candidats dans 28 municipalités. À première vue, la proportion semble dérisoire compte tenu des 589 municipalités belges, ils se présentent dans des communes symboliques A Bruxelles, le parti sera représenté dans 14 listes sur les 19 possibles.
Le Parti socialiste a toutes les raisons de craindre la progression du parti ISLAM. En 2012, ce parti a réussi à faire élire un conseiller communal dans deux, circonscriptions bruxelloises (Molenbeek et Anderlecht), et a échoué de peu dans la troisième circonscription, Bruxelles-ville.
En 2014, aux élections législatives, le parti ISLAM a tenté d'élargir sa base à Bruxelles-Ville et Liège. Là encore, les résultats ont été impressionnants pour un parti qui prône l'instauration de la charia, la loi islamique, en Belgique. A Bruxelles, ils ont obtenu 9 421 voix (près de 2%).
Ce mouvement politique plonge ses racines à Molenbeek, « la tanière des radicaux belges », un « centre de recrutement pour l'Etat islamique d'Irak et du Levant ». Ce quartier général du terrorisme a préparé des attaques dans toute l'Europe et même en Afghanistan. Éric Zemmour, a facétieusement suggéré qu'au lieu de bombarder Raqqa, en Syrie, la France « bombarde Molenbeek ». Actuellement, à Molenbeek, 21 conseillers communaux sur 46 sont musulmans.
Le 18 mars 2016, la police anti-émeute bloque une rue de Molenbeek à Bruxelles, après que des perquisitions aient permis l'arrestation de plusieurs personnes, dont Salah Abdeslam, l'un des auteurs des attentats de novembre 2015 à Paris. (Photo Carl Court / Getty Images) |
« La capitale européenne », écrit Le Figaro, « sera musulmane dans vingt ans » .
« Près d'un tiers de la population de Bruxelles est déjà musulmane, indique Olivier Servais, sociologue à l'Université catholique de Louvain, les pratiquants de l'islam devraient, en raison de leur forte natalité, être majoritaires « dans quinze ou vingt ans ». Depuis 2001, Mohamed est, chaque année, et de loin, le premier prénom donné aux garçons nés à Bruxelles. »
L'environnement s'avère favorable au parti ISLAM. Selon le maire de Bruxelles, Yvan Mayeur, toutes les mosquées de la capitale européenne sont désormais « entre les mains des salafistes ». Il y a quelques semaines, le gouvernement belge a, « dans le cadre de la lutte contre la radicalisation », mis fin au contrat de location de la plus grande et plus ancienne mosquée du pays, la Grande Mosquée de Bruxelles, à la famille royale saoudienne. Les responsables ont déclaré que la mosquée était devenu un « foyer d'extrémisme ».
L'an dernier, un rapport confidentiel a révélé que la police suspectait 51 associations de Molenbeek d'être en lien avec le djihadisme.
Il serait temps peut-être que la somnolente Belgique ouvre un œil ?
Giulio Meotti, éditeur culturel pour Il Foglio, est un journaliste et auteur italien.
Gatestone institute
Pendant que la Sorbonne se voile, Marion Maréchal ouvre son école supérieure : Ce sera l’Institut des sciences sociales économiques et politiques : l’ISSEP. Les premiers étudiants seront accueillis dès le mois de septembre.
Le site de l’Institut de sciences sociales, économiques et politiques a été mis en ligne mardi. En quelques heures il était pris d’assaut et saturé, victime de son succès. On y découvre le contenu pédagogique de l’académie politique imaginée par l’ancienne députée Front national et inaugurée le 22 juin prochain.
« Excellence, éthique, enracinement et engagement » sont les quatre valeurs fondatrices revendiquées sans ambiguïté dès le mot d’accueil de la direction, signé de Marion Maréchal, « directrice et ancien député » et de Patrick Libbrecht « président honoraire, ancien DG de sociétés alimentaires françaises » :
« L’exigence de performance est centrale dans les attentes des citoyens envers les élus. C’est la singularité et la richesse de notre projet que de faire émerger des décideurs économiques qui placeront leurs ambitions au service de projets utiles à la société et ne s’enfermeront pas dans une simple logique comptable ou financière, ainsi que des décideurs publics qui insuffleront une nouvelle vitalité à la vie politique de notre pays. »
Situé à Lyon dans le quartier de la Confluence, l’ISSEP propose deux types de formations : un magistère sur deux ans, où l’on entre à Bac+3 pour 5 500 euros par an. Et une formation continue le week-end pour les actifs et les étudiants.
Au programme, des cours de gestion de projet, de direction des hommes, de communication, de droit constitutionnel, de politique internationale, de campagne et d’analyse électorale, de science politique, d’économie, de religion et société, des « stages d’aguerrissement » ainsi que plusieurs activités « afin de transmettre aux étudiants les richesses du savoir-vivre et du savoir-être à la française. » L’école a prévu plusieurs journées portes ouvertes, le 26 juin, le 5 juillet et le 28 août.
Les enseignements seront assurés par des universitaires et des acteurs de la société civile. Dans le conseil scientifique, on retrouve plusieurs noms amis, comme l’universitaire et écrivain royaliste Yves-Marie Adeline, le directeur de la revue L’Incorrect, Jacques de Guillebon, le secrétaire général du Mouvement pour la France Patrick Louis, ou encore Pascal Gauchon, directeur de la revue de géopolitique Conflits, le constitutionnaliste Guillaume Drago (professeur en droit public à l’université Panthéon Assas). Autre présence notable, le britannique Raheem Kassam, rédacteur en chef de Breitbart à Londres.
Dans Valeurs actuelles en février dernier, Marion Maréchal expliquait l’importance de la bataille culturelle à côté de l’action politique et sa volonté « métapolitique » de créer une académie susceptible de « détecter, instruire et former les dirigeants de demain ».
Caroline Parmentier
Article paru dans Présent daté du 23 mai 2018
L’enquête se poursuit ce mardi après la fusillade qui a éclaté lundi après-midi dans la cité de la Busserine, dans les quartiers Nord de Marseille (Bouches-du-Rhône). Cette fusillade qui n’a pas fait de blessé par balles serait « un acte d’intimidation » perpétré dans le cadre du « narcobanditisme », a souligné Xavier Tarabeux, procureur de la République de Marseille, lors d’une conférence de presse ce mardi après-midi.
Lundi, vers 16h50, une dizaine d’individus encagoulés et équipés d’armes de poing et d’armes lourdes ont fait irruption dans le quartier, à bord de trois ou quatre voitures. « Les malfaiteurs ont tiré en l’air après avoir mis en joue des policiers », rapporte Xavier Tarabeux qui évoque la découverte de plusieurs étuis et cartouches de 9 mm et de 7,62 mm qui correspondent à des projectiles de Kalachnikov.
Dans leur fuite, les assaillants, dont l'une des voitures était équipée d'un gyrophare, et qui portaient, selon des témoignages, des brassards de police, n'hésitent pas à mettre en joue les forces de l'ordre qui se trouvent à proximité.
Les policiers ont tiré à quatre reprises en direction de l'une des voitures des malfaiteurs, brisant la vitre avant, mais sans pouvoir les empêcher de prendre la fuite par l'autoroute.
Marseille : coups de feu à la kalachnikov dans une cité
Un homme, connu pour être « un guetteur » dans le quartier, a été « pris en chasse » par les malfaiteurs, avant d’être « rattrapé » et « forcé à monter dans le coffre d’une voiture ». Xavier Tarabeux dit ne « pas avoir de raison de mettre en doute ce témoignage » mais l’identité de cet individu « enlevé » n’est pas connue et aucun signalement n’a été fait auprès des enquêteurs. «Tous les moyens sont déployés pour retrouver » cette éventuelle victime, et « mettre la main sur les auteurs des faits ».
Cette fusillade n’a fait aucun blessé mais le procureur signale qu’un homme a été blessé d’un coup de crosse d’arme et bénéficie de trois jours d’ITT (Incapacité totale de travail).
Deux voitures, une Megane RS et une Renault Megane, a précisé Xavier Tarabeux, ont été retrouvées brûlés dans la nuit de lundi à mardi. Les enquêteurs tentent de déterminer si ces voitures sont bien celles des malfaiteurs.
Le Parisien
Qu'on ne nous parle plus du "vivre ensemble" !