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  • Lille : un père lynché devant ses enfants par une vingtaine de « jeunes » pour s’être opposé à un rodéo, une femme tabassée, d’autres familles volées ou agressées

     

    18h17

    On en sait plus sur les graves événements de dimanche, aux Bois-Blancs, plaine des Vachers. Parce que des habitants se sont opposés à un violent rodéo, une vingtaine de jeunes ont débarqué au milieu des familles. Ils ont frappé à tout-va et volé des téléphones portables. Un père de famille a été roué de coups.

    Stéphane (prénom modifié) a assisté à un déferlement de violences, dimanche. La scène se passe plaine des Vachers. Vers 19 h, du monde profite encore de cette chaude journée. Une quiétude rompue par l’irruption d’une moto-cross pilotée par un jeune.

    « Il passait au milieu des enfants. Un père s’est interposé et s’est pris aussitôt une droite au visage. Sa femme est venue l’aider : elle a reçu deux coups de poing en pleine figure. » Une dizaine de témoins se lèvent pour calmer l’excité. Celui-ci les menace et s’en va.

    « Trois minutes plus tard, il a débarqué avec une vingtaine d’autres jeunes, avec des voitures et des deux-roues. Ils ont frappé directement tout ce qu’ils pouvaient. » Un père de famille, en train de téléphoner, se fait plus spécifiquement démolir. « Ils ont sans doute pensé qu’il appelait la police. Cinq à six jeunes l’ont roué de coups, devant ses enfants. Il baignait dans son sang. »

    Les badauds qui filment ou photographient sont eux aussi attaqués : « ils se sont fait voler leur portable. »

    La bande repart au bout de quelques minutes. « C’était la stupeur, les enfants étaient paniqués ! »La police intervient. Quatre plaintes ont pour l’instant été déposées. « C’est peu, les gens ont peur. » Une enquête est en cours. Personne n’a été interpellé pour l’instant.

    La Voix du Nord

    NdB: Pourquoi ces "jeunes" ne vont-ils jamais faire de rodéos à Deauville, au Touquet, etc... ? 

     

     

  • Macron au plus bas dans les sondages depuis son entrée en fonction

     

     

    Macron au plus bas dans les sondages depuis son entrée en fonction

    La popularité d'Emmanuel Macron (-3 points) ainsi que celle d'Edouard Philippe (-2 points) connaît un nouveau trou d'air en mai. Les Français sont divisés sur leur gestion des conflits sociaux, selon un sondage BVA publié le 25 mai.

    Avec 40% d'opinions positives, le chef de l'Etat retrouve son niveau de mars, le plus bas depuis son entrée en fonction il y a un an, d'après un sondage BVA réalisée en ligne du 23 au 24 mai auprès de 1 000 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.

    56% (+2) des Français interrogés ont une «mauvaise opinion» de lui. La cote d'Emmanuel Macron chute en particulier auprès des sympathisants Les Républicains (-14), selon cette enquête pour Orange, RTL et La Tribune.

    La popularité du Premier ministre suit cette tendance : avec 43% de bonnes opinions, Edouard Philippe retrouve également son plus bas niveau. 53% (+2) des personnes interrogées ont une mauvaise opinion de lui en tant que chef du gouvernement. La cote du Premier ministre s'effrite auprès des proches de LR (-7), mais également du Front national (-5) et même de La République en marche (-4).

    Environ un tiers des Français considère l'attitude de l'exécutif «trop ferme» dans la gestion des principaux conflits sociaux : mobilisation des fonctionnaires (37% «trop ferme»), cheminots (35%), réforme de l'accès à l'université (36%).

    Mais un quart à un tiers la juge «pas assez ferme» : fonctionnaires (26%), cheminots (34%), accès à l'université (34%). Et une part comparable l'estime «comme il faut» : fonctionnaires (34%), cheminots (28%), accès à l'université (27%).

    Un Français sur deux (50%) estime par ailleurs que l'exécutif n'accorde «pas assez» de place au dialogue avec les syndicats, contre 36% pour qui il en accorde «suffisamment».

    Nicolas Hulot (40%, +2), Xavier Bertrand (33%, +2), Marion Maréchal (32%, +1) et Jean-Michel Blanquer (32%, +2) progressent en tête du classement des personnalités dont les Français souhaitent qu'elles aient «davantage d'influence».

    La marge d'erreur de ce sondage est de 1,4 à 3,1 points.

    Lire aussi : 60% des Français ne veulent pas qu'Emmanuel Macron se représente en 2022

    RT

  • JOURNAL TVL DU 25 MAI 2018

  • États-Unis : des prisonniers musulmans ont été nourris avec du porc durant le ramadan

     

    L'Association pour les relations américano-islamiques a déposé plainte à l'encontre des responsables de l'administration pénitentiaire locale.

    Les plaignants se sont vu offrir des repas spéciaux pour le ramadan trop faibles en calories et des sandwichs à la bolognaise contenant du porc, un aliment interdit par l'islam.
    Les plaignants se sont vu offrir des repas spéciaux pour le ramadan trop faibles en calories et des sandwichs à la bolognaise contenant du porc, un aliment interdit par l'islam. (DARRIN KLIMEK / DIGITAL VISION / GETTY IMAGES)

    L'Association pour les relations américano-islamiques (CAIR), qui a révélé l'affaire, a dénoncé des "punitions cruelles". Des prisonniers musulmans incarcérés à Anchorage (Alaska) affirment avoir été nourris avec du porc en plein ramadan, rapporte la presse locale. Les autorités judiciaires de cet État du nord-ouest des États-Unis ont ordonné à la direction de leur maison d'arrêt, jeudi 24 mai, de leur fournir des "repas adéquats".

    L'association a précisé avoir déposé plainte à l'encontre des responsables de l'administration pénitentiaire locale ainsi que des surveillants de la prison. La CAIR dénonce des règles qui soumettent selon elle les plaignants à des "punitions (…) qui limitent la liberté religieuse, discriminent les plaignants sur la base de leur religion".

    "Une envolée des discriminations" avec Trump

    Le document affirme que les plaignants se sont vu offrir des repas spéciaux pour le ramadan trop faibles en calories et des sandwichs à la bolognaise contenant du porc, un aliment interdit par l'islam.

    L'association demande "un régime nutritionnel équilibré" pour les prisonniers, des changements de pratiques et des dommages-intérêts. L'ONG déplore "une envolée des actes de discrimination envers les musulmans américains et d'autres groupes de minorités (ethniques ou religieuses) depuis l'élection du président Trump".