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  • Alexandre Benalla placé en garde à vue: l'Elysée engage une procédure de licenciement

    https://francais.rt.com/france/52579-sortez-mutisme-monsieur-president-sphere-politique-reagit-affaire-benalla

  • Les drag-queens envahissent les bibliothèques publiques et visent les petits enfants – l’idéologie passe mieux « avant trois ans »

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    https://reinformation.tv/drag-queens-bibliotheques-enfants-ideologie-jallais-86563-2/

     

    drag queens bibliothèques enfants idéologie
     
    Il y a moins d’un an, RiTV avait évoqué le démon drag-queen qui avait fait son heure de lecture enfantine à la bibliothèque publique de Michelle Obama à Long Beach. Aujourd’hui, le phénomène s’est encore amplifié en Amérique du Nord. Pire, il se démocratise outre-manche mais aussi en France. Et dans des édifices publics, des bibliothèques aux crèches. C’est « culturel », nous dit-on. Ce serait même humaniste, dans le sens où cette initiation maçonnique ouvre l’éventail des possibilités d’être de tout un chacun, et la tolérance pour tous, pour parler leur langage…
     
    Ni plus ni moins, c’est le programme transgenre qui se met en marche à destination des petits. Car il faut que l’idéologie LGBT atteigne les jeunes esprits avant l’âge de trois ans, comme l’expliquait la directrice d’une bibliothèque américaine – après, ils sont déjà trop genrés… !
     

    La communauté LGBTQ2+ pose les principes du transgénérisme

     
    Évidemment que l’entreprise est idéologique. La première histoire racontée aux enfants par une drag-queen avait eu lieu à la bibliothèque Harvey Milk (activiste gay) de San Francisco et c’est l’auteur « queer » Michelle Tea qui en avait eu l’idée. Depuis, c’est une traînée de poudre. Les promoteurs de ces événements se défendent en disant vouloir créer « un endroit safe qui prépare un monde plus safe », comprenez inclusif, ouvert, sécurisant pour tous…
     
    C’est en réalité, avant tout, un combat contre la nature, la distinction entre homme et femme. Le combat transgenre succède en toute logique au combat homosexuel, allant jusqu’au bout du renversement.
     
    Mais une telle déconstruction ne peut être admise que par ses adeptes. C’est la raison pour laquelle ils visent aujourd’hui la cour de récré ou mieux la classe niveau garderie… Et les drag-queens, personnages « visiblement » compréhensibles, sont les meilleurs vecteurs du transgénérisme. Dans son livre Trouble dans le genre paru en 1990, Judith Butler disait déjà que les drag-queens sont les meilleurs exemples de ce qu’elle appelle la « performativité du genre », c’est-à-dire la dissociation flagrante entre sexe et genre…
     
    Alors ça danse, ça chante, ça fait swinger les bracelets à strass, et ça déguste des cupcakes arc-en-ciel – pléthore de ces séquences en vidéo sur les réseaux sociaux. Il faut bien faire passer la pilule aux enfants, enrober l’invraisemblable avec le festif post-moderne qui fait tout avaler. Les tenues ? Extravagantes ou ultra glamour (si l’on peut dire), leur point commun majeur est l’outrance du maquillage, pour cacher ces traits masculins qu’on ne saurait voir…. (ou parfois féminins, certaines étant des drag-kings !) A côté, les mères de famille venus avec leurs bambins ne semblent même plus des femmes….
     

    Les drag-queens promeuvent dans les bibliothèques des espaces « inclusifs »

     
    Comme le remarquait Jonathon Van Maren de LifeSite, de plus en plus de bibliothèques canadiennes souscrivent à la Drag Queen Story Hour (DQSH) pour lire des livres « LGBT-friendly », de My Princess Boy à Heather Has Two Mommies. Toronto, Burlington, Edmonton, Winnipeg, Charlottetown, Burnaby, Terre-Neuve, Vancouver… Très souvent, même, c’est le festival LGBT de la ville qui parraine l’événement, comme à Halifax ou à Calgary.
     
    Et la vague arc-en-ciel est arrivée en Europe puisqu’à Londres, sept établissements de la London Early Years Development ont accueilli ainsi des drag-queens durant l’hiver 2017, sans compter un certain nombre d’établissements publics primaires. En France, la bibliothèque de Montreuil et la Taverne Gutenberg à Lyon ont lancé l’initiative ces toutes dernières semaines.
     
    Il y a deux discours chez les promoteurs de ces séances de l’horreur (les tout-petits en ont peur, de l’aveu même des drag-queens). Pour le public, c’est l’idée qu’il faut être ce qui nous plaît, réaliser ce dans quoi on se sent le plus à l’aise. Mais par derrière, on avoue qu’il est parfait d’exposer de très jeunes enfants à des hommes qui s’habillent en femmes, « parce que les enfants sont très ouverts jusqu’à environ trois ans. À trois ans, ils commencent à absorber tous les « ismes » que les adultes ont développés très efficacement » (dixit June O’Sullivan, présidente de London Early Years Foundation). Un drag-queen le disait lui-même : il est important que les « jeunes enfants impressionnables » soient exposés à des personnes non binaires
     

    L’idéologie imposée aux enfants

     
    Le drame est que ces petits enfants évidemment non pubères sont souvent « confus » dans leur genre, comme le faisait remarquer dans le DailyMailen novembre dernier, Dilys Daws, une psychothérapeute pour enfants, parce qu’ils s’identifient momentanément à un parent, un frère, une sœur, parce qu’ils n’ont amorcé encore aucun développement physique… Et que cette confrontation peut amener à des conséquences extrêmement néfastes.
     
    « Il y a cette idée qui balaie le pays qu’être transgenre est une « situation ordinaire ». Il y a tellement de publicité que les enfants pensent qu’ils pourraient être transgenres, alors que cela ne leur serait pas arrivé autrement ».
     
    Tout est donc fait pour normaliser la dysphorie du genre, qui est à la base un trouble, très majoritairement passager de l’enfance. On utilise le temps de la mise en place de l’identité sexuelle pour la bouleverser et rendre problématique pour la suite la distinction naturelle entre homme et femme. C’est révolutionnaire, c’est diabolique.
     
    Mais malheureusement, comme le disait la directrice de Calgary Pride (festival LGBT de Calgary, Canada), « la conversation sur l’expression du genre ne fait que commencer »… La fluidité sexuelle pour tous, c’est pour demain.
     

    Clémentine Jallais
     
     
     
     
  • Climat : on dénonce une vague de chaleur mondiale, mais la glace est bien là qui ne fond pas – et les ours non plus… 13 juillet 2018 14 h 15 min· Ours glace climat Europe, États-Unis, mais aussi Sibérie… la grosse chaleur est là, nous dit-on ! Mais il f

    https://reinformation.tv/86419-2-ours-glace-climat-clementine-jallais/

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  • JOURNAL TVL 19 JUILLET 2018

  • Alexandre Benalla: pourquoi la justice n'a-t-elle pas été saisie ?

    https://www.

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    causeur.fr/alexandre-benalla-justice-macron-sanction-153008

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    Au ski derrière Macron

     

  • L'ONU programme le raz-de-marée... 159 millions d'immigrés d'ici à 2025...

    http://www.fdesouche.com/1045113-lonu-programme-le-raz-de-maree-en-avril-2000-un-rapport-preparait-linstallation-de-159-millions-dimmigres-dici-a-2025

  • 4 militants renvoyés devant la justice après l'entrée de migrants dans les Hautes-Alpes

     

    4 militants renvoyés devant la justice après l'entrée de migrants dans les Hautes-Alpes
    Le massif national des Ecrins, le 6 juin 2015. 

    Ils ont permis l'entrée d'une vingtaine de migrants en avril.

    Par L'Obs

     

    Quatre militants qui avaient permis l'entrée en France d'une vingtaine de migrants le 22 avril lors d'une marche à Briançon (Hautes-Alpes) seront jugés devant le tribunal correctionnel de Gap le 8 novembre prochain, a indiqué mardi le procureur de Gap.

    Ces quatre personnes, une femme et trois hommes âgés entre 22 et 51 ans, avaient été convoqués mardi matin à la gendarmerie de Briançon dans le cadre d'une enquête visant à identifier "les principaux acteurs côté français du passage en force de la frontière du 22 avril", a précisé dans un communiqué Raphaël Balland, le procureur de la République à Gap. Le magistrat a ajouté :

    "Les quatre personnes se sont présentées sans contrainte à leurs convocations par les gendarmes mais elle ont refusé de répondre à toutes les questions portant sur les faits au cours de leur garde à vue."

    L'un des quatre militants interrogés, qui s'était enfui menottes aux poignets le 22 avril "alors qu'il venait d'être difficilement maîtrisé par plusieurs policiers de Briançon", comparaîtra également pour rébellion.

    Les quatre militants – dont deux membres sont issus du conseil d'administration du collectif "Tous Migrants", qui vient en aide aux réfugiés dans la région – étaient entendus sous le régime de la garde à vue pour "aide à l'entrée irrégulière" d'étrangers "en bande organisée".

    "Principe de fraternité"

    Trois militants – une Italienne, un Suisse et un Belgo-Suisse âgés de 23 à 27 ans – sont déjà poursuivis dans cette affaire. Ils avaient comparu le 31 mai devant le tribunal correctionnel de Gap mais leur procès avait été renvoyé également au 8 novembre dans l'attente d'une décision du Conseil constitutionnel.

    Celle-ci a été rendue le 6 juillet : les Sages ont affirmé qu'une aide désintéressée au "séjour" irrégulier des étrangers ne saurait être passible de poursuites au nom du "principe de fraternité". En revanche, l'aide à "l'entrée" irrégulière reste illégale.

    Benoit, 48 ans, un des militants convoqués, avant d'entrer dans la gendarmerie :

    "J'ai la conscience tranquille, je n'ai rien à me reprocher, on a juste aidé des personnes, le principe de fraternité n'a pas de frontières."

    Pour Me Yassine Djermoune, un avocat des mis en cause, les militants y voient "une tentative d'intimidation".

    Aucune poursuite pour les identitaires

    Le 22 avril, près de 150 militants antifascistes avaient franchi la frontière franco-italienne par les pistes de ski du col de Montgenèvre avec une vingtaine de migrants africains. Après de brefs heurts avec les forces de l'ordre, le cortège avait rejoint Briançon sous escorte.

    Le 21 avril, une centaine de militants d'extrême droite de Génération identitaire, agissant sous la bannière du mouvement "Defend Europe", avaient bloqué ce col frontalier voisin pour marquer leur hostilité à l'entrée de migrants. Les jours suivants, ils avaient mené des "patrouilles" dans les vallées de la région, agissements qui font l'objet d'enquêtes diligentées par le parquet de Gap mais aucune poursuite n'a encore été engagée.

    A.R. 

    L'Obs

    L'Obs