Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Marine Le Pen interpelle Christophe Castaner : «Avez-vous quelque chose à vous reprocher ?» (VIDEO)

     

     

    Marine Le Pen interpelle Christophe Castaner : «Avez-vous quelque chose à vous reprocher ?» (VIDEO)© RT France
    Christophe Castaner et Marine Le Pen dans un échange virulent le 21 juillet
     

    Marine Le Pen a été scandalisée de voir le secrétaire d'Etat Christophe Castaner dans une salle annexe de l'Assemblée avec des journalistes et s'absenter ainsi des séances. «Vous refusez d'aller dans l'hémicycle», lui a-t-elle notamment reproché.

    Tension à l'Assemblée nationale. Alors que la séance était suspendue, Marine Le Pen s'en est violemment prise au secrétaire d'Etat chargé des Relations avec le Parlement, Christophe Castaner, dans la salle des quatre colonnes. Une salle où se retrouvent généralement les élus et les journalistes afin que ces premiers puissent répondre aux questions des seconds. En effet, alors que les dernières séances parlementaires étaient marquées par l'affaire Benalla, Christophe Castaner a préféré rester, durant les débats, hors de l'hémicycle, à répondre à certaines sollicitations des journalistes. Exaspération pour la présidente du Rassemblement national (ex-Front national) qui ne comprend pas que le secrétaire d'Etat refuse de se présenter devant les députés lors des séances et à possiblement répondre aux interrogations des parlementaires.

    Jonathan Moadab@Moadab_RTfr
     
     

    Gros clash entre @MLP_officiel et @CCastaner à l'Assemblée car ce dernier discutait avec des journalistes au lieu d'écouter l'opposition

     

     

    «Vous êtes [chargé des] relations avec le Parlement, vous êtes le président d'En marche [LREM], et vous êtes ici [dans la salle des quatre colonnes] à faire une conférence de presse, vous délivrez vos éléments de langage, et vous refusez d'aller dans l'hémicycle pour vous expliquer sur le scandale d'Etat», interpelle Marine Le Pen. Particulièrement offensive, l'ancienne candidate à la présidentielle reproche également à Christophe Castaner : «Depuis ce matin, vous rasez les murs ! Avez-vous quelque chose à vous reprocher ?»

    «La politesse voudrait que vous soyez dans l'hémicycle», ajoute-t-elle encore.

    Face à la révolte de Marine Le Pen, Christophe Castaner n'a pas tenté de se justifier et préféré attester qu'il serait prêt à être auditionné par la Commission d'enquête si celle-ci le souhaitait. Sauf que là encore, Marine Le Pen pointe une faiblesse chez le cadre LREM : «Vos amis d'En marche refusent votre audition. Vous ne serez pas convoqué puisqu'ils refusent de vous convoquer. Vos amis d'En marche vous protègent comme ils ont protégé les voyous monsieur Benalla et monsieur Crase.»

    RT

  • Benalla déjà jugé pour avoir tabassé une femme de sa famille en 2016.

     

    16h26

     

    Alexandre Benalla, le collaborateur d’Emmanuel Macron qui a été filmé frappant deux personnes lors des manifestations du 1er mai, a été jugé en 2016 pour des faits de violences volontaires avant d’être relaxé, selon des informations de L’Express, confirmées par Le Figaro.

    Une femme, « probablement membre de sa famille », l’accusait alors de « violences volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) supérieure à 8 jours », précise l’hebdomadaire. Mais le jeune homme de 26 ans, placé en garde à vue ce vendredi, a été relaxé « sans que les motifs du jugement en explicitent les raisons ».

     

    1045585.jpg

    Contacté par L’Express, le cabinet de la présidence dit ne pas avoir eu connaissance des déboires judiciaires du garde du corps. Son casier judiciaire serait vraisemblablement vierge, même si un cadre socialiste se souvient qu’il avait « le sang chaud, s’énervait et montait le ton assez facilement quand il travaillait au service d’ordre du PS ».

    Le Figaro


     

    Le conseiller très particulier d’Emmanuel Macron a fait l’objet d’une plainte pour violences volontaires sur une femme en août 2015.

    Il a déjà fait des siennes. Nous sommes en août 2015, et Alexandre Benalla, qui n’est pas encore ce jeune chargé de la sécurité d’Emmanuel Macron, fait l’objet d’une plainte déposée au commissariat de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine).

    Une femme, probablement membre de sa famille, l’accuse de « violences volontaires ayant entraîné une incapacité temporaire de travail (ITT) supérieure à 8 jours ». Le 18 mars 2016, la 12e chambre correctionnelle du tribunal de Nanterre juge celui qui deviendra quelques mois plus tard conseiller au Palais de l’Élysée. L’Express n’a pas obtenu pour l’heure copie de la décision à laquelle sont parvenus les magistrats.

    Selon nos informations, l’équipe du candidat Macron était au courant de ces faits dès la campagne présidentielle. Sollicité par L’Express, le cabinet du président de la République n’avait pas répondu vendredi après-midi. Joint par messagerie, un très proche conseiller du candidat En Marche, assure n’avoir pas eu connaissance des démêlés judiciaires d’Alexandre Benalla. En tous cas, il semble invraisemblable que la sécurité d’Emmanuel Macron ait été confiée à un individu ayant fait l’objet d’une plainte pour violences physiques.


    A voir :

    Un collaborateur de Macron frappe un manifestant : Montebourg l’avait viré quand il était son chauffeur et avait voulu commettre un délit de fuite (MàJ)

    Benalla est logé dans une luxueuse dépendance de l’Elysée Quai Branly et disposait d’une voiture avec chauffeur

    L’Elysée a poussé Benalla au poste de sous-préfet

    Affaire Benalla : « Momo Testo », « Kamel Judoka », « Barbiche »… quand la « bande d’Alexandre » suit Macron à l’Elysée

    Comment l’Elysée a essayé d’étouffer le scandale Benalla : « Si l’affaire ne sort pas d’ici 15 jours, elle ne sortira jamais »

    Alexandre Benalla serait proche de l’ex-avocat du milieu Karim Achoui et de la Ligue de Défense Judiciaire Musulmane

  • Benalla : la version de l'Elysée démentie par des photos, Collomb auditionné à l'Assemblée lundi

    5b52c655488c7b66398b4567.jpg Macron X.jpg

    https://francais.rt.com/france/52579-sortez-mutisme-monsieur-president-sphere-politique-reagit-affaire-benalla

    + PHOTOS, TWEETS, VIDEOS

  • Benalla: encore un passeport banlieue qui passe mal !

    http://resistancerepublicaine.eu/2018/07/19/benalla-encore-un-passeport-banlieue-qui-passe-mal/

    + VIDEO

  • 50 familles de fermiers blancs fuyant les violences en Afrique du Sud bientôt accueillies en Russie

     

     

    50 familles de fermiers blancs fuyant les violences en Afrique du Sud bientôt accueillies en Russie© RT
    La famille Schlebusch reçue à Stavropol
     

    Les premières familles de fermiers blancs vont bientôt arriver en Russie pour s'y installer et ainsi fuir les menaces et violences auxquelles elles font face en Afrique du Sud. Ils seraient près de 15 000 à envisager cette solution.

    La famille Schlebusch, qui habite à Bloemfontein, en Afrique du Sud, sera une des premières à venir s'installer dans le sud-ouest de la Russie. Comme la plupart des autres Boers – les descendants des colons néerlandais –, ils viennent y chercher l'asile politique. Ils expliquent être victimes d'attaques violentes et de menaces de mort dans leur pays natal, où le président Cyril Ramaphosa a ordonné, le 20 février dernier, «l'expropriation de terres sans compensation» des fermiers blancs pour accélérer leur «redistribution» aux Sud-Africains noirs.

    50 familles de fermiers blancs fuyant les violences en Afrique du Sud bientôt accueillies en RussieSource: RT
    La famille Schlebusch avec le vice-délégué aux droits de l'homme de Stavropol Vladimir Poluboyarenko

    Début juillet, le père de famille Adi Schlebusch a visité la région agricole de Stavropol en Russie, pour venir prendre ses marques. Interrogé par RT, il a confié les raisons qui l'ont poussé à prendre la décision d'immigrer. «La réalité est que nous craignons pour nos vies. Et la réalité c'est qu'un fermier blanc par jour est attaqué en Afrique du Sud», a ainsi déclaré Adi Schlebusch, dont le grand-père a été assassiné dans sa ferme. «Le gouvernement est certainement responsable d'avoir créé ce climat d'antagonisme envers les fermiers blancs», a-t-il accusé.

    «Je sais que la croissance de la production agricole est immense en Russie. Alors je pense que c'est le bon moment pour investir dans l'agriculture du pays, je pense qu'il y a beaucoup de potentiel», a-t-il poursuivi.

    50 familles de fermiers blancs fuyant les violences en Afrique du Sud bientôt accueillies en RussieSource: RT
    La famille Schlebusch en compagnie du vice-délégué aux droits de l'homme de Stavropol Vladimir Poluboyarenko

    La région de Stavropol s'apprête à accueillir 50 familles boers, d'après les chiffres communiqués par le vice-délégué aux droits de l'homme de la région Vladimir Poluboyarenko. Il a déclaré à RT qu'un plan existait pour l'installation dans la région de 500 familles et leur bétail. Vladimir Poluboyarenko estime à 15 000 le nombre de Boers prêts à quitter leur pays pour commencer une nouvelle vie en Russie. Une délégation russe doit d'ailleurs se rendre en Afrique du Sud pour peaufiner avec la communauté boer un plan de réinstallation.

    Les Blancs, qui représentent 8% de la population sud-africaine, possèdent 72% des fermes dans le pays. Or, dans un souci de «soigner les divisions du passé», lprésident sud-africain Cyril Ramaphosa a annoncé le 20 février dernier que «l'expropriation de terres sans compensation» était envisagée pour accélérer leur «redistribution» aux Sud-Africains noirs. 

    Une mesure similaire avait été prise au Zimbabwe au début des années 2000 : des milliers de fermiers blancs avaient été expulsés manu militari au profit de Noirs, plongeant le pays dans une profonde crise économique.

    Lire aussi : L'Australie se dit prête à accueillir les fermiers blancs d'Afrique du Sud, menacés d'expropriation

  • JOURNAL TVL 20 JUILLET 2018