Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Etats-Unis: Un Américain, condamné à mort pour le meurtre d'une enfant, exécuté dans le Tennessee

     

    PEINE DE MORT Dans une requête devant la Cour suprême, ses avocats avaient contesté le protocole d’injection létale qui contient le puissant sédatif controversé midazolam…

    20 Minutes avec AFP

     

     — 

    Une chambre d'éxecution par injection dans une prison américaine
    Une chambre d'exécution par injection dans une prison américaine — Caroline Groussain

    C’était la première exécution dans cet Etat du sud des Etats-Unis depuis 2009. Un Américain reconnu coupable du viol et du meurtre d’une enfant a été exécuté jeudi dans le Tennessee à l’aide d’un cocktail létal controversé, après que la Cour suprême a rejeté un recours de ses avocats.

    « Je voudrais juste dire que je suis vraiment désolé. Et c’est… c’est tout », a dit Billy Ray Irick, 59 ans, avant de se voir administrer l’injection mortelle à Nashville. Il avait été condamné en 1986 pour le viol et le meurtre d’une enfant de sept ans, Paula Dyer. Ses avocats avaient plaidé un passif de grave maladie mentale.

    CBS News
     
    @CBSNews
     

    DkNQnDIXcAAAxTF.jpg

  • Des jeunes nationalistes flamands reçus et soutenus par Viktor Orbán [Vidéo]

     

     

    Le Premier ministre hongrois Viktor Orbán s’est entretenu il y a quelques jours avec une organisation de jeunes nationalistes flamands. Le début d’une synergie réellement européenne ?

    De la Hongrie à la Flandre

    Viktor Orbán, Premier ministre de la Hongrie, a tenu un long discours lors de la 29ème Université d’été de Bálványos le 28 juillet 2018 à Tusnádfürdő (Băile Tuşnad, en Roumanie). Une longue tirade au cours de laquelle il n’a pas manqué de rappeler l’attachement inconditionnel de la Hongrie à la civilisation européenne.

    Une dimension européenne qui a été marquée par la présence de plusieurs délégations étrangères lors de ces journées. Parmi celles-ci, se trouvait l’organisation de jeunesse nationaliste flamande Schild & Vrienden (S&V). Le fondateur du mouvement, Dries Van Langenhove, faisait partie des conférenciers de cette université d’été.

    Dries Van Langenhove@DVanLangenhove
     
     

    A great honour to be invited by Viktor Orbán, the man who bravely stood against communism back in the day and bravely stands against the EU bureaucrats today. Hungary for the Hungarians. Flanders for the Flemish. Europe for the Europeans. United we stand.

     

    Orbán met les Flamands en garde !

    Par la suite, quelques jeunes nationalistes flamands ont été invités au bureau du Premier ministre de la Hongrie. Et Viktor Orbán n’a alors pas manqué de les mettre en garde sur ce qui attend l’Europe occidentale si la situation politique n’évolue pas rapidement. Il leur a ainsi conseiller de « réveiller [leur] nation le plus tôt possible, sinon la Belgique aura une apparence radicalement différente dans 5 à 10 ans ».

    Une Belgique au sein de laquelle une partie non négligeable des nationalistes flamands tient un discours hostile à l’immigration extra-européenne. Un ton qui contraste, dans l’ensemble, avec la classe politique de Wallonie.

     

     

    Derniers Flamands ?

    Le discours de Van Langenhove a été accueilli avec intérêt et sympathie dans les médias hongrois et dans les cercles de droite. Le jeune leader flamand a notamment évoqué son admiration pour les politiques actuelles menées en Europe centrale et orientale. Et a incité les Hongrois à poursuivre leur lutte pour préserver leur culture traditionnelle, leurs valeurs chrétiennes et leur identité nationale.

    Une effervescence que les nationalistes flamands souhaitent voir émerger également en Flandre car, pour Dries Van Langenhove, « sa génération doit devenir la plus grande génération d’Européens qui ait jamais vécu, ou ce sera la dernière ».

    « La Flandre est la partie qui fonctionne »

    Un constat d’urgence que Viktor Orbán n’a pu que valider en indiquant aux Flamands que « Les développements qui se produisent actuellement sont non seulement désagréables, non seulement ennuyeux, mais ils sont en train de changer radicalement la base de civilisation [NDLR : européenne]. […] Si vous voulez du changement, levez-vous et battez-vous ».

    En poursuivant par ce qui ressemble à un appel à la réaction générale des Européens : « Ce que j’entends régulièrement, c’est que les gens disent qu’on ne peut pas changer. Ce n’est pas impossible, mais qu’ils n’y croient tout simplement pas. Cela dépend de ce que vous voulez. Si vous voulez changer, changez simplement. Mais il faut de bons partenaires et des alliances stratégiques, le collectif est très important ».

    Le Premier ministre hongrois n’a d’ailleurs pas manqué d’humour pour évoquer la situation flamande : « La Flandre est la partie [NDLR : de la Belgique] qui fonctionne ».

    Crédit photo : Page Facebook Schild & Vrienden (tous droits réservés)
    [cc] Breizh-info.com, 2018, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

  • Paris : un cycliste égorge mortellement un passager dans un bus

     

    >Île-de-France & Oise>Paris|Céline Carez|08 août 2018, 12h12|MAJ : 08 août 2018, 20h01|79
    Le drame est survenu dans un bus de la ligne 255 LP/B.H.
    picto info
     

    Le drame a eu lieu ce mercredi matin dans un bus 255 porte de Clignancourt (XVIIIe), au nord de Paris.

    Un passager d’un bus RATP, âgé de 50 ans et originaire du Val-de-Marne, a été mortellement et « gratuitement » poignardé par un cycliste qui tentait de monter dans le véhicule avec son vélo. Le drame a eu lieu ce mercredi à 6h20 à l’arrêt du 255, porte de Clignancourt (XVIIIe), au nord de Paris.

    Le bus est en attente de ses passagers, des machinistes de la RATP sont à proximité. Quand les pompiers arrivent, le passager, en arrêt cardio-respiratoire, gît dans une mare de sang. Le meurtrier présumé a pris la fuite, les témoins sont en état de choc. Le vélo est toujours dans le bus.

    Touché à la carotide

    Les circonstances du crime restaient, ce mercredi, nébuleuses, mais d’après les premiers témoignages, le cycliste aurait tenté de voyager dans le bus avec son vélo, ce qui est interdit.

    « Un passager s’en est offusqué », relate une source policière. Un autre témoin entend l’agresseur « demander à sa victime s’il parle arabe ». Ce dernier, qui ne semble pas le connaître, l’enjoint de « le laisser tranquille ». Le cycliste sort alors un couteau, le poignarde à la carotide et quitte le bus. La victime tente de le poursuivre, mais s’effondre sitôt sur la chaussée.

    La brigade criminelle de la PJ parisienne a été chargée de l’enquête. Elle dispose de photos extraites des caméras de vidéo surveillance. Le corps de la victime a été transporté à l’institut médico-légal. Le bus a, lui, été placé sous scellé.

     

    Bouclé toute la matinée, le trottoir de l’avenue de la porte de Clignancourt où le drame s’est déroulé a été rouvert aux piétons en début d’après-midi. Devant l’arrêt de bus, du sable recouvrait une énorme flaque de sang.

     

    LIRE AUSSI >Paris : il se fait arracher l’oreille dans un bus

     

    Le Parisien

  • Pays-Bas : une élue se suicide après avoir affirmé s'être fait violer par un "groupe de musulmans"

     

    Pays-Bas : une élue se suicide après avoir affirmé s'être fait violer par un "groupe de musulmans"© Capture d'écran Facebook @Willie Dille
    Willie Dille
     

    Membre du Parti pour la liberté, anti-immigration, Willie Dille s'est suicidée le 8 août. Dans une vidéo publiée quelques heures auparavant, elle expliquait avoir été violée par un groupe de musulmans dans le cadre d'une campagne d'intimidation.

    Willie Dille, une élue municipale de La Haye de 53 ans s'est suicidée le 8 août, quelques heures à peine après avoir publié sur Facebook une vidéo dans laquelle elle affirmait avoir été victime d'un viol collectif par des musulmans.

    Membre du Parti pour la liberté (PVV), qui défend des positions résolument anti-immigration, Willie Dille soutient dans sa vidéo que le drame se serait déroulé l'année dernière. Elle affirme avoir été kidnappée puis violée par un groupe de musulmans, qui auraient agi dans le cadre d'une campagne d'intimidation. 

    «Je veux juste que le monde sache la vérité. Le 15 mars 2017, j'ai été kidnappée, violée et agressée par un groupe de musulmans qui voulaient que je reste silencieuse au conseil municipal de La Haye», explique-t-elle, visiblement perturbée. «Après que cela est arrivé, je ne l'ai dit à personne, j'ai simplement été au débat le lendemain», poursuit-elle. Willie Dille ajoute avoir reçu récemment une menace de mort très explicite, si elle ne se résignait pas à se taire lors des débats municipaux : «Nous allons bientôt vous égorger et vous saigner à mort.»

    Des attaques qui auront fini par venir à bout de sa volonté, Willie Dille s'inquiétant notamment pour la sécurité de ses enfants. «Je ne peux pas vivre avec ça [...] C'est pourquoi j'ai décidé d'arrêter [la politique].»

    Multiples contacts avec la police

    Une porte-parole de la police a déclaré le 9 août que l'élue avait contacté les forces de l'ordre, mais n'avait jamais déposé plainte. «Nous avons eu de multiples contacts avec elle, y compris récemment», a ainsi confié Hilda Vijverberg au journal Algemeen Dagblad. «Il a été question de viol. Nous avons offert notre aide et lui avons dit que nous avions besoin d'une plainte officielle et de preuves concrètes pour lancer une enquête», a-t-elle expliqué, précisant que l'élue n'avait pas franchi le cap.

    Karen Gerbrands, la responsable locale du PVV a expliqué que le geste de Willie Dille avait été motivé par le fait qu'elle «ne pouvait plus supporter ce qui lui était arrivé et les réactions que cela avait provoqué». Dans un communiqué, le chef du PVV Geert Wilder s'est quant à lui dit «choqué» par la mort de l'élue, ajoutant qu'elle allait «énormément» manquer.

    Geert Wilders
     
    @geertwilderspvv

     

    Pays-Bas : une élue se suicide après avoir affirmé s'être fait violer par un "groupe de musulmans"© Capture d'écran Facebook @Willie Dille
    Willie Dille
     

    Membre du Parti pour la liberté, anti-immigration, Willie Dille s'est suicidée le 8 août. Dans une vidéo publiée quelques heures auparavant, elle expliquait avoir été violée par un groupe de musulmans dans le cadre d'une campagne d'intimidation.

    Willie Dille, une élue municipale de La Haye de 53 ans s'est suicidée le 8 août, quelques heures à peine après avoir publié sur Facebook une vidéo dans laquelle elle affirmait avoir été victime d'un viol collectif par des musulmans.

    Membre du Parti pour la liberté (PVV), qui défend des positions résolument anti-immigration, Willie Dille soutient dans sa vidéo que le drame se serait déroulé l'année dernière. Elle affirme avoir été kidnappée puis violée par un groupe de musulmans, qui auraient agi dans le cadre d'une campagne d'intimidation. 

    «Je veux juste que le monde sache la vérité. Le 15 mars 2017, j'ai été kidnappée, violée et agressée par un groupe de musulmans qui voulaient que je reste silencieuse au conseil municipal de La Haye», explique-t-elle, visiblement perturbée. «Après que cela est arrivé, je ne l'ai dit à personne, j'ai simplement été au débat le lendemain», poursuit-elle. Willie Dille ajoute avoir reçu récemment une menace de mort très explicite, si elle ne se résignait pas à se taire lors des débats municipaux : «Nous allons bientôt vous égorger et vous saigner à mort.»

    Des attaques qui auront fini par venir à bout de sa volonté, Willie Dille s'inquiétant notamment pour la sécurité de ses enfants. «Je ne peux pas vivre avec ça [...] C'est pourquoi j'ai décidé d'arrêter [la politique].»

    Multiples contacts avec la police

    Une porte-parole de la police a déclaré le 9 août que l'élue avait contacté les forces de l'ordre, mais n'avait jamais déposé plainte. «Nous avons eu de multiples contacts avec elle, y compris récemment», a ainsi confié Hilda Vijverberg au journal Algemeen Dagblad. «Il a été question de viol. Nous avons offert notre aide et lui avons dit que nous avions besoin d'une plainte officielle et de preuves concrètes pour lancer une enquête», a-t-elle expliqué, précisant que l'élue n'avait pas franchi le cap.

    Karen Gerbrands, la responsable locale du PVV a expliqué que le geste de Willie Dille avait été motivé par le fait qu'elle «ne pouvait plus supporter ce qui lui était arrivé et les réactions que cela avait provoqué». Dans un communiqué, le chef du PVV Geert Wilder s'est quant à lui dit «choqué» par la mort de l'élue, ajoutant qu'elle allait «énormément» manquer.

    Le Premier ministre Mark Rutte a également exprimé ses condoléances à sa famille dans un message sur Twitter. Willie Dille était mariée et mère de quatre enfants adoptés.

    Mark Rutte
     
    @MinPres
     
     

    Geschokt over het overlijden van Haagse PVV-raadslid Willie Dille. Mijn medeleven gaat uit naar de nabestaanden. Heb Geert Wilders en de PVV veel sterkte gewenst met dit zware verlies. Sta in nauw contact met burgemeester Pauline Krikke en J&V minister Ferdinand Grapperhaus.

     

    Lire aussi : «Les Pays-Bas ne sont pas musulmans» : Geert Wilders mène une marche à Rotterdam (VIDEO)L

    RT