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  • Une nouvelle étude le confirme, démentant la théorie du genre : la préférence des enfants pour les jouets attribués à leur sexe est en partie innée

     

    étude enfants sexe jouets théorie genre
     
    Une nouvelle étude démontre une fois encore combien la théorie du genre est de la fausse science dont le véritable but est uniquement de justifier une idéologie : les nationaux-socialistes avaient leur fausse biologie, les communistes avaient leur fausse sociologie, les libéraux-libertaires ont leur théorie du genre, qui combine fausse biologie et fausse sociologie. L’étude susvisée, dont les résultats ont été publiés dans le journal Infant and Child Development, a été réalisée par une équipe sous la direction de John Barry, du prestigieux University College de Londres (UCL). Les chercheurs ont utilisé des données collectées pendant 36 ans à partir des comportements de 1.600 enfants (783 garçons et 813 filles). Ce que cette étude démontre de manière scientifique, c’est ce que constatent tout naturellement la plupart des parents qui ont eu au moins un garçon et une fille : dès leur plus jeune âge, les enfants ont tendance à jouer plus volontiers avec les jouets correspondant à leur sexe, ce qui montre que cette propension est déjà présente de manière innée. L’idéologie du genre, qui a créé le concept de « genre » séparé du sexe biologique, est donc battue en brèche par cette étude. On naît fille ou garçon, on ne le devient pas. Il peut paraître totalement absurde d’avoir à le dire, mais dans un Occident en proie au relativisme, cette évidence n’en est plus une pour tout le monde. Comme dans le monde totalitaire inventé par George Orwell dans 1984, nous sommes désormais entourés d’esprits pour lesquels deux plus deux ne font plus forcément quatre. L’étude de grande ampleur de l’UCL, reprise dans le journal libéral-conservateur américain The New American, a donc le mérite de démontrer que deux et deux font bien quatre, quoi qu’en dise Big Brother.
     

    Boys will be boys : l’étude montre que dès leur plus jeune âge, les garçons préfèrent les jouets de garçons et les filles les jouets de filles

     
    Pour John Barry, « il existe une mode aujourd’hui qui consiste à dire que le sexe est une construction purement sociale. En réalité, le comportement sexué est un mélange de biologie et d’influence sociale, et je pense que notre méta-analyse soutient cette affirmation ». Dans la novlangue de l’idéologie néomarxiste du genre, il convient dans la phrase ci-dessus de remplacer les mots « sexe » et « sexué » respectivement par « genre » et « genré », puisque toute fausse science a besoin de nouveaux termes pour décrire une réalité qui n’existe pas. En effet, le mot anglais « gender » pour désigner le sexe d’une personne n’est traduit en français par « genre », comme lorsqu’il s’agit d’un genre grammatical, que depuis quelques années.
     

    La théorie du genre fait que l’on pousse de manière artificielle un nombre croissant d’enfants à s’identifier au sexe opposé

     
    Le problème avec cette idéologie du genre, c’est que de plus en plus d’enfants qui affichent des troubles de leur identité sexuelle dans leur jeune âge sont encouragés dans cette voie et ont même à subir des traitements aux hormones pour modifier leur apparence physique, alors que normalement ces problèmes se règlent seuls avec l’âge, notamment au moment de la puberté. C’est ce qui explique la récente explosion du nombre d’enfants souffrant de « dysphorie de genre », c’est-à-dire en novlangue néomarxiste de troubles de l’identité sexuelle, dans les pays où l’idéologie du genre a le plus d’emprise, comme au Royaume-Uni (augmentation des cas de 1.000 % en 5 ans).
     

    Olivier Bault

    REINFORMATION TV

  • Italie : un commissaire de police agressé au couteau à son domicile par un réfugié africain qui avait obtenu un permis de séjour pour « raison humanitaire » Par Koba le 31/08/2018

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  • Besson la main du roi

     

    "Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l'écoute"

     
     
     

    1. 7 septembre 2017 : Philippe Besson publie Un personnage de roman, roman vrai de l’accession au pouvoir d’Emmanuel Macron

    2. 3 août 2018 : le Conseil des ministres modifie le décret n° 85-779 du 24 juillet 1985 portant application de l’article 25 de la loi n° 84-16 du 11 janvier 1984 fixant les emplois supérieurs pour lesquels la nomination est laissée à la décision du Gouvernement — particulièrement celui de consul général, « désormais laissé à la décision du Gouvernement. »

     

    3. 29 août 2018 : Philippe Besson est nommé consul de France à Los Angeles.

    4. « Le duc de Parme eut à traiter avec M. de Vendôme: il lui envoya l’évêque de Parme qui se trouva bien surpris d’être reçu par M. de Vendôme sur sa chaise percée, et plus encore de le voir se lever au milieu de la conférence, et se torcher le cul devant lui. Il en fut si indigné, que, toutefois sans mot dire, il s’en retourna à Parme sans finir ce qui l’avait amené, et déclara à son maître qu’il n’y retournerait de sa vie après ce qui lui était arrivé. Alberoni était fils d’un jardinier, qui, se sentant de l’esprit, avait pris un petit collet, pour, sous une figure d’abbé, aborder où son sarrau de toile eût été sans accès. Il était bouffon: il plut à Monsieur de Parme comme un bas valet dont on s’amuse; en s’en amusant, il lui trouva de l’esprit, et qu’il pouvait n’être pas incapable d’affaires. Il ne crut pas que la chaise percée de M. de Vendôme demandât un autre envoyé: il le chargea d’aller continuer et finir ce que l’évêque de Parme avait laissé à achever. Alberoni, qui n’avait point de morgue à garder, et qui savait très bien quel était Vendôme, résolut de lui plaire à quelque prix que ce fût pour venir à bout de sa commission au gré de son maître, et de s’avancer par là auprès de lui. Il traita donc avec M. de Vendôme sur sa chaise percée, égaya son affaire par des plaisanteries qui firent d’autant mieux rire le général, qu’il l’avait préparé par force louanges et hommages. Vendôme en usa avec lui comme il avait fait avec l’évêque, il se torcha le cul devant lui. A cette vue Alberoni s’écrie: O culo di angelo !… et courut le baiser. Rien n’avança plus ses affaires que cette infâme bouffonnerie. » (Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon)

    CAUSEUR.fr

  • Aquarius : arrivée de 60 migrants en France, « le statut de réfugié leur sera rapidement délivré, au terme d’une procédure accélérée »

     

    18h40

    Cinquante-neuf réfugiés de l’Aquarius et d’un autre navire humanitaire qui avaient accosté à Malte mi-août sont arrivés jeudi en France, alors que les tensions restent vives en Europe sur l’accueil des migrants pour lesquels Paris défend un mécanisme de solidarité «pérenne».

    (…) Parmi eux se trouvent «16 Soudanais, 25 Erythréens, 10 Somaliens, ainsi que quelques Camerounais, Ivoiriens et Nigérians», a indiqué à l’AFP Didier Leschi, le directeur général de l’Ofii (Office français de l’immigration et de l’intégration).

    Ils devaient ensuite gagner des centres d’accueil «en Bourgogne, Franche-Comté et dans le Grand Est», où le statut de réfugié leur sera rapidement délivré, au terme d’une procédure «accélérée», a précisé M. Leschi venu les accueillir à l’aéroport.

     

  • «Gaulois réfractaires» : ce «trait d’humour» d’Emmanuel Macron qui exaspère les Français

     

    «Gaulois réfractaires» : ce «trait d’humour» d’Emmanuel Macron qui exaspère les Français © Antti Aimo-Koivisto /
    Emmanuel Macron lors de sa conférence de presse au palais présidentiel d'Helsinki le 30 août 2018.
     

    Le président français a une fois de plus choqué ses compatriotes, qualifiés depuis le Danemark de «Gaulois réfractaires au changement». Pendant que les politiques de tous bords grondent, le chef de l’Etat dit n'y voir qu'une plaisanterie.

    Emmanuel Macron s'est senti obligé de rectifier le tir après des propos controversés destinés au peuple français, qualifié de «Gaulois réfractaires au changement», et prononcés le 29 août lors d'une visite officielle au Danemark.

    Face au tollé qu'il a déclenché, tant chez les citoyens que chez ses adversaires politiques, il a dû prendre la parole le 30 août depuis Helsinki en Finlande lors d'une conférence de presse, pour réaffirmer son amour pour ses compatriotes, la culture française et se défendre de tout mépris.

    Je les aime, ces tribus gauloises

    «Il faut prendre un peu de distance avec la polémique et les réseaux sociaux», a lancé Emmanuel Macron. «J'aime la France et les Français, n'en déplaise, et je l'aime dans toutes ses composantes. Je les aime, ces tribus gauloises, j'aime ce que nous sommes», a-t-il ajouté, forçant encore le trait après des déclarations contradictoires ces derniers jours sur le renforcement de l'identité des peuples et «en même temps» leur appartenance au creuset unique de l'Europe.

    Il a ajouté : «Je suis toujours étonné de voir les gens qui pensent que c’est mépriser les Français de dire qu’ils ont été des tribus gauloises.» Il n'a pas hésité à s'identifier aux immobilistes : «Je l’ai toujours dit : nous sommes un pays, et moi le premier, qui n’aime pas les changements, les ajustements permanents. Mais on est un pays qui, dans les moments graves de l’Histoire, sait se transformer en profondeur parce que le pays est plus grand que lui-même. C’est l’histoire de notre pays.»

    Il n'est pas certain que cette explication suffise à désenfler la polémique qui grondait depuis la veille, tant le président français est habitué aux sorties de route et petites phrases perçues comme de l'arrogance. Le mandat du chef de l'Etat a jusqu'ici été marqué, notamment sur la forme, par des propos attestant d'une rupture avec les citoyens. La comparaison pour le moins audacieuse entre les Danois, «peuple luthérien» ouvert aux transformations, et les Français immobilistes et passéistes a été unanimement conspuée par la classe politique.

    Laurent Wauquiez, le président des Républicains, Alexis Corbières et Clémentine Autain, députés insoumis, Nicolas Dupont-Aignant, fondateur de Debout la France ou encore Florian Philippot, chef des Patriotes, se sont tous irrités, parfois avec à leur tour des «traits d'humour» comme chez Olivier Besancenot, le fondateur du Nouveau Parti anticapitaliste. Ils ont eu à cœur de rappeler d'autres saillies du président qui avait déjà traité au gré de ses déplacements certaines catégories de Français d'«alcooliques», d'«illettrés», de «fainéants» ou de «gens qui ne sont rien».

    Laurent Wauquiez considère que la sortie du président français est «inadmissible». 

    Laurent Wauquiez
     
    @laurentwauquiez
     
     

    : c'est inadmissible d'entendre le président de la République caricaturer et mépriser les Français depuis l'étranger. C'est le premier ambassadeur de notre pays. J'attends de lui qu'il porte notre fierté.

     

    Alexis Corbières parle quant à lui d'une «sottise confondante», reprochant le mépris d'Emmanuel Macron pour ses concitoyens.

    Alexis Corbière
     
    @alexiscorbiere
     
     

    Par ses propos d'une sottise confondante, au est non seulement trés méprisant contre son propre peuple, mais aussi très ignorant sur les Gaulois qui étaient de formidables inventeurs http://mediolanum-santonum.fr/les-inventions-gauloises.html 

     

    La députée insoumise Clémentine Autain y voit une «nouvelle saillie de mépris» et une essentialisation des Français. 

    Clémentine Autain
     
    @Clem_Autain
     
     

    Macron, nouvelle saillie de mépris/ peuple : les "Gaulois réfractaires aux réformes" ou comment essentialiser les Français et délégitimer ceux qui, majoritaires, contestent sa politique. Reformer, c'est améliorer. Ce n'est donc pas caviar pour les uns et rutabaga pour les autres.

     

    Le président de Debout la France a rappelé les précédentes sorties du président sur les «alcooliques», les «illettrés».

    N. Dupont-Aignan
     
    @dupontaignan
     
     

    Après les "alcooliques", les "illettrés", "ceux qui ne sont rien", les Français sont... des " réfractaires au changement" !

    Jusqu'où ira ce mépris indigne de la fonction présidentielle ? https://www.marianne.net/politique/gaulois-refractaire-au-changement-emmanuel-macron-humilie-les-francais-au-danemark?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#Echobox=1535556645 

    "Gaulois réfractaire au changement" : Emmanuel Macron humilie les Français au Danemark

    Devant la reine du Danemark, Macron a salué ce mercredi 29 août le peuple danois "qui n'est pas exactement le Gaulois réfractaire au changement". Une charge contre l'essence de l'esprit français...

    marianne.net
     

    Marine Le Pen, la présidente du Rassemblement national, a lancé : «Les "Gaulois" vont se faire un plaisir de répondre à son arrogance et à son mépris !»

    Marine Le Pen
     
    @MLP_officiel
     
     

    Au Danemark, fustige le « Gaulois réfractaire au changement » : comme d’habitude, il méprise les Français depuis l’étranger !

    Les « Gaulois » vont se faire un plaisir de répondre à son arrogance et à son mépris ! MLP https://www.marianne.net/politique/gaulois-refractaire-au-changement-emmanuel-macron-humilie-les-francais-au-danemark 

    "Gaulois réfractaire au changement" : Emmanuel Macron humilie les Français au Danemark

    Devant la reine du Danemark, Macron a salué ce mercredi 29 août le peuple danois "qui n'est pas exactement le Gaulois réfractaire au changement". Une charge contre l'essence de l'esprit français...

    marianne.net
     

    Florian Philippot a lui aussi rappelé le mépris du locataire de l'Elysée.

    Florian Philippot
     
    @f_philippot
     
     

    Nous n’avons jamais eu un président de la République aussi méprisant avec son propre peuple ! Ça en dit long sur l’amour qu’il porte à la France.

     

    Olivier Besancenot a décidé d'amorcer une réponse sur le ton de l'humour, reprenant une image d'Assurancetourix, le barde du village d'Astérix et Obélix.

    Olivier Besancenot@olbesancenot
     
     

    : « Le gaulois réfractaire au changement » ... et si on empêchait le Barde de chanter trop fort à la rentrée !<img class="Emoji Emoji--forText" title="Visage avec regard triomphant" draggable="false" src="https://abs.twimg.com/emoji/v2/72x72/1f624.png" alt="

  • Abracadabra, Macron fait disparaître les Danois!

     

    Et en même temps les fait réapparaître...

     
     
     

    La poudre de Perlimpinpin n’a jamais marché aussi bien. En l’espace de quelques heures, Emmanuel Macron a affirmé tout et en même temps son contraire. Au Danemark, le président a assuré que « le vrai Danois n’existait pas » avant de le faire réapparaître pour mieux critiquer le « Gaulois ».


    Nicolas Hulot ayant enfin compris qu’il n’était pas, en même temps, libéral et écologiste, Emmanuel Macron devait avoir à cœur de recycler son fameux slogan. Ainsi, lundi, devant la conférence des ambassadeurs, il expliquait : « Enfin, parce que, partout dans le monde, les identités profondes des peuples ont resurgi, avec leurs imaginaires historiques. C’est un fait. Ceux qui croyaient à l’avènement d’un peuple mondialisé, protégé des morsures de l’histoire, se sont profondément trompés. Partout dans le monde, la psyché profonde est revenue à chacun de nos peuples, et c’est vrai, de l’Inde à la Hongrie, en passant par la Grèce, jusqu’aux Etats-Unis. Regardez-y de plus près, elle est parfois détournée, parfois exacerbée, mais c’est un fait qui dit quelque chose du retour des peuples. C’est une bonne chose sans doute, en tout cas, je le crois. » Le lendemain au Danemark, devant des étudiants, il tenait un tout autre discours : « Le vrai Danois n’existe pas, il est déjà européen. Même votre langue n’est pas seulement le danois, elle est part de la langue européenne », avant d’ajouter : « C’est pareil pour les Français ».

    « En même temps », saison 2

    Ainsi donc, le président de la République peut – pas tout à fait en même temps mais en moins de 36h – affirmer que l’identité profonde existe puis qu’elle n’existe pas. Comme dirait la patronne Elisabeth, c’est une cuiller pour Causeur, et une cuiller pour Libé. Depuis que sa candidature pointait à la fin de l’été 2016, lorsqu’il quittait le gouvernement, nous avons été saturés du « en même temps » macronien. Et, alors qu’il a pu faire merveille au point de le porter au pouvoir puis de lui permettre un bon départ, ce slogan est en train de devenir une véritable faiblesse, risquant de mécontenter à la fois ceux qui croient en l’identité et la souveraineté nationales et ceux qui les croient dépassées. Et cela vaut sur d’autres sujets.

     

    Astérix le Gaulois et les peuples contingents

    Mais revenons au Royaume du Danemark puisque le président de la République n’a pas parlé que devant les étudiants. Il s’est aussi érigé en rempart contre le nouveau duo formé par Viktor Orban et Matteo Salvini, opposant les « progressistes » dont il lui sied d’être désigné comme le chef de file par le couple italo-hongrois, aux « nationalistes ». Et il a aussi cédé une nouvelle fois à la tentation de fustiger ses compatriotes depuis une terre étrangère, comparant les Danois, ce « peuple luthérien » tellement ouvert aux réformes qu’il aimerait imposer aux « Gaulois réfractaires au changement ».

    Il essentialisait ainsi deux peuples dont le sien, l’un forcément ouvert à la transformation car luthérien, et l’autre conservateur, forcément conservateur, car héritier de Vercingétorix. Comment saisir cette phrase au bout de trois jours de déclarations contradictoires ? Faut-il comprendre que le Danois sera toujours Danois car luthérien, et que le Français sera toujours Français, parce qu’il a trop lu Goscinny ? Il faut reconnaître que son explication devant les ambassadeurs avait davantage de gueule. Faut-il comprendre au contraire que, compte tenu qu’il n’y a pas de vrais Danois – même si plutôt luthérien – et pas de vrais Français – même si tous enfants d’Astérix -, autant imiter les réformes progressistes des premiers qui ont l’avantage d’aller dans le sens de l’Union européenne, mise en danger par les « nationalistes » ? Ou, plus sûrement, n’y a-t-il rien à comprendre, Emmanuel Macron procédant à un de ses fameux enfumages politiques dont il a le secret depuis qu’il est entré en politique ?

    Être ou ne pas être…

    Toujours est-il que le Royaume du Danemark n’était pas forcément le meilleur lieu pour illustrer le projet « progressiste » contre les méchants « nationalistes ». Car c’est bien ce pays qui, en 1992, fut en quelque sorte le « village gaulois » en rébellion, décidant souverainement par référendum la non-adoption du traité de Maastricht et donc le maintien de la Couronne comme monnaie nationale. C’est bien ce peuple qui, avant même l’Italie ou la Hongrie, envoya un groupe puissant au Parlement de ce qu’Emmanuel Macron nomme « nationalistes » ou « populistes ». C’est bien ce pays qui a mis en œuvre une politique d’assimilation et de baisse de l’immigration qui feraient hurler les députés LREM si c’était Laurent Wauquiez qui les proposait.

    Qui sait si, du côté de Milan, Salvini et Orban n’ont pas été surpris qu’Emmanuel Macron leur réponde aussi vertement depuis Copenhague, alors que, décidément, il y a sans doute plus « populiste » qu’eux au Royaume du Danemark.

    CAUSEUR.fr

     

    NdB: Tu sais ce qu'ils te disent, les Gaulois, dont tu te permets de te moquer en terre étrangère?