Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Agnès Saal, condamnée en 2016 pour détournement de fonds publics, nommée haut fonctionnaire « à l’égalité et la diversité ». (MàJ : F. Nyssen assume, « J’ai fait de cette cause une priorité »)

     

    11h34

    01/09/18

    Francoise Nyssen
     
    @FrancoiseNyssen
     
     

    J’ai nommé Mme Agnès SAAL Haute fonctionnaire à l'égalité et à la diversité. J'ai fait de cette cause une priorité dès mon arrivée au @ministereCC. La qualité de son engagement et de son travail au service de ces valeurs fondamentales devrait guider les commentaires d’aujourd’hui

     

     

    Merci à Dobsky


    30/08/18

    L’ex-patronne de l’Institut national de l’audiovisuel (Ina) Agnès Saal, qui avait été suspendue sans solde et condamnée à trois mois de prison avec sursis pour des frais de taxis indus, a été nommée haut fonctionnaire à l’égalité, la diversité et la prévention des discriminations auprès du secrétaire général du ministère de la Culture, selon un arrêté publié au Journal Officiel mercredi 29 août. Ce poste, qu’elle devrait occuper pendant trois ans, prendra effet à compter du samedi 1er septembre.

    Directrice générale du centre Pompidou de 2007 à 2014, puis présidente de l’Ina de mai 2014 à avril 2015, elle avait dû démissionner après les révélations sur ses frais de taxi faramineux (près de 24 000 euros à l’Ina et près de 24 000 euros au Centre Georges-Pompidou), qui lui ont valu 6 mois de suspension sans solde et une condamnation à trois mois de prison avec sursis pour détournement de fonds publics, ainsi qu’une double amende. Elle avait ensuite réintégré le ministère de la Culture à l’été 2016, en tant que chargée de mission auprès du secrétariat général, pour piloter les démarches de labellisation Afnor sur l’égalité professionnelle et la diversité.

    francetvinfo

     

    NdB: Agnès Saal est la fille d’un père commerçant en textile du Souk et d’une mère issue d'une famille de banquiers et de financiers originaires d'Italie, tous deux de familles juives installées en Tunisie depuis des générations précédant la colonisation française. Après la guerre des Six-Jours en 1967, ses parents, inquiets, préfèrent partir pour la France1. Elle est mère de trois enfants2

    WIKIPEDIA

     

  • Allemagne : un Afghan de 10 ans a violé un camarade de classe lors d’une sortie scolaire, un Irakien et un Afghan âgés de 11 ans ont tenu la victime durant le viol

     

    12h42

    Allemagne – Le drame s’est produit lors d’un voyage scolaire par une classe d’école primaire de Berlin.

    Avant le début des vacances d’été, une classe d’une école primaire de Berlin s’est rendue au château de Kröchlendorff. Là, 38 filles et garçons auraient dû apprendre l’esprit d’équipe, mais tout s’est passé de manière très différente.

    Au cours de la journée, un écolier de dix ans a été menacé par quelques camarades de classe. « On te baise aujourd’hui » ont-ils répété. Probablement par peur, le garçon se taisait et n’a rien dit aux professeurs. Dans la soirée, les enfants harceleurs ont mis leur menace à exécution.

    Deux enfants de onze ans ont tenu et immobilisé le garçon. Son camarade de classe âgé de dix ans l’a finalement violé. Deux autres élèves ont observé les abus sexuels, mais ne sont pas intervenus.

    Le violeur est un Afghan de 10 ans, il a été exclu de l’établissement. Les deux complices, un Afghan et un Irakien, sont âgés de 11 ans. La jeune victime va également fréquenter une autre école. On dit que le garçon ne veut pas retourner dans son ancienne classe.

    Ce n’est pas le premier cas de violence dans cette école.

    (…) Oe24.at

  • JT TVL 31 AOUT 2018

  • Le meurtre de Zakharchenko entraîne le conflit ukrainien «vers l'une des pires voies possibles»

     

    Le meurtre de Zakharchenko entraîne le conflit ukrainien «vers l'une des pires voies possibles»© Maxim Zmeyev Source: Reuters
    Alexandre Zakharchenko.
     

    Andréa Kotarac, conseiller régional de la France insoumise, a côtoyé Alexandre Zakharchenko. Il estime que cet acte sur un représentant de Donetsk «aimé par le peuple» tourne une page dans l'histoire de ce conflit et redoute une escalade.

    Alexandre Zakharchenko, dirigeant de la République populaire autoproclamée de Donetsk (RPD) dans l'est de l'Ukraine, a été tué par une explosion ce 31 août à Donetsk. Cet assassinat, dont la Russie tient l'Ukraine pour responsable, pourrait mener le conflit en Ukraine «vers l'une des voies qui est la pire», selon Andréa Kotarac, conseiller régional de la France insoumise en Auvergne-Rhône-Alpes, qui a côtoyé Alexandre Zakharchenko à Donetsk.

    «Je crois que quand on tue le représentant de la République populaire de Donetsk, d'une des parties au conflit, un seuil non négligeable est franchi», s'inquiète-t-il, rappelant qu'Alexandre Zakharchenko était l'un des signataires des accords de Minsk en 2015 et que ceux-ci n'étaient pas vraiment respectés, Paris ayant notamment envisagé de vendre des hélicoptères de combat à Kiev. 

    Andréa Kotarac, au nom de la France insoumise, rappelle que Jean-Luc Mélenchon tire la sonnette d'alarme depuis plusieurs années quant à la question ukrainienne. «La question de la paix sur le continent devrait être posée aux européennes», estime-t-il.