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  • Castres : faisons respecter les soldats de la France

     

     
     

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    SOS Racisme et le MRAP vont-ils se porter partie civile contre ces « jeunes » qui ont agressé les parachutistes de Castres en les traitant de « sales Français » ? Le silence persistant de ces associations d’un antiracisme unilatéral, mais néanmoins subventionné, montre éloquemment leur véritable nature.

    Pourtant, un soldat de ce régiment durement éprouvé en Afghanistan a perdu un œil. Il ne pourra plus exercer son métier. Ses camarades du 8e Régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa) sont consignés. Sont-ils punis ou ne sont-ils plus en sécurité dans leur propre garnison ? La vérité est que Castres n’est pas la seule ville de France où les militaires français sont désormais soumis à un couvre-feu, sous la pression de bandes de racailles qui imposent ainsi leur loi.

    Il appartient au gouvernement de faire respecter les soldats de la France, sur les théâtres extérieurs bien sûr, mais aussi sur le territoire national. Tous les voyous de Castres doivent être retrouvés et poursuivis sans faiblesse.

  • Béziers (34) – Robert Ménard décrit une ville occupée par « des pauvres, des Maghrébins, des gitans »

       

     

    Créateur de Reporters sans frontières, Robert Ménard raconte ses vacances à Béziers et Puisserguier.

    Le journaliste polémiste Robert Ménard, dont les intentions de briguer la mairie de Béziers en 2014 avaient filtré après les législatives, a effectué sa rentrée politique par le biais de son blog. Un retour fracassant. Hier matin, il a mis en ligne un billet intitulé Se sentir chez soi, dans lequel le créateur de Reporters sans frontières raconte ses vacances dans son village de Puisserguier et à Béziers.

    Mais on est loin de l’idyllique carte postale envoyée du bord de mer à la tante Simone restée à la capitale. Robert Ménard, en plus de regretter la disparition de l’esprit de clocher jadis cher aux villages – « cela ressemble davantage à une banlieue », dit-il -, ose un descriptif rarement assumé de Béziers.

    Car, en plus d’un constat partagé peu ou prou par certains – il parle d’un centre-ville en perdition -, le journaliste évoque à longueur de texte les populations immigrées qui vivent en cœur de ville. Laissant entendre qu’ils sont l’une des causes de cette situation qu’il dénonce.

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    Le maire UMP de Béziers, l’ex pied-rouge Raymond Couderc, répond à Ménard : « Je préfère le vivre ensemble à la stigmatisation de communautés »

    [...]

    Du côté du FN : « Il est dans le vrai. C’est la triste réalité de Béziers »

    Au Front National, on se félicite de ces propos, le secrétaire départemental, Guillaume Vouzellaud, ne cache pas sa proximité avec Robert Ménard.

    « Il est dans le vrai. C’est la triste réalité de Béziers. Il faudrait être aveugle pour ne pas la voir. Je suis certain que les citoyens biterrois partagent également cette vision. Et quant aux causes de cette situation : « c’est le résultat de trente ans de politique « UMPS ».

    Entre constat partagé et analyses politiques divergentes, la campagne pour les municipales 2014 semble presque lancée…

    Source

  • Les députés Bleu Marine déposent des amendements sur le projet de loi Emplois d’avenir

    Posté par le 10 septembre 2012

     

    Communiqué de Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard, députés à l’Assemblée Nationale

    Les députés Marion Maréchal-Le Pen et Gilbert Collard ont déposé plusieurs amendements sur le Projet de loi Emplois d’avenir présenté par le Gouvernement, qui sera examiné cette semaine à l’Assemblée nationale, et dont l’objet est de créer des emplois accessibles en priorité aux jeunes des quartiers issus de zones urbaines dites sensibles (ZUS).

    Ils proposent que ces postes soient réservés en priorité aux jeunes de nationalité française, et subsidiairement de nationalité européenne ; ils estiment par ailleurs nécessaire que les zones rurales en difficulté soient prioritaires au même titre que les zones urbaines.

    S’agissant des emplois d’avenir professeur, ils proposent qu’ils soient réservés aux candidats ne s’étant pas rendus coupables d’infractions à la législation sur les stupéfiants.

    Partant de l’échec de l’Education nationale dans de nombreuses zones sensibles, le texte du Gouvernement a ouvertement pour objet, en recrutant comme futurs enseignants des jeunes ayant habité ou étudié dans ces mêmes zones, de créer un corps enseignant sociologiquement à l’image de ses élèves, seule manière visiblement de se faire respecter dans certains quartiers.

    Après les emplois jeunes du Gouvernement Jospin et les emplois tremplins dans les régions socialistes, qui ont largement manqué leurs objectifs en termes de pérennité et de public aidé, ces emplois d’avenir et leur cout d’1,5 milliards d’euros annuels sont en réalité une politique de la ville qui ne dit pas son nom et dont on connait les échecs récurrents comme la facture croissante.

  • NON au "mariage" homosexuel

     

     

    Source : nonaumariagehomosexuel.com

     

     

    François Hollande et son gouvernement ont l’intention d’exaucer les attentes les plus folles du lobby homosexuel. Ces exigences du lobby homosexuel nient la réalité anthropologique. Elles contreviennent à la fois aux lois de Dieu, aux lois naturelles et au simple bon sens le plus élémentaire. Si elles venaient à être approuvées par le législateur, elles défigureraient la nature de la Famille, socle de base de la société, et conduiraient à un bouleversement qui affecterait toutes les familles de France.

    Une loi doit servir le bien commun. Le mariage n’est pas une reconnaissance sociale de l’amour mais un engagement du couple à constituer une famille et, de manière biologique et anthropologique, à assurer la pérennité de la société et du pays.

    NON à l’adoption d’enfants par des duos homosexuels

    • Le "droit à l’enfant" réclamé par le lobby homosexuel ne correspond à rien sur le plan juridique et s’oppose au bien de l’enfant.
    • L’homoparentalité se ferait au détriment des enfants adoptables et des foyers souhaitant adopter ces enfants.

    Il est fréquent d’entendre que "même si l’homoparentalité n’est pas une situation idéale, ce serait toujours mieux que de laisser un enfant dans un orphelinat " C’est faux ! Car il y a plus de couples hétérosexuels demandeurs d’adopter un enfant que d’enfants adoptables et qu’autoriser l’adoption d’enfants par les duos homosexuels ne ferait que compliquer l’adoption d’orphelins.

    Quand on parle d’adoption, il faut en effet savoir :

    • qu’un taux important des enfants français placés en institution n’est pas adoptable ;
    • qu’un nombre important de pays (la Russie par exemple) proposant des enfants à l’adoption internationale refuse d’accorder le transfert de l’enfant vers un pays ayant légalisé l’adoption par des duos homosexuels.
    • L’homoparentalité est dangereuse pour la situation psychologique de l’enfant qui a besoin d’un double référent paternel/maternel. Une étude récente réalisée à l’Université du Texas par le Prof. Regnerus constate chez les enfants et adolescents élevés par des homosexuels un pourcentage bien plus élevé que la moyenne de cas de dépression, boulimie, anorexie, tentatives de suicide, consommation de drogue et abus sexuels.
    • L’homoparentalité est dangereuse pour l’intégration sociale de l’enfant.
    • L’homoparentalité risque de déterminer les enfants concernés vers l’homosexualité.
    • L’homoparentalité est la négation du réel.

    Bientôt des enfants avec quatre "papas" mais pas de maman (ou l’inverse) ?

    Si les revendications du lobby homosexuel devaient être suivies, les notions de paternité et de maternité seraient remplacées par une notion tronquée de parenté fondée sur l’investissement affectif et le rôle d’éducateur et pouvant concerner un nombre de "parents" quasi illimité au gré des "recompositions familiales"(selon une étude des Pays-Bas, la durée moyenne d’un "mariage" homosexuel est d’un an et demi).

    Pour toutes ces raisons, mobilisons-nous contre ce projet qui aura des répercussions graves pour les générations futures. Rien n’est joué. Tout dépend de notre détermination.

    Signez la pétition en ligne

     

    Egalité & Réconciliation

  • Le Journal de la Syrie 9 septembre 2012

  • Les "Rebelles" syriens vont cibler les avions civils, avec l'aide de la France !!!

     

    samedi, 08 septembre 2012

            Les "Rebelles" syriens vont cibler les avions civils, avec l'aide de la France !!!

     
    IRIB- Les «Rebelles syriens» déclarent que les aéronefs civils sont des cibles légitimes.

    La France livre des armes anti-aériennes aux factions rebelles. Intéressée d’augmenter son influence, dans la région, la France est accusée d’envisager de livrer aux factieux rebelles du Nord de la Syrie de l’artillerie, ainsi que des armes anti-aériennes. Ce qui confirme ses plans de fournir des armes à différentes factions rebelles et pas seulement à l’«Armée syrienne Libre». (FSA). Le moment choisi, pour livrer des armes anti-aériennes aux FSA ne peut être pire. L' «Armée Syrienne Libre» a annoncé qu’elle considérait maintenant les avions civils comme des «cibles militaires légitimes» et a déclaré qu’elle attaquerait n’importe quel aéronef naviguant dans l’espace aérien, ce week-end. Différentes compagnies aériennes ont annoncé qu’elles se retiraient de l’Aéroport de Damas. Mais 14 autres se maintiennent. L’«Armée Syrienne Libre» a déclaré que si elle abattait un avion civil, ce serait le régime «et ses alliés Russes» qui serait à blâmer, pour les résultats mortels. De nombreuses nations du Golfe, qui ont armé les rebelles, ont résisté, ouvertement, à livrer des armes anti-aériennes à ces groupes, craignant que cette sorte de drame ne puisse se produire. Le gouvernement français a, jusqu’ici, refusé tout commentaire, mais ceci force, inévitablement, à "recalculer" ses intention cachées, en livrant de telles armes.

  • Archéologie - Le premier vin de l'Humanité

     

    Publié le 29/08/2012 par inrap .fr
    Photo satellite des Monts Zagros (Iran)
    Photo : NASA

    Photo satellite des Monts Zagros (Iran)

     
      Les archéologues s’accordent à établir que la "culture du vin" a débuté dans la période comprise en -8000 et -4000, c’est-à-dire au Néolithique, dans les montagnes du Proche-Orient, quelque part entre le Taurus, en Turquie orientale actuelle, le Caucase méridional et les monts Zagros, au nord-ouest de l’Iran. C’est dans cette région que l’on rencontre la plus grande diversité génétique de la vigne, là aussi que, fort probablement, se produisit le passage de la vigne sauvage à la vigne cultivée. Des pépins de raisins ont été retrouvés sur de nombreux sites archéologiques, à la fois dans une forme sauvage et dans une forme caractéristique de l’espèce domestiquée.

    Ces vestiges comprennent parfois même des ceps ou des grains desséchés : c’est le cas à Shulaveris-Gora, en Géorgie, et à Çayönü, dans le sud-est de la Turquie, où ils ont été datés des environs de -6000. Les fouilles récemment réalisées sur les rives du Tigre et de l’Euphrate (sites de Nevali Çori, Körtik et Hallan Çemi) ont mis au jour des céramiques et des vaisselles caractéristiques : utilisées pour la consommation et l’offrande de boissons fermentées, ou dédiées au service du vin, elles témoignent aussi, aux côtés de la viticulture, de l’émergence de pratiques culturelles liées au vin.

    Pour en savoir plus, consultez le dossier "Archéologie du vin : de la préhistoire aux Temps modernes" réalisé par l'Inrap



    En savoir plus : http://avis-vin.lefigaro.fr/connaitre-deguster/o32133-archeologie-le-premier-vin-de-lhumanite#ixzz261169up4

  • A Castres, des militaires du 8e RPIMa traités de « sales Français » !

     

     
     

    De violentes bagarres ont opposé des militaires et des « jeunes », dans la nuit de vendredi à samedi, en marge d’une fête locale à Castres (Tarn). Bilan : un blessé grave – un soldat qui risque de perdre l’usage d’un œil – et deux interpellations.

    C’est une véritable bataille rangée qui s’est déroulée vers 1h30 du matin samedi sous les yeux de noctambules incrédules dans les rues de la sous-préfecture du Tarn. Une trentaine de soldats du 8e Régiment de parachutistes d’infanterie de marine (RPIMa) et autant de « jeunes » se sont battus avec une rare violence.

    Selon quelques témoignages, les militaires du 8e RPIMa, qui profitaient d’un quartier libre dans un bar du centre-ville, auraient été provoqués et traités de « sales Français » et de « sales militaires ». Selon le colonel Eric Chasboeuf, chef de corps du 8e RPIMa, les parachutistes, au nombre d’une dizaine à cet instant, avaient eu le « tort » de défendre une jeune fille qu’importunaient des « jeunes » dans le bar.

    Tandis que les participants à la fête se réfugiaient où ils pouvaient, les forces de l’ordre sont intervenues et ont tiré des balles en caoutchouc et utilisé les gaz lacrymogènes pour séparer les opposants. Elles n’ont pu empêcher des rixes sporadiques à tous les coins de rue. « On a vu des groupes de gens courir les uns après les autres, certains avaient des barres de fer à la main », raconte un témoin sur le site de ladepeche.fr.

    Un militaire de 21 ans a été grièvement blessé à un œil par un tesson de bouteille. Il a été transféré dans un hôpital de Toulouse où il a été opéré. Il risquerait de perdre l’usage de son œil. Les policiers ont interpellé sur place deux « jeunes » âgés d’une vingtaine d’années. L’un serait l’auteur de coups de poings sur la victime et le second est suspecté d’être l’auteur du coup de tesson de bouteille. Ils ont été placés en garde à vue.

    Quand on se fait traiter de « sales Français » dans son propre pays, c’est qu’on n’est déjà plus en France. Qu’en pense notre président « normal » ? Sûrement pas grand-chose. Il est vrai qu’il a d’autres chats à fouetter, comme par exemple, remettre la Légion d’honneur à l’ex-Beatle Paul Mac Cartney…

    Source