Yasmine remporte le prix de la « Jeune Européenne de l’année 2019 » décerné par le Parlement européen
23h33
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Twitter réagit à la déclaration du député Taché (LREM) :

Les faits se sont produits lundi à la Gare du Nord à Paris. Un homme a violemment agressé l’agent de sécurité du réseau qui venait de l’interpeller.
La sordide affaire remonte à quelques jours. Lundi, à la Gare du Nord (Paris, Xe), un agent du Groupe de protection et de sécurisation des réseaux (GPSR) a été violemment agressé. Dans des circonstances encore à déterminer, l’un des membres d’une équipe de quatre agents du GPSR, était en train d’amener un individu qu’il venait d’appréhender au commissariat. Mais ce dernier n’était visiblement pas disposé à se laisser faire. Il a mordu le pouce gauche de l’agent de sécurité si fort que ce dernier en a perdu la première phalange, son gant en cuir.
Selon les déclarations de la victime, le jeune homme interpellé aurait craché sur l’agent, qui a tenté de se protéger avec sa main. Ce jeune homme, âgé de 17 ans, et domicilié dans un foyer à Asnières (Hauts-de-Seine), faisait déjà l’objet d’un contrôle judiciaire pour une autre affaire.

*On recherche des donneurs originaires d’Afrique et du Proche-Orient
*De nombreux migrants ne supportent pas le sang européen
*Des recherches sont en cours sur les particularités du sang dans les différentes ethnies
Elizabeth Y. de Mettmann [Rhénanie-du-Nord-Westphalie] appelle publiquement à l’aide. Son fils a une maladie du sang qui met sa vie en danger. Seul un don de cellules souches peut l’aider. Mais le sang européen provoque souvent chez les migrants et réfugiés d’Afrique ou des pays arabes une réaction de rejet avec de graves conséquences pour la santé pouvant aller jusqu’à la mort.
Le docteur Thomas Zeiler […] a lancé pour cette raison un projet de recherches de concert avec les hôpitaux universitaires de Düsseldorf et de Essen, ainsi qu’avec l’association Caritas. Il porte le nom de « Blustar.NRW » [NRW : initiales allemandes de Rhénanie-du-Nord-Westphalie]. Sont recherchés des donneurs de sang et de cellules souches venant des pays africains, mais aussi du Proche et du Moyen-Orient, ainsi que de Turquie.
C’est justement avec des patients qui ont immigré ces dernières années qu’on rencontre des difficultés au niveau des soins. Dans le même temps, grâce à ce projet subventionné par l’Union européenne, les recherches doivent être poursuivies sur les propriétés différentes du sang et des cellules souches dans les différentes ethnies.
[…]
(Traduction Fdesouche)
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Ils auront passé une semaine tout pile en prison. Alexandre Benalla et Vincent Crase ont été remis en liberté et placés sous contrôle judiciaire ce mardi après-midi, a appris 20 Minutes de source proche du dossier. L’ancien chargé de mission d’Emmanuel Macron et son acolyte, mis en examen pour les événements de la place de la Contrescarpe, avaient été placés en détention provisoire le 19 février. Leur contrôle judiciaire avait été révoqué après la révélation, par Médiapart, d’enregistrements laissant entendre qu’ils s'étaient rencontrés alors qu'ils n'en avaient pas le droit.
Après avoir échoué à les remettre en liberté une première fois vendredi, les avocats des deux hommes avaient indiqué leur intention de saisir la chambre de l’instruction de la cour d’appel de Paris. C’est donc celle-ci qui, à l’issue d’une audience qui a débuté à 9h, a finalement décidé de revenir sur la décision rendue il y a une semaine en remettant les deux hommes en liberté et en ordonnant, à nouveau, leur placement sous contrôle judiciaire. « Les mesures du [précédent] contrôle judiciaire reprennent leurs effets », a indiqué le parquet général de Paris dans un communiqué.
Mis en examen pour les violences commises en marge des manifestations du 1er mai 2018 à Paris, Alexandre Benalla et Vincent Crase ont entraîné l’exécutif dans une crise sans précédent depuis le début du quinquennat d'Emmanuel Macron. Jeudi dernier, la commission des Lois du Sénat a d'ailleurs éreinté l'Elysée pour sa gestion de l'affaire,mettant en avant de nombreux « dysfonctionnements ». Outre cette affaire de violences, l’ancien chargé de mission du président de la République est mis en cause pour avoir conservé ses passeports diplomatiques et de service, avoir obtenu un port d’arme de façon indue et il est soupçonné d'avoir conclu un contrat avec un oligarque russe sulfureux.
Placés sous contrôle judiciaire, Alexandre Benalla et Vincent Crase devaient, depuis cela, respecter plusieurs obligations, à commencer par le fait de ne pas se voir et ne pas se parler. Mais le 31 janvier, Médiapart a publié des enregistrements clandestins d’une conversation entre les deux hommes, datés du 26 juillet, prouvant donc qu’ils n’avaient pas respecté leurs obligations.
C’est après leur révélation qu’ils avaient été envoyés en prison – à la Santé pour Alexandre Benalla, à Bois-d’Arcy (Yvelines) pour Vincent Crase. Mais contestant la légalité des enregistrements, leurs avocats ont déposé plainte pour « atteinte à la vie privée ». De son côté, le parquet de Paris a décidé d'ouvrir une enquête afin d'identifier dans quelles conditions ces mystérieux enregistrements ont pu être effectués.