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Blog - Page 273

  • L'IVG n'est pas un acte anodin

    Posté le 28 septembre 2016 à 22h25 | Lien permanent

     

    Une enquête de Charlotte d'Ornellas (avril 2016) auprès de jeunes femmes qui ont très mal vécu leur avortement :

    "Le ministère de la Santé, sous l'égide de Marisol Touraine, avait lancé, quarante ans après la loi Veil, en septembre 2015, une campagne pour le droit à l'avortement : "L'IVG, c'est mon droit." Six mois après, Charlotte d'Ornellas a enquêté auprès de jeunes femmes qui ont connu cette douloureuse épreuve et que les services du ministère avaient, pour certaines, contactées en vue de témoigner. Mais, finalement, le ministère s'était ravisé : ces jeunes femmes n'étaient pas dans la (gauche) ligne du ministère. Un reportage et des témoignages bouleversants."

    Le Salon Beige

     

  • Désinformation : Ouest France avoue filtrer l'information

    Posté le 28 septembre 2016 à 22h42 | Lien permanent

     

    Dans un article de ce jour sur la "fachosphère", le journaliste Thierry Richard se laisse aller (involontairement ?) à une confidence en évoquant "le filtre des médias traditionnels"... :

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    Michel Janva

  • Mort de Shimon Pérès, l’homme de "paix" qui aura apporté la Bombe (française) à Israël

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Mort-de-Shimon-Peres-l-homme-de-paix-qui-aura-apporte-la-Bombe-francaise-a-Israel-41685.html

    A lire absolument

  • Gilbert Collard invité des 4 Vérités

    A écouter!

  • Calais : la république des camps

    26 septembre 2016

     

    Michel Lhomme, philosophe, politologue ♦

    L’exode de populations fuyant des persécutions, une dictature ou la guerre ne date pas de la « Jungle de Calais » ou de l’afflux massif de Syriens en Europe ces derniers mois. Au printemps 45, ce sont des millions d’Allemands dont des milliers d’ados qui durent fuir la progression des alliés dans l’Allemagne en ruines et qui en moururent.

    C’est Fridtjof Nansen, un norvégien qui permit à des millions d’Européens d’obtenir le statut de réfugiés après la Première Guerre Mondiale avec le passeport pour les apatrides, le fameux passeport Nansen. De nos jours, 17 millions d’humains sont confinés dans des camps de réfugiés soit l’équivalent de la population des Pays-Bas. Le Haut-commissariat pour les Réfugiés est devenue une véritable pieuvre administrative qui surfe en permanence entre le sécuritaire et l’humanitaire pour gérer des zones grises sous le faux air du caritatif. Le camp le plus grand au monde que le Haut-commissariat gère actuellement est celui de Dadaab au Kenya. Cet été, Malala Yousafdai, la plus jeune lauréate du prix Nobel de la paix, a rendu visite aux élèves somaliennes du camp. Ce camp est ouvert depuis vingt-cinq ans et il s’y entasse actuellement jusqu’à 350 000 personnes, 350 000 damnés. Dadaab est en effet une véritable prison à ciel ouvert. A Idomeni, à la frontière entre la Grèce et la Macédoine, ou à Azraq en Jordanie, le contexte est différent mais l’enfermement, le sentiment d’impuissance sont identiques.

    Á Calais, on emménage, on aménage la République des camps

    Dans la « Jungle de Calais », malgré l’évacuation  de la partie sud du camp en février dernier, les installations reprennent et des écoles associatives s’installent . Preuve que les autorités ont bien décidé de la logique des camps, cet été, des jeunes en service civique y ont officiellement été affectés pour effectuer le remplacement des faux « bénévoles » partis en vacances sans doute à Ibiza ! Par ailleurs, l’Education nationale vient d’affecter deux enseignants au centre Jules Ferry dans le Chemin des Dunes pour répondre aux besoins de près de 600 enfants, d’une moyenne d’âge de 14 ans vivant dans le bidonville car il s’agit bel et bien d’un bidonville toléré, organisé, soutenu par le gouvernement français. Les enseignants sont contraints de s’adapter au turn over important parmi les enfants du camp et doivent travailler à partir de 10h30 (on se demande d’ailleurs bien pourquoi si tard ? ) et pendant les vacances. Une soixantaine de réfugiés de Calais ont aussi été réorientés vers l’Amicale laïque de Cancale qui les héberge en lien avec la Préfecture. Ils ont été dotés pour la rentrée de fournitures scolaires gratuites, notamment de livres d’apprentissage du français.

    Pourtant ce week-end, à Tours, on note une inversion de tendance : François Hollande a surpris son monde en exhortant à détruire la jungle de Calais. La déclaration a été faite sur fond de déploiement du programme national pour la création de centres d’accueil pour les migrants illégaux.  « Notre volonté, c’est de démanteler le camp de Calais entièrement » pour en fait lancer dans tout le pays une politique de construction de centres d’accueil et d’orientation des clandestins. La solution de François Hollande consiste donc à reloger les habitants de la Jungle vers d’autres centres français de logements temporaires dans les semaines qui suivent. Elle consiste donc à étendre partout jusqu’en Île de France la logique des camps, à foncer tête baissée dans le grand remplacement programmé de la population européenne.
    Le président de la République s’est donc rendu à  Calais. Entre 6.900 et 10.000 migrants, selon les sources, vivent près de l’Eurotunnel dans cette Jungle qui constitue le plus grand bidonville de France, dont le ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve avait aussi promis début septembre le démantèlement « le plus rapidement possible ». Des bus de nuit seront sans doute affrétés bientôt par les préfectures et débarqueront comme à Elbeuf dans les immeubles du Puchot les populations réfugiées de Syrie, curieusement toutes noires de peau, avec la complicité des élus socialistes locaux, députés et sénateurs compris. Venus d’Erythrée, du Soudan, de Somalie, de Syrie ou d’Afghanistan, les migrants aspirent à quitter la France pour la Grande-Bretagne. Ce ne sont plus des illégaux, ce ne sont plus des clandestins, ce sont des réfugiés de guerre, en fait les nouvelles masses laborieuses « européennes » qui garantiront demain  les grands profits par des salaires de plus en plus misérables et sans droits sociaux.

    C’est le capitalisme qui se renouvelle par l’Eurafrica des pauvres sur le dos de toute la classe moyenne européenne appelée à s’expatrier ou à se saigner pour payer ses impôts et mourir de faim dans des maisons de retraite onéreuses.

    METAMAG

    (merci à Dirk)

  • Une petite bonne nouvelle dans un océan de mauvaises

    mardi 27 septembre 2016

    La mairie de Marseille va résilier le bail du terrain sur lequel devait être construite la fameuse grande mosquée, « la plus grande mosquée de France » (salle de prière de 3.500 m2, minaret de 25 mètres diffusant un jet de lumière. Le bail emphytéotique avait été conclu en 2007, pour une durée de 50 ans, avec un loyer de 24.000 € par an. La première pierre avait été posée en 2010. Puis plus rien, parce que l’association « La mosquée de Marseille », en crise permanente, n’a pas les moyens de seulement… enlever le bâtiment existant sur la parcelle. La mosquée aurait dû être livrée ce mois-ci, donc le permis de construire est caduc, et il se dit que l’association ne payait pas le loyer…

    Quand Jean-Claude Gaudin s’engageait au point de remettre la clef de la Grande Mosquée, lors de la conclusion du bail emphytéotique, au président de l’association (Nordine Cheikh, négociant en viande halal) en présence de Dalil Boubakeur:

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    Réception à la mairie lors de l’obtention du permis de construire, en novembre 2009:

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    Et il y eut l’enthousiaste pose de la première pierre…

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    Le Blog d'Yves Daoudal
  • Aux migrants, la France s’abandonne

       

     

    immigration

    Jamais un gouvernement n’avait déployé autant d’ardeurs et d’imaginations pour se soumettre aux injonctions de la Commission européenne pour prendre sa part de migrants : 30 000 sur deux ans ! Auxquels s’ajoutent les 12 000 réfugiés de Calais à répartir dans toutes les régions de France. Pour l’instant, deux régions ne seraient pas concernées : l’Île-de-France et la Corse. Pourtant, d’après des informations révélées par le journal « Valeurs Actuelles », le gouvernement aurait demandé une étude pour installer des campements à Cergy-Pontoise et à Vernouillet… en prévision, et selon les réactions qui pourraient se manifester en province. Autrement dit, s’il n’y a pas trop d’hostilités, on pourra étendre l’accueil, même en Île-de-France. En Corse, c’est moins sûr ! En attendant, les préfets de régions doivent dénicher, sur tout le territoire, dans les coins les plus reculés, des locaux disponibles susceptibles d’être transformés en centres d’hébergement.

    Pour faire bonne figure, grâce à la complaisance de son maire, Anne Hidalgo, Paris ouvrira un camp humanitaire dans un ancien entrepôt de la SNCF. Sa réfection coûtera 5,2 millions d’euros à la ville et l’État apportera sa participation : 1,33 million d’euros. Un architecte a été recruté pour s’occuper de l’agencement de « vrais lieux de vie, en quartiers de différentes couleurs avec espaces de restauration et équipés de Wi-Fi »… Dans un premier temps ce lieu accueillera quatre cents personnes, mais sa capacité d’accueil est prévue pour six cents places. Le coût du fonctionnement du pôle « accueil de jour » : 1,2 millions d’euros par an, à la charge de la Mairie de Paris, coût du fonctionnement du pôle « hébergement », 8,6 millions d’euros par an, à la charge de l’État, donc des contribuables, soit 40 euros par personne et par jour. Un autre espace, pouvant accueillir trois cents personnes, est prévu à Ivry-sur-Seine, plus spécialement pour les familles et « les publics vulnérables »… Un bus, gratuit, fera la navette entre les deux campements pour que tous les membres d’une même parenté puissent garder des contacts.

    Tout ceci est beau et généreux, sauf que nos gouvernants successifs n’ont jamais prodigué autant d’intérêt et de charité envers nos pauvres et nos SDF. Pourquoi cette débauche de dépenses pour des personnes qui n’ont pas, a priori, la vocation à rester en France et pourquoi cette imprudence à laisser s’établir dans le pays, outre des possibles infiltrés de Daesh, des populations n’ayant pas d’aptitudes particulières à s’intégrer ? Dans le contexte actuel, cela ressemble fort à de la provocation, renforcée par le fait que de nombreuses associations participent déjà à l’installation pérenne de clandestins sur le territoire et qu’elles soutiennent depuis toujours, dans nos quartiers, le remplacement des populations. Et une nouvelle association « aider les réfugiés », viendra prêter main forte au gouvernement : elle peaufinera la répartition des migrants, en formant une chaîne de solidarité partout en France, pour permettre à des particuliers, individuellement, de s’investir dans « l’humanitaire »…

    Face à cette volonté d’imposer aux Français une immigration de peuplement, la résistance commence à s’organiser. Steeve Briois, maire FN, d’Hénin-Beaumont, vient de créer une association « ma commune sans migrants », dont la charte énonce tous les moyens légaux permettant aux maires de s’opposer à l’accueil des migrants. Laurent Wauquiez, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, a lancé une pétition contre la délocalisation de la jungle de Calais et appelle les maires à s’opposer  » à multiplier des Calais partout en France ». François Baroin, actuel président de l’Association des maires de France, a simplement demandé que la répartition des migrants se fasse en concertation avec les élus et avec leur accord. De la part des deux derniers, la révolte est plutôt cocasse : ils ont été des militants de l’ancienne UMP, qui est, en grande partie, responsable de l’immigration massive que subit notre pays depuis des décennies.

    Pour contrer ce projet fou du gouvernement, qui cassera le particularisme de nos régions, il faut une réaction citoyenne de grande ampleur et une plus grande prise de conscience du danger que représente la répartition migratoire dans toute la France, car l’identité française, déjà très diluée dans un multiculturalisme exubérant, risque de s’effacer définitivement.

    NDF

  • Patrick Buisson sur Nicolas Sarkozy : secrets d’un livre explosif

    "Si j’ai tout enregistré, c’est donc que ce que je dis est vrai"

    En 2007, Nicolas Sarkozy avait beaucoup misé sur Patrick Buisson pour accéder à l’Elysée. Le conseiller, aujourd’hui répudié, après être longtemps resté silencieux, publie, en pleine campagne de la primaire de la droite, un livre volumineux pour raconter et réfléchir. Un titre provocateur : La Cause du peuple. En réalité, une bombe.

     

    Son nom est synonyme de scandale. De scandales, plutôt. Patrick Buisson sent le soufre. Son passé de ­directeur de Minute, il y a trente ans. ­L’affaire des sondages de l’Élysée, pour laquelle il est mis en examen, de même que plusieurs anciens collaborateurs de Nicolas Sarkozy, et dont les derniers rebondissements montrent qu’elle est loin d’être terminée. Et puis l’esclandre lorsque Le Point révèle, en février 2014, qu’il a enregistré le ­président à son insu quand il travaillait à l’Élysée. La défense de Buisson bafouille, la condamnation par le tribunal de grande instance de Paris ne tarde pas : il doit verser 20 000 euros à ­Nicolas Sarkozy et à Carla Bruni pour atteinte à la vie privée et aussi parce qu’il a agi sans le « consentement » de l’ex-chef de l’État, « ce qui constitue un trouble manifestement ­illicite ». L’ancien conseiller ne manquera pas de remarquer que seule l’épouse encaissera son chèque, pas l’époux.

    En septembre 2014 tombe une sentence ô combien plus sensible à ses yeux et à ses oreilles qu’une condamnation de justice. Au 20 Heures de France 2, Nicolas Sarkozy est interrogé à son sujet : « Vous savez, dans ma vie, j’en ai connu des trahisons, dans tous les plans, mais, comme celle-là, rarement... » Il marque un long silence. « Rarement ». Sur le moment, Patrick Buisson vacille. Il se tait. Il se préserve. Il se réserve. Plus tard, il dira : « J’admets la rupture, mais pourquoi la défroque de l’ignominie ? » Il interprétera son exclusion de manière uniquement politique : « Sarkozy sait que la présence de Marine Le Pen au second tour de la prochaine présidentielle est acquise, on jette donc la ligne Buisson aux poubelles de l’histoire. Mon utilité devient nulle. »

     

     

    « Je ne suis pas Valérie Trierweiler »

    Depuis que le quinquennat 2007-2012 s’est achevé, plusieurs éditeurs le sollicitent, notamment Albin Michel, la maison où il a déjà publié plusieurs ouvrages depuis vingt ans. Il a refusé de s’exprimer oralement, il va le faire longuement, dans un livre. L’écriture lui prend plus d’un an. Très vite, il dépose le titre, La Cause du peuple, bien content d’adresser, lui le tenant d’une droite sans complexe, un pied de nez aux maoïstes. Il s’entoure d’un maximum de garanties pour garder le plus longtemps secret le contenu de son ouvrage. Du réviseur au photographe, chacun signe un contrat de confidentialité. Le livre paraît finalement aux éditions Perrin, avec ce sous-titre : L’histoire interdite de la présidence Sarkozy.

    En se lançant dans l’aventure, il a une obsession : « Je ne suis pas Valérie Trierweiler ». De fait, la ressemblance entre les deux n’est pas frappante. Il réfute l’accusation du règlement de comptes ou du grand déballage. L’étendue de sa culture politique, qui affleure à chaque page ou presque, l’acuité de ses analyses, aussi contestées qu’elles aient pu l’être, l’incitent à se situer à un autre niveau que celui de « la chronique malveillante ». Pendant qu’il travaille, il veille à respecter les équilibres entre anecdotes et réflexions. Il n’ignore pas que seules les premières retiendront l’attention dans un premier temps, il veut croire que les secondes finiront par obliger la droite à s’interroger sur sa stratégie et sur son idéologie. Alors, il insiste pour souligner qu’il ne dévoile rien qui puisse nourrir la chronique judiciaire – sans doute ce silence d’aujourd’hui vaut-il aussi avertissement pour demain, au cas où Nicolas Sarkozy lui chercherait noise. La première réaction de l’ancien président, le 26 septembre sur Europe 1, est d’une grande sobriété : « Ça ne m’intéresse nullement ».

    Lire la suite de l’article sur lexpress.fr

    Quelques portraits assassins d’hommes politiques de droite par Sarkozy relevés par Buisson dans un autre article de L’Express... Exemple :

    Jacques Chirac n’a ainsi pas toujours eu droit à un hommage respectueux de sa part. La première fois qu’il accueille Buisson dans son bureau de l’Élysée, au lendemain de son élection, Sarkozy a ces mots : « Je la laisse vide, me dit-il en montrant la place qu’occupait rituellement Jacques Chirac sur le grand canapé. Son esprit l’habite, ajouta-t-il. C’est dire si je ne vais pas être trop encombré. »

     

  • VIDEO - Sarkozy: "Je souhaite la victoire d'Hillary Clinton"

    http://www.fdesouche.com/771041-nicolas-sarkozy-je-souhaite-la-victoire-dhillary-clinton

  • Marion Maréchal-Le Pen face à Jean-Jacques Bourdin

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/marion-marechal-le-pen-face-a-jean-jacques-bourdin-en-direct-871179.html

    Eblouissante!

  • MIEGE

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  • VIDEO Marine Le Pen invitée de Ruth Elkrief

    http://www.bfmtv.com/mediaplayer/video/marine-le-pen-nicolas-sarkozy-ne-croit-pas-un-mot-de-ce-qu-il-dit--871091.html

  • Dons à la sortie des grandes surfaces

     

    Les collectes d'aliments vont commencer.

    Comme chaque année si vous désirez donner, sélectionnez  exclusivement des boîtes ou paquets sur lesquels le mot PORC est bien indiqué :

     

    -         Choucroute garnie à l’alsacienne 

    -         Petits pois aux lardons fumés

    -         Petit salé aux lentilles

    -         Pâté de campagne pur porc

    -         Pâté de jambon

    -         Rillettes pur porc

    -         Soupes de légumes au lard

    -         Tranches de lard paysan

    -         Jambon blanc avec couenne

    -         Cassoulets aux saucisses pur porc

    -         Etc…

    Faire comme ça, c'est aider d'abord les vrais Français dans le besoin, puisque l’État s’occupe déjà très bien de tous les parasites qui votent pour avoir toujours plus.

    La solidarité, ça marche aussi comme ça, en donnant la priorité aux Français...

    Le porc c'est bon en plus !!!....... De la tête à la queue tout est délicieux 

     

    (merci à Dirk)