Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

GAELLE MANN - Page 1230

  • Florian Philippot débat face à l'UMPSModem sur France 24

    Florian Philippot, porte-parole du Front National pour le Rassemblement Bleu Marine, a participé à un débat en vue du second tour de l’élection présidentielle sur France 24. Face à lui étaient présent Alain Marsaud, candidat UMP aux législatives pour les Français de l’étranger, Michèle Sabban, vice présidente PS du Conseil régional d’Ile de France, Christian Delom, conseiller national du MoDem.

    04/05/12

  • Sarkozy c'est ça !

    « Je n’accepte pas que le candidat président prenne en otage l’immigration pour essayer de grappiller des voix à un parti qui normalement dans une démocratie devrait être interdit, le Front National devrait être interdit ! » (un délinquant immigré clandestin en liberté)

    _________

    Communiqué d’Eric Dillies, secrétaire fédéral du Front National de Flandre Métropole

    L’UMP nous promettait des expulsions. Promesse tenue : elle est expulsée deux fois en trois semaines de sa permanence … par des immigrés clandestins (source).

    Les occupations de la permanence de l’UMP par des immigrés clandestins deviennent une habitude. Elles sont révélatrices du double langage de Nicolas Sarkozy et de ses amis : d’un côté, ils plastronnent en public sur leur lutte imaginaire contre l’immigration clandestine ; de l’autre, ils laissent les clandestins agir dans la plus totale impunité.

    La France de Nicolas Sarkozy est ainsi le seul pays occidental où les immigrés clandestins sont inexpulsables et peuvent, sous le regard désabusé des forces de police, contraintes de les encadrer, manifester ou occuper des églises, des permanences de partis politiques, etc. Mieux encore, les clandestins, rebaptisés « sans-papiers » par les bien-pensants, disposent à la vue et au su de tous d’un local à Fives.

    Et le coup de sang d’Hervé-Marie Morelle, candidat sarkozyste dans la 1re circonscription du Nord, qui prétend avoir l’énergie d’agir, ne changera rien à la situation : l’UMP n’a strictement rien fait pour rendre juridiquement possibles les expulsions d’immigrés clandestins. Du coup, c’est l’UMP qui se fait régulièrement expulser sans réagir de son local de campagne. En matière d’immigration et de sécurité, elle n’est décidément pas très forte la France de Nicolas Sarkozy et d’Hervé-Marie Morelle.

     

  • Des immigrés délinquants clandestins à Lille demandent l'interdiction du Front Nationa!


    De nouveau, les sans-papiers envahissent l'UMP à... par nordeclair

    Voir la vidéo jusqu'à la fin

  • Harcèlement sexuel: Hollande promet une nouvelle loi s'il est élu

    «C'est l'apothéose de l'injustice». «C'est dégueulasse!». Jointe au téléphone par Leparisien.fr, Marilyn Baldeck, la déléguée générale de l'Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail (AFVT) ne décolère pas après la censure et l'abrogation par le Conseil constitutionnel de la loi sur le harcèlement sexuel.

    « Le délit de harcèlement sexuel n'existe plus et les procédures en tombent toutes, on abandonne les victimes, on les prive de leurs droits, on leur dit : dégagez il n'y a plus rien à voir», lâche-t-elle, écoeurée.

    La formulation de l'article 222-33 du code pénal instituant le délit de harcèlement – « le fait de harceler autrui dans le but d'obtenir des faveurs de nature sexuelle est puni d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende » - a été jugée trop floue et contrevenant à l'un des principes généraux du droit pénal qui est la légalité des délits et des peines – qui impose une définition précise. Le Conseil constitutionnel abroge l'article et renvoie au législateur la responsabilité de définir plus clairement les contours de ce délit.

    Les associations féministes appellent à un rassemblement samedi à 11 heures à , place Colette (Ier), pour «exiger une nouvelle loi». L'équipe de campagne de a fait savoir qu'il s'y engageait, s'il est élu dimanche à la présidence de la République.

    «Le pire des scénarios»

    D'ici là, ce délit n'existe plus dans le droit français et les procédures en cours peuvent être annulées. Cette décision « est applicable à toutes les affaires non jugées définitivement », précise le Conseil qui a publié sa décision sur son site. « Le Conseil constitutionnel a réalisé le pire des scénarios pour les victimes en les privant de leurs droits, de leurs procédures», s'emporte Marilyn Baldeck, déléguée générale de AFTV qui s'était jointe à la procédure pour demander l'abrogation d'un texte trop vague, mais de manière différée pour éviter, disait-elle, un dangereux vide juridique. Mais les Sages ont estimé qu'une application différée de l'abrogation aurait été contraire à un autre principe, celui de la non rétroactivité de la loi pénale.

    « C'est une décision définitive qui n'est pas susceptible d'appel, déplore encore Marilyn Baldeck. Ce n'est pas faute d'avoir prévenu depuis des années sur ce risque». Et de fustiger « les gouvernements et ministres de la justice successifs, les députés, qui ont toujours considéré que nous avions tort et systématiquement refusé toute modification législative. Ils en portent la lourde responsabilité aujourd'hui ».

    «Ces femmes se battent depuis des années contre l'abus de pouvoir»

    « Les juristes de l'association vont passer leur journée à appeler les victimes pour leur dire que c'est terminé pour elles, poursuit Marilyn Baldeck, bouleversée. C'est d'autant plus dégueulasse que dans la plupart des affaires, ce sont des faits d'agression sexuelle qui ont été requalifiés en harcèlement et que ces femmes se battent depuis des années contre l'abus de pouvoir, c'est d'une violence inouïe ! ».

    C'est par le biais d'une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) que le Conseil constitutionnel a été amené à rendre cette décision. Une question soulevée en cassation par Gérard Ducray, ancien député du Rhône, condamné en appel en 2011 pour harcèlement sexuel à trois mois de prison avec sursis et 5 000 euros d'amende. Il considérait que le code pénal, laissant au juge une trop grande marge d'appréciation des éléments constitutifs du délit qui lui était reproché, permettait « tous les débordements, toutes les interprétations », avait plaidé son avocate à l'audience devant les Sages, le 17 avril.

    « Il ne conteste pas les faits qui lui sont reprochés mais le fait qu'on puisse les lui reprocher », s'insurge Marilyn Baldeck. Selon elle, une cinquantaine de condamnations pour harcèlement sexuel intervenaient chaque année, « un nombre dérisoire par rapport au nombre de cas », estime la déléguée générale qui conseille «aux femmes victimes de harcèlement et qui n'ont pas encore porté plainte « d'attendre qu'une loi soit de nouveau votée pour ne pas voir leur procédure annulée ».

     

    LeParisien.fr

  • Un physicien franco-algérien condamné pour terrorisme

    PARIS (Reuters) - Un physicien nucléaire franco-algérien, Adlène Hicheur, a été condamné vendredi à Paris à cinq ans de prison dont un avec sursis pour avoir préparé en 2009 un attentat en France lors de conversations sur internet avec un islamiste basé en Algérie.

    Le tribunal n'a pas totalement suivi les réquisitions de l'accusation qui souhaitait six ans de prison ferme.

    La défense avait plaidé la relaxe car Adlène Hicheur, 35 ans, qui n'a jamais bougé de son siège et de son écran d'ordinateur et n'a jamais rencontré physiquement son interlocuteur islamiste, se dit victime d'un délit d'opinion.

    Me Patrick Baudoin, avocat du condamné, a qualifié le jugement "d'injustice révoltante", tout en expliquant qu'il n'était pas en mesure de dire de suite s'il ferait appel.

    Adlène Hicheur sortirait très prochainement de prison s'il acceptait la sentence, au bénéfice des remises de peine automatiques, puisqu'il a déjà purgé plus de deux ans et demi de détention, depuis octobre 2009.

    "Ce jugement est parfaitement abusif. On peut parler, et c'est très dangereux pour les libertés, d'une accusation de pré-terrorisme", a dit l'avocat.

    Cette affaire a été jugée dans un climat de tension lié à sept meurtres commis à Toulouse et Montauban par Mohamed Merah, un autre islamiste radical. Une opération de police a en outre dans la foulée abouti à l'incarcération de plusieurs membres d'un groupe supposé violent, "Forsane Alizza".

    Au procès en mars, l'accusation avait qualifié le prévenu Adlène Hicheur de "conseiller technique en attentats" et lui reprochait d'avoir fourni une feuille de route, un vade-mecum terroriste à son interlocuteur.

    Adlène Hicheur, titulaire d'un doctorat et qui travaillait au moment des faits au Centre européen de recherche nucléaire (Cern) à Genève, parlait dans des conversations cryptées sur internet avec un militant d'Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), Mustapha Debchi.

    PROJETS SUR UNE CASERNE

    Il était notamment question de l'ouverture d'un compte bancaire anonyme en Suisse et de transferts d'argent, ainsi que de projets d'attentats, Adlène Hicheur suggérant de cibler une unité militaire française basée près d'Annecy, engagée en Afghanistan. Le compte bancaire a effectivement été ouvert fin 2009.

    Adlène Hicheur a aussi servi d'intermédiaire sur internet pour passer des messages d'Aqmi à des islamistes somaliens, soulignait l'accusation, s'appuyant sur l'historique des dialogues que le prévenu ne conteste pas, mais qu'il qualifie de simples discussions sans objet matériel.

    Appuyés par la Ligue des droits de l'homme et un comité de soutien, les proches et la famille du prévenu sont revenus le soutenir en nombre au tribunal et certains ont protesté après le jugement devant les caméras.

    Poursuivi pour "association de malfaiteurs en vue de commettre un acte de terrorisme", Adlène Hicheur encourait jusqu'à dix ans de prison.

    Le procès a de nouveau remis sur la sellette les poursuites judiciaires antiterroristes en France, qui ont pour objet, avec l'incrimination "d'association de malfaiteurs", de prévenir les actions avant qu'elles ne soient commises.

    Depuis la création de ce dispositif dans les années 1980, qui reste quasi unique au monde, les avocats et les associations de défense des droits de l'homme mettent en garde la justice contre le risque de création d'une forme de délit d'opinion.

    Les autorités répondent qu'il s'agit d'une forme légale de réponse au terrorisme qui permet d'éviter les abus de droit comme les détentions illimitées sans fondement juridique de la base américaine de Guantanamo, à Cuba.

    Edité par Patrick Vignal

    Yahoo!Actu - 04/05/12

  • L'UMP, dernier rempart de l'Occident chrétin ? [Tribune libre]

     

    [Tribune libre] L'UMP, dernier rempart de l'Occident chrétin ?
     
     
    (Ce texte de “mise au poing” sur le vote catholique en France est une “tribune libre” de l’une de nos lectrices et correspondantes. – Novopress)

    Au premier tour de l’élection présidentielle, les catholiques ont voté comme suit : 47% pour Nicolas Sarkozy ; 15% pour Marine Le Pen ; 14% pour François Hollande ; 7% pour Jean-Luc Mélenchon (sondage Harris Interactive réalisé en exclusivité pour La Vie).

    Le grand vent du « chrétinisme » a donc soufflé le 22 avril. Jean-Luc Mélenchon, le “bouffeur de curés”, obtient 7% des voix catholiques. Quant aux 47% obtenus par Nicolas Sarkozy, ils sont surréalistes si on les met en relation avec le score relatif (moins que la moyenne des Français) de la seule candidate « de souche » ET catholique revendiquée. Bêtise et masochisme sont-ils les deux mamelles du vote “catho” ? Cette élection semble le confirmer.

    Depuis que les sondages donnent François Hollande vainqueur des suffrages, c’est d’ailleurs la panique à bord du navire chrétin : nous retrouvons le réflexe conditionné du droitard, génétiquement programmé pour voter contre son camp jusqu’à la fin des temps. L’appel se propage dans toute la cathosphère, des “cathos mous” et libéraux aux “nationaux-catholiques” : Nicolas Sarkozy est leur nouveau messie.

    La droite des valeurs : mais de quelles valeurs ?

    Christine Boutin : « on connaît mon exigence par rapport à ces principes fondamentaux, j’essaye de les faire vivre à travers ma longue vie politique (…) Nicolas Sarkozy propose une société basée sur les principes judéo-chrétiens ». Christine Boutin on le sait, a vendu sa candidature à la présidentielle contre un plat de lentilles. Et contre tous les principes catholiques qu’elle prétend défendre, a cédé à l’un des cotés les plus abjects de la modernité : l’impudeur, en détaillant par le menu sa vie sexuelle sur les plateaux de télévision et dans la presse à scandales.

    Frigide Barjot, pourtant sympathique, verse également dans le registre de catho terrorisée : « Devant l’urgence de la situation éthique et politique, brisons la tradition chrétienne de non-appel au vote… Hier soir sur KTO, je me suis lancée dans l’annonce explicite de ce que je voterai en conscience et en tant que catholique ce dimanche 6 mai, jour de la Sainte Prudence : contre le programme de François Hollande donc, pour celui de Nicolas Sarkozy. »

    À ce stade d’hystérie et de peur panique, il serait temps de voir un peu le bilan de la droite en matière de valeurs « catholiques ».

    L’alpha et l’oméga du combat catho : la légalisation de l’avortement. Qui l’a faite ? Un indice : nous sommes en 1975… sous la présidence de V. Giscard D’Estaing, gouvernement Chirac. C’est donc la droite qui l’a votée.

    « La droite est contre le mariage homosexuel, ça nous rassure ! » L’on se souvient de Christine Boutin brandissant sa bible dans l’hémicycle lors du vote du PACS (on attend toujours les larmes de rage de Christine Boutin pour pleurer les jeunes filles victimes de tournantes ou de crimes d’honneur dans les caves des cités). Rappelons à nos amis chrétins qu’en 2010 le mariage homosexuel était dans les tuyaux d’un gouvernement de droite. Plusieurs personnalités du gouvernement s’étaient d’ailleurs prononcées pour l’application effective de cette partie du programme de Nicolas Sarkozy en 2007 : Alain Juppé, Nathalie Kosciusko-Morizet, Frédéric Mitterrand, Roselyne Bachelot, Chantal Jouanno, Nadine Morano, Jeanette Bougrab, François Fillon.

    « Nous sommes pour les valeurs familiales ». Donc le divorce c’est mal, enfin, c’est mal quand il s’agit de Marine Le Pen : les plumes de Rivarol ne le lui pardonnent pas et l’insultent copieusement à longueur de pages. Mais que Nicolas Sarkozy ait divorcé à deux reprises, aucun problème ; que chacune de ses deux dernières épouses soit plutôt dans le registre « aventurière », pas de problème là non plus. Qu’en plus, chacune des deux donzelles en A (Carlita et Cécilia) ait déclaré ne pas avoir une goutte de sang français et en être fière, ça aussi ça n’a pas l’air d’inquiéter les « catholiques et Français toujours »…
    Continuons avec une déclaration de Nadine Morano. En mars 2009 elle s’est déclarée favorable à la gestation pour autrui « si et seulement si ça répond à aider un couple qui pourrait devenir parents et qui ne peut pas l’être », et à condition que cette pratique soit strictement encadrée. De plus, la secrétaire d’État chargée de la famille a précisé qu’elle préférait le terme « femme porteuse » parce « qu’elle ne sera que la gestatrice et en aucun cas la génitrice ». Légaliser les mères porteuses ? Donc livrer l’utérus des femmes à la concurrence libre et non faussée et à la marchandisation, c’est ce qui s’appelle défendre la famille et les valeurs traditionnelles sans aucun doute.

    Quid du travail le dimanche ? C’est bien Nicolas Sarkozy qui a voulu faire travailler les Français le dimanche, et donc supprimer cette journée non-marchande et familiale au profit de la civilisation du tube digestif.

    Laissons le dernier mot à Jean-Claude Michéa sur le sujet : « Dans sa rhétorique et ses promesses électorales, un parti de droite n’hésitera jamais à défendre la famille ou la religion (laissant à la gauche moderne le soin de développer, à ses risques et périls, le vrai point de vue libéral sur la question). Mais dès qu’il s’agit de passer à l’acte, elle hésitera encore moins à étendre au jour du Seigneur lui-même (ou si l’on préfère, au jour de la famille) le droit d’exploiter son prochain. Toute la question est donc de savoir si l’on doit juger la philosophie réelle d’un parti de droite sur sa seule rhétorique électorale (l’universitaire de gauche s’en tient généralement là) ou, au contraire, sur la politique concrète qu’il applique sans phrase une fois parvenu au pouvoir. Dans une société libérale développée, c’est en effet aux universitaires de gauche qu’il incombe de fournir la véritable bande-son des modernisations capitalistes, c’est à dire de jouer les idiots utiles du système en revendiquant à voix haute (Foucault et Deleuze à l’appui) ce que la droite met silencieusement en pratique sous le masque hypocrite d’un discours « conservateur ». (Jean-Claude Michéa, Le complexe d’Orphée : la Gauche, les gens ordinaires et la religion du progrès, Flammarion 2011)

    Voter pour “le moindre pire” n’est pas dans les Évangiles

    Si nous devions résumer le cas de conscience “catho” du moment : “il faut voter pour le moindre pire, donc pour Nicolas Sarkozy”.

    Bernard Antony : « Tout annonce la forte plausibilité de la victoire de François Hollande qui mènera une politique encore pire que celle de Sarkozy avec des lois encore plus liberticides et mortifères. Voilà pourquoi nous appelons pour le 6 mai à un vote du « moindre pire », celui de l’utilisation d’un bulletin Sarkozy pour ne pas voter Hollande. » Yves Daoudal : « Si on m’avait dit qu’un jour je voterais Sarkozy, j’aurais eu un fou rire cosmique, suivi d’une abyssale compassion pour le triste hurluberlu qui aurait proféré une telle ânerie. Or je ne vois pas d’autre solution pour dimanche prochain. Car on en est à devoir choisir le moindre pire, comme dit Bernard Antony. »

    Le moindre pire ? Vraiment ? Voyons sommairement le bilan de la droite selon le prisme des préoccupations de l’électeur catholique moyen.

    Qui a voté la toute première loi anti-raciste qui institue le délit d’injure raciste, le délit d’incitation à la haine raciale et celui de provocation à la discrimination ? C’est la même loi qui a instauré la possibilité pour les associations anti-racistes de se porter partie civile. Cette loi et celles qui suivront vont être copieusement utilisées par le système pour museler la parole de la presse libre de droite et la liberté d’expression des périodiques nationalistes. Elle ne sert même qu’à cela. Un indice : c’était en 1972. Pompidou était président …bingo ! C’est la droite qui a fait voter la loi Pleven.

    Qui a légalisé et institué le regroupement familial, qui a permis d’ouvrir le robinet de l’immigration massive sur notre pays ? Un indice : c’était en 1976. Giscard était président et Chirac premier ministre. C’est encore la “droite”. Il est vrai que regrouper des familles est une façon comme une autre de défendre les valeurs familiales !

    Qui a supprimé la « double peine », c’est à dire abrogé l’interdiction automatique de séjour pour les étrangers condamnés pour crimes à l’issue de leur peine de prison ? C’est plus récent, 2006. Le président était Jacques Chirac, et le ministre de l’Intérieur à l’initiative de cette loi n’était autre que Nicolas Sarkozy.

    Qui s’est déclaré en faveur d’une laïcité positive, c’est-à-dire une abrogation partielle de la loi de 1905 (à la grande joie du peuple “catholique”) ? Marché de dupes : il ne s’est agit depuis le début que de donner plus de place à l’islam, de favoriser le communautarisme (notamment avec le Conseil Français du Culte musulman), et d’aider à la construction de mosquées. Il n’a jamais été question de favoriser les catholiques. Qui a fait cela ? La “droite”.

    Quand cette politique anti-nationale s’est condensée dans l’affaire Mohamed Merah (immigration + communautarisme réislamisé), quelle fut la première idée de Nicolas Sarkozy ? « Faire de la diffusion d’idéologies extrémistes, d’appel à la violence ou à la haine un délit pénal (et non un simple délit de presse) et permettre de réprimer ce délit avec les moyens qui sont ceux de la lutte contre le terrorisme » (programme Sarkozy 2012). Entendez par là mettre dans le même panier terroristes islamistes et autres fous du djihad, et les sites internet de la mouvance identitaire / patriote. Il faut être con tout de même pour voter pour celui qui annonce qu’il va vous mettre en prison s’il est élu.

    « Catholiques et Français toujours » ?

    Français ? Vu la politique pour laquelle ils votent… certainement pas. Catholiques ? Quand on vote pour les marchands du temple et les corrompus, contre son propre peuple… là aussi ce n’est pas sur qu’on le soit encore, catholique. Laissons le dernier mot à Léon Bloy, qui lui était un vrai catholique : « Quand on demande à Dieu la souffrance, on est toujours sur d’être exaucé ». Amis chrétins, méditez…

    Spoutnik, pour Novopress

    Image en Une : Nicolas Sarkozy, lors du rassemblement du Trocadéro le 1er mai 2012. Crédit : UMP photos via Flickr (cc)

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • Carla Bruni "énervée" pendant le débat ?

    Article + photos: http://www.voici.fr/news-people/actu-people/carla-bruni-enervee-pendant-le-debat-448669/(page)/2

     

    04/05/12

  • Le harcèlement sexuel a été rayé du Code pénal !

    Lire l'article: http://www.ubiznews.com/news/societe/item/5173-le-harcèlement-sexuel-a-été-rayé-du-code-pénal

     

    04/05/12

  • La fille de Kadhafi demande que les assassins de son père soient jugés

    03/05/2012

    La fille de Kadhafi demande que les assassins de son père soient jugés



    La fille du leader libyen Mouammar Kadhafi, tué en octobre dernier, qui a obtenu l'asile politique en Algérie, vient de s’adresser au Conseil de sécurité de l'ONU et la Cour pénale internationale à La Haye (CPI) pour exiger une enquête et un procès sur les assassins de son père, rapportent les médias arabes.

    Aïsha Kadhafi a qualifié de crime de guerre l'assassinat de Mouammar Kadhafi et de son frère Mouatassim par les rebelles.
    La Cour pénale internationale a déjà promis de se pencher sur les circonstances de la mort de l'ancien chef de la Libye à la fille de l’ex-chef libyen. Toutefois, la CPI précise qu'elle attend en premier lieu un rapport des autorités de la Libye, qui mènent leur propre enquête sur les circonstances de la mort de Kadhafi.
     

    http://french.ruvr.ru/2012_05_03/Mouammar-Kadhafi-Aicha-Kadhafi-CPI-Cour-penale-internationale-proces/ http://french.ruvr.ru/2012_05_03/Mouammar-Kadhafi-Aicha-Kadhafi-CPI-Cour-penale-internationale-proces/

     

     

     
  • Pyrénéées-Orientales - La villa de Marine Le Pen et de Louis Aliot cible d'un acte de malveillance

    Exclusif Midi Libre. La villa de Louis Aliot et de Marine Le Pen à Millas (Pyrénées-Orientales) a été la cible d’un acte de malveillance, découvert en fin de matinée par une personne chargée de la surveiller en l’absence des propriétaires.

    "Vous n’avez pas le monopole du drapeau"

     

    Le portail d’entrée avait été cadenassé par une chaîne, et un tract et une photo ont été découverts dans la boîte aux lettres.

    "Vous n’avez pas le monopole du drapeau" proclamait le texte, auquel était joint la photo d’une affiche représentant un pied écrasant une croix gammée.

     

    Midi Libre - 03/05/12

  • La "diversité" soutient Sarkozy

    Clip promotionnel en soutien à Nicolas Sarkozy. Film produit et réalisé par Arthur Orphée Nkili.

     
    "La vraie question est de dire : qui peut mieux servir nos intérêts ?"
    Arthur Orphée Nkili
  • Bayrou vote Hollande

  • Thierry Gaubert condamné pour abus de biens sociaux

    Posté par le 3 mai 2012

     

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Thierry_Gaubert

    L’ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy écope de dix mois de prison avec sursis pour une affaire qui remonte aux années 1990. Le frère de Patrick Gaubert, ex-collaborateur de Charles Pasqua place Beauvau, ancien président de la LICRA et président depuis 2008 du Haut conseil à l’intégration mis en place par Nicolas Sarkozy, a aussi été mis en examen dans le cadre de l’enquête sur l’affaire Karachi. C’est pour une affaire de détournement des fonds du 1 % logement dans les Hauts-de-Seine, dans les années 80 et 90, que Thierry Gaubert comparaissait devant le tribunal correctionnel de Nanterre.

    Après des années de procédure, Thierry Gaubert, ancien collaborateur de Nicolas Sarkozy, a été condamné jeudi à dix mois de prison avec sursis et 10.000€ d’amende par le tribunal correctionnel de Nanterre pour abus de confiance et abus de biens sociaux. L’ancien conseiller de l’actuel président était accusé de détournements de fonds dans le cadre du 1 % logement, mais a été relaxé de ce chef d’inculpation par la justice.

    Les faits remontent aux années 1990. Thierry Gaubert est alors à la tête d’un Comité interprofessionel du logement (CIL) dans les Hauts-de-Seine. Crée en 1984, ce CIL est chargé de collecter le 1 % logement (devenu depuis Action Logement) auprès des entreprises du département. La justice reprochait à Thierry Gaubert de s’être servi de cette structure pour investir dans des sociétés civiles immobilières (SCI) ou des sociétés d’économies mixtes (SEM) dans lesquelles il avait des parts ou des intérêts. Libération cite ainsi une opération immobilière qui lui aurait permis « avec son comparse, le promoteur immobilier Philippe Smadja, d’encaisser une plus-value de 2,4 millions de francs [environ 350.000 euros] en 24 heures à Levallois-Perret ».

    La justice s’est également penchée sur le « train de vie excessif [des dirigeants de la CIL] sans rapport avec la finalité non lucrative » du 1 % logement. Selon l’ordonnance de renvoi en correctionnelle, les chefs du CIL bénéficiaient de nombreux avantages, comme 70.000 francs [11.000 euros] de frais de cocktail, 28.000 francs [environ 4200 euros] d’amendes de stationnement, ou 30.000 francs [4500 euros] pour les « pourboires et dons ».

    Lire la suite

     

     

     

  • Kadhafi aurait bien financé la campagne de Sarkozy: d'autres détails

    Posté par le 3 mai 2012

     

    La Libye de Kadhafi aurait bien financé la campagne de Nicolas Sarkozy. L’ex-Premier ministre libyen al-Baghdadi al-Mahmoudi, emprisonné en Tunisie, a affirmé que le régime de Mouammar Kadhafi avait financé la campagne 2007 du candidat Nicolas Sarkozy, ont rapporté jeudi à Tunis ses avocats.

    « Mouammar Kadhafi, son régime et les responsables qui travaillaient avec lui ont financé la campagne électorale de Sarkozy en 2007 », a déclaré à la presse Me Bechir Essid, avançant un montant de quelque 50 millions d’euros.

    Source

    Nations Presse Info - 03/05/12

  • Affaire Cassez: la police a arrêté le frère de son ancien petit ami

    Lire l'article: http://www.lepoint.fr/monde/affaire-cassez-une-etrange-arrestation-03-05-2012-1457634_24.php

     

    Le Point

  • L'ex-Premier ministre libyen affirme que Kadhafi a financé la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy

    L'ancien dignitaire est actuellement emprisonné en Tunisie. Il affirme aujourd'hui que le régime libyen de Mouammar Kadhafi "a financé la campagne électorale de Sarkozy en 2007". Il avance un chiffre de quelque 50 millions d'euros, comme l'affirme également le site d'information Mediapart.

     

     

    L'ancien Premier ministre Al-Baghdadi Al-Mahmoudi, à Tripoli en août 2011 © Reuters Paul Hackett

    "Le marché a été conclu par Moussa Koussa (l'ex-chef des services de renseignements extérieurs) sur instruction de Kadhafi. Les documents attestant de la transaction existent." L'ancien chef du gouvernement libyen, aujourd'hui emprisonné en Tunisie, est catégorique : il y a bien eu un financement de la campagne 2007 de Nicolas Sarkozy par le régime de Mouammar Kadhafi. Al-Baghdadi Al-Mahmoudi a décidé de s'exprimer aujourd'hui, par la voix de ses avocats.

    Une accusation qui va dans le sens du site d'information Mediapart. Samedi dernier, il publiait un document attribué à un ex-dignitaire affirmant que Tripoli avait accepté de financer "pour 50 millions d'euros" la campagne du président français. Un chiffre confirmé par Al-Baghdadi Al-Mahmoudi.

    Deux plaintes déposées en quelques jours

    Nicolas Sarkozy nie catégoriquement ces accusations, qu'il avait qualifiées de "grotesque", estimant même que la note est un "faux". Le chef de l'État a même porté plainte, le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire pour "faux et usages de faux" et "publication de fausses nouvelles". De son côté, Mediapart a également porté plainte, hier, pour "dénonciation calomnieuse".

    Dans la journée d'hier, le Conseil National de Transition au pouvoir en Libye assurait de son côté que le document de Mediapart semblait "faux et falsifié".

    France-Info - 03/05/12

  • Autriche: HC Strache veut devenir chancelier des coeurs

    02/05/2012 – 18h30
    LINZ (NOVOpress via Lionel Baland) —
    Le Président du FPÖ Heinz-Christian Strache a pris la parole, durant 1h30 à Linz en Haute-Autriche dans un chapiteau à bière, devant 5.000 partisans à l’occasion de la fête du 1 mai 2012. Il a mis l’accent sur la campagne du FPÖ pour plus de démocratie directe sous le slogan : « La démocratie directe immédiatement : au peuple, son droit. »

    Heinz-Christian Strache espère que son parti, le FPÖ, obtiendra 33,4 % des voix lors des élections législatives, soit une minorité de blocage de réforme de la Constitution. Il a critiqué la coalition rouge-noire en place (Parti social-démocrate et Parti conservateur) qui dirige le pays et a exigé une réforme de l’administration et du système de santé. Le président du FPÖ a réclamé des investissements plutôt que des expériences dans le domaine scolaire, moins d’impôts pour les familles qui ont plusieurs enfants et une politique de l’immigration stricte. Il s’oppose à l’islamisation et demande que l’Autriche quitte le Protocole de Kyoto et le Traité Euratom. Il souhaite une Autriche qui prend son destin en main : « Je ne veux pas que nous dégénérions en une secte Union européenne. » et « Au lieu de plier les genoux devant l’Union européenne, l’Autriche doit se tenir droite sur ses jambes.» Il a rappelé son opposition à l’entrée de la Turquie au sein de l’Union européenne.

    Pour le président du FPÖ, l’Autriche a besoin d’une révolution démocratique : le FPÖ ne doit plus être mis de côté par les partis du système. Il pense que le Parti conservateur ÖVP ne joue plus de rôle. Lors des prochaines élections législatives, il s’attend à un duel entre le Chancelier social-démocrate SPÖ Werner Faymann et lui-même. Heinz-Christian Strache a ajouté que lors de la marche du 1 mai des rouges, la devise « Socialistes de tous les pays unissez-vous » est une réalité : on ne voit plus là qu’à peine plus d’un Autrichien.

    Heinz-Christian Strache a précisé qu’une équipe de télévision a voulu se rendre incognito au meeting du FPÖ, afin de monter des manipulations, mais a pu être détectée et empêchée d’entrer.

    Autriche : HC Strache veut devenir chancelier des cœurs

    Le John Otti Band chauffe la salle.

    (Cliquez sur les photos pour les voir en totalité)

     

    Autriche : HC Strache veut devenir chancelier des cœurs

    Les dirigeants du FPÖ

     

    Autriche : HC Strache veut devenir chancelier des cœurs

    Le public

     

    Autriche : HC Strache veut devenir chancelier des cœurs

    Heinz-Christian Strache parle.

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine